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30.

Samedi 28 avril, Toulouse, JL House, Salon, 10h15

Nous sommes sur le point de partir. Hier, Salim s'est fait défoncé de tout les côtés par presque tout les JL. Jue lui a même donné la baffe de sa vie. Aujourd'hui, Toma a décidé de le virer de la Jobless et de la JL House car cet acte n'est pas acceptable, et heureusement. Jue a énormément pleurer, de déception et de dégout envers lui. Moi, je ne peux même plus prononcer son nom, rien que la pensée de celui-ci, me donne les larmes aux yeux et les images qui reviennent. Il a cassé une partie de moi. Je sais que je vais devoir énormément travailler sur moi et sur la confiance envers certaines personnes mais ce que je suis sûre, c'est que je ne lui pardonnerais jamais. Il a commis une... MAIS POURQUOI J'Y PENSE AUSSI !!! Mes larmes reviennent et je me tourne côté cuisine où je croise le regard blasé de Fake. Je pouffe parce que je ne m'attendais pas à sa tête et je le vois changer de "blasé" à "inquiet". Je lui souris, espérant faire cesser mes larmes mais tout ce qui me revient ce sont encore les images de la veille et du Snap. Ça va être dur...

Fake : eh Jade. Ça va aller, ok ? On est tous avec toi ici. T'auras plus jamais de problème avec cet abruti. Ok ?

Moi : j'arrive pas... j'ai...

Élias : hé qu'est-ce qu'il se passe ? Tu pleures ? Mais t'as encore de l'eau ?

Moi : askip.

Il me prend dans les bras et je m'agrippe à son t-shirt comme par peur qu'il me lâche et que quelque chose d'autre m'arrive. Sal... im, est dans sa futur ex-chambre. Il range ses affaires pour le déménagement. Je regarde l'heure sur mon téléphone, 10h17. Hmm... ça a pas beaucoup bougé depuis tout à l'heure... je m'écarte de mon perroquet en souriant face à cette pensée et m'avance près de mon sac de voyage pour vérifier que j'ai bien mon billet de train. Oui. Tout va bien. Je souffle. Enfin une bonne nouvelle et un cesser de larmes et non de feu. Enfin, ça pourrait presque l'être aussi vu que dans mon esprit c'est autant le bordel que dans un combat de guerre... bref. Je me relève et Jue s'approche de moi.

Jue : eh Jade... tu m'appelles si tu veux parler, ok ? Tu sais que je ne te jugerais pas.

Moi : je sais. Merci Jue.

Jue : c'est normal entre amie. On se sert les coudes.

Moi : c'est vrai. Ça fait tellement longtemps que je n'aie pas été amie avec une fille que ça me fait tout drôle de pouvoir papoter avec !

Jue : t'inquiète pas. Je te comprends. Moi-même ça me perturbe de ne plus être la seule fille à la maison.

Moi : c'est normal. Tu es tout le temps ici. Moi j'y suis que lorsque je viens comme cette semaine.

Jue : hmm. Bon, allez ! Il est à quelle heure votre train ?

Moi : 11h34.

Jue : ok. Vous devriez y aller si tu ne veux pas le louper. Je suis sûre que tu as plein de trucs prévus à Paris ! Je me trompe ?

Moi : non, t'as raison. Je dois passer à Webedia pour la création de mon studio.

Jue : tu m'enverras une photo du avant, après ?

Moi : si tu veux.

Jue : cool. Merci.

Je lui souris en signe de reconnaissance. C'est si agréable de lui parler. C'est fluide et sans gêne, contrairement à en décembre où c'était trop compliqué. Mais bon, ça prouve qu'on a grandit vu qu'on s'entend comme si rien ne s'était passé. J'inspire un bon coup comme pour me remplir d'énergie et me tourne vers Élias. Il parle avec Fake et Loly.

Moi : Élias ?

Élias : oui ?

Moi : on y va ?

Nat : tu pars sans dire au revoir ?

Je fronce les sourcils. Cette phrase... c'est une rèf à je sais pas quoi mais je connais. C'est quoi déjà la suite ? ... "Tu pars sans dire au revoir ?" AH JE SAIS !

Moi : on s'quitte pas vraiment.

Nat : tidududu !

Je rigole et m'approche de lui pour lui faire un câlin. Ce qui est sûr, c'est que Nateos, restera graver à vie dans ma mémoire parce que c'est mon sauveur et ça, je ne le remercierais jamais assez !

Moi : merci pour tout ce que tu as fait pour moi.

Nat : qui ne l'aurait pas fait ici ? Même toi tu l'aurais fait. C'est tout à fait normal de défendre ses amis. Homme ou femme. Tu n'as pas à me remercier comme dirait Killua.

Moi : t'as pas une phrase à toi depuis ce matin ! Que des rèfs.

Nat : bah c'est plutôt bien, non ? J'ai de la culture générale. Héhé !

Je souris et quelqu'un me tire, me faisant abandonner l'étreinte avec Nathan. Je tire une mou. J'imagine que c'est Élias. Quel jaloux quand même !

Élias : c'est trop long votre câlin. Et non, je ne suis pas jaloux.

Moi : non c'est vrai. Tu es possessif ! Pas pareil !

Il lève les yeux au ciel avec un sourire qu'il ne peut cacher. Si je pouvais stopper le temps, je l'aurais fait pour sortir et allumer mon portable et le prendre en photo. Ça aurait été un même parfait ! Encore plus que ceux de Mister V. Mais à la place je seccoue la tête amusée de la situation. Même si il le dit pas, je sais qu'il s'en veut énormément. Il doit culpabiliser de ne pas avoir entendu quoi que ce soit. Mais ce n'est pas sa faute, les murs sont vraiment bien insonorisés. Et au fond il doit le savoir.

Moi : raaah Toma ! Si j'apprends que tu montes à Paris en avion, mais je te promets que je te retrouve et te fais comprendre qu'il faut que t'arrête de faire ce genre de trucs ! Ça devrait même être l'une de tes résolutions !

Toma : eh oh ! Tu crois faire peur à qui avec ta taille ? Hein ? Pas à moi en tout cas !

Moi : gngngngn... bon, allez, bye !

Toma : ah c'est comme ça ?

Moi : ouais. C'est ce que tu mérites après tes moqueries sur ma taille.

Toma : mais je plaisante. Osef, non ?

Moi : hmm.

Il me sourit légèrement avant de passer un bras sur les épaules de Jue. Ils sont mignons ensemble... Élias et moi échangeons de "poste" pour les au revoir. Je tchek Fake car depuis la fois où on a fait notre sieste ensemble, Élias n'est pas à l'aise lorsqu'on se fait un câlin, donc on fait plus.

Fake : un jour on réussira à re-siester !

Moi : "re-siester" ?

Fake : oui. Toi tu dis la "zénitude", moi je dis "re-siester".

Moi : mais la zénitude existe vraiment ! C'est un mot existant !

Fake : un mot Fake ouais !

Moi : oh quel beau jeu de mot avec ton nom !

Fake : t'as vu ça ?

Je pouffe et on se re-tchek. Il y a trop de "re" dans la même minute. Loly me fait également un câlin et on se détache assez vite. Avec Loly, je crois que plus le temps passe, plus les moments passés ensemble, deviennent gênants. C'est triste parce qu'on s'entendait bien mais bon, la vie est ainsi faite. Elle ne prévoit rien à l'avance. Et ça, je le sais que trop bien.

Une fois tout fini on sort de la maison et j'entends un air de chanson que je connais que trop bien, "LOVE SHOT" de Exo. Je me retourne et je vois Nathan chanter en yaourt et faire la danse. Donc, il s'est vraiment bien mis de dans pour connaître la danse ! Je rigole et limite avant que deux bras m'entoure pour ne plus que je bouge. Je tourne la tête d'un seul coup pour regarder qui c'est.

Moi : Élias... tu m'as fait peur... fait plus ça. J'ai cru que...

Élias : merde désolé ! Je ne voulais pas. Désolé. Ça va aller, mon perroquet ? T'inquiète pas. Pleure pas. On travaillera là-dessus. C'est normal que tu sois inquiète. Ok ?

J'acquièce et m'essuie mes larmes. Il m'embrasse et me sourit. J'essaie de limiter mais je sens que mon coeur bat encore trop vite pour que je sois encore remise d'hier. On fait au revoir aux autres qui ne nous raccompagne pas et je monte à l'arrière de la voiture, seule. Élias côté passager et Jue, côté conducteur. Elle nous a proposé de nous raccompagné, ce qu'on a accepté avec volonté.

Un bon moment après, on est arrivé à la gare, et les retour des masques et bob pour moi et capuche pour Élias, sont arrivés. On dit une dernière fois au revoir à Jue et on s'installe dans le train à nos places attribuées. On est à côtés et sur les places pour 2. Donc on est tranquille. On est également face à la route donc moins de risques d'avoir un mal de transport.

Je profite de la Wi-Fi pour envoyer un message à Inox et Michou pour savoir si le 30 avril ils sont libre pour faire du shopping décos pour mon nouveau et premier studio à Webedia. Je coupe la Wi-Fi une fois le message envoyé et place mon casque sur mes oreilles pour écouter de la bonne musique et essayer de m'endormir car je suis épuisée. Avant de bien me caler, j'embrasse la joue de Élias qui me papouille mon bras gauche et je laisse mon ticket de train à Élias pour le futur contrôleur qui passera les demander. Je cale ma tête sur son épaule et ferme les yeux pour attirer la fatigue et le sommeil à moi.

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