27.
Mercredi 20 avril, Dole, Studio Jade, 15h30
Bon, comme vous l'aurez compris, ça fait 1 mois maintenant que je suis en studio et comme prévue, je dois le rendre sans rien laisser derrière. Élias est encore avec moi. Il veut m'aider à m'installer dans mon nouveau chez moi, pour de bon. Et pour le permis ? Je le passerais à Paris. Donc en vrai, si je le passe à Paris, j'arriverais à conduire partout ! Non ? Bref. Doigby m'a envoyé une remorque pour déménager au lieu d'appeler un camion. Surtout que j'ai pas de gros trucs. Et comme j'ai demandé une conduite accompagnée... je pourrais conduire et peut-être remplir mes 2000km plus rapidement. Enfin, je crois que c'est 2000km... je sais plus.
Moi : mon perroquet ?
Élias : hmm ?
Moi : c'est combien de kilomètres que je dois faire pour passer mon permis ?
Élias : j'crois que c'est 3000km... ouais c'est ça.
Moi : ah... et j'en ai fait que 58... j'ai encore de la route.
Élias : si on va à Toulouse un jour ça te fera des kilomètres en plus. Et c'est 1 an maximum. Si d'ici là t'as rien accompli bah... hum, hum...
Moi : gngngn...
Voilà. 3000km. Vous l'avez entendu. RAAAH !
Élias : on a finit ?
Moi : presque. Il reste plus qu'à placer les PCs et accessoires.
Il acquièce et me sourit. Je fis de même et on remonte les chercher. Chacun son tour au cas où qu'on veule me voler. Une fois descendue on range le tout et fermons le coffre et les portes arrières. On sangle et bache la remorque et je remonte avant de faire un dernier tour des lieux. J'éteinds tout et ferme la porte une fois vérifié. Je descends et dis au revoir pour la 2ème fois aux voisins. Je finis vers la concierge en lui donnant la clé et sors de l'immeuble le sourire sur les lèvres mais l'esprit rempli de chagrin.
Élias : t'es belle.
Moi : merci... toi aussi.
Élias : moi aussi je suis belle ?
Moi : pff...
Il me regarde de façon intensive.
Moi : toi aussi t'es beau.
Élias : ah je préfère ça. Allez, viens.
Il me tire vers lui et m'entoure de ses bras avant de m'embrasser. Il se détache de moi avant de humer mon parfum. Oui parce qu'on se les ai ré-échangé.
Moi : c'est fou comment tu peux être différent avec moi...
Élias : comment ça ?
Moi : bah en stream ou en caméras tu fais toujours le con ou tu parles différement. Avec moi, t'es plus posé. Tu parles bien sauf quand tu veux me rendre jalouse, la tu te transformes en con.
Il explose de rire dans mes oreilles. Je pouffe également.
Élias : merci ?
Moi : prend le comme tu veux.
Élias : merci. Bon, si tu veux qu'on arrive à Paris pas trop tard, il faut y aller. Surtout que tu conduis.
Moi : je conduis plus vite que toi !
Élias : bah justement t'es pas censée faire ça !
Moi : blah-blah-blah.
Il rigole me faisant sentir victorieuse. On s'installe en voiture une fois tout bien vérifié les attaches. Comme je n'ai pas encore eu l'occasion de connecter mon téléphone à la voiture, je le connecte sur mon enceinte Bluetooth et lance ma playlist "Titre Likés", comme ça je suis sûre qu'il y a de tout de dans. La playlist démarre sur du Yuzmv - DOCTEUR. Je suis adicte à cette chanson même si c'est du français. Je kiffe ce rappeur mais vu la chance que j'ai, je vais me taire sinon je suis capable de le rencontrer un jour. Ce qui en soit ne me dérange pas mais faut pas abuser.
Élias : on y va ?
Moi : YUP !
Il me regarde, des paillettes dans les yeux et se penche vers moi. Je le laisse faire. Il m'embrasse doucement et se replace sur son siège le sourire aux lèvres avant de chanter. Je le regarde en imprimant ce moment qui est juste magique et ferme les yeux pour inspirer un bon coup avant de me concentrer sur ce que je dois faire : conduire.
...
Moi : Élias...
Élias : hmm ?
Moi : tu peux conduire ?
Élias : c'est pas comme ça que tu vas faire tes 3000km.
Moi : mais je suis fatiguée... toi tu t'es déjà reposé ! Moi non.
Élias : heureusement que tu ne t'es pas reposée. Ta voiture n'est pas encore 100% automatique à ce que je sache.
Je le regarde en faisant, enfin, en essayant de faire mon plus beau regard. Puis je pense à une technique de Tik Tok. Je place ma lèvre inférieur sur ma lèvre supérieur et fronce légèrement les sourcils tout en le regardant droit dans les yeux. Il m'évite mais ne bouge pas. Je suis à deux doigts de sourire mais faut pas ! Faut pas que je craque sinon je devrais conduire. J'aime bien mais pas plus de 2h.
Élias : AAAH ! T'as de la chance qu'il reste que 1h30 sinon je me serai enfuit pour du covoiturage.
Je le regarde choquée. Mais genre vraiment. JE le suis vraiment. Comment ose-t-il dire ça ?
Moi : eh ! Avec quel argent tu payerais ? Espèce de babo, tss... (idiot)
Élias : quoi ? Pas beau ? C'est pas ce que tu disais. L'amour te rend aveugle.
Moi : babo ne veut pas dire "pas beau". Babo va ! Allez, on y va. Il est déjà 18h20. Si tu veux qu'on arrive avant 20h faut y aller.
Élias : "babo" ? Babo, babo, babo... babo ?! MAIS ÇA VEUT DIRE QUOI ?!
Moi : arrête de faire ton Inès !
Il rigole avant de s'inserrer dans la voiture, côté passager. Je penche la tête de côté en pinçant les lèvres et le regarde souffler, la tête baissée vers son téléphone. Il la relève, se demandant sûrement ce que je fabrique.
Élias : qu'est-c... ah oui. Pardon.
Moi : t'en as mis du temps dit donc ! Oh... haaa... TCHOOUU ! OH BORDEL DE MERDE !
Oh non ! Pas maintenant ! Pas là ! Je prends mon porte feuille et cours en enlevant mon sweat pour le mettre autour de ma taille. J'arrive aux toilettes et par chance il reste qu'un seul toilette. Je rentre de dans et cauchemar ! Je... l'odeur est horrible ! Mais je n'ai pas le temps de me plaindre. Il faut que je prenne du PQ ! Je détache mon sweat et l'attache pour m'en faire un masque je baisse mon pantalon et la culotte avant de mettre le papier toilette dedans. Je remonte le tout et ouvre la porte, mon sweat toujours sur la gueule. Je n'ai pas le temps de me laver les mains. Je défais pas mon sweat. On est sur une aire d'autoroute et à tout moment on peut me reconnaître. Et j'ai pas spécialement envie qu'on me voit acheter des serviettes de nuits.
Moi : pardon, excusez-moi. Pardon...
C'est bon ! Je suis passée. Je me dépêche d'entrer dans le petit Casino et je cherche le coin santé. BINGO ! Il est juste à deux rayons de l'entrée. Je trouve des Always et en prends 2 paquets, comme ça j'aurais encore plus de réserve que j'en ai déjà. Je pars payer. Il y a de la file. Oh merde. Il y a une femme âgée devant moi et un homme et son enfant j'imagine. Faudrais que je passe devant eux... ça va être gênant.
Moi : hum... excusez-moi ?
La dame : oui ? Oh !
Moi : hum... est-ce que je peux passer devant vous ? J'ai mes ragnagnas et j'ai rien pour le moment à part du papier...
La dame : oh oui bien sûr ! Allez-y. Demandez au monsieur.
Moi : oui merci. Euh, monsieur ?
Il se retourne. Woah... il fait flipper.
Moi : est-ce que je peux passer avant vous je n'ai que deux trucs et c'est pressant.
Le monsieur : non. J'étais là avant vous.
Moi : mais s'il vous plaît. J'en ai pas pour longtemps ! En plus je paye par carte en sans contact.
Le monsieur : toujours non.
Moi : mais__
Le monsieur : N. O. N.
Moi : putain.
Je le vois serrer sa mâchoire et me dévisager d'un regard noir. Regard de tueur. J'en aurai presque des frissons si il aurait fait nuit et qu'on aurait été seul.
La caissière : suivant !
Le monsieur : oui pardon.
Il pose ses courses sur le comptoir. Non mais c'est une blague ?! Il a 5 articles ! J'en ai que 2 ! Putain faut que je me calme. C'est pas du tout le moment de s'énerver.
Moi : mais merde ! Vous auriez pu me laisser passer ! J'ai que 2 articles !
Le monsieur : mais vous avez vos règles ou quoi ?!
Moi : oui. Oui je viens de les avoir et oui c'est pour ça que je voulais passer avant vous pour que je puisse aller régler mon problème !
La caissière : Jade, passe là. Je vais te payer.
Je me calme en entendant mon nom. Je passe devant le monsieur et son enfant qui m'a l'air d'être sourd vu qu'il n'a aucune réaction.
Moi : merci Manon.
Elle me sourit avant de scanner mes articles. Elle me passe ensuite le boîtier de CB et je passe ma carte bleue. Je la remercie et la salue avant de repartir au toilette, espérant qu'il y est de la place.
Je remets mon sweat autour de ma taille et traverse la même foule que tout à l'heure. Je pense que c'est une sortie de personnes âgées vu qu'ils sont en groupe et portent des brassards. J'arrive aux toilettes et il y a personnes qui fait la files ! J'entre dans le premier WC et il est PROPRE !
Moi : fooouuu... Élias il doit s'impatienter...
Je fais ce que j'ai à faire et par chance il ne s'est rien passé. Je ressors et me lave les mains.
*TILULU, TILULU*
Je me sèche les mains le plus vite possible et et décroche sans même regarder qui c'est.
*APPEL INCONNU*
Moi : oui ?
L'inconnue : Jade t'es où ?! Je te cherche partout depuis au moins 30 minutes !
Moi : Élias ! Désolée, j'ai eu un problème urgent quand j'ai éternué, j'arrive.
Élias : raah... t'es sah ?
Moi : pardon. T'es où ?
Élias : devant la supérette.
Moi : ok. On se rejoint à la voiture parce que je suis à l'autre bout.
Élias : hmm... ok. À toute suite.
*FIN D'APPEL*
Je me dépêche de le rejoindre et une fois arrivée, je le vois adossé à la voiture le regard sérieux accompagné de son sourire moqueur.
Moi : t'as fait vite.
Élias : ah ça c'est sûr contrairement à toi.
Moi : oui bah désolée, j'ai eu un problème que je ne pouvais pas régler.
Élias : t'as tes...
Moi : oui. C'est pour ça que j'ai disparu. OH PUIS t'aurais été mort de rire parce que je suis rentrée dans une cabine où les chiottes étaient pleine de merde ! J'avais envie de gerber.
Il éclate de rire avant de me prendre dans ses bras et m'embrasser.
Élias : quand tu t'es mis à courir j'y ai pensé. Je me suis dit que ça avait peut-être débarqué ou bien tu avais eu une énorme envie de chier.
Moi : je me serais mise à rire si ça aurait été le cas.
Élias : ah ouais ?
Moi : je pense. Parce que la situation aurait été ridicule.
Élias : d'accord. On y va ? Parce que j'ai regarde le GPS, et on y arrive à 20h30 si tout se passe bien.
Moi : ah. Bon bah go. Hésite pas à rouler vite comme ça on gagne des minutes.
Élias : et qu'on finisse comme Toma qui roule à 200 à l'heure et se fait arrêter ?
Moi : non mais quand même pas. AH ! T'as enlever le "Conduite Accompagnée" ?
Il hoche la tête et me fait comprendre de monter dans le carrosse. Je m'attache et ferme la porte. Il me regarde une fois lui aussi tout bien réglé le siège et commandes.
Élias : attachée ?
Moi : ui. Et rien oubliée !
Élias : parfait. Alors, on y go !
Je souris heureuse malgré mes règles arrivées.
...
Paris, Rue ***, 20h30
Élias : Jade. Arrête de somnoler. On vient d'arriver. On est devant l'immeuble.
Moi : ok. On est garé ?
Élias : bah ouvre les yeux.
Je réalise que je suis réveillée mais qu'effectivement je n'ai même pas pris la peine d'ouvrir mes paupières... honte à moi. Donc, je les ouvre. Je m'habitue à la lumière et le regarde en clignant des yeux et en m'étirant.
Moi : pourquoi on est sur un parking ?
Élias : tu crois vraiment que Doig et Gotaga t'auraient offert un appartement sans parking ?
Moi : ... oui, bon ça va. Je savais même pas qu'à Paris il y avait des parkings. Des vrais.
Il rigole et je l'accompagne avant de me détacher et d'aller me dégourdir les jambes hors voiture.
Moi : WOAH IL FAIT FRAIS !
Élias : gueule pas comme ça. Tu sais on est au combien-t-ième ?
Moi : au 4ème étage. Par chance il y a un ascenseur... OH ! T'as déjà enlevé la remorque ?
Élias : oui. Un monsieur m'a aidé à la transporter à côté.
Moi : donc on a plus qu'à monter les meubles ?
Il acquièce.
Moi : bon. Je sors la clé comme ça je ne galèrerais pas avec les cartons. On commence par quoi ?
Élias : PC. Moins de risque de te les faire voler.
Je pouffe. J'ai remarqué que je pouffe souvent moi ! Bon, je vous reparle une fois tout les meubles montés !
Paris, Appartement Asaru, 21h05
Élias : c'est bon ?
Moi : oui ! On a tout fini de monter !
Élias : parfait ! Merci Jean de nous avoir aidé.
Jean : oh mais c'est normal ! C'était mon métier avant. Et comme je vous l'ai dit, je suis à la retraite donc quoi que vous voulez, n'hésitez pas à venir me déranger. De toute façon, je m'ennuie.
Moi : d'accord c'est noté. Au revoir !
Jean : bonne continuation !
On part bras dessus, bras dessous en direction de l'ascenseur. Oui parce qu'on a plus tellement de jambes.
Moi : dans chaque immeuble où je vais, il y a toujours une personne super adorable ! Entre Lucette, la concierge où j'ai oublié son nom et Jean, on les met tous ensemble ils vont faire que s'entendre !
Élias : bah c'est bien non ?
Moi : oui ! Allez. Les portes, ouvritus !
Élias : "ouvritus" ?
Moi : j'ai jamais fait latin. Donc j'invente. Logique.
Il hausse les épaules et les portes s'ouvrent. On sors et arrivons devant l'appartement je l'ouvre pour la dernière fois de la soirée et on s'y engouffre. On se déchausse et comme on a déjà enlevé nos vestes tout à l'heure, on se dirige direct vers le salon.
ROOM TOUUUUUR !!! Sachez, en premier lieu, le couloir est rempli de carlage donc il fait frais et ça fait vraiment riche. Genre, sol noir et mur plus plafond beige-gris. Sur le mur de gauche un long miroir accroché s'arrêtant juste devant ma porte gris-foncé. Avec, sans oublier les lampes de riches, faut pas s'étonner, nous sommes dans un quartier de bourges. SO ! La porte d'entrée se trouve dans un petit coin à gauche de l'ascenseur. La porte s'ouvre de l'intérieur menant directement sur un sol bien différent. Un parquet marron clair et lisse, tout lisse. À droite de la porte un rangement pour chaussures et vestes. Juste à gauche et donc en face du rangement, la table à manger, pour 6 personnes. Les murs sont tous blanc, sauf dans les salle de bains et cuisine. Ensuite vient le salon, qui est juste en face de nous lorsqu'on rentre. Bon, j'avoue, c'est pas tout à fait en face vu que la porte d'entrée est tout à droite de vue du salon, mais on le voit quand même. Je disais donc, le salon est illuminé par une baie-vitrée menant sur un grand balcon en béton qui donne également sur la chambre principale (P) avec petite salle de bain y compris. En y ressortant on arrive donc dans le salon. Juste à gauche, puis encore à gauche il y a la cuisine assez spacieuse pour 3 personnes. Carrelage gris foncé, cuisine blanche, mur gris foncés. Le mur de droite est blanc et arrondi au coin entre l'entrée de la cuisine et le coin rangement chaussures. Ceci, était la première partie. On revient à la porte d'entrée. On part à gauche puis encore à gauche. Un petit couloir. 2 portes noires à droites. Première, WC, deuxième lavabo et douche. En face de la première porte un petit coin rangement. En avançant de 3 pas, on arrive sur deux portes. Porte verticale à gauche se trouve une deuxième chambre (S). 3 garndes fenêtre allant du sol au plafond éclaire la pièce. 2 à gauches, 1 à droite. Et dans la troisième chambre (I) 2 fenêtre, les mêmes mais au milieu. Voilà, on a fait le tour.
Élias : tu veux qu'on installe le studio ?
Moi : bah en soit, il y a juste à pousser le lit et installer le bureau et ordi, chaise.
Élias : ... donc tu veux ?
Moi : oui. Chambre S !
Élias : ok.
On traîne les cartons jusqu'à la chambre et pendant qu'il emmène le bureau et le fauteuil, je pousse le lit contre le mur d'en face en horizontal. Il revient avec le tout et on commence à tout installer. On branche le tout et je pars installer la box Wi-Fi dans le salon. Ensuite je récupère mes cartons et ma valise de vêtements que je range dans l'armoire de la chambre. Une fois tout fini j'installe le reste comme je veux l'installer car c'est mon appartement ! Héhé...
Élias : ah tu l'as mis là, la Wi-Fi ?
Moi : oui. Comme ça il y a aussi dans la chambre et à la cuisine.
Élias : bon après, c'est vrai qu'elle est puissante donc ça ira. T'as faim ?
Moi : un peu. Mais on a rien à manger.
Élias : t'inquiète ! On a qu'à manger japonais.
Moi : et ton régime ?
Élias : demain je reprends.
Moi : hmm... ok.
Il commande des sushis et makis plus deux soupes miso et 2 petits bols de riz.
La commande arrive en 10 minutes et on s'installe directement pour manger. Une fois le repas pris avec "Capitaine Marleau" à la TV, on part se coucher à 23h30 étant claqué de la grosse journée d'aujourd'hui. Je me couche la prmière côté fenêtre et Élias me rejoint en se collant à moi. Je me retourne pour pouvoir le serrer dans mes bras et m'endormir plus rapidement.
Élias : tu dors ?
Je réponds pas.
Élias : Jade. Mon perroquet ?
Moi : hmm ?
Élias : tu m'as pas dit "bonne nuit".
Moi : ah. Bonne nuit.
Je lui embrasse son torse comme signe de désolé mais il n'a pas l'air satisfait car il m'écarte de lui et me replace tout près de sa tête. Je le vois froncer les sourcils.
Élias : pas comme ça.
Il regarde ma bouche, puis mes yeux. Il fait ça plusieurs fois lentement avant de venir écraser ses lèvres aux miennes. Il se sépare de moi avant de me remettre comme j'étais. Il m'embrasse le haut de ma tête et me chuchote quelques mots.
Élias : bonne nuit mon perroquet. Je t'aime.
Et bah là t'es sûr que je vais avoir du mal à dormir.
Élias : merci pour le vent.
Je le sens se retenir de rire. Je sens juste son ventre bouger. Après quelques secondes, je décide de lui dire aussi.
Moi : je t'aime aussi mon perroquet... t'as pas intérêt à merder avec moi sinon t'auras à faire à monn père...
Élias : wallah.
Je souris. Je pris intérieurement qu'il ne me fasse aucun mal. Que ce soit physique ou conjugale. Mais pour le moment, je ne peux que vivre le jour le jour car on ne sait pas de quoi est fait demain. Sur ce, faîtes de beaux rêves et bon réveil à vous. Bisous !
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