2 : Réalisation
Ada courut dans l'atelier de son papy et chercha ce dont elle avait besoin, mais malheureusement, les pinceaux étaient abîmés et il n'y avait plus de toile ni de peinture, tout ce qu'il restait était le vieux chevalet de son grand-père.
Elle se dirigea alors vers sa chambre et chercha son aquarelle, mais encore une fois il manquait beaucoup de couleurs dans la palette. De plus, elle n'avait pas d'argent pour acheter le matériels nécessaires. Elle se mit alors à déprimer, si elle avait de l'inspiration mais pas de matériels, sont projet tombait à l'eau...
Au même moment, la porte d'entré claqua et elle entendit son grand-père rentrer de sa baignade matinale. Penaude, elle traversa le couloir menant à la salle à manger et s'installa mollement sur l'une des chaises en face de son papy.
Ce dernier, voyant que quelque chose n'allait pas, engagea la conversation :
«- Alors ma puce, qu'est ce que tu as fait ce matin ? Ne me dit pas que tu es juste allé chercher des galettes bretonnes pour ton vieux papy ?
- Bah... Je suis sortie pour essayer de trouver l'inspiration, j'ai regardé la mer, traverser le marché mais... ça n'a rien donné... Dit elle en remuant sa cuillère dans son bol de céréales.
- Mais voyions Ada, ça arrive à tous les artistes d'avoir une panne de créativité ! Il ne faut pas t'en faire, ça viendra avec le temps !
- Bah justement, j'ai trouvé l'inspiration en me baladant l'atelier mai-...
- Mais c'est une bonne nouvelle ça ! Alors pourquoi tu fais la tête ?
- Il n'y a plus ni peinture, ni toile ou encore pinceaux en bonne état dans la réserve et je n'ai pas asser d'argent pour en acheter...
- Oh... Je vois, tu aurais pu me le dire avant, soupire le vieille homme en cherchant quelque chose dans sa poche. Tiens vas !»
Tout en disant cela, il posa un billet de 50 euros sur la table.
«- Mais papy, c'est trop ! Je ne peut pas accepter ça !
- Si tu vas l'accepter !
- Mai-...
- Il n'y a pas de "mais" qui tienne jeune fille, maintenant file !»
Voyant qu'il n'y avait pas à discuter et trop heureuse de pouvoir s'acheter le matériel nécessaire, elle enfila vite fait son manteau et mis une écharpe avant de lacer ses bottes.
Elle claqua la porte et se mit a courir dans la rue et s'arrêta à une petite échoppe d'art dans la rue commerçante. Elle rentra dans le magasin, essoufflé, mais elle se mit directement a chercher de l'aquarelle et des pinceaux neuf. Ne trouvant pas de toile, Ada se renseigna directement au commerçant qui lui vendit la toile, les pinceaux et l'aquarelle pour un prix plus que raisonnable.
Ensuite elle rentra chez elle rendre l'argent à son papy et posé son attirail. Elle prit également le temps qu'il fallait pour avoir le schéma du message qu'elle voulait faire passez. Elle décida donc de parler d'un sujet écolo par rapport à l'électricité : elle attendrait la nuit et peindrait la grande roue de Trouville qui brillait jusqu'à tard le soir. Elle décida donc qu'à 23h30, elle irait la peindre.
Elle fit plusieurs siestes dans la journée pour être sûr de faire une bonne peinture une fois la nuit tombée.
Quelques heures plus tard...
Chevalet, toile, pinceaux et aquarelle dans un sac, Ada se dirige vers la plage où les touristes étaient encore présent après 23 heure passé. Elle trouve un coin à l'abri des regard avec tout fois une belle vue sur la grande roue encore en activité.
Elle installa le chevalet et positionna la toile dessus. Elle sortie son crayon a papier et commença à schématiser son idée sans ommettre la bouteille avec a l'intérieur la grande roue presque plongé dans le noir. Elle était présente pour signaler qu'il s'agissait d'un message.
Ensuite, commença le vrai travail : la peinture. Ada s'appliqua en exerçant son art et quand elle eut finit, elle fut contente de son œuvre.
Elle la prit en photo, rangea le chevalet, les pinceaux et l'aquarelle. Et sortie en petit bout de papier ou elle écrivit son message sur l'écologie.
Crevé, elle scotcha le papier, pris son enorme sac en toile et la peinture dans ses mains. Il était plus de minuit et son grand père allait s'inquiéter. Elle marcha jusqu'à la grande roue où elle posa sa toile avant de disparaitre dans la nuit.
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