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J'ouvre un livre, "Les proverbes grecs tome 1" intéressant non? Dedans j'y lis

<< L'amitié ne connaît ni feinte ni déguisement, tout y est sincère, tout part du cœur. >>

Je referme le livre d'une manière violente. Non mais sérieusement vous y croyez? Je déteste ce genre de citations puériles qui se fiche du monde actuel. Je vous le dis, dans le monde d'aujourd'hui, l'amitié n'existe plus ou du moins elle est très rare! Et je ne voudrais jamais au grand jamais avoir une personne près de moi que je considère comme un ami.

Voilà pourquoi je reste seul, assit sur un banc dans un parc, je m'égare alors en pensant à moi. Je me sens très différent, je vois les gens heureux .. qui ne se soucie de rien. Mais moi qui suis-je au fond pour paraître si différent des gens normaux ? Tout ce que je sais de moi, c'est que je suis un homme du nom de Damien , grand d'1m80 , rêveur et très peu prometteur pour l'avenir. Parfois j'arrive quand même à cerner le fond de mon problème, à s'avoir pourquoi je suis aussi bizarre aux yeux des autres. je ne parle absolument jamais, je pense. Ma tête, c'est un peu comme mon chez moi.Mais penser de trop à un rythme élevé sans jamais ouvrir la bouche, provoquer chez moi, un toc (trouble obsessionnel compulsif). Je serre ma main droite plutôt violemment et pour cacher ce trouble , j'ai toujours dans ma main une petite balle noire en mousse qui s'use avec le temps.

Honnêtement, si je m'exprime devant vous, c'est sûrement que vous êtes dans ma tête.

Devant moi, je vois alors un groupe de garçons qui marchent lentement en parlant de manière bruyantes et en se tapant affectueusement .. voilà, je viens d'oublier à quoi je pensais. Ils sont pathétiques, mais ne me juger pas ! je peux bien rire et penser ce que je veux après tout, vous seul êtes dans ma tête. Enfin, je prends mes affaires, me lève et rentre chez moi.

Je ne suis pas souvent chez moi, seulement pour dormir et manger de temps en temps. Mes parents ne sont jamais la, à cause de leur travail. Ils ont un employeur depuis 3 ans maintenant. Une vieille femme qui s'occupe de ma petite sœur très souvent, Margaret . Je passe par mon chemin habituel, d'abord la grande bibliothèque qui orne la place de la ville puis la boulangerie du côté droit. La boulangerie passée, je fais 12 pas précis pour arriver devant la porte de mon immeuble, j'ouvre la porte, je prends le courrier, rien. Me voilà devant les marches. Je pose le pied sur 48 marches avant d'arriver en 3 pas à la porte d'entrée de chez moi. Juste avant d'ouvrir je souris bêtement tout seul quelques instants en me disant que j'aime être aussi précis dans ce que je fais, il n'y a que que dans ce genre de moment que je ne sers pas bêtement ma petite balle noir . j'ouvre et j'entends dans le salon trois voix dont une n'est pas inconnue. Je referme délicatement la porte et m'apprête à monter à l'étage, quand j'entends ma mère qui m'appelle. Je redescends les quelques marches et j'arrive à l'entrée de la salle à manger, j'y vois ma mère, mon père et une jeune fille qui sourit étrangement.

Je m'attarde sur la jeune fille et regarde un instant, mon dieu mais qui est-elle. Elle me fait peur avec son sourire, ses dents pointues et ses yeux verts pétillants. En évitant de regarder son visage de nouveau, je remarque qu'elle est vraiment très grande, ses jambes sont fines et décorer de collant jaune à rayures noires. En remontant un peu je vois qu'elle porte un mini-short avec un imprimé du drapeau américain et un t-shirt rose avec un imprimé licorne. Voilà maintenant quelque minute que je comprends qu'elle et le style, ce n'est pas une grande histoire d'amour. Depuis tout à l'heure alors que je regarde, ma mère n'arrête pas de brailler des mots incompréhensibles et tout le monde à l'air de l'écouter et la comprendre. C'est à cet instant que j'entends"C'est donc pour cette raison que cette jeune fille sera la nouvelle baby-sitter de ta petite sœur". je baisse la tête en pressant ma balle et en me posant quelques questions sur cette chère Margaret. Mais encore une fois je ne dis plus rien, j'hoche simplement la tête et je me retire de la salle à manger sous le regard de mon père, ma mère, et cette .. idiote au sourire un peu trop présent.

5 pas avant d'arriver dans ma chambre, j'entends quelque chose de faible pleurer, ma petite sœur. C'était bien la première fois de ma vie que j'entendais ce genre de pleure .. d'habitude elle pleurniche pour obtenir quelque chose de Margaret, autrement elle est toujours contente et très énervante. Je me doutais bien de la raison pour laquelle elle pleurait seule dans sa chambre, mais je ne suis pas doué pour réconforter ma petite sœur, je ne m'en occupe jamais. Alors, je me lève et je retourne dans ma chambre. Une fois mes affaires poser je prends un petit papier blanc avec dessus écrit de ma main gauche '' je sais qu'elle te manque, et elle me manque aussi. Mais je suis la moi ". j'hésite à glisser sous la porte, je me dis que de lui écrire que je suis là pour elle n'est pas vraiment vrai. C'est triste à dire, mais ma petite sœur est un peu comme une inconnue à mes yeux .. sauf que, quand j'entends ses larmes je ne peux m'empêcher de les comparées aux miennes et je sais que quand je suis triste , tout ce que je souhaites c'est que quelqu'un, n'importe qui, essaye de me comprendre.

je glisse enfin ma feuille en dessous de la porte et j'attends assit devant pendant quelques minutes avant de voir la poignée de la porte bouger et s'ouvrir avec derrière ma petite sœur, sa peluche à la main qui ne dit pas un mots . c'était la première fois que je la voyais ne rien dire en pleurant, je prends délicatement sa petite main dans la mienne sans trop la serrer et je me relève pour l'emmener dans le salon. en descendant les marches elle tenait ma main l'air septique, je sentais sa peur en moi, mais arriver à l'entrée du salon .. la jeune fille au sourire idiot devant d'un coup étrangement calme et une tendresse immense se dégageait de ses yeux, j'ai sentie la peur de ma petite sœur s'envoler. toutes les deux se sont pris dans les bras et je suis reculé, en jalousant de manière égoïste la jeune fille. mais comment elle peut-elle se permettre de faire ça, elle ne la connait même pas ! c'est moi qui devrais réussir à rassurer ma petite sœur, merde.Encore une fois je ne parle pas, je change de sens et je reviens dans ma chambre après avoir tapoté gentiment la tête de ma sœur que j'entends rire derrière moi.

Quand je m'assois sur mon lit j'ai juste devant moi une fenêtre avec vue sur une grande colline, sur cette colline un châteaux abandonnés. Il est la depuis des lustres et personne ne la jamais rénover, c'est un peu l'emblème de notre ville. Mais ce soir il fait gris, les nuages ​​ronchonne et la pluie ne va pas tard à arriver, tiens voilà qu'est-ce que je dis! il pleut. Je ferme alors mes volets et j'allume la lumière de ma chambre, il suffira de quelque minute pour que l'averse arrive et que le vent souffle très fortement. J'entends alors toquer à la porte, j'ouvre doucement et je vois ma mère, elle m'explique qu'elle doit partir avec mon père pour le week end et que la jeune fille que j'ai vue tout à l'heure restera s'occuper de ma petite soeur. Cela m'était égal, mais c ' est quand elle m'a expliqué que cette idiote allaitant dormir ici ce soir à cause de l'averse, que j'ai maudit le temps d'exister. comme d'habitude je ne réponds rien et j'hoche simplement la tête en refermant la porte, puis je me rassois sur mon lit et je serre ma balle, la musique dans les oreilles. Entendant faiblement le bruit de la voiture de mes parents, partir en cavale.

Margaret, tu me manques. Parfois je me demande pourquoi j'ai réussi à m'attacher à toi .. tu n'avais rien de très spécial, tu t'occupais simplement de nous quand il fallait et avec le sourire. Au fond si je dois écouter mon cœur je dirais que je ne regrette absolument pas que tu sois devenu mon amie .. oui mon amie. C'est seulement maintenant que je viens de m'apercevoir que j'en avais une et tu étais bien la seule personne que j'ai réussi à considérer comme telle. J'espère juste que cette fois, tu est la plus heureuse Margaret au monde.

Malheureusement, toute cette histoire ne fait que confirmer mon hypothèse. L'amitié, fait toujours mal un moment ou un autre.

C'est alors que j'entends un cri fort d'une petite fille et un coup de feu ..

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