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Chapitre 4

Izuku et les enfants avaient repris la voiture pour se rendre directement à leur camping, sans pause ou surprise qu'Izuku aurait pu avoir pour faire plaisir à ses enfants. Il était tellement heureux que celle-ci est marché qu'il laissait, sans réellement le savoir, un sourire sur ses lèvres qui ne faiblissait pas, et qui rehaussait ses pommettes tachetées.

La musique dans l'automobile jouait doucement en fond sonore, agitant les quelques hauts-parleurs présents dans l'habitacle, et ses enfants à l'arrière regarder les quelques mouettes qui passaient au-dessus de leur voiture, par leur fenêtre respective, due au fait qu'ils longeaient les routes aux abords de la mer.

Voilà que leur premier jour en vacances commençait, et il ne pouvait pas mieux débuter.

Après quelques minutes en voiture, Izuku pu enfin voir le panneau de leur camping, visible depuis les quelques mètres qui les séparaient, et il en fut dotant plus rassuré en se rendant compte du nombre d'étoile qui y séjournaient, qui était enfin de compte une réponse à son questionnement au niveau de la sécurité, dont il avait eut quelque doute avec les photos présents sur le site, mais qui semblait ainsi se confirmer devant ses yeux.

Il ne voulait pas que ses enfants soient mis en danger par un manque d'attention, et regardait alors minutieusement toutes les infos qu'il pouvait trouver à chaque sortie qu'ils faisaient, en se marmonnant le pour et le contre du lieu, qui remportait le plus souvent sur le pour, quand ses enfants le supplier d'y aller.

Ici, il ne devait pas avoir trop de risque, et il s'en était senti soulagé quand il avait vu et lu les nombreux commentaires de famille qui faisait les éloges du camping pour les enfants en bas âge. Il n'avait ainsi pas pu résister à réserver deux semaines dans ce même lieu, certain qu'ils s'amuseraient tous, et qu'aucun problème ne devrait pointer le bout de leur nez.

Sa joie et son excitation grimpèrent alors en flèche quand il entra le code du portail du camping sur un petit boîtier aux quelques touches numérotées, qu'il avait reçu par message sur son téléphone lors de sa réservation, et son estomac se tordit d'empressement quand il vit en même temps que ses fils, la barrière se lever devant eux, accompagner par le cri de victoire de ses deux enfants derrière lui qui n'avait pas manqué une seule seconde du spectacle.

Il entreprit alors de se garer sur le premier parking qui s'offrait à lui, et descendit de la voiture, sans sentir ses jambes légèrement trembler par cette excitation qui ne voulait pas s'affaiblir en lui. Il fit donc descendre également Hiro et Jun qui n'attendait que ça, et ils se dirigèrent tous les trois vers l'accueil pour récupérer leur clé de bungalow, dont la gentille dame de l'accueil les avait bien accueillis, et qui n'avait pas pu résister à offrir des bonbons de bienvenus à ses fils qui ne voulaient pas perdre leur grand sourire.

Ils reprirent ensuite la voiture pour se diriger calmement vers leur lieu d'habitation pendant deux semaines, Izuku faisant bien attention aux piétions et aux virages assez secs, et atteignirent ainsi rapidement leur lieu de vie, dont les garçons s'empressèrent d'aller visiter, une fois Izuku les avoir fait descendre de la voiture, et ouvert la porte du bungalow avec la clé qu'on lui avait remis quelques minutes plus tôt.

Izuku ne put que rigoler face à cette scène, alors que lui même regarder avec émerveillement ce bungalow qui n'était pas si grand, comportant seulement une chambre parental, et une chambre d'enfants avec deux lits simples, une salle de bain et un toilette où on ne devait pas faire de grands mouvements, puis une seule pièce qui réunissait salon, cuisine, et salle à manger, avec en prime une terrasse surélevé, par laquelle il fallait passer pour pouvoir entrer à l'intérieur.

Cela était plus que suffisant pour eux, et le camping était équipé d'une piscine extérieur et intérieur, qui pourrait facilement les ravir s'ils voulaient passer du temps autre que dans leur bungalow.

Izuku cachait donc ainsi tant bien que mal son rire alors qu'il voyait ses deux fils essayer leur lit, déjà décidés sur qui prenait celui près de la fenêtre, et qui près du mur, et Izuku entreprit donc de défaire leurs valises en allant les chercher dans leur voiture, tout en entendant les rires de ses garçons.

Il ne s'attendit pas alors à Hiro qui vint le rejoindre avec son ballon dans les mains, pour lui demander s'il voulait bien aller les laisser jouer tous les deux au ballon, dans le camping, près des terrains qu'ils avaient tous les deux aperçus à leur arriver, leurs jambes frétillant déjà d'impatience, et le sourire aux lèvres.

Izuku ne put alors pas résister à leurs yeux brillants d'espoir, et leur répondit le plus sérieusement possible :

- Si vous voulez, vous faites bien attention sur le chemin, restez bien sur le terrain, et ne suivaient pas les inconnus, même si on vous propose quelque chose en échange d'accord ?

Il fut donc ainsi ravi de les voir acquiescer tous les deux de la tête, et leur souhaita de bien s'amuser, en les regardant courir tous les deux ensemble vers les terrains, se tenant tous les deux la main pour ne pas se perdre.

*

Voilà quelques minutes que les enfants jouaient ensemble, et sans vraiment faire attention, Jun était tombé par terre après s'être fait un croche-pied à lui tout seul, et saignait des genoux, alors qu'il pleurait à chaudes larmes et que son frère essayait de le réconforter comme il pouvait.

Pourtant, il ne se souvenait plus du chemin prit pour rejoindre leur papa, et seul Jun aurait pu l'aider, car il retenait toujours tout, mais celui-ci pleurait trop pour l'écouter, et cela l'agacer un peu d'être aussi impuissant pour son frère qui semblait avoir vraiment mal.

Alors en se relevant et en prenant la main de son frère dans la sienne, Hiro entreprit alors de trouver quelqu'un qu'ils avaient déjà peut-être vu pour les aider, même si son papa lui avait dit qu'ils ne devaient pas suivre des inconnus. Son frère était blessé, et il ne voulait pas le laisser ainsi, alors qu'il s'était éraflé les genoux.

Il chercha alors dans les petits chemins du camping quelqu'un en qui il pourrait avoir confiance, et trouva au loin une chevelure blonde qu'il reconnaissait comme étant celui des toilettes lors de leur pause avec leur papa sur l'aire d'autoroute, et couru presque vers lui, toujours en tenant son frère d'une main, et de l'autre son ballon, qu'il ne voulait pas perdre.

Une fois arrivés devant lui, et que celui-ci les remarqua en haussant un sourcil, et ses mains dans les poches, Hiro prit son courage à deux mains pour dire le plus clairement possible et distinctement :

- Vous pouvez nous aider monsieur, s'il vous plaît ?

Le monsieur devant lui, lui faisait presque peur avec son regard fermé, mais il était vite rassuré par cet air nonchalant qu'il portait, ainsi que la couleur de ses cheveux et de ces yeux qui étaient semblables aux siens.

- Vous êtes les mioches de l'aire d'autoroute, qu'est-ce qui se passe ?

Hiro en fut ainsi soulagé alors que le monsieur devant lui avait une voix plus douce qu'il ne l'avait imaginé, et que celui-ci avait enlevé ses mains de ses poches pour venir descendre les quelques marches qui les séparaient, pour se rapprocher d'eux et se mettre à leur hauteur, en se mettant accroupi, tout en fixant d'un œil Jun qui n'avait pas cessé de pleurer.

- Mon frère est tombé, et on trouve plus le chemin jusqu'à papa, dit alors Hiro d'une voix qu'il ne voulait pas faire trop enfantin devant ce monsieur qui l'intimidait tout de fois quand même un peu.

- Rentrez à l'intérieur alors.

Il commençait à se lever, et Hiro ne le suivit pas, tenant plus fermement la main de son frère qui cachait ses yeux de son bras, et dit aussitôt haut et fort, pour se faire entendre :

- Papa nous a dit de ne pas suivre les inconnus.

Le monsieur s'était alors arrêté dans sa marche, le regardant alors d'un œil suspicieux, sans bouger, alors qu'Hiro était un peu stressé, et que Jun s'était arrêté de pleurer, sans tout de fois enlever son bras devant ses yeux.

- Tch, ne bougez pas, j'arrive.

Hiro en fut soulagé, et ne put retenir un souffle s'échapper de ses poumons, alors qu'il avait retenu sa respiration sans s'en rendre compte, et il observa cet homme rentrer à l'intérieur de son bungalow, et d'en ressortir avec une boîte rouge dans les mains.

- Viens t'asseoir, dit alors l'inconnu en s'asseyant lui-même sur les marches de sa terrasse, et en désignant une place à côté de lui qu'il avait laissé pour Jun, à qui il s'était adressé, et qui avait enlevé son bras de ses yeux pour regarder celui qui lui avait adressé la parole.

En regardant une fois son frère pour savoir si c'était une bonne idée, il s'avança doucement vers lui, les bras pliés pour se protéger un minimum, et prit place sur une marche, sous l'œil de son frère qui ne les lâchait pas du regard, faisant bien attention à la sécurité de celui-ci.

- Ça va un peu piquer.

L'homme avait d'abord enlever les quelques cailloux qui étaient présents dans la blessure de Jun, avec une pince qu'il avait pris dans la boîte, le plus délicatement qu'il pouvait, et avait ensuite verser un peu d'eau pour nettoyer tout le sang qui avait coulé de la blessure, avec une bouteille d'eau qu'il avait ramené avec lui, et avait désinfecter les genoux de Jun, pour poser ensuite dessus, une légère compresse de crème cicatrisante, qu'il avait couper avec un ciseau qui se trouvait également dans la boîte.

- Voilà, c'est fini.

L'homme s'était redressé, et sans réellement savoir pourquoi, passa une main dans les boucles vertes de Jun pour le rassurer, tout en lui offrant un léger sourire dont il n'avait pas l'habitude d'adresser, que Jun lui répondit aussitôt à sa vue, en deux fois plus grands, avant de lui demander :

- Je peux te faire un câlin de merci ?

- Abuse pas non plus.

Mais celui-ci ne put pas résister plus longtemps à la vue de Jun qui fit soudainement une moue boudeuse, en croisant ses bras et en ne le lâchant pas des yeux, et fronçant ses sourcils, avant de remettre en place un sourire sur son visage, quand finalement l'inconnu ouvrit légèrement ses bras en soufflant, et qu'il se jeta à l'intérieur, se trouvant étrangement tout de suite en sécurité.

Hiro était content que son frère aille mieux, et ne put que remercier le monsieur qui les avait aidé, en lui offrant aussi un sourire, et en se baissant avec respect.

- Vous voulez manger quelque chose les mômes, en attendant votre père ?

Hiro et Jun voulurent refuser, en sachant très bien ce que leur papa leur avait dit avant de partir, mais acquiescèrent tout de même, sachant que l'inconnu n'avait pas hésité à les aider, et qu'il était ainsi presque digne de confiance, alors que celui-ci repartait dans son bungalow pour revenir avec deux compotes en gourde, qui semblait sortir du frigo.

Celui-ci se remit à sa place près de Jun qui avait tout de suite tendu ses bras au vu de ce qu'il leur rapportait, et Hiro, un peu soucieux, s'avança pour se mettre une marche en dessous du blond cendré comme lui, entre ses jambes que celui-ci avait écarté, dos à lui, pour venir poser sa tête sur sa jambe gauche plié à hauteur de son visage, alors qu'il mangeait sa compote avec envi, qu'il avait finalement aussi accepté.

- C'est quoi vos noms ?

- Moi, c'est Jun Midoriya, s'écria-t-il sans hésitation et avec enthousiasme, en accompagnant cela à un sourire qui lui mangeait les joues.

- Hiro Midoriya, fit son frère plus calmement.

- Bakugo Katsuki, répondit alors le deuxième blond cendré, sans attendre de réponse et ne se faisant pas de réflexion sur ce nom de famille qui lui rappelait vaguement quelque chose, et Hiro lui répondit ensuite :

- Enchanté, alors qu'il sentit suite à ses paroles, une main se poser sur sa tête, après que Katsuki ait bien vu le regard quelque peu jaloux de Hiro, suite au câlin qu'il avait fait avec Jun quelques minutes plus tôt, alors que lui n'avait pas eu de moment d'attention.

- On va attendre votre père ici, déclara ensuite Katsuki, tout en faisant bien attention que personne d'autre ne s'approche des garçons un peu trop à son goût, s'assurant qu'il soit en parfaite sécurité avec lui, quitte à dévisager tous ceux qui les regardai.

*

Izuku était en panique, voilà presque une heure qu'il avait fini de décharger leurs affaires et de les ranger dans les casiers de rangement qui se trouvait dans le bungalow, et maintenant qu'il voulait voir ses fils, ils n'étaient plus là où ils étaient censés être, et avaient complètement disparus.

Il avait même demandé à quelques passants s'ils avaient vu des enfants pas plus haut que le haut de sa jambe, l'un d'une couleur cendré et l'autre verte, ensemble, car ils savaient qu'ils ne se séparaient jamais, et personne ne lui avait répondu par l'affirmative.

Et le voilà ainsi, maintenant, à crier leur nom en portant ses mains à sa bouche pour espérer faire un peu plus de bruit, en la portant un peu plus loin, même si tout le monde le regardait, et que tous ces yeux le mettait peu à peu mal à l'aise, et qu'il s'essoufflait à force de courir et crier, en espérant retrouver ses garçons.

Il perdait peu à peu espoir pendant que les minutes passaient, et ses poumons lui faisaient souffrir, ainsi que ses yeux qui commençaient petit à petit, à se remplir de larmes, sous le coup de la panique.

Puis soudainement, il entendit :

- Papa !

Immédiatement, son corps se tendit sous la surprise, et presque aussitôt, il se retourna pour voir Jun penché sur ses orteils pour se paraître plus haut, et balancer son bras de gauche à droite pour lui faire signe, alors qu'immédiatement, les yeux d'Izuku cherchèrent son frère, qui se maintenait à côté de lui, les mains dans les poches.

Le soulagement vint immédiatement se loger dans son corps, et toute la pression disparu de ses épaules, alors même qu'il courrait aussi vite qu'il le pouvait vers ses enfants, qui une fois à leur hauteur, les prit directement dans ses bras pour être sure qu'ils soient bien contre lui, et que ce n'était pas une imagination de sa part dû à la fatigue.

Après le soulagement, vint alors une légère colère qu'il exprima en empoignant chacun une épaule de ses fils, pour les pousser devant lui et que ses bras soient bien tendus, pour presque crier :

- Mais qu'est-ce qui vous a pris ? Je vous ai pourtant demandé de rester sur le terrain, alors pourquoi est-ce que vous êtes parti ? Vous vous êtes imaginé la frayeur que j'ai eue quand je ne vous ai pas vu, j'étais mort d'inquiétude !

Les enfants ne surent pas quoi répondre devant leur papa qui semblait à la fois énervé, triste et soulagé, et ne purent que baisser la tête, conscients qu'ils n'auraient pas du quitter le terrain ainsi. Ce fut donc l'homme derrière Izuku qui répondit à leur place, alors qu'il ne l'avait pas remarqué, bien trop occupé à s'inquiéter pour ses enfants :

- Jun s'est fait mal, il est tombé et saignait, alors les petits sont allez chercher de l'aide et sont tombés sur moi, je m'en suis bien occupé alors n'y a pas d'inquiétude à avoir.

Izuku sursauta sur le coup, ne s'attendant pas à ce que quelqu'un lui réponde, et se releva précipitamment en se retournant pour voir celui qui était derrière lui, et qu'elle ne fut pas sa surprise quand des yeux rouges se posèrent dans les siens, et que des cheveux cendrés contrastant avec les siens également, comme ses enfants, et que les expressions de visage de l'inconnu, étaient également semblable aux leurs.

L'évidence se fit dans son esprit, et il s'écria en le pointant du doigt, surpris et légèrement apeuré :

- T'es l'homme du bar !

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