Toriel : Ici dans l'Underground, les humains sont souvent sujets d'attaques. Mais n'ai crainte mon enfant. Quand tu commences un combat, essayes d'engager une discussion amicale avec ton ennemi. Essaye avec ce mannequin.

L'humaine s'approcha du Mannequin et le combat s'enclencha.

Comme l'autre fois, le décor devînt noir. En face ce tenait le Mannequin qui attendait. Frisk était en face, et regardait confuse les quatres panneaux qui étaient apparus devant elle. Je soupirai et vola pour me mettre au dessus des panneaux, couchée dans l'air.

Chara : T'es pas familière avec le système de combat toi, hein.

Frisk : Heu…

Chara : [Soupir amusé] Tu vois ces panneaux ? Ce sont des panneaux d'actions. Comme tu le vois, il en a quatre. Combat, Action, Objet, Clémence. Chacun a une fonction différente. Pour les activer tu peux sois les toucher, sois imaginer que tu le fais. Commence avec celui où il y a marqué "Action".

Elle approcha sa main du panneau en question et une boîte de dialogue s'ouvrit par dessus avec marqué "* Mannequin" dessus.
Elle appuya sur le nom et la boîte changea pour "* Cheak | * Parler"

Chara : Comme tu peux le voir, il y a action possible. "Cheak" est commune et me permet de te donner des infos sur l'ennemi ciblé. L'autre pas besoin de t'expliquer je pense.

Elle appuya sur ce premier.

Chara : Mannequin. Attaque 0 Défense 0. Cœur en coton, œil en bouton, la prunelle de mes yeux.

Mannequin : ...

Comme le Mannequin passa son tour, Frisk appuya sur "* Parler".

Frisk : Heu… Bonjour ? Comment ça va ?

Chara : Le Mannequin ne semble pas avoir envie de parler. Toriel semble fière de toi.

Toriel : C'est bien mon enfant !

Nous continuâmes notre chemin à travers les Ruines. On a découvert avec Frisk qu'on avait également un lien télépathique, mais on préfère toute les deux parler à vive voix. Les énigmes d'ici n'ont pas vraiment changé non plus.

Mais au fond… le fait que Maman me voye pas ça… m'affecte beaucoup aussi. Non je suis pas jalouse de Frisk. C'est juste que… c'est ma mère quoi ! Vous n'aimeriez pas que votre mère fait comme si vous n'existiez pas, non ?

L'humaine a bien remarqué mon état semi-dépressif et essayait de me remonter le moral avec des blagues télépathique aux quelles je répondais par des petits sourires tristes.

Nous finîmes par arriver dans un grand couloir.

Toriel : Je… je suis désolée mon enfant… je… je dois le faire.

Elle partis dans courant dans la salle.

Frisk : Oookay ?

Elle partis derrière Toriel en marchant tranquillement jusqu'à arriver au bout du couloir où la gardienne des Ruines sortis de derrière un pilier en pierre.

Toriel : N'ai crainte mon enfant. Ce test était pour tester ton indépendance. Je suis fière de toi. Oh zut ! J'ai oublié que j'avais quelques choses sur le feu ! Attends moi ici mon enfant ! Prend ce téléphone et appelle moi si tu as besoin d'aide !

Elle partie en courant vers dans les Ruines en nous laissant en plan.

À suivre