"Et voici. La vie avait repris son cours depuis longtemps, et tout semblait parfait, guère de différences avec fin 2013. Ils vivent en quelque sorte la fin que quiconque voulait les faire vivre."

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Frisk parcourait les rues ensoleillées d'une petite ville accueillante. Un long quartier chaleureux dont les allées étaient encadrées par des pavillons blancs couvert de la chaleur par les arbres qui offraient une lumière agréable sur le quartier.

La vie était simplissime ici, il ne faisait que livrer des journaux aux portes, afin de gagner quelques économies.

Néanmoins, il se faisait beaucoup de soucis pour Asriel...

Ce dernier avait beaucoup de mal avec les autres et pouvait facilement s'attirer nombre d'ennuis.

Les autres gens pouvaient parfois le juger et le prendre de haut, mais pour l'instant, tant que Frisk est là pour le défendre, personne n'ose ne serait-ce que le contrarier.

Le problème persistant est que Frisk ne pourra peut-être pas s'assurer la responsabilité d'Asriel... celui-ci aurait besoin de repère, mais comment lui en donner ? Il a vécu des années dans la solitude et la souffrance, la chose serait plus facile à dire qu'à faire...

Après ce bref instant de réflexion il décida de reprendre sa route et de faire le tour du pâté de maison.

Il jeta un journal sur un paillasson...

Se dirigea vers une nouvelle maison, puis jeta un autre journal.

Et ainsi de suite...

Jusqu'à ce qu'un nom étrange et inconnu figura sur l'un des journaux à livrer.

"Willy Ned Sadisteir".

La maison semblait sombre et complètement délabrée. Frisk décida d'en franchir le portail. Les hautes herbes du jardin étaient complètement acérées et effrayantes et lui tailladaient les mollets au fur-et-à-mesure qu'il avançait.

Après avoir franchi le jardin menaçant, il arriva devant la porte puis y toqua. Un homme encapuchonné portant un long manteau brun, d'environ deux mètres, ouvrit la porte brusquement avant de prononcer ces mots d'un ton ferme :

"C'est pour ?

- Les journaux, monsieur", répondit Frisk.

"Ah, je vois. Combien les vends-tu?

- 25 cens, monsieur. Permettez-moi, mais je ne vous ai jamais vu dans le coin, cela fait-il longtemps que vous vivez ici ?"

Le grand homme le fixa silencieusement. Enfin, difficile d'utiliser le terme "fixer" puisque son visage était entièrement voilé par sa capuche.

"Tu sembles manquer de perspicacité, rappliqua-t-il sèchement. Cela fait maintenant trois ans que je vis ici.

- Oh, je... excusez-moi.

- Ce n'est rien, répondit-il. Au fait, je souhaiterais recevoir le numéro de demain. Je te paye maintenant, si tu veux."

Néanmoins, Frisk ne semblait pas vraiment confiant devant cette voix artificielle plutôt louche. Il décida de couper court à la conversation et de partir.

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Qui était cette silhouette énigmatique ?

Complètement inconnue aux yeux de Frisk mais pourtant elle semblait vivre la depuis quelques temps ici.
Néanmoins, elle semblait assez louche et pas très nette.

De toute manière il pouvait toujours en avertir Sans, alors, dans ce cas-là, il n'avait pas vraiment de quoi s'inquiéter.

Il rentra chez lui. Ce cher squelette au sweat-shirt dormait encore sur le sofa. Qui sait quels rêves pouvait-il faire cette fois-ci...

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"P-Papyrus ? détacha une petite voix sombre et inaudible.

Tu ne comptes vraiment pas te placer ainsi...?!

Ces gens te manipulent...!

Ils se sont servis de toi !

Ils ont abusés de ta sympathie !

Tu ne sais pas ce que tu fait...

Je t'en prie...

Reviens parmi nous..."

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Bonsoir !

Alors je publie ce (très) petit chapitre ce soir, mais je tenais à vous dire que le nombre de chapitre augmentera avec cette histoire.

La suite arrivera après-demain.

En attendant, j'ai un petit défi à vous proposer.

Le nom du personnage qui a été intégré dans ce chapitre est en réalité l'anagramme d'une phrase. Et plus précisément d'une question.

J'offre un boîte de soupe au premier qui retrouvera cet anagramme dans les commentaires !

Bonne nuit !