♡chapitre 45♡
Dans le chapitre précédent~>
Fell s'est retrouvé pour la énième fois à Swapfell par accident. (Tout arrive accidentellement ici x3).
Il fut retenu "prisonier" par son double mais il dut s'absenter chez Alphys pendant une durée indéterminée. Notre petit squelette fut donc placé sous la surveillance de Papyrus qui, apparament, cache quelque chose à notre protagoniste.
Durant tout le chemin personne ne parlait. Papyrus Swapfell tenait ma laisse et marchait devant tandis que je lui emboîtais le pas.
Le malaise pesait entre nous deux et elle me perturbait. J'aurai aimé briser la glace et r'engager une discution en voulant bien essayer d'oublier la précédente mais je ne parvenais pas à penser à autre chose qu'aux paroles de mon voisin.
Il a agit de manière étrange tout à l'heure...
L'instant d'après, nous nous retrouvâmes devant maison.
Il m'emmena vers le cabanon à côté de leur habitation mais je commençais à ralentir le pas.
Papyrus SF:-TU NE VIENS PAS?
Je me mis à me creuser la tête à la recherche d'un prétexe pour me pas retourner dans cette pièce sale et obscure.
Moi:-je ne peux pas retourner là-bas parce qu-
Papyrus SF:-ÇA NE ME FAIT PAS PLUS PLAISIR QU'À TOI MAIS SI ON NE FAIT PAS CE QUE M'LORD VEUT QU'ON FACE ÇA RISQUE DE MAL TOURNER POUR NOUS DEUX.
Moi:-j'ai faim.
Papyrus SF:- . . .
Moi:-il est passé 14h et j'ai pas dîner. Il fait me nourrir avant que je ne meurs de faim. Regarde! J'ai déjà la peau sur les os! On peut aller au Grillby'z? Ou Muffet'z? Ou... peut importe ce qu'il y a?
Papyrus SF:-JE NE SAIS PAS SI...
Moi:-il n'en saura rien si on fait vite.
Papyrus SF:-D-D'ACCORD...
Moi:-bon... on y va donc?
Nous nous dirigeâmes donc au barre. On entra dans le Muffet'z, où une douce chaleur vint nous accueillir. Nous nous instalâmes au comptoire et attendîmes pour passer notre commande.
Muffet SF:-je peux vous aider?
Papyrus ne répondit rien, se contentant de me regarder.
Moi:-*chuchotte* tu ne commande pas?
Papyrus SF:-*chuchotte* B-BAH JE PENSAIS QUE C'ÉTAIT TOI QUI LE FESAIT...
Ça posait problème, sans notre Boss ou Lord, nous étions livrés à nous même et donc un peu perdus.
Muffet SF:-*se racle la gorge* alors?!
Moi:-euh... o-on va prendre...
Il y a quoi...?
Muffet SF:-*souffle* je vois... je vous apporte deux burgers ça vous va?
Moi ainsi que mon voisin hauchâmes la tête pour approuver ça proposition.
La femme arraignée déposa deux assiettes devant nous, quelques secondes plutard.
Moi:-je peux avoir de la moutarde avec...?
Elle soupira et me donna également une bouteille jaune.
Papyrus SF:-PAS SOIF.
On observa notre nouriture.
Moi:-tu ne manges pas?
Papyrus SF:-TU NE M'AS PAS DONNÉ L'AUTORISATION... ET TOI?
Moi:-euh... j'attends que tu commences...
Tu... tu peux manger.
Papyrus SF:-MERCI...
Il prit timidement son burger entre ses mains et en prit une bouchée. De la même manière, je le mangeai aussi. Après quoi je bu mon précieux liquide.
Muffet SF:-vous payez séparemment ou ensemble?
Moi:-on pourra payer plutard?
Muffet SF:-*soupire* je note...
Je me tournai vers Papyrus.
Moi:-on va peut-être y aller avant le retour de l'autre truc.
Papyrus SF:-D'ACCORD.
Il attrapa ma laisse et me tirra hors du Muffet'z.
Il me rammenna dans le cabanon.
Moi:-bon bah moi je sais ce que je vais faire jusqu'à ce qu'on vienne me chercher...
Je me laissai tomber sur la paille et m'endormis sur le champs, laissant Papyrus refermer la cellule à contre-coeur par derrière.
☆♡☆♡☆
Pdv de Error
C'était très malin de ma part d'avoir bousculé Fell... Maintenant je dois le chercher à Swapfell sinon je vais me faire tuer part les Papyrus.
Je soupire.
Bon bah... je commence mes recherches. Oh et puis vous savez quoi? Je le ferai après ma pause.
Je me couchai dans la neige.
Pourquoi se presser... je suis sûr qu'il va bien.
Au même moment, les deux Papyrus ainsi que Blueberry débarquèrent.
Il ne me manquait plus que ça...
Edgy:-OÙ EST-CE QU'IL EST!!
Moi:-ā Śwâpfėll câlméž-vøuś~
Le plus vénère des trois me souleva en m'empoignant par le cou.
Edgy:-POURQUOI TU L'AS ENVOYÉ LÀ-BÀ?!!
Moi:-ačciděnť.
Swap:-BON. J'ACCOMPAGNE ERROR, HISTOIRE DE GARDER UN ORBITE SUR LUI.
Edgy:-ET MOI GARDER SANS?! JE TE RAPPELLE QUE J'AVAIS DES PROJETS!
Swap:-AH OUI C'EST VRAI... TON "RENCART" EST EN FIN DE CETTE APRÈS-MIDI.
Blueberry:-papyrus! Moi le manifique Sans peut rester seul à la maison tout de même!
Swap:-TU NE COMMETTRAS AUCUNE BÉTIZE?
Blueberry:-aucune!
Edgy:-OKEY ET QUAND VOUS AUREZ RAMMENER SANS, *se retourne vers moi* JE M'OCCUPERAI DE TON CAS.
Il tourna les talons et s'en alla, Blueberry le suivant à son rythme.
Swap:-ON Y VA.
Moi:-apřeś mā pāuśe?
Swap:-AVANT QUE JE NE M'ENNERVE.
je claquai des doigts et nous téléportâmes à notre destination.
Moi:-débřoůillé-ťoī pøuř lė řestê.
Sans que je ne m'y attende, Papyrus me souleva grâce à sa magie et s'approcha de moi. Son visage s'était assombrit, seul son orbite brillait de sa lueur orange.
Swap:-*voix menaçante*JE TE JURE QUE SI IL LUI ARRIVE QUOIQUE CE SOIT PAR TA FAUTE...
Laissant sa menace en suspence, il fit apparaître un os qu'il brisa rien qu'en la serrant dans sa main libre.
Swap:-PIGÉ?
Moi:-. . .
Il me relaissa tomber sur le sol froid avant de remettre ses mains dans les poches tout en reprenant son air calme.
Sans retirer mon regard du sien, je m'éloignais.
Moi:-b-bøn báh á plůtárd...
Swap:-À PLUS.
♡☆♡☆♡
Pdv de Swap
Une bonne chose de faite. Après avoid mis en garde le père de Paperjam, je me téléportai devant la maison de nos doubles.
Au même instant, l'autre Papyrus sortit du garage.
Moi:-SUP TOI...
Papyrus SF:-OH SALUT. PLUTÔT PAS MAL, JE ME DEMANDAIS QUAND EST-CE QUE VOUS VIENDRIEZ CHERCHER SANS.
Moi:-BAH JE SUIS LÀ HEH HEH.
Papyrus SF:-LE PROBLÈME, C'EST M'LORD...
moi:-JE M'EN CHARGERAI EN TEMPS VOULU.
Papyrus SF:-. . .
Moi:-OUI?
Papyrus SF:-DERRIÈRE-TOI...
Je fis volte-face et me retrouvais devant Sans de Swapfell.
Sans SF:-bonjour bonjour, je vois que tu es venu pour ton "cher" frère, n'est-ce pas?
Moi:-YEP.
Sans SF:-ça sera malheureusement pour toi, impossible. Vois-tu... j'ai deux ou trois petites choses à régler avec lui.
Moi:-JE VEUX VOIR SI IL VA BIEN.
Papyrus SF:-I-IL S'EST ENDORMIT DANS SA CELLULE...
Sans SF:-tu vois? Tout va pour le mieux pour lui.
Moi:-JE VEUX LE VOIR.
Sans SF:-hors de question.
Moi:-ALORS JE RESTERAI ICI. JE NE PEUX PAS PARTIR SANS LUI.
Sans SF:-Dommage pour toi parce qu-
Papyrus SF:-TU PEUX RESTER ICI SI TU LE SOUHAITES L'AMI.
Sans SF:-*tappe du pied* ne m'interrompe-pas quand je parle!
Papyrus SF:-EXCUSE-MOI MAIS ÇA SERAIT MAL POLI M'LORD...
Sans SF:-je sais mais mon but n'est pas d'être poli mais de me venger!
Moi:-RELAXE BRO... TU VEUX UNE CLOPE?
Sans SF:-ce truc dégoûtant?! Tu rêves!
Moi:-TU NE SAIS PAS À CÔTÉ DE QUOI TU PASSES... *en tens une à Papyrus SF*
☆♡☆♡☆
Pdv de Mustard
Quelque chose me tira de mon sommeil.
Je soupsone cette air glacial d'y être pour quelque chose mais cela m'importait peu de le savoir. Tout ce qui me venait à l'esprit, était de me réchauffer.
De n'importe quelle manière.
Je me levai péniblement et remarquai que Papyrus n'avait pas r'attaché ma laisse au crochet sur le mur. Je pu donc en toute aisance me téléporter hors de ce lieu.
L'obscurité regnait.
Il faisait froid.
Très froid.
Trop même.
Ma magie me permettait de ressentir la tempêrature, et je ne savais pas si je devais être content en ce moment-même.
Je me mets à marcher à l'aveugle dans la nuit.
J'avais soif.
J'essayai de pousser la porte du Muffet'z, mais en vain.
Il doit être fermé à l'heure tardive qu'il était.
J'allais pénétrer à l'intérieur par n'importe quel moyen. Je me téléportai juste devant le comptoire, et allumai que peu de lumière pour m'éclairer.
Vraiment très peu.
Où trouver de quoi m'hydrater...
Je me demande où Muffet range la moutarde.
Je m'approchai d'un tirroir et l'ouvris.
Des bouteilles colorées rangée par tailles me fesaient face.
J'en pris une au bol et l'ouvris pour sentir l'odeur qu'elle dégageait.
Ça ne sentait pas mauvais.
Je déversais cul-sec son contenue dans ma cavité buccale.
Ma tête commençait à tourner mais je n'y faisais pas intention. Je lâchai la bouteille sur le carelage et me resservis une deuxième que je terminai avant même d'avoir pu en sentir l'odeur.
Je n'ai plus soif, mais j'avais encore froid. Pourtant, à chaque gorgé il me semblait que j'avais un peu plus chaud.
Qu'est-ce que c'était? De l'alcool sans doûte.
Je n'arrivais pas à m'arrêter.
Je descendis une troisième dans mon gosier innexistant.
Une quatrième.
Ma tête tournait tellement que je n'arrivais plus à compter la suite.
Les bouteilles vides joncheaient le sol, à mes pieds.
Ma vue était troublée, je me sentais lourd, mes joues me brûlaient.
De la chaleur, enfin...
Je terminai une énième bouteille avant de tomber à genoux en lâchant un petit rire.
J'ai chaud à présent.
Je n'allais plus me soucier de quoique ce soit à partir de ce moment, ni du froid, ni de la solitude.
Je n'arrivais plus à réfléchir tout court.
Je ne me sentais plus trop bien.
Peut-être... qu'en buvant encore un peu j'irai mieux? Je pris une autre bouteille d'alcool dans le tirroir.
Combien pouvait-elle en contenir d'ailleurs? En direct que ça ne s'arrêtait pas.
Je retirai le bouchon et penchai la bouteille au-dessus de ma tête, en ouvrant faiblement la bouche.
Le liquide se deversa sur moi. Je n'eu pas tout de suite le reflexe de la retirer tout de suite, mais quand je réussis à ordonner à mon bras de stoper le mouvement, il était déjà trop tard.
La bouteille était vidée, j'étais trempe et sentant l'alcool à plein nez.
Pourtant cette sentation me fit du bien. Je pouvais à présent retourner dans ma miteuse pièce.
Je me levai en me tenant au comptoire, tentant d'éviter de marcher sur les objets par terre, et me dirigeai vers la sortie. À peine j'eu fais un pas que je m'étalai par terre. M'aidant péniblement de mes mains, je rempai jusqu'à la porte. Arrivé là-bas, je me tins à la poignée et pour m'aider à me relever. De l'intérieur, ouvrir le barre était un jeu d'enfant.
La porte s'entre-ouvrit en me laissant juste assès d'espace pour sortir. Le gèle giffla mon visage alors que je traversai le pas de la porte.
Mais peu importe, j'avais chaud.
Les joues me brûlaient atrossement maintenant que le froid apparut, certe, mais j'avais eu ce que je cherchais.
En hoquetant et en marchant de travers, vasillant de gauche à droite, je me dirigeai à travers le village, perdant peu à peu mes poins de repère.
Par où j'étais arrivé? Aucune idée. Peut-être suivre les empreintes de pas dans la neige? Impossible, la tempête les a déjà recouvert.
Je marchais encore et encore, me pris un mur, repris ma route, tombai, repris le chemin, mais je n'arrivais pas à trouver la maison.
Ma vue était limitée.
J'avais à nouveau froid.
J'avais une atrosse douleur à la tête, et je tremblais de partout. Vulnérable et fatigué, je retombais dans la neige mais cette fois, n'éyant plus la force de me relever.
Soudain, des bruits.
Non, une voix.
Une voix au loin, étouffée par mon état et le bruit du vent qui soufflait.
Que disait-elle? Je n'arrivais pas à le déchiffrer.
Je fermai les orbites.
Je n'avais plus force de les garder ouverts.
Je n'arrive plus à me souvenirs de quoique ce soit. Mon nom?
Volatilisé.
Ce que je fais là?
Difficile à dire.
La voix semblait s'approcher.
Red disait-elle.
Qui est Red? Je n'arrivais plus à résonner correctement.
La voix est toute proche.
Je sentis un contact chaud sur mes os.
De la chaleur, encore...
Mais pourtant, j'ai le sentiment de mourir de froid.
L'inconnu me soulève.
Je me laisse faire, incapable de faire le moindre effort physique ou mentale.
Il doit penser que je dors.
Mais je n'arrivais pas à dormir.
Une odeur arriva à me monter au nez, une odeur que je reconnue vaguement.
Celui... de miel mélée à la cigarette.
Qui pouvait bien avoir cette odeur?
Mon ivresse refusait de me répondre.
Pourtant mon esprit semble tomber.
Encore.
Et encore.
J'ai peur de m'endormir.
Mais cette douce chaleur me faisait tellement de bien...
Je sentis une main sur ma joue brûlante.
La personne me caressait doucement.
Je murmurai quelque chose.
Je ne savais pas ce que j'essayais de lui dire, mais il ne m'entendait pas.
Je luttais pour ne pas dormir.
Après une éternité, on arriva à l'intérieur, bien au chaud. Deux autres voix apparurent. Je ne comprenais pas ce qu'elles disaient, mais celui qui est venu me chercher me redéposa sur quelque chose de moelleux.
Fournissant un effort incroyable, je retiens le monstre en attrapant la manche de son pull.
Faiblement, je réussie à prononcer un <<ne pars pas>>, mais je n'arrivais pas à articuler.
M'a-t-il entendu cette fois-ci?
La personne que je tentais d'interpeler se pencha au-dessus de moi.
Sa respiration était si près de mon visage que je sentais mon rythme cardiaque s'accélerer.
J'entrouvris les orbites afin de voir cette personne. Mais c'était encore flou.
Il déposa sa chaude main sur mon crâne en sueur en me disant quelque chose; mais je ne l'entendais pas.
Je m'endormis, en sécurité tout près de lui.
☆♡☆♡☆
Heuya mes doudous~
J'ai euuuuuu un tout petit rikiki manque d'inspi et comme je suis (un tout petit peu rikiki) en retard bah... j'ai écris ça. (Je suis aussi un tout petit peu rikiki très fatiguée à l'heure où j'écris cette phrase) et... j'éspère que ce chapitre passera crème quand même *-*
*bruit de mouche qui vole*
J'ai tout de même réussi à écrire 2385 mots *-*
Daaaaaaans tout les cas, je vous dis, à la prochaine!
♡détermination♡
Et vodka au sucre
Et sommeil...
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