Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 15: Chez soi

Cela faisait maintenant une semaine que j'étais réveillée. Undyne me posait des questions, Alphys me faisait passer des examens et ceux, tout les jours. J'étais dans ma chambre et je regardais un concert à la télévision avec Papyrus et Sans. Ils avaient tout deux été très présents  et j'avais pu enfin retrouvé ma voix. Alphys m'avait annoncé que je pourrai sortir d'ici demain.

Papyrus regardait avec admiration l'homme androgyne qui chantait à la télévision. Sans, quant à lui, était assis avec moi dans mon lit et s'était endormi tel une épave sur moi, sa tête reposant sur mon épaule. J'avais moi-même finie par reposer ma tête sur la sienne.

J'observai le concert diffusé sur la petite télévision. Papyrus semblait complètement captivé par le chanteur. Subjuguée par l'expression du visage de l'adolescent, je ne pu m'empêcher de lui demander d'où venait cette passion.

- Eh bien, tu as l'air de l'aimer ce chanteur, comment s'appelle t'il ?

- Tu ne le connais pas ? Il est très connu ! C'est Mettaton, une super star !

- C'est vrai que son nom me dis quelque chose.

"Mettaton ?"

Je ne l'avais pas reconnu sur le moment, mais il était vrai qu'il ressemblait beaucoup au robot que j'avais rencontré dans l'Underground.

Après deux heures pendants lesquels on ne pouvait entendre que la musique rythmé de Mettaton et la respiration calme et régulière de Sans, la porte s'ouvrit sur Alphys. Elle s'avanca vers moi et me retira mes perfusions et autres matériels médical. Elle regarda les deux garçons et leur demanda de quitter la pièce, disant que les visites étaient désormais terminées. Je réveilla Sans à contre cœur en lui expliquant qu'il fallait partir et qu'on se reverrai demain. Ils sortirent tous les trois en me saluant et fermèrent la porte.

La porte maintenant fermée, la lumière éteinte, il ne restait plus que les étoiles et moi. Je refusais toujours qu'ils ferment les volets. J'avais besoin de les voir, tous les soirs, pour me rassurer intérieurement sur le fait que tout ceci n'était pas un rêve. Je m'emmitouflai dans le peu de couvertures que j'avais  et me laissa bercer par le son des pas incessant des infirmières dans le couloir.

Quand je rouvrit les yeux, je n'étais plus seule dans la pièce. Sans était non loin de moi et cherchait quelque chose dans ce qui semblait être son sac. Il sorti quelques vêtements qu'il déposa sur le lit. Il se retourna vers moi.

- Réveillée ? Je t'ai rapporté quelques vêtements !

- Ah bon ? Je croyais que c'était pour toi, et que tu allais te changer. Tu m'apprends un truc..

- C'est ca, moque toi la rillette.

Je lui souri et alla dans la petite salle de bain avec les vêtements. Je ferma bien la porte derrière et commença à me changer.

- Besoin d'aide ?

- ... Non merci, Sans.

- Très bien, très bien~

J'enfilai les vêtements qu'il m'avait apporté: un jean noir et un pull gris où était inscrit "Nap Queen" (Reine de la sieste).

"Très drôle l'allusion"

Je ne pu m'empêcher de rire en voyant l'inscription sur le vêtement. Je mis les chaussures en toile grises et sortit de la petite pièce. Sans me regarda de haut en bas.

- Il te plait, mon cadeau de sortie ?

- Oui, il me plait beaucoup.

Il avait une petite valise près de lui contenant sans doute mes affaires. Nous sortîmes de la chambre et il me guida dans les couloirs qui m'étaient inconnus. En me voyant hésiter face aux escaliers, il m'offrit son bras en me se moquant de moi.

- Allez mamie, on descend.

- Très drôle Papi, très drôle..

En sortant de l'hôpital, il me guida vers une voiture de sport rouge qui me rappelais quelque chose.

- On dirait..

- Le lit de Paps dans l'Underground ? Elle y ressemble beaucoup, hein ? Il m'a tanné pour qu'on la prenne.

- Et tu as cédé, pas bien Papy.

- Raah, elle était en promo, c'est pas grave. Enfin bref, allez monte.

Il mis en marche le moteur et nous prîmes la route. Le trajet fut silencieux. J'étais sans arrêt le nez collé à la fenêtre, regardant le décor qui passait devant mes yeux. Sans ralentit devant ce qui semblait être un lycée. J'aperçus Papyrus parler avec un jeune garçon aux cheveux blancs avec un air calme. Ils s'avancèrent tous les deux vers la voiture, Sans tendit un petit sac en plastique à Paps, qui le remercia et le mis dans son sac. Quand je tournai la tête pour regarder le lycée de plus près, je fut surprise de me retrouver nez à nez avec le jeune garçon aux cheveux blancs et aux yeux verts.

- Tiens, te voile toi. Ca fait pas mal de temps que l'on ne s'est pas vu. Ca va mieux ?

- Euh.. Ouais, merci

Ils me saluèrent et s'éloignèrent. Nous reprîmes la route et Sans semblait un peu irrité.

- Ca ne va pas ?

- Je n'aime pas que Paps traine avec ce type.

- Et c'est qui ce.. type ?

- Ne me dis pas que tu ne l'as pas reconnu ? Pourtant il t'as parlé et tu lui a répondu.

- Je lui ai répondu par pure politesse, je ne le reconnaissais pas..

Sans éclata de rire.

- C'était Asriel ! Tu étais pourtant proche de lui avant, dans l'Underground.

- Proche ? Il était trop désagréable pour que nous soyons proches.

Sans soupira et finit par arrêter la voiture devant une maison à l'allure assez ancienne. Il m'aida à descendre et me guida vers la maison. Il ouvrit la porte et m'invita à entrer. L'intérieur de la maison ressemblait trait pour trait à la maison des frères d'os à un point près: entre la chambre de Papyrus et celle de Sans se trouvait une troisième porte où était inscrit mon nom en lettre manuscrites noires. Nous montâmes les escaliers et entrâmes dans ce qui semblait être ma chambre. Elle était meublée avec des meubles blancs, une peinture d'une couleur grise simple. Dans le coin de la pièce, près de la fenêtre se trouvait deux poufs devant une télévision. Un télescope ressemblant beaucoup à celui que j'avais reçu dans l'Underground était posé dans le coin de la pièce. Sans posa la petite valise et me tendit la main.

- Viens, allons manger quelque chose, tu dois avoir faim.

Je le suivis vers la cuisine. On s'asseya à table et pendant que je mangeais un donut, Sans buvait du ketchup, comme toujours. Il me posa soudain une question.

- Luna, si tu n'as pas envie de répondre, ce n'est pas grave. Après ma... -il soupira- ma mort, que s'est il passé ? Chara t'as tué à ton tour ?

- Non.. Enfin si.. Pas vraiment. Nous nous sommes battus après ta mort et au bout d'un certain temps, je n'ai plus assez d'énergie que pour une dernière attaque, alors je l'ai immobilisée et je l'ai tuée mais j'y suis passée aussi.

Sans semblait surpris par mon récit, il avait arrêté de boire et il me regardait étrangement.

- Tu as.. tuée Chara ?

- Oui, mais elle est peut être en vie à l'heure qu'il est

- J'en doute. Frisk n'est plus là, elle ne peut plus prendre possession de personne. Le plus important, c'est que tout le monde est en vie et que tu te souviennes, non ?

Je ne répondit pas. J'étais, certes, d'accord avec lui, mais ses cris de douleurs me revenaient sans cesse en tête, et chacun de ses gestes me rappelaient la gestuelle qu'il avait dans l'Underground.

- Quelque chose te tracasse ?

- Sans. Je.. Dans tout l'Underground, tu as été le premier monstre que j'ai rencontré. Quand tu m'as trouvé, dans les ruines, avec tout ce que tu as vécu avec Frisk et surtout Chara, tu aurai pu me laisser mourir là. Mais tu ne l'as pas fais. Tu m'as sauvé, pris soin de moi, a été attentionné, protecteur et à l'écoute. Quand je t'ai vu partir en poussière... J'ai perdu le contrôle de moi-même. Parce que j'avais peur de ne jamais vous revoir.. Te revoir. J'étais aussi en colère, cette colère me rongeait de l'intérieur et m'empêchait d'avoir des pensées rationnelles. Quand je suis morte, j'ai eu l'espoir minime de tous vous revoir un jour.

Ma voix tremblait, signe que je m'empêchais de pleurer. Sans baissa la tête , se leva et alla s'assoir dans le sofa. Il tapota doucement la place près de lui en me regardant. Je le rejoins m'installa près de lui.

- Pourquoi tu n'as pas voulu rester avec Asriel chez nous ? Quand je t'ai vu face à Chara, j'ai cru que j'allais perdre la raison ! C'est pour ca que je t'empêcher de combattre, mais même avec tout ce que j'ai pu faire tu es morte quand même. Quand je me suis souvenu de tout en tant qu'humain, j'avais l'impression que tu ne te souviendrai jamais. Mais tu as commencé à dessiner toutes ces représentations de nous lorsque nous étions des monstres. Je me suis alors dis que tu retrouvais peu à peu la mémoire, que tu allais bien finir par te souvenir de nous tous. Puis l'accident arriva et j'ai eu l'impression de te voir partir une seconde fois.

Il y eu un long silence. Nous ne parlions plus, simplement rassurés l'un comme l'autre. Je finis par tomber dans les bras de Morphée. Lorsque je rouvris les yeux j'étais dans ma chambre et il faisait nuit. N'arrivant pas à me rendormir, je décidai de me lever pour boire un verre d'eau. Je descendis alors lentement les marches de l'escalier pour ne réveiller personne et me rendit dans la cuisine. J'ouvrai le placard et tendit mon bras pour attraper un verre que je rempli par la suite au robinet. Je m'accoudai au plan de travail et bus tranquillement mon verre, attendant que la fatigue survienne mais j'entendis des bruits de pas en provenance de l'escalier et du corridor.

- Que fais-tu debout à cette heure ci ?

Il avait la mine fatiguée et un braillement passa la barrière de ses lèvres.

- Je n'arrivais pas à me rendormir alors je suis descendue pour me changer un peu les idées. Et toi, que fais-tu en bas ?

- Je t'ai entendu descendre mais pas remonter alors je suis venu voir si tu allais bien.

- Il ne t'ai pas venu à l'idée que je n'arrivais tout simplement pas à dormir ? Ou de boire, avec l'enclenchement du robinet ? Tu avais besoin de t'inquiéter pour ta petite riette, peut être ?

- C'est vrai que maintenant que tu le dis...

Sa réflexion me fis éclater de rire entrainant avec moi Sans dans le fou rire. Les rires cessèrent petit à petit et mon regard accrocha le sien, incapable de m'en défaire une seule seconde. Sans s'approcha doucement de moi, se retrouvant maintenant à quelques centimètres de mon visage. Et alors que mes lèvres étaient si proches des siennes une voix se fit entendre.

- IL N'Y A PLUS DE PAPIER TOILETTE !


------------------------------------------------------------------------------------------

Hey hey hey ! C'est Winaki ! Désoléééée du gros retard T_T

Merci pour toutes ces lectures ! *-*

Et, comme je sens toutes les fangirls arriver, c'est    qui a eu cette idée ! Allez voir sa fictiooooooooon !!!

Oh et voilà les images de Papyrus, de Asriel et de Undyne !

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro