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Petals

//WARNING//

cette histoire parle de manière implicite de choses grave et il y a un peu de sang.

sinon c'est tout.

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Tourne, Tourne

La petite fille tournait, la prairie s'étendait devant elle, une simple prairie sauvage, pleine d'herbes haute et de fleurs sauvage. Elle tournait sur elle-même, la forêt se situait pas loin. On était dans une époque oublié, une époque où la légende et la réalité se confondait. La petite fille s'amusait à tourner sur elle-même jusqu'à en avoir le tournis et de s'asseoir par terre, elle ne passait pas inaperçu, sa peau d'un teint pâle, ses cheveux noirs d'ébène retenu en deux couettes, la tête coiffé d'une couronne de fleurs pourpre, ses vêtements de la même couleur, et dont la matière faisait penser à des pétales de fleurs, ses sandales étaient du même rouge. Ses yeux à la sclérotique aussi noir que sa chevelure et aux iris aussi blanche que la neige fixé l'horizon devant elle, plus précisément, un petit village simple se trouvant pas loin.

Elle voulait aller à ce village, mais elle n'avait pas le droit, elle risquerait de faire peur. Elle ramena ses jambes contre elle et ses bras pâles les entourèrent. Derrière elle, elle laissait traîner les excroissances aussi pourpre que ses vêtements qui sortait de son dos, et qui faisait penser à un mélange de feuilles tombantes et de tentacules, bien que certain disaient que c'était des ailes. Ses longues oreilles pointues s'agitaient un peu, tentant de percevoir les bruits environnants.

Elle resta longtemps, laissant juste une douce brise soulevé ses cheveux, puis, une voix s'élève

« Que fais-tu là ? Moi et ta mère ont te cherchent partout. »

La petite fille se retourna, et se leva doucement en voyant la figure sortant de la forêt qui se détacher en avançant, c'était un homme, qui avait la même peau pâle, les mêmes cheveux d'ébène -quoiqu'un peu plus court- les mêmes yeux noir et blanc qu'elle, les mêmes longues oreilles pointues, il portait des habits semblant fait dans des feuilles d'un vert profond, voir dans l'écorce brune d'un arbre. Ses « ailes » étaient de la même couleur que ses habits.

« Désolé papa... je voulais voir un peu la maison des humains... » dit la petite fille, honteuse, baissant la tête.

Elle entendit le bruit des pas de son père, venant vers elle, d'une démarche calme et paisible, puis elle sentit sa main lui caresser la tête.

Levant la tête, elle vit celui-ci lui adresser un sourire tendre.

« Je ne t'en veux pas, je te comprends, c'est vrai que les humains sont fascinants... à la fois fragile et dangereux... ça te dérange pas que je m'assois avec toi ? » dit-il d'une voix douce.

Les yeux de la petite fille s'illuminére et elle répondit avec un grand sourire

« oui, je veux bien ! »

Le père et la fille s'assirent, le père prit une position en tailleur, tandis que l'enfant se placa au centre du trou formé par les jambes, le père passa ses bras autour de la taille de sa fille, et elle se pelota contre l'homme.

« Papa, est-ce qu'un jour j'irai dans leur maison ? » demanda l'enfant, lover contre son père.

« Je ne sais pas... moi et ta mère on a peur pour toi, tu sais ? Mais je pense que tu pourrais t'entendre avec leurs enfants. » répondit-il, appuyant sa tête sur le sommet du crâne de son enfant.

« J'ai vu les filles de mon âge... elles sont tellement jolies ! J'aimerais être amie avec elles... en plus, elles aiment se faire ce qu'elles appellent des tresses, c'est super jolie ! j'aimerais apprendre en faire aussi... » dit-elle gaiement.

Le père écouta pendant longtemps avec amusement et tendresse sa petite fille parlait de ce qu'elle avait observé chez les humains, et de ce qu'elle voudrait faire avec les autres enfants, il posait de temps en temps des questions volontairement innocente, pour taquiner sa fille, et celle-ci y répondait le sourire aux lèvres, et avec de temps en temps, un petit rire.

Puis, au bout d'un moment, elle finit par se fatiguer, et, après avoir longuement baillé, elle se pelota comme un jeune chaton contre sa mère et s'endormi.

Il se releva, en portant tendrement sa fille dans ses bras, et commença à revenir dans la forêt.

« ta mère va être furieuse qu'on arrive aussi tardivement... mais ce n'est pas grave » dit-il en déposant un baiser sur le front de son enfant endormi.

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Tourne, tourne,

Petite pétale pourpre

Tourne, tourne

Petite fille naïve

Tourne, Tourne

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Une femme se tenait assise, sur le tronc d'un arbre venant d'être abattu, mais qui a été laissé là pour être récupérer plus tard. C'était une femme grande, élancé, à la peau pâle, ses yeux fermé était pourvu de cils d'un noir profond, ses longs cheveux noirs tombait telle une cascade brune sur ses épaules avant d'aller jusqu'au sol, une partie retenu derrière de longues oreilles pointus, et une frange droite s'arrêtant au-dessus de ses yeux, sa longue robe noir lui laissé les épaules nus avec des manches presque translucides, et ses pieds pourvu de sandales d'ébène foulait le sol, ainsi que des « ailes » du même noir d'ébène qu'une grande partie de son apparence. Elle semblait profiter du calme, puis, des bruits de pas, et quelqu'un s'assit à côté d'elle, elle ouvrit les yeux, à la fois noir et doté d'iris blanche, pour voir son mari, toujours vêtu de vert et de marron, qui s'était assis près d'elle, elle sourit doucement.

« tu ne me boudes plus pour être revenu tard avec notre fille ? » dit d'un coup l'homme, semblant à la fois un peu nerveux et gêné.

« Non, je ne te boude plus » dit-elle, d'un ton taquin.

« Ha... tant mieux, hahaha » dit-il, nerveux.

La femme pencha un peu la tête, elle voyait que son époux cachait derrière lui quelque chose, puis, démasqué, celui-ci sorti avec un sourire gêné ce qui semblait être, une broche orné d'une rose blanche.

« un cadeau d'un groupe d'humains de la maison humaine d'à côté, ils venaient pour prendre de la nourriture, alors ils ont tenu à nous offrir quelque chose pour se faire pardonner, unes de leurs filles à offert quelque chose de semblable, sauf que c'est rouge avec un voile blanc et que ça se met sur la robe. On m'a dit que celui-là se met dans les cheveux. »

Il lui tendit, elle prit la broche, et, délicatement, et avec l'aide de son époux, elle l'a mis dans ses cheveux.

Leurs visages sont très proche, malgré le fait qu'ils étaient depuis longtemps mariés, amoureux, et parents d'une adorable petite fille, le mari pouvait des fois se montrer embarrassé devant sa femme.

Et celle-ci, semblant d'humeur taquine, l'embrassa par surprise alors qu'il avait fini de mettre sa broche.

Surpris, celui-ci tomba à terre, alors que la femme, au-dessus de lui, détacha ses lèvres.

« Tu devrais faire attention, un papillon pourrait te faire tomber » dit-elle avec un petit rire.

« J'ai été pris par surprise, c'est une bonne excuse non ? » dit-il, rouge.

« Effectivement, un papillon pourrait te prendre par surprise. » rajouta-t-elle avec humour.

Les deux se mirent à rire, et s'échangèrent un autre baiser, et ils pensaient rester allongé là, dans l'herbe, ensemble, enlacé, mais un bruit les fit sursauter.

« qu'est-ce que c'est ? » dit la femme, qui avait perdu toute bonne humeur d'un coup, celle-ci ayant été remplacé par de l'inquiétude.

« Je ne sais pas... mais je pense qu'on va rentrer, mes frères et notre fille risquent de s'inquiéter si on s'attarde trop. »

L'homme aida sa femme à se relever et à dépoussiérer sa tenue. Puis, mains dans la main, ils rentrent dans la forêt.

Il ne voyait pas le regard de cet homme.

Le regard de l'homme envieux.

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Tourne, tourne

Petite pétale blanche

Tourne, Tourne

Belle femme proie des convoitises

Tourne, Tourne

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Devant une forêt sombre, une scène se dérouler.

Un homme en habit de clown noir et blanc blessé, une femme lui ressemblant près de lui.

Un groupe de personnes aux cheveux colorés prenant sa défense.

Des étranges êtres aux allures d'animaux tout aussi coloré, à l'écart, prêt à se défendre.

Et devant eux, une grande silhouette humanoïde blanche, en costume cravate noir et blanc, dépourvu de visage, de longues tentacules noirs sortant du dos, l'une d'elle taché du sang du clown.

« Je n'aurai jamais cru que tu aurais l'audace de ramener des humains ici, Laughing Jack, et encore moins que tu autorises uns de tes protégés à en aimer un » une voix caverneuse, d'outre-tombe, teinté de dégoût, raisonnait dans la tête de toutes les personnes présentes, y compris des deux personnes masquées l'accompagnant, l'un pourvu d'un masque blanc aux lèvres noirs, l'autre d'un masque noir avec un smiley rouge triste tracer dessus.

Il ne supportait pas

Il ne pouvait pardonner

L'amour empêche d'oublier

On ne peut acquérir ce qu'on a perdu

On ne peut redonner la vie à ce qui est mort

Il voyait à travers les yeux de l'un des deux masqués, mais personne ne le savait.

Puis

Une enfant innocente s'avança, tremblante.

Le proxy l'a regardé

C'était une des humanoïdes, elle n'avait pas plus de 7 ans, c'était une petite lapine antropomorphe, au pelage beige et marron clair, vêtu d'une robe simple orange et blanche avec un ruban vert devant, chaussant des chaussures orange, jaune, et blanche, et portant des gants blancs avec des sortes de broche doré.

Elle s'avança, puis écarta grand les bras devant elle, et dit

« Arrêter ! De quel droit vous vous en prenez à mes amis !? » cria-t-elle à plein poumons.

Une humaine, une brune en rouge, voulu s'avancer, mais son partenaire, un homme aux cheveux bleu, l'a retenu.

« Kaito, pourquoi tu... » commenca-t-elle, surprise.

« il ne va pas lui faire de mal » répondit-il simplement.

L'entité elle, ne bougea pas, et s'apprêtait à dire à cette gamine de ne pas se mêler de ce qui l'a regardait pas, mais elle dit :

« Je comprends que vous soyez en colère, ma maman me dit que des fois, on se met à détester certaines personnes pour des raisons diverses, parce qu'on est en colère, parce qu'on est triste, parce qu'on n'arrive pas à se dire que les choses sont arrivés comme ça. » dit la petite lapine.

« De quel droit tu me parles- » commençait à dire la voix caverneuse.

« Les humains vont on enlevé quelqu'un, c'est ça ? » dit la petite lapine.

On pouvait voir des larmes coulaient de ses yeux.

« J'ai trouvé un livre... il racontait une histoire triste, sur une famille détruite par les humains... ça m'a fait penser à Mr.Shadow. »

Le concerné se contente de faire un « hmpf » mais tourne son regard vers l'entité.

Il est vrai qu'il n'aime pas les humains, il lui ont pris sa famille.

Mais il a fait la promesse de les protéger...

Et malgré tout, ils ne sont pas tous irrécupérable.

« la belle femme en noir, et la fille qui a presque mon âge qui porte du rouge... ils étaient votre famille ? »

L'entité en répondit rien.

Deux des tentacules s'approchèrent de Cream, et la prirent délicatement.

Une délicatesse qu'il avait eu l'habitude d'avoir autrefois.

La petite lapine été effrayée, mais elle faisait de son mieux pour pas le montrer.

C'est là qu'on remarqua qu'elle tenait quelque chose dans ses mains, que tout le monde avait occulté.

Une couronne de fleur blanche et rouge.

Se mettant debout, elle marcha sur les tentacules.

Et mit la couronne sur la tête de l'entité, avant de s'éloigner, le tentacule l'a déposant à terre.

Une hérissonne rose se précipita vers elle pour serrer la lapine dans ses bras, elle a vraiment eu peur pour elle.

« Je vais donner une chance à ces humains, Jack, mais au moindre écart, à la moindre fausse note, je n'hésiterai pas à les tuer, et toi avec. »

Le clown se contenta de regarder prudemment en acquiesçant, une main sur sa blessure, et se relevant avec l'aide de sa compagne, qui s'inquiète pour lui.

L'entité se tourna, et marcha, s'enfonçant dans la forêt, il déposséda le proxy, qui s'affaissa, l'autre vient pour le soutenir.

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L'entité marcha longtemps, ses longues jambes lui permettant de parcourir plusieurs mètres.

Après être sûr qu'il était suffisamment éloigné, il se mit en position assise sur un rocher.

Il pris délicatement la couronne de fleur, et d'une main, toucha là où devait se trouver son visage.

Il se rappelait comme si c'était hier des dernières images qu'il a vu.

Les flammes dévastant la forêt, ses frères se faisant tuer, ainsi que son peuple.

Lui qui cherchait désespérément les deux femmes de sa vie.

Puis, un humain l'attrapant.

Lui criant des mots qu'il ne comprenait pas.

Puis, une douleur lancinante, lui traversant les yeux, les oreilles, la bouche, le nez, le corps entier.

Puis le noir, jusqu'à ce qu'il se réveille.

Et devienne le Slenderman.

Tenant délicatement la couronne dans les mains

Il pouvait sentir certaines pétales se détacher, et tourner, tourner, dans le vent.

Si il posséder encore ses yeux.

Il verserai des larmes...

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