Bittersweet love (os sur le laughing jackxLaughing Jill)
Attention, cet os contient du gore, des mots vulgaire et des allusions au sexe et aux violences sexuelles.
Et il se centre aussi sur le Laughing JackxLaughing Jill, un ship que j'adore mais qui est fortement détesté par les fujoshis et les fangirls hardcore de Jack.
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En ce bon XIXème siècle, une pluie battante faisait rage dans les rues londoniennes, personne ne se trouvait dehors, tout le monde, y compris les plus pauvres, s'étaient réfugier, certains dormaient, d'autres se pelottaient dans des couvertures.
C'est probablement pour cette raison que personne ne remarquait la course-poursuite qui avait lieu.
Une silhouette passa rapidement dans la rue, elle courait, tenant quelque chose d'un bras, elle était vêtue comme une poupée victorienne, et était entièrement noir et blanche. Ses longs cheveux bouclés flottaient derrière elle, la pluie tombait sur elle mais elle ne semblait pas avoir froid.
Elle commença peu à peu à ralentir son allure, trottant d'abord, marchant ensuite, pour s'arrêter devant la porte d'une maison. Elle regarda derrière elle, personne ne se trouvait derrière elle, mais son souffle chaud et sa course laissait suggérer qu'elle était poursuivie, et que si elle l'a devancé, il allait sûrement la rattraper.
Ce qu'elle tenait se mit à bouger, et les grands yeux terrifiés d'un jeune enfant l'a fixé, ses cheveux et ses vêtements étaient trempé, mais on sentait qu'il ne tremblait pas à cause du froid, mais à cause de la peur.
« Il... il est toujours là ? » demanda l'enfant tremblotant.
« Je pense que oui, rentre chez toi et n'en sort pas. » dit-elle en le posant par terre
« Ha et aussi, évite de faire confiance à n'importe qui. »
« Mais je n'ai pas d'amis... » dit l'enfant avec tristesse.
Il fixa la femme, qui avec ses 1,80m, était vraiment très grande. Elle fit un geste avec sa main, une fumée noire apparaît et une poupée de chiffon grise orné d'un ruban noir apparaît et elle l'a donne à l'enfant.
« Imagine que c'est ton ami, je suis sûr que vous serez très proche. Il s'appelle Noireaud. Il y en a des pleins comme lui, si tu croises un enfant avec cette peluche, il où elle sera ton ami pour la vie. »
« S-Sérieux ? » dit l'enfant, surpris.
« Oui, maintenant... » elle se pencha devant l'enfant, qui pût apprécier son visage aux traits délicat, comme celui d'une poupée, ses grands yeux couleur argent, et le cône rayé noir et blanc qu'elle a en guise de nez.
« va retrouver tes parents, ils doivent s'inquiéter pour toi. » dit-elle, elle l'embrasse sous le front, et l'enfant, un peu rouge, rentre à toute vitesse à l'intérieur, on peut entendre des voix d'adultes, probablement celle des parents.
La femme monochrome resta un moment-là, puis, regardant à droite à gauche, elle commença à marcher prudemment, semblant chercher quelque chose... où quelqu'un.
Elle se dirigea vers une rue plutôt sombre. Marchant rapidement, alors qu'elle semblait chercher quelque chose. Puis d'un coup, elle entendit une voix de derrière elle, qui lui fait hérisser l'échine.
« Tu as vraiment le don d'agacer les gens, ma chère. » dit une voix grave et caverneuse tandis que des bruits de pas s'approche.
La femme releva légèrement sa jupe, et sorti, rangé dans un holster sur une de ses cuisses, un revolver noir et blanc, et d'une mini sacoche à côté du holster, elle sorti un ensemble de balles. Elle commença à les mettre une par une.
« Une belle femme comme toi, habillé comme ça, on les voit plus faire... tu sais, les coureuses de rempart. »
Dans sa tête elle commença le décompte.
« Enfin, perso, t'as l'air trop... je ne sais pas, prude, pour ça. »
Les pas se rapprochent de plus en plus.
« Surtout qu'apparemment, t'es comme moi, sauf que tu n'as pas la même soif de sang, c'est à la fois triste... et pas si triste... car bon, tu peux pas comprendre mon point de vue, mais... »
Il était derrière elle, elle se retourna pour pointer et viser, mais un bras l'attrape par le poignet et la soulève de plusieurs mètres, se retrouvant face à face avec son adversaire.
Il était comme elle, noir et blanc, nez en cône, yeux couleurs argent. Mais là où la femme avait un air gracieux voir maternelle et innocent, l'homme qui se tenait devant elle était semblable à une poupée de chiffon dans son corps et sa manière de se tenir, il était également très grand, avoisinant les 2,00m environ. Un grand sourire tordu traversait son visage de part en part.
« Ha mais c'est qu'on est une véritable amazone en plus » dit-il en regardant la jeune femme gigoter pour se dégageait.
« Bon par contre tu m'as littéralement volé ma dernière proie, ce qui fait que je vais te donner une correction, ne t'inquiète pas, je vais pas te faire quoique ce soit de dégradant, j'ai un minimum de respect... par contre je vais pas me montrer tendre. »
Il l'a relâcha et lui donna un coup de griffe qui l'a transpercé et l'a balança sur le mur.
Elle poussa un cri de surprise puis des gémissements de douleurs en s'écrasant sur le mur puis tombant à terre, elle se relève et sort une tronçonneuse noire de nulle part, elle l'activa puis hurla en sautant sur le clown, prêt à le transpercer.
Sauf qu'il se téléporta et lui donna un coup de pieds l'encastrant sur le mur, il est sur le point de s'avancer, quand il entendit un bruit et vit que pas loin, une bagarre à éclater entre 2 ivrognes.
N'ayant pas envie de se faire remarquer et se disant que la femme allait sûrement s'auto soigner vu qu'elle est comme lui, il se téléporta.
La femme gémit sous ses os cassés et sa blessures sanglantes, qui commencèrent petit à petit à se soigner, bien que ses vêtements demeurent déchirer.
« Sale... enfant... de... putain... je vais... vous trouvez... et vous égorgez ! » hurla-t-elle, tandis qu'elle saisit un pan de mur et que ses mains dans le même temps devinrent noires et pourvu de longues griffes tranchantes.
Dès que ses blessures se refermèrent, elle se releva, sa robe en partie déchirée, sa position plus « animale » qu'humaine indiquèrent qu'elle n'était pas vraiment de bonne humeur. Ses cheveux cachent son visage et elle sauta sur le toit d'une maison, scrutant les environs, elle vit un cimetière au loin, et son adversaire assis, adossé à une pierre tombale.
Elle se mit à sauter de toit en toit jusqu'à sa destination.
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2h00 plus tard.
« Je me demandes si t'es réveillé Isaac » dit le clown, assis sur une pierre tombale, il s'était téléporté là, sachant qu'il a laissé une congénère plutôt bien amoché pas loin.
« Que suis-je bête, j'avais oublié que t'étais mort comme l'enfant de putain que tu étais. » dit-il en sautant de la tombe et s'appuyant dessus, il vit alors une silhouette sauter de toit en toit pour venir jusqu'à lui. Il se détacha pour regarder de manière concentrée et curieuse la silhouette.
Il a à peine le temps de reconnaître la nana qu'il a tabassé qu'ils se retrouvent à rouler par terre avec un clown tentant de se défendre contre les griffes et les crocs d'une femme en colère.
Il finit par arriver à se dégager et se remettre sur pieds malgré sa tenue déchiré et les nombreuses plaies sur son corps.
Il avait face à lui une femme aux allures de poupées vachement furax, des griffes et des crocs lui sont poussés, ses yeux sont presque entièrement noirs, et elle a maintenant deux tronçonneuses active dans les mains.
« euh... désolé ? » dit-il, avec l'air du mec qui se rend compte qu'il a fait une grosse connerie.
Celle-ci lui fonce dessus, il n'a pas d'autres choix que d'user de cabrioles et autres pirouettes pour lui échapper, pour une fois les saltos arrière ça sert pas juste à être classe !
Il a tenté de l'attaquer par derrière, mais il a l'impression que les sens de la femme se sont aiguisés vu qu'elle arrive à prévoir tous ses mouvements.
Mais à force il commença à remarquer au fil du temps qu'elle s'épuisait, peinait à parer les attaques, ce qui lui a permis de la mettre plusieurs fois à terre (bon il s'est fait lui aussi mettre à terre à plusieurs reprises mais c'est une autre histoire) et elle reprenait peu à peu son apparence normal.
Il voulait en profiter pour attaquer... sauf qu'il s'est rendu compte que trop tard qu'il était épuisé et s'écroula sur le sol, il n'avait pas remarqué qu'il était aussi fatigué.
Avec difficulté, il s'appuie sur une pierre tombale à moitié détruite par leurs combats.
Sa congénère l'imita et s'assit sur une autre pierre tombale.
Il remarqua alors que le haut de la robe était entaillé, laissant entrevoir une partie de la poitrine, qui était plutôt généreuse, il loucha un moment dessus avant de détourner le regard. Mais remarqua avant une croix chrétienne en argent autour du cou, et caché sous la robe, qui reposait sur les seins de la femme aux allures de poupée.
« Pfouh... t'es plutôt endurante toi, t'as appris te battre où ? »
« Toute seule... »
« Hé, j'aurais dût m'en douter... »
Ils restèrent silencieux un moment puis il dit.
« Si tu veux je te laisse tuer le gamin, je te l'offre, cadeau. »
Elle le regarda bizarrement puis dit
« Je l'ai pas tuer, je l'ai ramené à sa famille. »
« Attends... quoi ? »
Il était surpris, elle n'a pas voulu lui prendre sa proie, mais l'a libérée ?
Curieux sur cette femme qui semblait de la même race que lui, mais qui semblait réfléchir différemment... il décida d'en savoir plus.
« C'est pour qui cette belle tronçonneuse alors ? ainsi que les balles de ton petit revolver ? pour une jolie pucelle qui sauve les enfants, t'es bien armée. »
« Qui t'as dit que je ne tuais pas ? »
« Bah, si ce n'est pas les gosses tes proies, c'est qui ? »
« Les adultes... surtout ceux qui se montrent mauvais envers les enfants. »
« ...Ha... »
Bon ouais effectivement, ils n'étaient pas du même monde, elle veut protéger les gosses alors que lui préfère les tuer lentement et sûrement. Bon au moins ils partagent la même passion pour le meurtre !
« Est-ce qu'on t'avait attribué un gosse aussi ? moi, le mien s'appelait Isaac, son père était un tapissier alcoolique et sa mère une faiblarde qui se faisait battre et violé tous les soirs et qui n'avait rien de mieux à faire que de traiter Isaac comme un ver de terre sans importance. Ils étaient pas riche et Isaac ne savait pas tenir ses promesses, il m'a demandé de tuer un chat quand on jouait aux pirates car ils disaient que c'était un « ennemi »... puis il est parti et m'a laissé seul sans moyen de sortir de ma boîte à musique pendant une dizaine d'années... il est ensuite revenu et il jouait à un autre genre de jeu... des jeux où il tuait et torturer des gens de différentes manière... j'ai trouvait que c'était drôle, alors je suis sorti et j'ai testait ces jeux sur lui, il en est mort ce fils de chien, et il est enterré là. »
La femme est resté silencieuse, puis elle dit, sur un ton mélancolique.
« Mary... l'enfant dont je m'occupais... était pas comme ça, c'était une bonne fille, gentille, douce, intelligente... elle était riche contrairement à votre Isaac... mais ses parents n'étaient pas mieux, son père était un entrepreneur à moitié fou, et sa femme une dame méprisante et alcoolique. Ils n'aimaient leur fille que si elle travaillait bien, elle n'avait pas d'amis ni personne... mon rôle était de la rendre heureuse... mais... ses parents n'aimaient pas l'idée qu'elle est une amie qu'ils ne pouvaient voir... alors, ils l'ont envoyé d'abord chez les bonnes sœurs au couvent, puis dans un asile psychiatrique avec des gens pour la soigner, ça a duré quelques années... mais je pouvais sentir, je pouvais la sentir malheureuse, traitée comme un monstre, un démon, une possédée, où je ne sais quoi... puis, elle est revenu, je n'avais presque plu mes couleurs à ce moment-là... je voulais qu'elle mente, qu'elle renie mon existence, qu'elle vive !... mais elle m'aimait trop pour m'ignorer... alors... sa mère à pris un revolver dans le holster de son médecin... puis... »
Elle imita une arme à feu avec sa main et la posa sur sa tête, le clown compris immédiatement.
« Elle a tué sa propre gosse ? »
« Ouais... c'est là où j'ai définitivement perdu mes couleurs... et... j'ai passée dix ans... »
Elle fixa sa tronçonneuse, matant son reflet et serrant sa croix.
« Dix ans... à chercher, retrouver, et tué toutes les personnes qui l'ont fait souffrir quand elle était vivante, ses parents, ces putains qui se faisaient appeler bonne sœurs, et les médecins... tous ont payé le prix... »
Elle desserra légèrement la main autour de sa croix.
« Puis après... j'ai commencée à errer, sans avoir un seul but dans mon existence... j'ai commencée à voir ce que des tas d'enfants aussi innocents, doux, et gentils que ma Mary subissait... et... j'ai décidé que si je ne pouvais pas être là pour Mary, pour la protéger et la rendre heureuse... je le serais pour d'autres gosses... »
« Et bé... on a presque vécu des situations similaires » dit Jack en sifflant.
« Sauf que vous vous tuez des innocents... »
« C'est un détail... dit, tu crois en Dieu ? »
« Non pourquoi ? »
« Ce que tu as autour de la poitrine... »
« À, ça... c'était à Mary, c'est tout ce qu'il me reste d'elle... »
« Plutôt sentimentale... je vois... »
La pluie avait cessé, et le soleil se levait.
« Dit, ça te dirait de faire équipe un petit moment ? »
« Heu... pourquoi ? vous ne vouliez pas me tuer ? »
« Disons que le fait que tu ne voulais pas butter ma proie m'a fait changer d'avis, de plus, t'es plutôt une bonne combattante, très douée... et très belle, je dois l'avouer. » dit-il malicieux en regardant la poitrine de la femme, celle-ci l'a couvrit, rouge d'embarras.
« Goujat ! » cria-t-elle
« Merci, on me le dit souvent. » souri le clown.
Puis il reprit, sérieux.
« Je suis sérieux, j'ai bien envie d'avoir une partenaire de crime un petit moment, déjà parce que c'est chiant d'agir tout seul, et parce que... disons que je pense qu'on pourrait être complémentaire. »
Il se téléporta près de Jill, saisit ses mains en les fixant.
« Ton ingéniosité et ton côté manuelle couplé à ma puissance et ma force, on ferait un parfait duo ! »
« De plus, je me montrerais tolérant si tu juges qu'un enfant mérite de vivre, après tout, tu n'as pas dit que les enfants méchants, adorant tuer des petits animaux innocents et faire souffrir les autres étaient des vies qui t'importait. » dit-il en la fixant tout en souriant, alors qu'elle restait méfiante.
« Et justement, ces enfants-là sont mes préférés, car ils me rappellent ce traître d'Isaac et sont donc beaucoup plus jouissif à torturer et tuer. »
Il ressemblait à un enfant qui avait trouver un ami avec qui jouer, la femme ne partager pas son enthousiasme.
« Qui me dit que vous n'allez pas me violer derrière une ruelle ? »
« J'ai vraiment une tête à faire ça ? je veux dire, ça a l'air rigolo, mais je ne sais pas, je crois que c'est le seul truc qui me dégoûte vraiment l'idée de violé des gens, déjà ça signifierait que je dois tremper ma saucisse dans un plat que t'aime pas forcément, et en plus... ça m'a jamais donner envie... tu sais, en observant les humains, j'ai appris que quand la saucisse se redresse, c'est que très souvent, t'as envie de faire ça... sauf que ça m'est jamais arrivé, donc c'est quoi l'intérêt de faire un truc qui me donne pas envie ? ok, y a des gens que je peux trouver attirant comme disent les humains, mais après, voilà, j'ai jamais eu envie, alors pourquoi je ferais un truc qui me plaît pas ? »
Ne sachant absolument pas comment prendre cette étrange réflexion mais comprenant qu'il avait pas l'intention de lui faire des trucs sales, la femme en noir se détendit un peu.
« Bon ok, je vais accepter votre proposition, et j'espère que je n'aurais pas à le regretter... »
Les deux personnages noir et blanc se relevèrent alors et se serrèrent la main.
« Marché conclu alors ! en fait mon nom est Laughing Jack ! mais tu peux m'appeler juste Jack. »
« Moi c'est Laughing Jill, mais vous pouvez m'appeler Jill. »
« Et s'il te plaît, tutoie-moi, on est collègue maintenant. »
« D'accord Jack. »
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Quelques années plus tard
Jack était content d'avoir eu raison de proposer ce petit partenariat à sa congénère. C'était très intéressant et ça changeait du quotidien, déjà il n'était plus tout seul à tuer donc c'était déjà ça, et il pouvait de plus apprécier le caractère de chasseur de sa nouvelle amie. Jill n'était pas aussi douée en magie noir que lui, et ne possédait pas beaucoup de force, mais elle était rusée, intelligente, ingénieuse, il sentait qu'elle prenait un malin plaisir à traquer les adultes qui avaient osé faire souffrir un enfant : pédophiles, parents abusifs et autres, c'était drôle de voir ces personnes d'habitude si bien protéger par un système rouillé, se retrouver à la merci d'être plus puissant qu'eux. D'habitude il trouve les adultes ennuyants, préférant les rendre fou, mais il devait avouer que Jill avait le don de rendre ses tueries intéressantes. Elle aimait reprendre des règles de jeux d'enfants pour jouer avec ses proies, et ça rendait la femme plus intéressante et appréciable à ses yeux.
Jill, de son côté, était extrêmement méfiante envers son nouveau « collègue » quand ils ont commencé à cohabiter, mais après que celui-ci n'ai jamais cherché à l'abuser et qu'il l'écoutait quand elle l'accompagnait dans ses tueries. De plus, elle a été surprise de voir que celui-ci pouvait se montrer galant, voir agir en vrai gentleman avec elle, et ça l'a rendu bizarre. Pour elle, Jack est compliqué à comprendre, elle ne sait pas pourquoi il n'a aucun remords et des fois on a l'impression qu'il cherche plus à vous manipulez voir à jouer avec vous qu'à être votre ami. Mais elle s'est habituée et avoue qu'il a tout de même un certain charisme, ainsi qu'un chouette talent pour la musique et le chant, elle en à d'ailleurs profiter pour lui enseigner quelques pas de danses. Il faut avouer que c'est un bon élève très attentif. Elle a fini par ne plus se méfier et ne pas regretter cette collaboration, son compagnon était étrange, mais il était d'un côté attachant et captivant.
Mais il y avait une ombre au tableau.
Jill s'est rendu compte... trop tard, qu'elle était tombée amoureuse de lui.
Et ça l'énervait, elle pouvait apprécier une amitié, mais un amour ?
Surtout avec quelqu'un comme Jack...
Des fois le cœur est vraiment bizarre.
Même si elle se sent plus vivante auprès de lui, elle détestait cette sensation, car elle connait Jack...
Jack quant à lui, a commencé à ressentir des sensations étranges au bout d'un moment quand il est auprès de Jill, il commencée à apprécier sa beauté, son caractère vif et son intelligence à un autre niveau, il aimait la regarder et il... avait l'impression de ressentir des émotions... quand elle est là, il a l'impression que son ancien lui, son ancien lui innocent, revenait en partie, et qu'il redevenait vide quand elle n'était pas là.
Il savait qu'on appelait ça de « l'amour », mais il ne sait pas comment l'exprimer.
Il décida d'utiliser la seule chose pouvant se rapprocher de ce qu'il ressentait.
Un beau jour, elle était en train de se coiffer devant une grande glace... elle le vit arriver dans la glace.
« Ho ! Salut Jack ! comment tu vas ? » disait-elle joyeusement en se retournant.
Jack, lui s'avança vers Jill, sans parler, ce qui inquiétât un peu la plus petite.
Il mit une main sur sa taille et une autre sur sa joue délicate, et... il l'embrassa.
Jill ne comprenait rien, son esprit s'arrêta pendant plusieurs secondes, puis elle senti une main passait sous sa jupe. Ce fût une énorme bêtise.
Elle asséna une gifle à Jack
« Mais ça va pas !? »
« Jill je... »
« pas de je... je pensais t'avoir dit que je ne tolérerai pas que t'essaye de faire quoique ce soit avec moi ! DEGAGE ! »
Elle avait pris un ton colérique, la colère, l'incompréhension, et beaucoup de choses se mêlèrent dans le regard de la femme. Jack, comprenant son erreur, recula, et parti rapidement par la porte.
Ils ne parlèrent plus du tous les jours suivants, sauf Jill, pour annoncer à Jack la fin de leur collaboration, elle partirait d'ici 7 jours pour repartir en Ecosse, son « pays natal », les deux avaient le cœur serré devant cette décision, mais quand on est pas sûr de ce que l'autre ressent... c'est le genre de décision inévitable.
Jack s'est surpris à voir des larmes réelles couler sur ses joues le soir
Jill a choisi de pleurer en silence aussi.
Ils ne voulaient pas que l'autre sache.
Jill ne savait plus comment voir Jack.
Et Jack ne savait plus comment communiquer avec Jill.
Puis, Jack avait commencé à errer dans les rues, dans l'espoir d'oublier autre qu'en se bourrant la gueule, jusqu'à ce qu'une femme courant près de lui, fît tomber un livre qui attira son attention.
Il avait besoin de se changer les idées, alors il l'a ramassé et à commencer à le lire chez lui ces derniers jours.
Le roman, intitulé « orgueil et préjugés » était un roman sentimental, mais qui a retenu son attention.
Les deux personnages, Darcy et Lizzy, avait une relation qui lui rappelait la sienne avec Jill. Darcy se cache derrière une attitude détestable alors que ce n'est pas un mauvais bougre, et Lizzy est quelqu'un rempli de préjugés envers Darcy. Puis il y a eu le moment où Darcy écrivait une lettre expliquant ses intentions, ses sentiments, et s'expliquant sur certains actes non appréciable (comme avoir empêché la grande sœur de Lizzy de voir son ami nommé Bingley car il croyait que c'était une opportuniste.). C'est là qu'il eut une idée.
Une lettre, il ne sait pas quels sont les gestes pour exprimer son ressenti, mais il connaît les mots.
Il s'empressa de voler de quoi écrire, puis il entreprit de commencer à rédiger, enfermer dans sa chambre sans en sortir. Jill ne se posait pas de question, elle se contentait de se préparer pour prendre un train, pour revenir chez elle.
Puis, le 7éme jour, la lettre finie, et l'ayant bien relu, il sorti, mais s'était rendu compte que Jill n'était pas là, il s'empressa de courir jusqu'à la gare.
Il ne voyait pas l'intérêt de se téléporter si il ne savait pas où elle était.
Il l'a vit alors, en train de marcher d'un pas vif, il hurla.
« JILL !! »
Celle-ci, surprise, se retourna.
« Jack ? qu'y-a-il ? » dit-elle interrogative.
Il arriva devant elle, et il tendit une enveloppe d'une main.
« je veux te donner ça... j'aimerais que tu l'a lises, plus tard, quand tu veux, mais lis là, je n'ai pas eu un bon comportement, et j'en suis désolé... j'espère que cette lettre arrivera à me faire pardonner. »
Jill, le fixant, pris la lettre, et l'a serre contre sa poitrine.
Jack lui fit un sourire un peu timide, puis, il écarquilla les yeux et hurla.
« A TERRE !! »
Il poussa une Jill confuse par terre, alors que une chaîne surgit de nulle part, et lui transperca le ventre, le faisant tombé à terre.
« Jill... barre-toi... »
« Jack... qui sont-ils ? »
Elle regarda dans une direction, elle vit que celui qui tenait la chaîne était un humain vêtu d'une étrange tenue noir, il portait des objets divers mais semblait occulte, voir fait pour tuer les êtres surnaturelles.
« ce sont des chasseurs... des types qui chassent les êtres surnaturelles, ils me poursuivent depuis des années... par pitié sauves-toi. » dit-il grimaçant.
« Mais... » commença Jill.
« C'est un ordre putain, ils vont s'en prendre à toi aussi ! »
Jill hocha la tête et se mit à courir puis plus loin, elle se téléporta dans l'appartement dans lequel elle vivait avec Jack.
Elle retenait ses larmes, tout s'était passé trop vite... elle ne comprenait pas.
Elle fixa la lettre, et décida de l'ourvrir et de la lire, elle s'assit...
Et là elle se mit à pleurer.
Ma chère Jill
Je sais que tu dois encore m'en vouloir pour ce qu'il s'est passé, et j'en suis désolé, si je t'ai mise mal à l'aise, ce n'était pas mon intention. Je n'ai jamais pu voir comment les humains faisaient pour exprimer certains sentiments, alors je copier sur mes souvenirs d'Isaac et sa famille... Je sais, ce n'est pas le meilleur exemple. Mais je ne comprends pas vraiment ces choses. Si je ne connais pas les gestes pour exprimer mes sentiments, je connais par contre les mots. Alors laisse moi te dire : j'aime ta manière de te tenir, j'aime ta voix, j'aime ton allure, j'aime quand tu te recoiffe dans la glace, j'aime te regarder travailler sur tes armes, j'aime tout de toi.
Jill
Cette lettre est courte, j'aurai voulu en faire une plus longue, mais en bref, Je t'aime beaucoup.
Voilà
J'espère que tu me pardonneras.
Ton cher Jack
Faisant tomber la lettre par terre, elle couru hors de l'appartement, jusque là où Jack a été attaqué.
En voyant le sang par terre, indiquant qu'on a traîner son clown...
Son sang ne fit qu'un tour.
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Dans les sous-sols, en pleine nuit.
« Bordel mais tu vas arrêter de rire, espèce de taré ! » dit un homme encapuchonné qui donner des coups de poings à un clown cloué avec des clous sur un poteau.
« ce n'est pas de ma faute si vous... hahaha... essayez pitoyablement... de me faire regretter mes actes... HAHAHAHA !!! »
« en même temps, pas étonnant pour un suivant de l'homme des bois... » dit un gars derrière.
« je ne sais toujours pas qui c'est cet Homme des bois, mais j'ai de plus en plus envie de le rencontrer. »
« Je pense que tu devrais abandonner, je pense que nos oracles se sont trompés, il n'a pas encore rencontré l'homme des bois... » dit une autre personne, une femme.
« Que suggères-tu de faire ? »
« Peut-être en faire un cobaye ? »
« C'est une bonne idée ! »
« Euh, je ne suis pas d'accord moi ! » dit le clown, pas ravi à l'idée de servir de cobaye pour de sombres expérimentations.
Un autre coup de poings atterrit dans sa gueule, lui faisant cracher du sang.
« Personne t'as demandé ton avis ! »
Tout d'un coup, la lumière s'éteignit, et des cris se firent entendre.
Quand la lumière se ralluma.
Jack pût voir que toutes les personnes présentes étaient mortes de manière plutôt gore... et mis dans des positions louches, au milieu du bain de sang, Jill se tenait là, tronçonneuse à la main.
« Jill !? » il était surpris de la voir là.
Elle s'avança vers lui, puis, sur le point de dire un mot, il se prit une gigantesque gifle dans la gueule.
« Ça c'est pour avoir mis ta main sous ma jupe »
Puis elle tourna le menton du clown vers lui, et déposa ses lèvres sur celle du clown confus et sonné.
Elle détacha ensuite ses lèvres
« Ça c'est pour tout le reste. »
Elle le détacha et l'aida à se remettre sur pieds.
Puis, sous l'effet de quelque chose de trop longtemps contenu, les deux se jetèrent dessus et... commencèrent à se rouler des pelles.
Jack les téléporta dans leur chambre, où les deux s'effondrèrent sur le lit, Jack mis en lambeaux la robe de Jill, alors qu'elle enleva les brettelle, son haut, et son pantalon. Le tout en s'embrassant.
La suite n'a pas besoin d'être décrite.
Le lendemain, les deux, étaient pelotonnés l'un à l'autre, tout était retombé, mais ils savaient que maintenant, c'était différent.
« Tu prévois toujours de revenir en Ecosse ? »
« Je ne penses pas... »
« Donc... on restes ensemble ? »
« Oui... »
« J'en suis bien content, ma chère Jill »
« Moi aussi, mon cher Jack »
Les deux s'embrassèrent, comme pour sceller une promesse, et décidèrent de rester la matinée au lit.
Il y a une forme de douceur dans ce qu'ils ressentent, à travers la sincérité de leurs sentiments.
Mais aussi une forme d'amertume, à travers ce qu'ils sont, et les efforts qu'ils devront employer pour apprendre à vivre avec l'autre avec cette nouvelle relation.
C'est sûrement ça qu'on appelle un amour doux-amer.
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