ONE SHOT - UN STYLO SPÉCIAL POUR UNE PERSONNE SPÉCIALE
Il écoutait tranquillement l'ennuyeux cours de maths du mardi matin pendant la pluie de cordes qui frappait sur sa fenêtre. Jusqu'à ce que leur professeur ; Hectoplasm, leur demande de noter la correction inscrite au tableau. Le jeune adolescent, bon élève comme il est, se dépêche de sortir son effaceur, seulement ce dernier n'a plus d'encre. Et c'est une très mauvaise surprise pour le garçon, qui ne veut perdre aucune seconde pour noter les inéquations. Sinon, au moins un de sa classe finira avant lui et l'inclura dans son attente.
Mais, pas si grave que ça, il en a un autre. Alors il devra se dépêcher d'aller le récupérer dans sa trousse, le tout dans ce calme si bruyant de la classe, brouillé par les chuchotements des bavards et des bruits de pluie fades et fastidieux.
Malheureusement pour lui, il n'a pas pu le faire. Puisqu'un autre stylo se pointa au dessus de son épaule. Il était tenu par une main venant de derrière. Seulement avec cette information on peut déduire que c'était Deku. En plus, c'est sa main cicatrisée reconnaissable entre mille qui tenait le stylo. Et en plus de plus, c'est le seul qui peut avoir la gentillesse de chercher et donner un stylo alors que leur prof leurs laisse moins de 5 minutes pour copier les deux tableaux noirs pourtant presque blanc en ce moment à cause de la craie qui les couvres.
Il détourne la tête, regarde le stylo puis la monte vers son camarade d'un œil impassible en le dévisageant. Après, il retourne ses yeux encore une fois vers le stylo, mais d'un œil beaucoup plus attentif et concentré cette fois.
Ce stylo, c'est un simple stylo bic®, il a l'air ancien mais son capuchon n'a pas été mordu -heureusement-
Jusque là ça passe pas mal, mais ce n'est que quand il regarde le plastique transparent qui recouvre l'autre plastique gardant l'encre qu'il fronce encore plus ses sourcils.
Ce stylo a été attentivement décoré avec un blanco faisant des traits fins et bien manipulés donnant d'admirables traits de gravures entourant le plastique de contact.
Mais pour Katsuki, qui lui n'a pas un œil d'art ou ne serait-ce qu'un minuscule avis mélioratif, c'est moche. Et encore, ça le met à penser que le jeune aux cheveux verts se moque de lui et le prend de haut en lui donnant un tel "déchet".
Donne-t-on une telle merde à la personne dont-on est amoureux ? Bien évidemment que non. On lui prête au moins le stylo de secours jamais encore utilisé qu'on garde soigneusement dans son gros cartable jaune. Alors c'est comme ça que Deku le considère... Une personne sans importance à qu'il donne sa poubelle. Il en conclut que Deku n'est pas amoureux de lui. Ça blesse dit donc... C'est pour ça que, pour ne pas montrer sa peine, il la camoufle par de la rage, et c'est ce qu'il a toujours fait.
Katsuki est quand même hors de lui. Son ego et son petit cœur microscopique blessés ont alimenté sa colère pour qu'elle n'importe sur ses actes et qu'il frappe la main qui lui a été tendu.
‹‹ Tu te fiche de moi ? ››
La main, blessé et sous la surprise, lâche le stylo qui lui, s'évade de la petite fenêtre à soufflet vers l'extérieur, là où on ne peut pas seulement entendre et sentir le crachin frais de la fin d'hiver, mais aussi le vivre.
Le plus jeune s'attendait déjà à une réaction du style, mais ça ne peut s'empêcher de l'attrister. Alors un peu peiné, il se re-concentre sur son cours, maintenant obligé d'être noté par un stylo noir, celui qui lui reste [... ]
C'est déjà la récrée, et Izuku ; timide comme il est, ne choisit pas de demander un stylo bleu à ses amis s'ils ont auront un de plus, non. Il préfère sortir du lycée et aller jusqu'à la librairie en acheter un autre, faisant alors un marathon pour ne pas manquer de temps. Il demande un stylo la voie à cours d'hydrogène, prend le stylo et balance le moins violemment possible l'argent vers le vieux monsieur qui lit tranquillement son livre, insouciant.
Il retourne en cours à temps et peux s'asseoir dans son calme écouter le cours qui se présentera à lui dans moins d'une minute.
Mais, cette fois-ci, c'est son stylo qui ne marche pas. L'insouciance du vieux monsieur a bien dû affecter son choix... Il dû alors reprendre son stylo noir (com m'en ceur de baka UwU) et écrire son cours.
Sauf que du point de vu du Bakugo, ce n'était clairement pas la même chose. Lui qui ne voit que ce qu'il lui chante, est assez énervé à comprendre que Midoriya lui avait donné sa poubelle pour pouvoir enfin écrire avec son magnifique stylo de secours. Car, ne se le cachons pas, les stylos de rechange sont toujours mieux que ceux de bases ! Au point ou certains échanges les rôles. Et Izuku, dur avec lui même comme il est, ne l'a pas utilisé et a pris l'occasion de le reprendre en ne manquant pas de blesser le blond... C'était si insolant à ses yeux incultes. Absurde.
***
Ça avait déjà sonné et, Katsuki était assis dans un coin de la cour. Un coin bien caché et dans l'ombre. Il avait arrêté de pleuvoir et le garçon se cachait de ses "amis" Eijiro et Denki qui voulaient le faire chier comme à leur habitude.
Le fait que ce coin ombré et calme lui avait permis d'être épargné de cette pluie rigoureuse et bien brutale. Il était visiblement le seul à être sorti vu que tout le monde profité de la pause du midi à l'interieur. Il pouvait alors manger tranquillement son humberger au safran et au clou de girofle avec cette solitude si calme et apaisante, rien à voir avec sa maudite classe.
Dans sa deuxième moitié, il vu son ami d'enfance rôder sur l'herbe boueux qu'était devenu cet espace vert toujours bien ensoleillé habituellement préféré des élèves, il semblait à la recherche de quelque chose... Mais quelle chose pourrait bien le faire salir ses chaussures préféré et délaisser un déjeuner avec ses précieux amis ?
Izuku et cette chose visiblement perdue avaient coupé l'apetit du blond et ouvèrent grand sa curiosité.
Alors il décide de rejoindre son camarade aux cheveux vert ne manquant pas de salir ses chaussures d'écolier et son pantalon d'uniforme qu'il portait sur ses hanches, garantissant ainsi de le salir plus.
Il s'avance vers le brun qui ne l'a même pas remarquer et lui demande au dessus de son épaule ‹‹ Qu'est-ce tu fais encore ? ›› D'un ton désintéressé mais qui ne cachait pas aussi bien son appétence de découvrir quoi.
Izuku, surpris, sursauta. Puis essaya -en faisant de son mieux pour ne pas paraître anxieux- de formuler une phrase potable et digne d'être entenduu et bien évidemment qui ne cachait aucun double sens qui pouvait énerver son camarade aussi. Alors finalement, au delà de tout ses bégaiement, il réussit à sortir ‹‹ Je- je cher- recherche ! Mon... Mon... Euh.. ›› Oui, ce n'est pas une phrase potable. Oui, elle n'est pas digne d'être entendue, oui elle cache beaucoup de sous entendu, oui elle est parfaite pour énerver le blond et oui elle n'est pas sans bégaiement. Mais bon, il a fait de son mieux. Ce n'est pas de sa faute s'il est nul.
Le blond le regarde, exaspéré, puis lui en jette un noire. Le vert y tremblit un peu, mais réussi quand même à articuller ‹‹ Je cherche le stylo que tu as fait tomber ce matin ! ›› dit-il alors, à la deuxième vitesse.
katsuki regroupa son visage et Izuku décomposa le siens. Il voudrait bien s'enfuir en courant mais la boue s'assurerait parfaitement de l'en empêcher...
‹‹ Qu'est-ce que ça veut dire ? ›› Lui demanda-t-il alors d'un ton froid.
‹‹ Je- m... Le- le stylo que- je cherche le stylo aux gravures de blanco ! ›› Cracha le plus jeune enfin.
Katsuki le devisagea, puis leva sa tête pour apercevoir les fenêtres de sa salle de classe, il regarda fixement un point que le vert ne pu tracer, puis fit un saut de des yeux.
‹‹ Il doit être là. ›› Midoriya le devisagea de ses grands yeux globoculaires. Kacchan est si doué... Tellement que cet humain grincheux a pu calculer la vitesse de sa lancé de stylo et en déduire son emplacement. Comment réussit-il à être comme ça aussi facilement !
Quoi qu'il en soit, le vert se diriga vers une petite flaque de bout précédemment pointé par son rival et y plongea sa main. Il en retira alors à sa grande pas surprise son stylo, bien plus en mauvais état qu'il aurait pu penser... L'eau boueuse avait pénété le plastique, puis s'était peu mélangé avec l'ancre faisant de lui un stylo inutilisable. Mais le pire était que ce qui rendait ce stylo si précieux s'était effacé, du moins, il n'en rester pas grand chose...
Sous sa peine pour se stylo qu'il chérissait temps, il n'oublia pas de remercier le Bakugo et lâcha un simple et bref ‹‹ merci. ›› qui transmetter bien plus qu'il ne pensais son affligeance.
Le blond frança alors ses sourcils, il ne s'attendait pas à cette réaction...
‹‹ Quoi ? Mais t'es sérieux ?! ›› Lui cria-t-il presque.
Le vert le regard en suite en fronçant aussi les sourcils. Il n'ai visiblement pas d'humeur à gérer les pics de colère de son ami. Il se tut alors ayant jugé que c'était la meilleure chose à faire. Il n'a pas envie de ralimenter sa colère, de plus qu'il dira sûrement quelque chose qui regrettera plus tard. Et ce, même si le plus grand insiste à recevoir une réponse.
‹‹ Tu m'ignore ? Deku ! Tu te fou de moi ?? ››
Ça peut paraître énervant que le Bakugo réagisse ainsi, mais disant que de son côté, il se sens blessé. Deku, la personne qui l'a le plus vu brillée durant toute sa vie, viens non seulement de le prendre de haut mais aussi de l'ignorer. C'est comme cela quand traite les personnes qui n'ont aucune importance à nos yeux. Et il dramatise dans sa tête.
« Pourquoi tu veux le reprendre ? » Lui demanda-t-il pour pouvoir y aller et ne plus se poser de question.
Le vert alors se senti obligé d'y répondre, il ne voulait pas être plus malpoli, ça ne lui ressemble déjà pas de se comporter ainsi. Et ce, même si le blond trouvera ça ridicule.
Alors quand Katsuki s'attendait à recevoir un deuxième vent, Deku répond ; « Je... je ne sais pas trop... Ce stylo a toujours été précieux pour moi. J'avais dessiné sur son plastique il y a de cela des années, et pourtant je ne peux pas le jetter... Maintenant, à cause de cette pluie, ce n'est devenu plus qu'un stylo bon à jeter. »
Suite à cette réponse, le blond se sens confus. Si ce stylo est si précieux aux yeux du Midoriya pourquoi le lui a-t-il donné ? Si avant cette minute le blond pensait pouvoir retourner manger sans question alors maintenant il y en a que plus. Sa relation avec lui est si opposée.
« Pourquoi tu me l'as donné alors ? » questionna-t-il froidement.
Izuku le regarde, gêné. Il n'avait pas pensé à ça quand sa main s'était tendu devant, le stylo à la main... Alors il en profite pour répondre à lui même.
Le silence de son camarade l'avait ennuyé, alors Katsuki crie un bref « Deku ! » qui transmis son impatience au plus petit. Ce qui laissa le prénomé Deku se dépêcher pour formuler sa réponse. « C'est que... Tu avais besoin d'un stylo alors je te l'ai donné ! » Voyant que ses paroles ne convaincaient du moins le blond, il décida d'être honnaîte avec lui même pour mieux l'être avec son interlocuteur, et dit simplement « Quand tu possèdes quelque chose de précieux, tu ne peux la donner qu'à quelqu'un de précieux. » Et Katsuki ne pu que cligner des yeux face à ses paroles. Elles étaient honnaîtes mais le contexte les rendaient plus fausses à ses yeux que les premières paroles dites de son camarde semblaient beaucoup plus convaincantes.
« Et alors, pourquoi tu me le donnes ? Tu pourrais le donner à ta mère ? Tes amis ! Uraraka ! Où encore simplement le cacher avec tes trésors... » Et c'est là qu'Izuku le regarda bizzarement. katsuki n'était pas sûr de comprendre l'intention du vert. D'après ses paroles, Kacchan était une personne précieuse, ça c'était le minimum, et ça l'a réconforté sur ce qu'il avait pensé plus tôt, mais pourquoi le lui donner... À lui ? Katsuki Bakugo, lui qui n'est qu'une connaissance de longue date qui a fait preuve de beaucoup d'immaturité (et il en fait toujours preuve mdr), lui qui n'est qu'un adversaire insignifiant face au grand pouvoir que renferme Deku. Lui qui n'est qu'un obstacle qui le fais chier et à qui il éprouve une profonde peur et un abominable effroi. Il aime beaucoup plus sa mère, all might, sa classe, les héros ou encore la tête d'œuf.
Voyant qu'il semblait n'avoir toujours pas compris, Midoriya décide d'être encore plus claire avec lui même, et dis autant pour lui que pour l'autre : « Je pense que c'est parce que tu es la personne que j'aime le plus au monde... »
Bakugo refit défiler les paroles de Deku encore et encore dans sa tête, tandis que ce dernier restait pensif, ça ne semblait pas le gêner... ou ne s'en est-il juste pas rendu compte ? Quoique soit la réponse, elle ne changera pas ce fait.
Même si quelques lignes plutôt, Katsuki semblait n'avoir aucune confiance en lui, mais juste après ces dires, il se sentait comme le meilleur être jamais existé. Tout semblait s'être peu à peu éclairci, et il pouvait reprendre son égo pour répondre.
« C'est une déclaration ? » dit-il un malicieux sourire aux lèvres. Et ce n'est qu'à ces mots que le vert se renda compte de ses paroles. Où était donc sa tête ? « Non ! » Il voulu nier mais n'était lui même pas sûr que c'était un mensonge. « Enfin... C'est une vérité... Mais... Ça ne veut pas dire que j'attends quelque chose ! Ça ne cache pas d'arrières pensées... ! Je voulais juste répondre à ta question ! J'y ai juste répondu... Voilà... »
« Je supose (j'avais toute ma vie crue que c'était je suis pose et là je fais la correction et je vois ça mdr) que tu ne me demande pas non plus de sortir avec toi ? » Le vert hocha sa tête effrayé de ce camarade qui le regardait jusqu'à son âme. Il paraissait menaçant et les sentiments nu d'Izuku semblaient l'énerver. Alors que...
Katsuki était de plus en plus satisfait. Il n'était que trop comblé que son camarade réponde à ses sentiments alors que c'en était littéralement de l'euphorie. Il découvrait avoir cette seule et unique chance de pouvoir sortir avec l'élue de son cœur, et de pouvoir gérer ce couple qu'il a l'immense et incapable occasion de former.
« Parce qu'il y avait pas question que tu te déclares avant moi ! JE domine. » Le midoriya le regarda d'un œil stupéfait tandis que lui avait les paupières fermées pour le constater, trop occupé de penser à ses plagnings sucrés. « Mais avant que je te le demande, il faut que tu sache que tu n'as pas le droit de refuser, tu ne peux pas faire ton trouble fait et nous ramener du drama. Ok ? » Le vert ne se vue que pouvoir acquiescer se trouvant incapable de réfléchir clairement. « Alors je commence, "Deku, veux-tu sortir avec moi ?" » Ledit Deku hocha alors automatiquement la tête encore une fois.
Et même si Katsuki le regardait sérieusement, à l'interieur de lui, il était fou de joie. C'était si improbable pour lui que la personne à qui il a fait tant de mal puisse partager ses sentiments, il avait tant de difficultés à y croire qu'il se pinça discrètement la cuisse, et une fois vérifié, il continua: « Alors je te nomme comme mon petit-copin. » Le vert semblait ailleurs. Ne l'écoutait-il pas ? Ou était-ce la surprise ? Katsuki ne savait pas vraiment s'il devait continuer son discours. Midoriya devait être attentif parce qu'il n'allait pas se répéter.
« Deku ! »
L'appel du blond lui monta enfin aux oreilles et le rouge encore plus vite.
« Ou- Oui ? »
Ce dernier guidait un dilème intérieur. Il y avait tant de questions qui rodaient dans sa tête sans réponse. Comment ce faisait-il, que la personne qu'il croyait le détester le plus se retrouve à discuter avec lui d'un couple qu'il pourrait formé avec elle ? D'où le Bakugo l'aimerait-il enfin ?! Il l'insultait à chaque fois qu'il parlait, il le regardait avec toute la haine du monde à chaque fois qu'il croisait son regard et le frappait à chaque occasion. Comment ce faisait-il qu'il soit lui aussi amoureux de lui ?
« Je disais...
- Comment ça se fait que tu m'aime ? » le blond le regarda surpris. C'est quoi cette question ? C'est à lui et à lui seul de poser cette question ! Bien évidemment, c'est lui le plus surpris... Il découvre que la personne à qui il a fait le plus de mal était amoureuse de lui ! Mais... Lui alors ? Que ressent-il ? Il doit probablement être chamboulé plus que lui. Il a toujours était la plus grosse victime après tout... Katsuki sourit discrètement.
« Je ne m'en étais rendu compte qu'en cette saison. Je sais pas... À chaque fois que je te vois, mon esprit va ailleurs, je m'imagine des trucs et ça va loin. C'était de la merde à chaque fois. Tu étais là, toujours à me coller... Et ça faisait des trucs à mon corps, ça me donner une impression trop agréable mais incunnue. Du genre boule au ventre, pression en dessous, bouffées de chaleurs, papillons, chaleur aux joues, esprit et cerveau incapable de fonctionner et ça me gavait. Ça me faisait un peu peur et je savais pas ce que ça voulait dire... Et toi tu rajoutais ta couche et t'empirais à chaque fois ! Alors je me défoulais sur toi. Ça me mettait trop en colère. Et ce matin tu m'as énervé. » Izuku le regarda surpris. C'était la première fois que Katsuki se confiait à lui, et ça expliquait tellement de choses... Il se sentait si heureux d'avoir eu cette sincérité qu'il ne pu s'empêcher de sourire. « C'est bon Deku je sais que c'est con ! » Le vert n'eu même pas le temps de s'expliquer qu'il enchaîna « Maintenant à ton tour, explique moi. »
le vert le regardait... C'était son tour maintenant d'exprimer ses sentiments. Comment ça peut faire du bien de raconter des choses si embaranssantes à voie haute ? Mais Katsuki avait le droit de savoir, et il n'allait sûrement pas le juger. C'est Katsuki après tout.
« Je ne sais pas non plus de mon côté... Je crois que je l'ai toujours été. En fait, je crois que je n'ai jamais cessé de t'aimer, et qu'inonsciement, j'appellais ça de l'attention amicale. Comme pour me protéger, parce qu'inconsciement aussi, je savais que c'était impossible. » le blond le regarda bêtement.
C'était si imprévisible pour eux d'eux. les deux avaient ses sentiments depuis déjà un bon bout de temps, et les deux n'avaient jamais ne serait-ce qu'effleurer la pensée que leurs sentiments étaient partagés. Si son effaceur ne s'était pas vidé ce jour là, ils seraient encore aussi distant, et peut-être qu'il seraient restés comme ça toute leurs vies. C'est si bête.
« Ok... Alors je continue, en tant que mon petit-ami, il y a des règles.
Premièrement: Tu n'as pas le droit de me quitter. Avec moi, c'est dès maintenant à jamais.
Deuxièmement: Tu n'as pas le droit de me tromper.
Troisièmement: Tu n'as pas le droit d'être trop proche avec double face ou la tête d'œuf.
Quatrièmement: Tu n'as pas le droit de ne plus être amoureux de moi. Parce que sinon je... » il regarda par terre cherchant à changer la réaction qu'il pourrait avoir. Et soudainement, son compagnon lui caressa l'épaule. « Je ne peux pas cesser de t'aimer kacchan. »
Wow... Ça c'est fait si vite...
C'est là que le blond le serra fort dans ses bras. Le vert surpris puis beaucoup plus calme, répondi à son étreinte. Ils étaient restés comme ça sans s'en lasser, la notion du temps les avait perdue et plus rien ne comptait. Ils étaient en couplé, avec la personne qu'ils aimaient respectivement le plus, c'était ça le plus fou mais aussi qui l'ai rendaient si émus. Ils avaient tant refoulés leurs sentiments, croyant chacun que l'autre n'avait pas d'intérêt pour lui, ça semblait si irréaliste que chacun en pleurait même sur l'épaule de l'autre.
Leurs souhait présent le plus impensable était réalité, c'était si inimaginable que ça semblait magique. L'amour n'est pas quelque chose d'impossible, notre cœur ne fait qu'aimer sans se préoccuper du reste, et aussi mal qu'on pourrait le prendre, les âmes sœurs répondent toujours à des sentiments sincères.
Alors, dans cette si chaleureuses étreinte, Izuku ne put s'empêcher de repartager ses sentiments.
« Je t'aime.. »
« Moi aussi, crétin ! »
Fin.
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