Chapitre 15 : Enlèvement
- Tommy ... est-ce une blague ?
Thomas fit un non de la tête.
-Je ... je ne sais pas quoi dire.
-Moi non plus, la lettre m'est, je crois bien, destiné.
-Aurait-elle pu voir dans le futur ? Dit sombrement Newt. Ou ton toi du futur, nan ?
-Je ne pense pas que mon moi du futur aurait un nom de fille.
Thomas commença à faire les cent pas sous le regard de Newt qui tenait toujours dans ses mains la lettre.
-Désolé Tommy mais je doit y aller.
-Où ça ?
-Chez le fleuriste.
-J'viens avec toi.
Thomas et Newt décidèrent donc de sortir pour aller chez se fameux marchand de fleur.
Aucun des deux garçons ne parla, il règne un silence si nous ne comptons pas le bruit dans les rues faits par divers fais comme les voitures, des groupes de personnes rigolant sans gêne ou même des enfants pleurant pour une friandise où une petite blessure qu'ils se seraient faîte. Thomas était sur ses gardes, pensant toujours à son père et le gang qui l'accompagne. Ayant peur qu'au coin d'un rue il ne les croise et que ceux-ci lui sautent dessus ou même sur le blond qui se trouvait à ses côté. On ne sait jamais. Newt, lui était plutôt distrait par la lettre qu'avait déniché Thomas. Celà le troublait du fait que la personne avait le même nom que sa défunte mère. Il se demandait aussi comment la personne qui avait écrit cette lettre pouvait savoir que Thomas allait rentrer dans cette pièce et qu'il allait avoir l'idée de trouver cette boîte. Ils avaient décidé de passer par le marché pour faire plus court. Le marché était, en ce dimanche, remplit de personnes. Ce qui inquiétait Newt qui avait peur de perdre Thomas d'une seconde à l'autre. Tous se monde le faisait sentir oppressé, il n'aimait guère être dans des endroits trop serrés où les gens étaient les un collé au autre. Alors qu'il passait devant une ruelle il s'aperçut que Thomas était tiré de force par un grand homme habillé de noir. Thomas se débattait mais il s'était fais entraîner trop vite dans la ruelle. Newt se précipita alors à la poursuite des deux hommes. Arrivé dans la ruelle, il s'aperçut avec horreur qu'il y avait cinq autres hommes sans compter l'agresseur du brun.
Pdv Newt.
La panique avait pris possession de mon corps. Tous mon corps tremblait, j'avais envie de m'enfuir mais celà ne serait pas responsable étant donné que ces hommes en noirs détenaient mon Tommy. Mon cervaux ne réagit pas assez vite quand l'un des hommes me sauta dessus pour me faire un plaquage. Il se croit au rugby !! J'ai bien crus que j'allais m'étouffer sous cette masse de 95 tonnes de muscles. Un grand homme très grand mais également très fin souria cruellement. Ho mon Dieux ! Ils vont nous tuer ? Je regarda Tommy qui se débattait alors que deux hommes le tenaient fermement. L'homme me releva comme moi je relevrais un coussin. Je n'essayais pas de me débattre comme mon ami brun, je savais qu'on était fichu. L'homme me plaqua un chiffon avec une drôle d'odeur sur ma bouche et mon nez. Ma tête me semblait tellement lourde te...le...ment. Après ça, je crois que je me suis endormis.
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Je vais profiter de ce moment de détresse pour faire du NEWT-MAS. Oui je trouve que c'est trop monotone et qu'il ne se passe strictement aucun moment pour nos deux amis .... NON ! Amoureux , amants... ce que vous voulez mais je fais les faire tombé dans les bras l'un de l'autre même si il faut employer la manière forte. Donc j'ai engagé le gang du père à Thomas. Oui , c'est moi qui leur es donné les coordonnées de Tommy. Mouhaha !!
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