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•Chapitre XIII•

Les immenses portes de la Grande Salle s'ouvrirent avec une lenteur presque torturante, leurs battants de bois massif glissant dans un silence solennel. Du plafond enchanté, de délicats pétales de roses blanches commencèrent à se détacher et à flotter doucement dans les airs. Ils descendaient en spirale, emportés par des courants d'air invisibles, leur ballet aérien ajoutant une dimension éthérée à l'atmosphère.

À mesure que les pétales descendaient, la lumière des chandeliers en cristal suspendus au plafond se reflétait sur eux, créant une multitude de petites lueurs dansantes. Chaque pétale semblait animé d'une vie propre, virevoltant gracieusement dans la vaste salle, et s'évaporant en une nuée de paillettes scintillantes juste avant d'atteindre le sol ou les têtes des élèves émerveillés.

Les jeunes sorciers, bouche bée devant ce spectacle féerique, retenaient leur souffle, fascinés par la beauté et l'irréalité de cet instant. Les pétales continuaient à tomber, inlassablement, créant un tapis mouvant de blancheur et de lumière. L'air était imprégné d'un parfum subtil et enivrant de roses, ajoutant à l'atmosphère une touche de douceur et de mystère.

Il semblait que le temps s'était arrêté.

Des stries de poussière magique s'engouffrèrent dans la Grande Salle, flottant comme des filaments dorés et frôlant la tête de certains, laissant derrière elles une traînée évanescente de lumière. Tous les élèves britanniques avaient les yeux rivés vers l'entrée, là où des ombres à peine perceptibles se mouvaient derrière un voile brumeux.

Peu à peu, une mélodie s'éleva dans les airs, douce et envoûtante, enveloppant la Grande Salle d'une aura mystérieuse. La lumière se fit de plus en plus rare, plongeant l'espace dans une pénombre profonde, troublée seulement par la danse des pétales de rose et les filaments de poussière scintillante qui flottaient délicatement.

Les notes de piano, lentes et rythmées, se mêlaient à cette mélodie enchanteresse, créant une harmonie parfaite qui résonnait dans chaque recoin de la salle. Chaque note semblait s'accrocher à l'air, vibrant doucement avant de se fondre dans la suivante, tissant une tapisserie sonore d'une beauté poignante. La fumée, révélée comme une brume voluptueuse et argentée, gagnait progressivement du terrain, se répandant telle une marée lente et inexorable.

Cette brume mystérieuse ondulait et s'enroulait autour des longues tables, des bancs alignés, et des silhouettes figées dans une attente presque religieuse. Elle enveloppait tout sur son passage, ajoutant une dimension de rêve et d'irréel à la scène. Les élèves se sentaient transportés hors du temps, leurs sens captivés par la symphonie visuelle et auditive qui les entourait.

Une voix charmeuse s'ajouta à la douce mélodie, une voix enchanteresse qui semblait flotter dans l'air comme une délicate caresse. Au fur et à mesure que les notes s'élevaient, les silhouettes derrière le voile blanc devinrent plus distinctes, sortant du voile sous le regard de tout Poudlard fasciné.

La brume, jusqu'alors suspendue autour d'eux, commença à se dissiper, retombant doucement au sol en disparaissant comme des nuages éthérés qui s'évaporent sous le soleil. La lumière ambiante, filtrant à travers les derniers filaments de brume, baignait la scène d'une lueur dorée.

La voix, continue et ensorcelante, semblait guider les silhouettes, les enveloppant dans une symphonie harmonieuse. Chaque note accentuait leur présence. Les élèves, hypnotisés par cette apparition presque féerique, ne pouvaient détacher leurs yeux de ce spectacle.

Les rares personnages qui apparurent se déplaçaient avec une grâce silencieuse à travers le long chemin bordé par les tables des maisons. Chacun de leurs mouvements était ample, fluide, précis et maîtrisé.

Il semblait qu'ils ne faisaient aucun effort, leurs pieds à peine effleurant le sol, donnant l'illusion qu'ils flottaient véritablement, portés par une force invisible. Chaque mouvement était exécuté avec une perfection déconcertante, comme une danse soigneusement chorégraphiée où chaque geste trouvait sa place dans une harmonie sublime.

Les danseurs étaient vêtus de grandes capes blanches enveloppant leur corps et dissimulant leur visage. Pourtant, d'une manière presque magique, leurs mouvements hypnotisants demeuraient parfaitement perceptibles. Seules leurs lèvres et le bout de leur nez se laissaient deviner, à condition de plisser les yeux et de fixer intensément. Mais toutes leurs expressions étaient similaires, affichant une neutralité distante, parfois teintée d'une légère mélancolie. Cette uniformité dans les visages accentuait encore l'atmosphère onirique et mystérieuse de leur performance, où chaque geste devenait une part d'un tableau vivant, à la fois fascinant et énigmatique.

La danse langoureuse et presque sensuelle de la dizaine d'élèves, entrés il y a peu, fut soudainement rejointe par une horde de personnes défilant avec autant de prestige. Ces nouveaux venus, accompagnés de rubans lumineux qu'ils faisaient virevolter autour d'eux, ajoutaient une dimension éblouissante au spectacle. Les rubans, dansant au gré de leurs mouvements, créaient des arabesques scintillantes qui semblaient peindre l'air de lumière et de couleur.

Contrairement à ceux qui avaient ouvert la représentation, ces danseurs n'étaient pas masqués. Leurs visages, pleinement visibles, offraient au public le plaisir d'admirer les somptueux costumes dont les tissus chatoyants reflétaient la lumière, les coiffures simples mais élaborées, et les touches de maquillage délicates qui rehaussaient l'expression de chaque élève français.

Le contraste entre ces deux groupes de danseurs créait une dynamique fascinante. Les premiers, voilés de mystère, évoquaient des âmes vagabondes, tandis que les nouveaux arrivants, éclatants de lumière et de couleur, rappelaient des êtres de chair et de sang, pleins de vie et d'émotion. Cette juxtaposition enrichissait la scène d'un éclat nouveau, où chaque détail devenait une fête pour les yeux et une célébration de l'art du mouvement. Chaque pas, chaque geste, semblait tissé de magie, transportant les spectateurs dans un autre monde inconnu.

Peu à peu, certains remarquèrent qu'au fil de la prestation, les capes des dix élèves s'évaporaient délicatement, de la même manière que des pétales de roses blanches se dispersant au vent. Les capes semblaient se dissoudre en fines paillettes argentées, s'élevant gracieusement dans les airs et ajoutant une touche de magie à chaque mouvement.

Ce phénomène captivant se produisait avec une lenteur envoûtante, presque imperceptible au départ, mais devenant de plus en plus évident à mesure que la danse progressait. Les élèves, désormais libérés de leurs capes, apparaissaient progressivement dans toute leur splendeur, révélant des costumes somptueux et des mouvements encore plus fluides et expressifs. Leurs gestes prenaient une nouvelle dimension, comme si chaque parcelle de tissu envolée emportait avec elle une part de mystère, laissant place à une beauté pure et éclatante.

Les paillettes scintillantes flottaient autour des danseurs, créant une atmosphère féerique, où le réel semblait se mêler à l'imaginaire. Ce spectacle de capes s'évaporant ajoutait une profondeur poétique à la performance, comme des âmes reprenant vie. Chaque étincelle de lumière semblait raconter une histoire, éphémère et éternelle à la fois. Les spectateurs, émerveillés, suivaient avec fascination cette transformation, où la délicatesse des pétales et la brillance des paillettes s'entrelacaient pour créer une scène d'une rare beauté, élevant la danse à un niveau d'émotion inégalé.

Parmi de nombreux regards émerveillés, des yeux couleur émeraude suivaient chaque mouvement des danseurs, ne pouvant que s'illuminer devant tant de beauté.
Cependant, une figure au milieu de cette chorégraphie envoûtante attira particulièrement son attention. Cet être, bien qu'entouré de ses semblables, lui semblait bien trop familier pour n'être qu'un simple étranger.

Plissant les yeux pour mieux discerner les traits de ce personnage énigmatique, il sentit son cœur s'accélérer. Et soudain, il écarquilla les yeux en réalisant l'identité de l'ange qui traversait lentement la salle en dansant avec une élégance surnaturelle.

- Non... Malfoy...? murmura-t-il, à peine croyant ce que ses yeux lui révélaient.











•••

ENFIIIN
Il est de retour à Poudlard ce couillon
J'espère avoir sû vous transmettre ce que j'ai voulu vous transmettre à travers ce chapitre, la danse, l'ambiance et tout et tout (plus aucun effort)

Bon, moi faut que j'aille réviser pour un oral de bac demain.
Trop chouette 😆💀

À demain !
Kiss ! ❤️
- LoovZzz


qui a la ref ? 👀

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