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L'intouchable (IKON)

Assis dans un coin d'une pièce entièrement blanche sans fenêtres et sans meuble sauf un lit militaire de même couleur que la chambre. Le jeune homme rêvait d'une vie qui n'était plus la sienne.  

Douze heures plutôt, Kim Han Bin avait subi ce qu'on appelle une contention mécanique et chimique. Il avait été attraper de force par trois hommes toujours habiller de cette même couleur et on l'avait changé. Une veste immaculée lui avait été mit, ses bras repliés devant lui, entièrement recouvert  de tissus, dont les manches dépassaient pour être attachées dans le dos. Une seringue planté dans l'épaule, lui avait injecté un produit transparent pour soit disant calmer sa crise dont il était victime. Après plusieurs longues minutes à tenter en vain de se défère des liens et des poignes sur son corps, il s'était effondré sur le sol froid. On l'avait conduit jusqu'à son lit et on l'avait laisser seul. Une fois ces êtres maléfiques selon le patient partis, il s'était glisser jusqu'au mur le plus éloigné de la seule sortie et avait observé le plafond neutre. 

Kim Han Bin était un jeune homme tout ce qu'il y a de plus normal. Il était juste un étudiant  tout à fait comme les autres mais il fut malheureusement au mauvais endroit et au mauvais moment comme on le dit si bien. il avait vu une chose qu'il n'aurait pas du. Depuis, il était là, dans ce centre où les cris, l'euphorie ou encore le silence se succédaient toujours. Les changements d'humeur étaient si fréquent qu'on ne s'offusquait plus quand des insultes étaient lancés accompagné d'une déclaration d'amour pure et innocente. Cachet du bonheur et chambre d'isolement étaient le quotidien d'une centaine de patient.

Han Bin suivait des cours de droit dans une université pas forcément reconnu puisqu'il n'avait pas les moyens, étant orphelin depuis six ans. Il travaillait pour payer ses frais universitaires en plus de ses dépenses quotidiennes. C'est ainsi qu'un ami de sa faculté lui avait parlé des soirées privées organisées par le maire de Séoul, où il allait souvent jouer le serveur pour quelques billets. 

Il avait fait rencontré au malheureux les bonnes personnes. Au bout de deux entretiens, il avait été sélectionné pour une de ses  soirées. Il devait se rendre le week-end prochain dans la maison du politicien. 

Le samedi même il était apprêté d'un costumé noir de serveur. Pendant les trois quart de la soirée Han Bin avait couru partout pour servir, ranger, nettoyer ou répondre simplement aux ordres des convives ou de ses supérieurs. Il n'avait vu, ce soir là,  que des grandes têtes de la mairie ou des investisseurs et chefs d'entreprise plutôt connus boire ensemble et rigolés. Rien d'anormal. Pourtant vers une heure du matin, épuisé, il s'était éclipsé pour trouver les toilettes le plus proche de la réception. 

Il était alors rentré dans cette chambre sans vraiment faire attention, il s'était avancé vers le centre de celle-ci pour trouver une pièce adjacente où il aurait pu assouvir son besoin vital. Mais le son de la douche dissuadait le jeune homme de continuer vers la salle de bain. En se retournant pour quitter les lieux, quelque chose attira son regard. Le lit en baldaquin dont les rideaux avaient été fermés laissaient entrevoir une femme pale comme un linge qui ne bougeait plus, même son abdomen ne se soulevait plus lorsque l'air venait oxygéné ses organes. 

Han Bin compris immédiatement ce qu'il se passait mais ne voulait pas réellement le croire. Alors d'un pas hésitant, il avançait littéralement vers la mort. 

Une jeune femme de vingt-cinq ans était étendu sans vie sur les draps, son corps marqués de toutes parts de marques rouges voir noires pour certaines. C'était une belle jeune femme si la vie ne l'avait pas quitter si durement. Son visage  translucide était couvert de taches sombres. Il avait du être magnifique pourtant ce n'est pas ce dernier qui marqua le jeune homme mais ce qui le heurta, c'était ses yeux noirs en forme d'amande qui le scrutaient. La mort elle-même observait ce garçon qui ne rêvait que de vie. 

L'eau qui jusque là coulait que dans la douche, glissait maintenant que sur ses joues. La personne qui avait tué cette jeune femme arrivait, il devait se trouver une cachette et vite. Sans réfléchir plus que de nécessaire, Han Bin se coucha sur la moquette et se faufila en dessous du lit où il retrouva le sac de la victime. Discrètement, il récupéra sa carte d'identité et son téléphone puisque le sien était resté à l'accueil comme on le lui avait ordonné. Il attendit dans l'ombre du lit plusieurs minutes avant qu'un homme ne rentre dans la pièce. Han Bin ne voyait rien mais il enregistrait tout sur le téléphone de la jeune fille. 

Il entendit le rire du suspect briser le silence morbide qui planait dans ce lieu. Son corps entier était secoué de frisson d'horreur.  

-Bomi, tu m'as bien amusé, tu vas me manquer mon chou.

Grace à cet homme, il connaissait enfin le nom de cette pauvre enfant. Il sentit le lit s'affaisser sous le poids d'un deuxième corps. L'être abjecte assis maintenant sur le lit prit son téléphone et composa le numéro d'un de ses subordonnés. Il lui demanda de venir immédiatement dans la chambre avant de raccrocher.

Une nouvelle personne rentra dans la pièce et c'est seulement après une long conversation entre les deux derniers entrés que les preuves du crime furent enlevées. Un silence retomba quand le tueur de Bomi sorti enfin retrouver les invités. 

Han Bin pu arrêter l'enregistrement et reprendre son souffle qu'il retenait depuis un long moment. 

Après avoir quitter la maison du crime, il était rentré chez lui et avait pleuré et hurlé tout ce qu'il avait, il pleurait pour Bomi qui a été tué des mains d'un homme puissant. 

Le lendemain, il était parti directement au commissariat pour déclarer le crime qu'il avait vu. Lorsqu'il avait demandé à voir un haut garder, le commissaire Kim HimChan, l'avait accepter dans son bureau. 

Han Bin lui avait tout expliqué. Le fait qu'il avait envie d'uriner, qu'il s'était rendu dans une chambre, qu'il avait vu cette jeune femme couchée dans le lit, morte. Que le maire était apparue. A ce moment de l'histoire, le jeune homme avait vu l'homme de loi changer son comportement mais il avait continué. Il lui avait parlé des preuves, de l'enregistrement, de la pièce d'identité de Bomi. Pourtant, la plainte n'a pas été prise, le policier avait refusé de l'enregistrer, expliquant que Han Bin avait inventé. Ce dernier avait même été mis à la porte de l'établissement. 

Il ne voulait pas laisser tomber Bomi, il voulait lui rendre justice mais comment faire quand même la police ne veut pas faire son travail. Han Bin était en droit, il ne voulait pas tout perdre en fessant justice lui-même alors il allait réessayé le poste de police. Quelle grave erreur. 

Au commissariat, une note du maire était passée, expliquant que Han Bin devait être arrêter coûte que coûte et placé en détention. Alors quand il eu mit les pieds, trois agents lui ont sauté dessus et enfermé dans une cellule. Les larmes aux yeux Han Bin ne comprenait rien. Il était le témoin et pourtant on le traitait de coupable. 

Un homme présent à la soirée avait accompagné le commissaire Kim HimChan. Cet homme lui avait appris qu'il allait être placé en détention dans un centre psychiatrique. Qu'il était malade, qu'il avait des problèmes. Qu'il inventait des choses. On lui a précisé qu'un médecin était venu faire son évaluation psychologique et son diagnostics était que le condamné avant l'heure était atteint de psychose chronique. Le soi-disant malade n'avait pas conscience de son problème et qu'il devait être interné maintenant pour sa propre sécurité et celle de ses proches. 

Alors, Han Bin se retrouva la, assis dans cette pièce à attendre que le temps passe. A espérer qu'un homme, qu'un policier ou n'importe qui rentre dans cette chambre et lui dise qu'il le croyait et qu'il pouvait sortir libre de cet asile. Pourtant déjà douze heures qui semble être une éternité pour le jeune patient étaient passées et aucune porte de sortie n'avait été ouverte pour ce dernier. Il ne voulait pas perdre espoir même si tout lui indiquait qu'il avait été trahit par tous. 

La porte s'ouvrit d'un coup et laissa entré en un homme en blouse blanche. 

-Monsieur Kim Han Bin, vous vous êtes calmé ?

Le dit Han Bin ne voulait pas lui répondre, "se calmer" mais de quoi, d'avoir été enfermé et jugé malade car un homme puissant ne voulait pas tomber pour le meurtre d'une jeune femme? Non, il ne voulait pas se calmer. Il voulait se révolter. Pourtant, il savait que s'il se rebellait maintenant, une autre piqure lui serait injecté et ça c'était hors de question. 

-Nous allons vous conduire dans votre chambre, mais n'oublié pas que vous serez ramener ici, si vous ne vous contrôler pas.

Deux infirmiers étaient alors rentrés dans la salle d'isolement et l'avait conduit à sa nouvelle chambre. La blancheur des lieux lui rappelait encore l'isolement qu'il avait quitté quelques minutes. Han Bin savait que même s'il quittait l'hôpital, il ne pourrait plus supporter cette couleur. 

On l'avait enfin détacher de ses liens. L'homme de tout à l'heure était revenus lui informer des règles à suivre pour que son séjour se passe bien. 

-Chacun doit veiller au respect du calme dans l'établissement. 

-L'accès aux chambres par le personnel de la clinique peut avoir lieu à n'importe quel moment de la journée ou de la nuit. 

-Aucune sortie de sa chambre n'était autorisée sans l'accord de son médecin référent.

-La prise des médicaments se fait à heure régulière, 7h15-8h15, 13h-13h45, 19h30-20h15 et à 21h30-22h.

-Un couvre feu est instauré dès vingt-deux heures, juste après la prise de médicament, l'électricité sera donc coupé dès cette heure jusqu'à six heure trente le lendemain.

Concernant les repas, cela dépend du médecin référent, si le patient présente des émotions apaisant, il a  le droit de les prendre dans la salle à manger mais s'il présente une crise, il devra rester dans sa chambre toute la journée voir conduit en isolement.

Après la lecture de toute ses règles, un infirmier a apporté le traitement à Han Bin car il était déjà vingt et un heure quarante cinq. Le jeune homme ne voulait vraiment pas les médicaments qu'on lui présentait dans un petit récipient transparent.  Malheureusement pour lui, les infirmiers l'ont forcé à avaler le poison de l'esprit. 

 L'esprit de Han Bin avait très vite divagué, il ne pensait plus à rien et en même temps à tout. Sans s'en rendre compte, il s'était déjà endormi. 

Pendant son sommeil, il n'avait pas rêvé, ni fait de cauchemar de cette jeune femme étendue sur ce lit. 

Son réveil s'était très mal passé. Une sonnerie avait retenti dans la chambre de Han Bin comme dans tout l'établissement. Son esprit était  moins embrumé que la veille et il savait vraiment que cet endroit allait le détruire, il devait trouver un moyen pour ne pas manger les différents cachets qu'on allait bientôt lui apporter. 

Han Bin avait donc trouvé le moyen le plus commun donc cacher les médicaments sous sa langue et faire croire aux infirmiers qu'il les avait avalés. 

Il avait donc prit le récipient transparent et avait mit les petites gélules blanches dans sa bouche. Ces dernières sous la langue, l'eau n'avait fait que passé sans les humidifier. 

Han Bin n'était pas sur que son stratagème aurait fonctionné sauf l'aide d'un autre patient.  Ce dernier était passé devant sa cellule en culotte chaussettes et l'infirmier était donc parti pour l'emmener dans sa chambre à lui.  Han Bin avait réussi mais il ne fallait pas qu'il se laisse aller, il allait  devoir recommencer dès midi et ainsi de suite. 

Pendant plus d'une semaine Han Bin avait réussi à recracher ces médicaments dans les toilettes de sa chambre ainsi il avait la tête toujours sur les épaules. On l'avait également informé d'un visiteur allait être présent l'après midi même au "parloir". 

Les quatorze heures avaient sonné quand Han Bin mit le pied dans ce soi-disant parloir. Au milieux de la pièce se trouvait une table avec deux chaises clouées au sol pour éviter tout débordement. Sur le mur à gauche, Han Bin pouvait remarqué un grand miroir. Ce n'était pas réellement un miroir, c'était une vitre sans teint comme dans les salles d'interrogatoires des commissariats. 

On fit assoir Han Bin sur le premier siège, il faisait face à une deuxième porte  qui venait de s'ouvrir sur son ami de long date Kim Ji Won, Bobby pour les intimes. A vrai dire Han Bin connaissait Ji Won depuis tout petit, il habitait  la maison à coté de la sienne. Au début, ils ne pouvaient se blairer, ils étaient amis avec le même garçon, Jeong Chan Wu. Les deux jeunes hommes n'aimaient pas partager l'amitié de ce dernier, alors ils ne pouvaient pas s'apprécier. Leur relation s'est grandement améliorer quand Chan Wu du déménager à cause de la mutation de son père. 

Han Bin savait que des membres du personnel étaient derrière la vitre à les observer. Il devait jouer le rôle du patient sous médicament. Il avait pu voir tout au long de son séjour, les différents malades, leurs émotions, leurs sourires, leur lenteur dans chaque geste et cela il arrivait parfaitement à imiter. 

Ji Won comprenait que quelque chose n'allait pas, outre le fait que son ami était considéré comme fou. Il n'avait jamais vu son meilleur ami comme ça. 

-Binnie, mais que s'est-il passé ?

-Je ne sais pas Bob.

Ce fut la première phrase exprimée par Han Bin depuis son arrestation. Celle-ci marqua Ji Won, puisque le patient n'utilisait jamais ce surnom. Ce surnom n'était utilisé qu'en cas d'urgence. Un clin d'œil lui confirma son idée première.  Un regard après l'autre Bobby compris que des hommes les observaient. Han Bin avait donc repris la conversation normalement.

-Bob, tu te souviens de tantine. Elle me manque. Je pense souvent à elle. Elle m'offrait toujours deux pommes et quatre hotteok quand j'allais la voire à la station de Hongik. Je prenais toujours la sortie une et j'allais voir les danseurs avec ces friandises. J'aimais tellement ça. Et toi, tu vas souvent à Hongik? 

-C'est vrais que les danseurs de Hongik me manque. Quand tu iras mieux, on ira ensemble si tu veux?

-Oh tu sais Bobby, je me sens bien ici. On me traite bien et j'aime bien la nourriture. Alors si Hongik te manque, tu pourras retourner y danser. Mais je veux voir une vidéo de toi là-bas. 

-Promis Binnie promis.

-Je pense aussi beaucoup à ta mère, c'est bientôt son anniversaire. Tu lui souhaiteras et la remercieras de ma part. 

-Pas de soucis, elle en sera heureuse. 

Lorsque Ji Won fut enfin sorti de cet endroit flippant selon lui, il parti en direction de chez lui. Pendant tout le trajet, il n'a pas arrêter de penser au parole de Han Bin. Station Hongik, sortie une, tantine, deux pommes et quatre hotteok. Il ne se souvenait pas d'une tantine, son ami ne lui avait jamais parler d'elle. Pourtant, il en était sur, son ami n'était pas fou. 

Quand, il fut rentré chez lui. Ji Won appela un de ses amis en aide, Kim Jin Hwan. Il ne mit pas longtemps à venir jusqu'à l'appartement de son junior puisqu'il habitait deux étages plus bas. 

L'hôte avait sorti deux bières et une bouteille de soju pour décompresser de son entretien avec Han Bin. Jin Hwan compris tout de suite que quelque chose n'allait pas. 

-Ji Won que se passe t-il? 

-J'ai vu Han Bin aujourd'hui et il m'a parlé de chose que je ne me souviens pas. Je pense que ça veut dire un truc mais quoi.

-Han Bin? Il est pas en hôpital psy? 

-Oui mais il n'est pas fou. 

Jin Hwan n'a pas été persuadé par les propos du plus jeune. 

-Désolé Bobby. Bon explique moi la situation. 

-Ben, Binnie m'a parlé d'une tante qu'il voyait à Hongik station qu'elle lui donnait souvent deux pommes et quatre hotteok avant qu'il sorte voir les danseurs. 

-Tu penses qu'il y a un code, un mot de passe quelque chose ? 

Ji Won avait acquiescé et tous deux essayèrent de comprendre le fin mot de l'histoire. Ce fut seulement au bout de deux bouteilles finis que Ji Hwan trouva une suggestion. 

-Je me rappel que vers la sortie une de la station Hongik, il y a des casiers et si c'était juste le numéros du compartiment? Non non non, oublis. Il manque un code à quatre chiffres pour l'ouvrir. 

-Attends, maintenant que tu le dis, Han Bin m'a parlé de l'anniversaire de ma mère, que je devais bientôt lui souhaiter mais son anniversaire est en décembre et on est en avril. Tu penses que c'est ça le code

Ce fut comme ça que les deux amis se retrouvèrent dans un taxi le soir même en direction  de Hongik. Lorsqu'ils arrivèrent à destination, ils trouvèrent rapidement les casiers. Ji Won tapa le numéro vingt quatre sur l'écran et entra l'anniversaire de sa mère quand on lui demanda un mot de passe. 

L'un des multiples rangement s'ouvrit. Les deux se regardèrent et attrapèrent le contenu; un téléphone avec une carte d'identité. 

Ils partirent s'installer dans un café pas loin, Ji Won regarda l'écran et ouvrit les différentes applications sans rien trouver. Jin Hwan lui prit le téléphone des mains, il ouvrit l'enregistreur vocal et découvrit un vocal. Il sorti donc une paire d'écouteur et invita Ji won a écouté avec lui. 

Au début, un homme se mit à parler dans leur oreille. "Assistant Min Seok venez immédiatement dans la chambre. ". Les deux jeunes hommes ne comprenaient pas vraiment la situation alors que la même voix retentit à nouveau. "Bomi, tu m'as bien amusé, tu vas me manquer mon chou." 

Jin Hwan et Ji Won se regardèrent ahurit, la carte d'identité de cette fameuse Bomi dans la main de Bobby. Ils la regardèrent alors que plusieurs taches rougeâtres se firent remarquer sur la photo de la jeune fille. Ils pensèrent exactement à la même chose; du sang.  

Ils se reconcentrèrent sur l'enregistrement alors qu'une discussion reprit entre deux hommes:

-Monsieur Le Maire?

-Faites moi disparaitre mon jouet. Je me suis assez amusé, mes convives m'attendent. 

La discussion ne s'en finissait plus mais les deux amis l'écoutèrent jusqu'au bout. La situation s'éclaircissait au fils des minutes et la vérité éclata. Han Bin avait été témoin d'un meurtre, le meurtre de cette Yun Bomi, assassiner par le maire, le maire de Séoul. 

Les deux garçons étaient effrayés par la situation, leur ami avait été victime d'un coup monter pour faire disparaitre un témoin gênant. Il fallait l'aider mais d'un coté les deux compères avaient peur de finir comme Han Bin, enfermer dans un asile, voir même pire, mort.

Pendant les deux heures qui suivirent Ji Won et Jin Hwan élaborèrent un plan. Ce fut comme cela qu'ils appelèrent leurs différents amis, le plus d'amis possible à vrai dire. 

Quelques jours après, trente personnes étaient réunis dans l'appartement de Bobby. Bobby avait un grand appartement étant cadre dans une entreprise qui pouvait donc accueillir tout le monde.

Tous envoyèrent des messages aux différents influenceurs qu'ils connaissaient pour faire circuler la future tempête que Ji Won allait provoquer.  

Ji Won s'installa sur son sofa et prépara les enceintes. Une fois le tout prêt, il se lança en live sur Instagram sur plusieurs comptes. Les instagrammers, youtubeurs et streamers avaient bien jouer leur rôle plus que déjà cinq cent milles personnes sur les différents Streams de la trentaine de personne présent. Bobby expliqua ainsi la situation de Han Bin, tous ne comprenaient pas réellement le pourquoi du comment ils écoutaient un mec parler d'un fou en asile. 

Le jeune homme continua et lâcha juste la bombe avec juste un "je vous en pris écouté juste ça". L'enregistrement s'activa et la voix du maire de Séoul retenti. 

- Je vais vous laisser un lien pour accéder à l'enregistrement. Sachez que celui-ci a été enregistré sur le téléphone de cette Bomi. Mon ami a assisté à cette scène et me la transmise alors qu'il a été enfermé à tord dans cet hôpital. Ils ont essayé de détruire le seul témoin gênant, il m'a également remit la pièce d'identité de cette fille, Yun Bomi.

Ji Won montra la carte devant les différents téléphones et continua son monologue.

-Comme vous pouvez le voir, il y a des taches rouges. Je n'ai pas encore fait faire les tests mais je suis sur que c'est du sang et celui de Yun Bomi

D'un coup, un des amis de l'hôte de la maison s'exclama. 

-Ji Won, il y a un mec qui explique de Han Bin était avec lui lors d'une soirée chez le politicien

Un autre des garçons présent expliqua qu'une fille était la sœur de Bomi et qu'elle a bien disparu depuis plus de trois semaines. Ji Hwan entra donc en contact avec cette fille et lui demanda des preuves qu'elle était bien qui elle était. 

En attendant, Bobby prit en duo l'ami de Han Bin avec qui il était aller jouer les serveurs, Bobby l'avait déjà vu en compagnie de son ami. Le jeune serveur expliqua que le maire avait été absent une bonne partie de la soirée et que Han Bin lui avait directement changer de comportement entre le début de soirée et la fin, après que le maire fut revenu.

La jeune sœur de Bomi fut la suivante à faire un duo avec Ji Won, elle leurs expliqua que son ainée aimait vraiment aller dans ce genre de soirée  et que le soir de sa disparition, Bomi était bien dans la soirée du maire. Sa famille s'était rendue au commissariat de Gangnam et qu'on leur avait dit qu'ils ne devraient pas en faire une affaire puisqu'elle avait sans doute fuguée. 

-Ma sœur voulait vivre la vie de princesse, elle rêvait du prince charmant alors elle faisait l'escorte pour des types riches en croyant que l'un d'eux allait l'aimer et l'épouser. Mais elle se trompait et elle s'en était rendu compte quand ce vieux ports de plus de cinquante ans la invité à cette soirée. Elle ne voulait pas y aller, on avait toutes les deux un mauvais présentiment mais elle y était obliger. On ne refuse rien au maire de Séoul de peur qu'il arrive un malheur. Quand on la expliqué aux policiers, ils ont tout de suite changer de comportement et à classer sa disparition comme une simple fugue. 

Après une heure de live, tout internet ne parlait plus que de cette histoire. Le maire de Séoul a tué une escorte girl pour s'amuser et a enfermer un homme à tord dans un Hopital psychiatrique. Une journée après, ce fut le tour des médias Corréens tels que KBS ou SBS le jours suivant ce fut les médias internationaux comme le monde qui reporta l'information. 

Plusieurs femmes ont donné leur témoignage concernant le maire, sa violence, ses insultes, ses manigances et chantages pour faire taire les plus gênants. Son parti à très vite mit les voiles et a enlever son soutien. En moins d'une semaine, le maire du démissionner de son poste.

La police était venus chercher les preuves auprès de Ji Won pour enquêter sur l'affaire. L'assistant Min Seok de l'enregistrement a directement été arrêté et il n'a fallut que quarante huit heures à l'accusé pour avouer et montrer où était le corps de la jeune victime. 

Pour Han Bin, ce fut plus compliqué. Le soir où Bobby était venu le voir, il n'a pas pu arnaqué les infirmiers qui avait compris son stratagème. Ils l'ont donc forcés à prendre le traitement et mit en isolement avec camisole. Il avait passé plus d'une semaine dans cette pièce blanche au allure d'enfer. Han Bin n'était plus réellement lui-même alors quand un policier accompagné d'un médecin étaient venus avec l'ordre d'un juge de libéré le patient, il n'avait pas voulut quitter cette hôpital. Le médecin avait réussit à apprivoisé le malade et l'avait fait sortir de son enfer. 

Han Bin était effrayé de tant de couleur, la drogue parlait pour lui. Il n'avait prit des médicament que depuis trois semaines, ceux-ci étaient très puissants et arrêter le traitement d'un coup était très dangereux.  Le médecin du donc adapter les doses et les diminué petit à petit pour que Han Bin ne retrouve un semblant de vie en dehors de cette clinique. Ji Won et Jin Hwan avaient été là pour lui, pour l'aider se réintégrer dans la vie normale. L'ex-patient avait perd son travail et par la suite son appartement alors il vivait chez son ami d'avance qui était vraiment aux petits soins pour lui. 

L'appartement de Bobby avait aussi changé, il avait du modifier sa décoration pour limiter la couleur blanche puisqu'elle provoquant un malaise chez son ami. 

Lors du procès de l'ancien politicien, Han Bin allait mieux et avait décidé d'être présent. Il avait parler de tous ce qu'il avait vécu, les jurés avaient été très touché par son témoignage. A la fin, l'ancien maire a été condamné à vingt de prison et du dédommager financièrement la famille de Bomi mais également Han Bin. 

Han Bin, Bobby et Jin Hwan se sont énormément rapprochés grâce à cette histoire et ils ont décidé d'ouvrir un journal digital avec l'argent du dédommagement. Il fonctionnait vraiment et était très vite devenus le média que tout le monde suivait. 


Le média de la vérité, le média qui a détrôné le pervers de politicien.


 Son nom avait été trouvé:  l'intouchable






Voilà 4266 mots, j'espère qu'il vous a plut. Il n'y a vraiment aucune romance dedans, j'en suis désolée XD.


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