Quand je me réveilla il fessait encore nuit, je me pencha pour récupérer mon téléphone sur ma table de nuit et regarda l'heure, 2h30 du matin. Je soupira et décida de me lever pour aller dans la cuisine. Une fois dedans j'ouvrît la porte du congélateur, me pris un pot de glace à la vanille et remonta dans ma chambre sans remarquer qu'on me suivait.
Une fois installée bien confortablement dans mon lit, je me mit une série sur mon ordinateur et commença à manger ma glace. Deux minutes plus tard, j'entendît la porte de ma chambre s'ouvrire, et une petite flamme dans l'ouverture, je me mit à sourire avant de mettre pose à ma série et de me lever pour fermé la porte après que mes trois amis soit rentré. Je retourna m'installée sur mon lit avec les trois petits pokémons. Flambino se mit dans mes bras en tirent la langue à Scolocendre et Salameche, se dernier se mit à ma gauche et Scolocendre au niveau de mes genoux, il remît ma série en route et on la regarda, pendant que je mangeait ma glace en même temps.

Je me réveilla une nouvelle fois, les pokémons à mes coté mais le pot de glace, la cuillère et mon ordinateur avais disparu, je sourie en me disant qu'ils avait tous ranger pour moi, je leurs fit une carresse avant de me rallongée, le petit lapin de feu dans mes bras.
Mais avant que je puisse me rendormir, ma porte s'ouvrit avec fracas et une tête au cheuveux noir entrer. Nous sursautons, tous les quatres, avant de nous retourné pour voir Roy avec un plateau dans les bras, on s'assie dans la même position qu'hier, tandis que mon frère s'approcha, il déposa le plateau sur mes genoux, Scolocendre remonta sur ma droite. D'un même mouvement, les trois pokémons et moi, nous nous penchèrent pour observer le contenus du plateau, il s'agit simplement du petit déjeuner mais je regardais le noiraud d'un aire méfiant.

- Pourquoi se petit déjeuner? Lui demandait-je.

-Bah, ça fait un ans que Voltoutou est partie pour la région de Kanto et aujourd'hui on vas à Winscor, papa doit nous présenter quelqu'un. Il me fît un grand sourire avant de m'embrasser le front.

Il se leva et partie en marmonnant que c'était sûrement le président de la ligue de Galar que nous allions voir. Une fois la porte fermé je soupira et commença à manger mes pancakes et un verre de yaourt à boire.

Petit déjeuner fini, je partie me prendre une douche et m'habilla d'une robe à débardeur noir, j'attacha un gilet violet clair à ma taille et mis des chaussettes, de même couleur, qui m'arrive au niveau des genoux, je me fit un nœud de Nymphalie avec mes cheuveux en coiffure, je me pris un sac en bandoulière noir et blanc, une paire de ballerine noir et descendit rejoindre ma famille acompagné de mes trois amis.

-Bonjour Awen.

-Bonjour papa, je lui fit un câlin, ça va?

-Super et toi?

-Tranquille.

Nous partons de Motorby pour aller vers Kickenham, se qui veux dire passer pars les Terres Sauvages. Mais c'était beaucoup moins amusant avec mon père qui ne me lâchait pas du regard. Une fois arriver je n'us pas le temps de merveillé que Kabu me pris la main pour se dirigée vers la gare, je soupira légèrement avant de lacher sa main et de le suivre.
Une fois assises dans le train je sortie mon téléphone pour envoyé un message à Nami et à Sonya. Je brancha mes écouteurs, mis ma musique et regardas le paysage qui défilais à grande vitesse.

Arriver à la gare on pris un taxi volant qui nous déposa à l'entrer de la ville. Une fois en ville, Kabu et Roy se dirigèrent vers la Sheroz Tower, tandis que moi je pris le temps de regarder un peu partout, puisque Winscor est plus grand Motorby, mais quand je regarda là où Kabu et Roy devait être, ils n'étaient plus là. Flambino, qui avait refusé de rentrer dans sa pokéball et moi mirent un peu de temps nous rendre compte avant de totalment paniquer, en plus je n'avais pas mon téléphone puisque Kabu me lavait pris. On paniqua encore une bonne dizaine de minute.

-T'es perdu? Me demanda soudainement quelqu'un.

Je me retourna pour voir un garçon blond, aux yeux violet, habiller d'un manteau rose foncée avec quelque touche de violet, accompagné d'un Bibichut, il devait être à peine plus grand que moi.

-Alors? Me redemanda t'il.

-Oui, un peu... Enfin, je devais suivre mon père mais j'ais pas fait attention et je l'ais perdu de vue... Lui dit-je un peu gener.

-Tu n'as pas ton portable?

-Non...

Il soupira désespérée de moi, alors qu'il ne me connaissait même pas.

-Je m'appele Travis et toi? Il me présenta sa main. Et où ton père devait se rendre?

-Je m'appele Awen. Je lui serra la main. Et on devait se rendre à la Sheroz Tower.

-Tu as de la chance, je devais mis rendre. Tu me suis?

Il avança avant que je puisse répondre, je sourie en lui dissent merci et commença à le suivre, Flambino dans mes bras. Le trajet jusqu'à Sheroz Tower fut assez silencieux mais se n'était pas un problèmes, enfin silencieux quand il ne me criait pas dessus car que je regardait trop une boutique.
Arriver devant la tour, Tarvis murmura un "Enfin, je vais arrêter de la supporter" avant d'entrer, moi sur ses talons. Je vis Kabu parler à un homme qui devais avoir à peu près son âge, qui portais un costume gris et des cheuveux plaqué sur le coté. Roy avait l'air surexcité par rapport à la discution des deux hommes. Celui que je ne connaissait pas ce tourna vers nous quand il entendît la porte.

-Travis! Je commençait à m'inquiété, tu t'était perdu? Lui demanda t'il.

-Moi non, il me désigna avant d'ajouter, mais elle oui.

Kabu et Roy me regardèrent un instant avant que Roy me saute dessus, tandis que Kabu me lançait un regard noir.

-Tu nous as inquiété. Tu aurais pus appelé. Me réprimandat Kabu.

-Mais tu m'avais pris mon téléphone, sinon je t'aurais appelé, me défendît-je.

Il s'énerva encore un peu, je remarqua Travis perdre patience du coin de l'œil. Après mettre fait sermonné, on me présenta enfin l'homme qui était près de ma famille. C'était le président Sheroz, le président de la ligue de Galar.

On resta encore quelque jour, pendant les quels je me suis rapprocher de Travis. J'ais appris que Travis voulait devenir dresseur, que Sheroz l'avait adopté mais qu'il devait l'appelé président et qu'il ne montrait très peu se qu'il ressentait. Une fois rentrer, on du faire nos valise car on partais quelque part pour deux semaines, sans savoir où on allais.

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