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Chapitre 28: Marque !

Une petite scène lemon (vraiment pas longue) est dans ce chapitre. Je préfère vous prévenir. Merci malgré tout de garder un langage polie.

Chapitre 28:

Il respira à font, tout en passant les doigts dans ses court cheveux vert. Ses yeux fermés, dont l'un pour toujours, vit le seul et unique s'ouvrir. Silencieux car à ce moment là, il était seul. Zoro observa le petit parc attenant à l'hôpital, et sur lequel donnait sa fenêtre. Le ciel azuré était haut, sans nuage et avec pour seul attraction le soleil. A ses pieds se trouvait un gros sac remplie des affaires que Sanji lui avait apporté, lors de son séjour forcé en ce lieux. Dans un autre beaucoup moins remplie, se trouvait quelques petites babioles que sa soeur avait tenue à lui donner pour s'occuper le soir, si le sommeil venait à manquer. Des bouquins, des bandes dessiner et des mangas. Il avait lu le tout sans aucun problème, car le grand dormeur qu'il était, avait parfois eu quelques difficultés à plonger dans les bras de Morphée.

Il avait beau être un oméga prétendument faible, le fait qu'il n'ait pu rien faire face à cet avorton de Maël, l'avait quelques peu humilié. Physiquement,  Zoro lui était largement supérieur. Mais ce canon d'arme à feu que cet enflure lui avait pointé sur la tête, le bras et même sur une partie encore plus sensible de son anatomie, l'avait totalement figé sur place. Le rendant prudent au possible, et lui faisant dire tout ce que ce petit con voulait entendre. La peur de mourir l'avait rendu aussi doux qu'un agneaux, alors que jamais il ne s'était vu comme ça. Il avait été près à dire n'importe quoi, pour que ce salopard ne le tue pas, car une chose était réel dans toute cette affreuse histoire.

Maël avait vraiment eu l'intention de le tuer, lentement sans doute mais sûrement. Son regard à demi fou débordait de haine et de rage à son encontre. C'en avait été palpable et même presque étouffant. Ses muscles tétanisés, sa mâchoire contracté, sans parler des violents battements de son cœur. Tout n'avaient été qu'une humiliation dégradante durant le peu de temps que cela avait duré. Au final Sanji, qui ne cessait de s'en vouloir pour une fautes inexistante pour lui. Lui avait sauvé la vie. Sans son intervention, sans ses paroles habiles et sa voix d'Alpha, Zoro ne ferait plus partie de ce monde, car jamais Maël ne l'aurait laissé vivre. 

Depuis lors, il y avait en plus de toute cette histoire un détail, qui n'aidait en rien ses nerfs à se calmer. Le moindre bruit sec semblable à un claquement, le faisait sursauter plus que de raison. Parfois même, il levait son bras valide devant son visage comme si, la peur de se prendre un tire en plein visage ne l'avait pas quitté. Et lorsqu'il réalisait ce que son instinct lui avait fait faire. Un gros jurons passait ses lèvres, l'humiliant d'avantage dans sa fierté d'homme.

En dehors de ce soucie psychologique tout à fait compréhensible et qui mettrait du temps avant de passer tout à fait. Zoro voyait les blessures de son bras se soigner doucement, mais surement. Le bouger restait malgré tout difficile, car à chaque contraction de muscle une petite douleur désagréable se faisait ressentir. Mise à part ça son état de santé était plutôt bon. Et même la petite vie qui était en lui, n'avait pas jugé bon de partir, malgré l'énorme stress qu'il avait subi ainsi que l'hémorragie, dut à ses deux blessures.

- Ce bébé sera fort, en conclut-il simplement.

Dans quelques jours, il atteindrait son premier mois et étrangement, cette idée toute simple savait lui rendre le sourire, parfois absent de son visage. La vie prenait le dessus, sur la peur d'une mort imminente, qui avait un peu trop nargué son esprit. Maël était en prison, et donc plus aucun danger ne risquait de venir l'embêter à chaque coin de rue.

D'ailleurs cette histoire qui était la leurs fit le tour des journaux papiers, mais aussi télévisé. Sans doute était-ce un fait divers qui avec d'autre protagonistes aurait pu aussi attirer l'attention. Mais cette dernière parut doubler d'intérêt du simple fait que dans l'équation, se trouvait l'un des fils du Judge Vinsmoke. Le plus discret de la famille, mais aussi le moins tourné vers le showbiz et la célébrité. C'était celui qui ne faisait pas de vague, et ne cherchait en aucun cas la renommée. Sa vie même restait pour les curieux du monde journalistique, un vrai mystère.

Dans ce mystère d'ailleurs, se trouvait l'un dès plus grands secret de la petite ville balnéaire. Et qui faisait de lui, un chef cuisinier réputé mais au nom inconnu de tous, des thermes de Saint Etretin. Et tout secret, à un moment donné fini par être découvert. L'information d'après ce que Zoro avait pu apprendre de par la télévision, qu'il avait dans sa chambre. Mais aussi de par la voix même de son Alpha, avait été révélé par l'avocate commit d'office de Maël. Cette dernière avait appris de la bouche de ce maudit avorton, que le sujet de fantasme de son client, était aussi le mystérieux chef du restaurant des thermes. Elle avait dis ça, lorsqu'elle avait jouée à un rapide jeu de questions réponses, avec des journalistes. Sur le coup , elle avait de toute évidence voulu jouait les maladroites. Un peu comme si elle avait dit :

" Oups ça m'a échappé."

Mais pour Zoro, tout comme Sanji d'ailleurs, là n'était pas le but. Son attention de toute évidence était de détourner l'intérêt que les médiats avaient sur son client, pour la jeter sur Sanji, et ainsi allégé la pression sur Maël. Et cela marcha fort bien. Quelques journalises étaient dès lors venu aux thermes pour rencontrer le bel Alpha blond. Voire même lui proposer des interview, et autre rencontre ou il raconterait son histoire. Dépassé par cet intérêt soudain qu'on avait sur lui, Sanji n'avait fait que refuser tout ceci, en demandant simplement qu'on le laisse tranquille.

Un jour, son père sous couvert de prendre de ses nouvelles, en utilisant cette fois-ci le portable de Sora, lui avait donné un conseil, assez utile. Ce qui bien entendu agaça d'autant plus le jeune homme.

- Nier, fuir, et ne rien dire est idéal pour qu'ils continuent à te poursuivre d'avantage. Crois moi ! Je traine dans ce milieux depuis assez longtemps pour savoir ça ! Lui avait dit Judge visiblement fière de lui faire la leçon. Parles leurs une bonne fois pour toutes, réponds à toutes leurs questions , enfin celle que tu juges utiles. Et ne te laisse pas manipuler par eux, car ils chercheront toujours savoir tout sur ta vie. Dans tout les cas, après ça  ils auront ce qu'ils veulent et te laisserons en paix.

- T'es pas trop vexé de t'être fait couper l'herbe sous le pieds ? Questionna sournoisement Sanji qui avait reçu cet appel chez lui. Dans sa voix une franche intonation pleine de mépris se faisait entendre. Tu dois être vert de jalousie, vu que il n'y a pas si longtemps de cela tu voulais tout déballer.

- Ha ha ha, ria faussement Judge face à cette réplique sévère. C'est vrai, j'y ai pensé. Et ton patron, enfin ses avocats ont su me remettre les idées en place, avec leurs lois et leurs menaces.

- Monsieur Hope est beaucoup plus doué que toi dans les affaires !

  - C'est ce qu'on dirait, eut du mal à reconnaitre le chef de famille. Mais depuis j'ai beaucoup discuter avec ta mère. On a pas souvent été d'accord, on s'est souvent disputé. Mais... J'essaie de... changer. Et de ne pas toujours voir le monde sous la forme de profit. Je ne veux pas perdre totalement mes enfants...

- Tss, c'est ça...arrête t'on char...gronda l'alpha qui à ce moment fumée comme un pompier.

- Écoute mon fils, crois le si tu veux ? J'ai pas de temps à perdre en essayant de te fourrer dans le crane ma vérité !! Commença à expliquer Judge.  Mais cette histoire qui t'ai arrivée, ma fait comprendre une chose, bougonna t-il de sa grosse voix pas toujours aimable. En un claquement de doigts on peut perdre absolument tout ceux qu'on aime.  Et je pense...

- Tu ne m'aimes pas! Arrête ça !!

- Et ...je pense , reprit l'homme à crinière de lion. Qu'il serait peut-être temps de...mettre de l'eau dans mon vin....Je ne veux vraiment pas perdre ma famille....

- Pff ah ah ah, Jusqu'où ira ta glorieuse clémence ? Se moqua toujours avec méchanceté le blondinet en écrasant furieusement sa cigarette dans un cendrier. Tu me fais vraiment rire, là. On dirait que tu cherches à te racheter une conduite auprès de nous tous !

- Et c'est mal de faire ça ? Ironisa le père de famille, qui tout en discutant observait le jardin familiale ou ses fils étaient entrain de buller au bord d'une immense piscine.

  - Non bien entendu que non. Mais le but réel c'est quoi en faite ? Car bon soyons franc c'est du flan tout ton petit manège. Tu veux quoi en réalité ? Te faire bien voir des médiats ? Car ils ton bien claché dernièrement. Ou alors non ! Tu veux faire croire à mes frères et à ma soeur, qui tu es un gentil papounet qui à présent ne pensera qu'à leurs intérêts, et pas seulement qu'au siens ? Dit moi si j'ai vu juste !

- Tu es vraiment un petit con quand tu t'y mets. T'es incapable de voir que comme tout le monde, je peux peu changer et me remettre en question! Constat simplement Judge dans une sorte de grognement agacé.Enfin peu importe.. Dans tout les cas écoutes mes conseils, sur ce que tu dois faire. Et tu seras un peu plus tranquille avec ton....ton...enfin ...ce garçon là. Les médiats vous laisserons un peu plus respirer, et passeront peut être à autre chose.

- "Ce garçon là", s'appelle Zoro ! Rectifiât Sanji avec une pointe de colère dans la bouche. Tu parles comme si toute cette horrible histoire n'était arrivée qu'à moi ! C'est lui qui a subit le pire. Arrête de l'occulter, il a failli mourir par ma faute !

- Par ta faute ? Répéta Judge en fronçant ses épais sourcils.

- Oui, par ma faute ! Insista avec colère Sanji dont le volume de la voix augmentait. Je n'ai pas su jouer mon rôle auprès de lui. A cause de moi, il s'est prit deux balles dans le bras. Ça aurait pu être pires que cela...il aurait pu mourir sans que je ne puisses rien faire. Alors ne fait pas comme si il n'était qu'un élément du décors sans importance ....

- Je sais ce que s'est que de se sentir incapable entant qu'Alpha et..

- En quoi tu me comprends, hein ? Tu sais rien ! Continua de s'emporter le chef cuisinier.

- Je te comprends, car malgré tout mes efforts et tout l'argent utilisé durant ces dernières années pour avoir les meilleurs médecins au monde, ta mère continu d'avoir une santé fragile. J'ai toujours voulu, tout faire pour lui redonner la santé ! Mais rien y à jamais fait.  Alors tu as beau croire que je suis un mauvais père...et peut-être que tu ...as un peu raison..mais..

- Un peu raison ? Se moqua Sanji  dans un ricanement sonore ! Complètement ouais !

- Peut importe ! Rappel toi juste que je sais ce que s'est, que de se sentir incapable de protéger son oméga. Et ce garçon, que tu désires tant avoir dans ta vie ... je pense pas qu'il est la vision que tu as de toi même ! Ta mère est comme ça elle aussi. Elle me dit toujours, " Tu as beau être un alpha , tu n'es pas supérieur à la vie en elle même. Elle seule dictes sa loi à tout le monde ici bas. "

- ....

- Reconnais au moins que ta mère est dans le vrai  !

- Hum...c'est bon j'ai assez parlé avec toi là !! Je vais raccro..

- Essais de passer à la maison. Avec...ton..enfin ....ce garçon. Cette fois-ci je ferais l'effort d'être plus....aimable.

- On verra !!

Là-dessus Judge avait raccroché. Surprenant Sanji qui s'était attendu à l'entendre, parler d'avantage avec son orgueil habituel, et des ordres plein la bouche. Ou alors de déblatérer sur sa trop haute opinion qu'il avait sur leurs famille, disant ainsi que comme toujours, Zoro n'était pas un oméga fait pour lui, et patati et patata. Mais rien de tout cela n'était venu. Absolument rien ! Est-ce qu'au final la rébellion de toute sa famille, et le fait que cette dernière le mette à l'écart à cause de son horrible tempérament excessif, avait fait réfléchir son père ? Est-ce qu'enfin cet homme hyper autoritaire commençait à comprendre que sa manière de faire et d'agir, ne faisait que faire fuir tout le monde autour de lui ? C'était une possibilité auquel Sanji cru un peu..enfin juste un peu...mais trop quand même.

La porte de la chambre d'hôpital grinça en le surprenant un peu. Un bon léger agita son corps tandis que lentement Zoro se relevait du fauteuil dans lequel il était installé. Dix heures s'affichait sur son portable et l'envie de quitter enfin ce lieu pour lequel il n'avait aucun gout, commença à le rendre presque impatient. En quelques pas, il annula l'écart qu'il y avait entre lui et Sanji. Puis tel que ses envies et son instinct le poussait, il alla dans ses bras où bientôt un tendre et simple baisé lui rendit le sourire.

- T'es prêts ? Questionna le blondinet dans un large sourire. L'appart' est vide sans toi, et Dark Miaule n'en peu plus d'attendre ton retour ! Il rode et te cherche partout.

- Je suis prêts depuis une éternité ! Allons-y ! Répondit immédiatement le jeune homme aux cheveux vert. Sérieux ? Il m'attends ?

- Ouais !

Après avoir remplie quelques papier de sortie, et surtout après avoir remercié les infirmières qui s'étaient très bien occupé de lui, Zoro et Sanji sortirent enfin de l'établissement hospitalité. A peine l'oméga posa t-il un pieds à l'extérieur, qu'il prit une grosse bouffée d'air printanier. Une odeur de fleur sans doute dût au parc situé non loin de là, avait envahi agréablement ses narines. L'air fraie alors avait remplie ses poumons le contentant d'une joie banale et simple. Son estomac un peu fragile de par sa grossesse démontra que là, tout de suite une petite gourmandise à manger ne serait pas de refus. Un gros grognement s'était alors fait entendre amusant immédiatement, Sanji.

- Un café gourmand ça te branche ? Proposa le blondinet dans un de ses fameux sourire plein de charme.

- Si tu insistes autant, plaisanta Zoro comme si il avait été contraint d'accepter. Mais c'est  seulement pour te faire plaisir, hein !

- Oh oui bien évidement, se moqua le cuisinier dans un rire léger. J'insiste terrriiiblement !

Ce rire qu'il entendait de sa moitié, dont un bras était en écharpe à cause de ses blessures, étaient agréable à entendre. Ce sourire, et cette volonté de ne pas se laisser engloutir par ses traumatismes, lui démontra combien Zoro était fort. Même si parfois des petits moments de faiblesse arrivait à l'atteindre. Sanji l'avait vu plus d'une fois durant son séjour à l'hôpital faire des bons, lorsqu'un bruit sec ou même un claquement sonore se faisait entendre. Cela à vrai dire lui avait fait de la peine, mais la volonté qu'avait son amant de lutter contre cela, le rassura  un peu.

La voiture démarra et bientôt jeta au loin la silhouette massive de l'hôpital. La chaleur à l'extérieur était telle que la climatisation dans l'habitacle fut accueilli avec plaisir. Lentement Zoro ferma son oeil unique et laissa au soleil le plaisir de se promener sur son visage. La radio pendant ce temps là diffusait quelques musiques à la mode que l'un comme l'autre appréciait.

- Alors, avec Monsieur Hope  vous, vous êtes arrangé pour cet interview ? Questionna t-il d'une voix détendu.

- Ouais, ça se fera dans deux semaines, dans son bureau. Je préfère que Monsieur Hope soit là, ainsi on pourra expliquer tout les deux le pourquoi de ce mystère et de ce silence autour de moi. Dans tout les cas après ça, j'espère avoir la paix...J'aime vraiment pas m'exposer !

Le feu rouge auquel ils venaient tout juste de s'arrêter, passa à nouveau au vert. Pourtant durant ce laps de temps le bruit typique d'un pétard qui éclate se fit entendre. Immédiatement un bon violent agita le corps de Zoro, qui sentit rapidement son coeur battre à vive allure. L'œil à nouveau grand ouvert, il s'était mis à regarder un peu partout, tandis que la voiture redémarrait.

- Bordel ! Gronda t-il agacé de ne pas avoir le contrôle là-dessus. Qu'est-ce que ça me gonfle ! Oui, ça va aller, coupa t-il immédiatement en prenant Sanji de vitesse. Et non je ne veux pas aller me terrer dans ton appartement, ni parler à spécialiste ! Si je fais ça, ça sera pire ! Je dois tout de suite me confronter à l'extérieur sinon...je vais jamais me débarrasser de ...de...cette ..

- Peur ?

-Hmmm...bougonna le vert la lèvre en avant démontrant ainsi que ce mot, il ne l'aimait pas du tout. Surtout quand il lui était associé.

Ils roulèrent encore un peu, tandis que petit à petit Zoro s'efforçait de ramener une certaine sérénité en lui. Lentement les traits de son visage qui s'étaient un peu tendu, chassèrent cette expression de dureté pour à nouveau se détendre un peu. Son estomac pendant ce temps là, ne cessait de faire du bruit et s'agitait au fur et à mesure qu'ils se rapprochaient de leurs objectif. Peu de temps après cela, le petit couple s'installa sur une terrasse de café où ils profitèrent des rayons chaud du soleil.

- Dit, demanda soudainement Zoro tandis que la serveuse qui venait de prendre leurs commandes retournait à l'intérieur du bar. Tu penses l'annoncer quand à ton père ?

- De quoi ? Questionna vaguement Sanji en enfilant une paire de lunette de soleil qui jusqu'ici était restée dans le col de sa chemise.

- Du fait qu'on va bientôt déménager sur la lune , ironisa aussitôt l'homme au cheveux vert. Du bébé voyons, de quoi d'autre ?

- Ah ça ! Je sais pas ! Je pensais...que comme Monsieur Hope m'a donné quelques jours de vacances, pour pouvoir rester près de toi durant ta convalescence, qu'on pourrait en profiter pour aller dans la maison familiale lui dire mais...

- Mais quoi ? Demanda Zoro en ouvrant un peu les premiers boutons de sa chemise car il commençait à avoir bien chaud.

- J'ai peur que cette entrevu entre lui et nous, te stresse ! Il tente de me faire croire, qu'il essai de changer mais j'en crois pas un mot... " Tu aurais pu mourir, j'ai eu peur crois moi." Tss....c'est ça, comme si une chose pareil m'arrivant, il n'en aurait pas profité pour étaler sa " tristesse " devant les médiats...

- Je comprends carrément que tu es des doutes. Et être en sa présence n'est pas à proprement parler un projet que j'affectionne, dut admettre Zoro dans un vague mouvement de tête. Mais on va pas attendre que le bébé soit né pour lui dire  : " Ah au faite t'es grand père hein , allez ciao !"

- Mouais, c'est sûr ! Et puis bon Yonji arrive à tenir sa langue pour le moment, mais il va bien finir par gaffer ! C'est déjà un miracle qu'il ait réussi à fermer son clapet jusqu'ici !

- Tiens  d'ailleurs. Dit moi, pourquoi il ne m'appelle pas autrement que " Frangin " ? Jamais il ne dit mon prénom, c'est carrément bizarre.

- Oh ça, c'est parce qu'il te voit comme un frère à présent, j'imagine. Ria de bon coeur Sanji. C'est une de ses lubies mais c'est plutôt bon signe. Ça veut dire qu'il te voit comme faisant parti de la famille.

Ils durent encore attendre quelques minutes avant que la petite serveuse ne leurs apportent leurs café gourmand. Et si le café noir et sans sucre passé en temps ordinaire chez le jeune oméga. Ce jours là, il n'arriva qu'à déformer légèrement les traits de son visage en une grimace amère. Sans doute ses sens et surtout celui du gout étaient-il un peu perturbé par son état ? Possible, car la docteur qui était responsable de son dossier; lui avait affirmée que ce genre de chose arrivait parfois au personne enceinte. Dans tout les cas, les petites pâtisseries qui accompagnaient la boisson chaude passèrent beaucoup mieux, et avec pas mal de gourmandise même. Et sans doute cet instant simple, et paisible aurait pu rester ainsi, si une journaliste un peu curieuse n'avait pas remarquée leurs présences. Enfin plutôt celle de Sanji.

Sans gêné, elle s'était assise à leurs table en se présentant si rapidement qu'ils eurent du mal à comprendre son nom et prénom. Étonné et un peu agacé par cette façon d'agir, Sanji et Zoro s'étaient regardé d'un air interloqué, comme ce demandant mutuellement.

" Qu'est-ce qu'on fait ?"

- Alors dites moi, questionna de but en blanc la jeune femme, dont cheveux noir intense dégringolant sur ses épaules. Je peux vous posez quelques questions ? Ça sera rapide !

- Non vous pouvez pas ! Répondit simplement Sanji en niant légèrement de la tête. Vous êtes d'un sans gênes c'est dingue ! Vous voyez pas que vous nous dérangez là ?

- Mais dite moi, reprit la jeune femme de toute évidence sourde, car elle n'écouta pas un instant le " non", du cuisinier. C'était un peu comme si elle avait l'habitude de forcer ainsi les choses, pour récolter la moindre information. Qui est ce monsieur ! Pourquoi n'êtes vous pas avec votre oméga ! On m'a dit que vous étiez en couple et ..

- "Ce monsieur" ! Intervient alors Zoro qui avait l'impression que la journaliste parlait de lui comme si il n'était pas présent. Est justement son oméga !  On était entrain de discuter de chose importante et privée. Merci de bien vouloir vous relever de cette chaise, de prendre vos affaires. Et d'aller le plus loin possible dans la direction opposé à la notre !! Continua t-il d'un ton si détendu que Sanji se retint un peu de rire sur ses dernières paroles. Allez, Allez, l'encouragea t-il en claquant des mains. Cap au sud !!

- Vous êtes un oméga ? Vous ? Dit-elle comme si on essayait là de lui faire avaler une chose aussi idiote que par exemple, " la terre est plate."

Il y eut après ses  brèves paroles pleine de doute un moment de flottement, démontrant clairement que l'apparence de  Zoro n'était pas vraiment en adéquation avec ces affirmations, pourtant réel. Rapidement la jeune femme cligna ses grands yeux bleue très maquillés, le scruta de haute en bas plusieurs fois, puis repris la parole avec un grand sourire sur le visage.

- Ouah ça c'est pas banal, quel information ! Commenta t-elle l'oeil brillant de curiosité tout en griffonnant dans un calepin. Je ne pensais pas êtres la première à voir à quoi ressemblait votre oméga...Un oméga géant, murmura t-elle sans s'arrêter d'écrire..dingue.....carrément hors norme !

Et voilà, en quelques instant les mots que Zoro détestait entendre venaient d'être déballer en une fraction de seconde, sans qu'il n'est le temps de dire ouf. Les lèvres à présent scellées, il fronça des sourcils, fatigué d'entendre encore et encore combien il n'était " pas normal." !

- Bon allez c'est bon là, décampez ! Ordonna Sanji le regard menaçant en retirant ses lunettes de soleil, puis en pointant du doigts l'horizon vague. Vraiment foutez le camps ou je ne réponds plus de rien. Vous êtes vraiment d'un sans gênes confondant vous alors !

- Est ce..

- Non mais y a pas à hésiter là ! Je vous dit de vous barrer, vous vous barrez point ! S'emporta le cuistot en attirant ainsi l'intention des gérants du bar. Non mais pour qui vous prenez vous ? Parce que vous êtes journalistes, vous vous croyez tout permis ! C'est ça ? Vous venez là, vous vous imposez auprès de nous avec vos questions, auquel je ne compte pas répondre d'ailleurs ! Et vous vous permettez en plus de juger mon petit ami !

- Je ne l'ai pas jugé , j'ai dis qu'il était hors norme. Ce n'est pas la même chose ! Corrigea t-elle maladroitement, tandis que patron du bar, leurs demandait si il y avait un soucie !

- Non ça va aller, leurs répondit le vert tandis que Sanji détrompait un peu ses propos de par sa simple colère.

- Dégagez !! S'emporta un peu le blondinet  ! Et laissez nous en paix ! Mon compagnon est convalescent, il a besoin de repos, pas de stresse du à des sans gênes de votre genre. Ce n'est pas en vous imposant comme ça, que je répondrais à vos questions !

- Dite mois mademoiselle, intervient à son tour Zoro ! Vous aimeriez que je viennes vous jeter en pleine figure que vous êtes bizarre et pas normal ? Hein ? Sa voix avait beau être plus calme que celle de son petit ami, elle n'en restait pas moins impressionnante de par le ton et la froideur.

- Désolée, j'ai été un peu maladroite. Mais entant que journaliste, quand je vous ai vu , je me suis dit que l'occasion était trop belle, expliqua t-elle bêtement. Non seulement il y a l'actualité chaude du moment. Le plus discret des enfants Vinsmoke. Mais en plus son compagnon qui non seulement a failli mourir dans des conditions assez particulière , mais qui à en plus un physique carrément hors norme ! Personne ne savait à quoi vous ressembliez jusqu'ici.

- Dite vous là, laissez mes clients tranquille ! Essaya d'intervenir le patron, en posant ses mains sur les hanches tout en essayant d'avoir un air un peu impressionnant. Allez oust !

- Waouh, fit avec ironie Zoro ! Vous savez appuyer là, ou ça fait mal vous. Essayez de me juger encore une fois qu'on rigole un peu, s'agaça t-il tout de même...

C'était là, la fameuse goute d'eau qui fait déborder le vase. Sans rien dire, même si une certaine colère commençait à l'envahir, Sanji se releva de son siège, déposa quelques billet dans la main du gérant pour payer leurs consommations. Puis dans un mouvement de tête léger, il fit comprendre à Zoro que ce n'était plus la peine de rester là, car selon toute vraisemblance ils ne seraient plus tranquille! De toute évidence ce dernier fut assez d'accord avec l'idée ! Mais désireux de ne rien perdre, Zoro boulota rapidement un macaron qui n'avait pas été mangé , puis après un dernier coup d'oeil glacer en direction de la journaliste, ils retournèrent en vers de la voiture. Sur les quelques mètres qu'ils durent parcourir, la jeune femme les suivis en balançant en hâte des questions qui pour certaines n'avaient aucun sens pour eux.  Une chose leurs parut alors évidente dans toute cette histoire. Cette enquiquineuse, qui avait ainsi gâcher leurs petite sortie, était une débutante bien maladroite.

Le reste de la journée se passa avec beaucoup plus de tranquillité. Ne se focalisant pas sur ce jugement encore sévère qu'on avait eu de son physique, Zoro jeta au loin dans son esprit les propos de la journaliste. Il profita donc pleinement de son retour à la maison. Retrouva ses " nids " qu'il avait fait et qui à l'hôpital lui avait étrangement manqué. Sentir à nouveau à l'aise dans ses petits endroits qu'il avait préparé, lui redonna le sourire et apaisa ses nerfs parfois un peu fragile. Dark Miaule en le voyant revenir enfin à la maison, s'était frotter joyeusement le long de ses jambes tout en miaulent en quasi discontinue. Et a peine Zoro eut-il le temps de s'assoir dans le canapé, que le minet alla immédiatement s'installer sur ses genoux tout en donnant des petits coup de tête câline au niveau de son ventre et en ronronnant avec force.

Le soir, ils s'installèrent l'un à coté de l'autre dans un câlin tendre, devant un film qui pour une fois ne racontait pas une histoire dramatique ou même intense et pleine d'action, mais qui était plutôt du genre comique ! Rire ! Cela, avec tout ce qui leur était arrivée, leurs parut un peu surréaliste. Un peu comme si cela ne s'était pas produit depuis des siècles au moins. Mais là, à cet instant dans ce lieu familiale près de son alpha, rien ne pouvait venir gâcher son humeur. La nuit arriva avec ses envies toute logique de sommeil et de repos ! Mais l'un des deux voulu faire une demande qui bien des fois avait failli passer ses lèvres dernièrement, sans jamais y parvenir tout à fait.

Assis en tailleurs dans le lit, la lumière de la lampe de chevet diffusait qu'une légère clarté. Son oeil unique s'était posé sur la silhouette longue et musclé de son amant à peine vêtue d'un sous vêtement. Son propre bras restait en écharpe à cause de ses blessures pas encore tout à fait guérie. Mais peu lui importait pour le moment ce détail. Un sourire simple mais agréable  à regarder s'étira sur son visage ou la souffrance avait été chassé. Et puis enfin sa voix se fit entendre, tandis que son alpha venait prendre place près de lui en se frottant les yeux d'un revers de main.

- Marque moi !

Deux mots simples, deux mots importants, deux mots que Sanji ne s'était pas attendu à entendre, là maintenant. Surpris, il avait tournée sa petite tête blonde en direction de son petit ami, avant de très vite marquer une expression d'étonnement sur les beau trait de son visage. Ses beaux yeux bleus s'étaient ouvert en grand. Puis un gros " hein ? " sortit alors de sa gorge tandis que dans un rire, Zoro accueilli ainsi cette réponse qui en vérité n'en était pas vraiment une.

- Mais...mais t'es blessé ...bredouilla en désordre Sanji.

- Et alors ? Ça  n'empêche pas que je veux que tu me marques ! C'est juste deux troues dans le bras.....enfin en gros....Et puis je ferais attention. Mais là, tout de suite j'ai vraiment envie que tu me marques ! Reconnu t-il en baissant un peu la tête, puis en allant prendre la main de Sanji dans la siennes, ou rapidement leurs doigts s'entrelacèrent. J'y tiens.... On a vécu une épreuve assez difficile, mais qui nous a montré clairement qu'on peut affronter l'avenir ensemble...Mon chemin c'est le tiens...alors marque moi...

Rien ne passa les lèvres du bel alpha hors-mis  un sourire chaleureux et amoureux, que se fit vite voir. D'un geste tendre, il caressa du bout de ses doigts la joue de celui qu'il avait vite reconnu comme étant son oméga. Cet instant comme beaucoup d'autre serait un moment important dans leurs vies, peut-être même l'un des plus intense. Alors il ferait tout pour que le souvenir qui y serait lié n'en soit que plus doux, et beau. Ce soir là, en cette nuit tout à fait spéciale, le beau blondinet lui fit l'amour. L'enivrant de ses caresses et de son savoir faire. Se délectant de ses agréables gémissement et de ses expressions lascives. Précautionneux, il arriva à éviter au bras blessé le moindre mouvement pouvant causer d'avantage de mal. Et pourtant ce ne fut pas chose aisé, car ses coup de hanches, secouèrent fortement le corps gorgé de plaisir du bel homme aux cheveux vert.

- Aaah, souffla d'ailleurs ce dernier appuyé sur l'avant de son bras valide...c'est si bon...ne se retient-il pas de gémir, comme ci cela faisait des années qu'ils n'avaient pas fait l'amour...

L'enivrer de bien être, le souler de son amour, était-ce ça qui lui fallait pour qu'il oublie tout ? Tout les malheurs, toutes les horreurs, pour ne se concentrer que sur eux ! Eux deux et leurs amours indéfectible et impossible à briser ! Ils étaient fait l'un pour l'autre et s'était indéniable. Rien ne personne ne pourrait se glisser entre eux.

Mais malgré l'agréable moment lié au plaisir montant, la fin toute logique à cet acte d'amour commença à poindre le bout de son nez. Cette fois-ci serait une apothéose tout à fait différente des autres fois. Le bras de l'alpha glissa du coté de l'épaule valide avant de remonter le long du cou qu'il caressa de ses doigts habile. Sa main se posa sur la mâchoire de son amant, tandis que ce dernier dans des cries de plaisir tout à fait compréhensible sentait les lèvres de son petit ami sur sa nuque. La tension paraissait être à son comble, mais bientôt la fin arriva dans un pure gémissement de bien être, pendant que l'Alpha lui mordait au cou, l'imprégnant ainsi pour le reste de sa vie. A cela la décharge de plaisir parut s'accentuer d'avantage chez Zoro dont le cri roque raisonna dans l'espace de la chambre.

L'un comme l'autre avaient vécu un moment intense qui allaient bien au delà, du simple plaisir physique. A présent, ils étaient totalement liés l'un à l'autre, et cela parut leurs procurer une excès de joie et de bonheur, qui après toutes les épreuves qu'ils avaient vécu ne fut pas désagréable à ressentir.

- Viens ici, murmura dans un souffles Sanji en l'attirant contre lui. Laisse moi te garder dans mes bras.

Un sourire répondit à cette demande auquel, il capitula bien volontiers. Son nez se nicha contre la peau pâle de son Alpha, afin de s'enivrer de son odeur. Tout doucement son oeil unique se ferma, et un sommeil bien plus reposant que les dernières nuit passé à l'hôpital le saisi. Les doigts dans ses cheveux court les caressèrent un instant avant de se faire attraper par la même fatigue.

Qu'importe les embuches de la vies, qu'importe les possibles difficulté à venir. Ils s'aimaient et c'était là, la choses la plus importante à leurs yeux.

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Et voila pour le chapitre 28, où l'on voit que la fausse boulette de Maël en révélant que Sanji est le cuisinier des thermes, à de sacrée conséquence dans la vie de ce dernier. Le journaliste et autres curieux commencent à roder un peu autour d'eux.

Judge en réalisant que l'un de ses fils avait failli mourir semble vouloir remettre en cause ses actions passé et cherche un peu à apaiser les tension avec Sanji, qui ne lui facilite pas la tâche.( bientôt une entrevu pour annoncer la nouvelle.)

J'espère que ce chapitre vous à plu. N'hésitez pas à laisser un com, ça fait toujours plaisir.

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