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Chapitre 25 : Jusqu'où va la folie ?

Chapitre 25 :

Debout devant sa boite aux lettres, Zoro ne pouvait s'attendre à ce qu'une telle chose lui arrive. Dans ses mains, il tenait encore le courrier qui s'était mêlé à quelques publicités inutile. A quelques mètres de lui, il pouvait voir la porte menant au bureau du gardien, et qui était entrouverte. Sans doute suffirait-il pour lui de faire un peu de bruit, ainsi que quelques éclats de voix, pour attirer son attention. Et ainsi faire fuir, le taré qui venait de pointer une arme dans son dos. Il alla donc pour ouvrir la bouche...mais immédiatement, Maël qui était affublé d'un look parfaitement ridicule, le mit en garde. D'un geste rapide, il pressa ce qui ressemblait au canon d'une arme à feu au niveau de ses reins..

- Tu vas garder la bouche sceller mais cher Zoro. Tu ne vas émettre aucun sons, faire aucun bruit si tu veux rester en vie le plus longtemps possible. Tu vas écouter tout ce que je vais te dire, et exécuter mes ordres comme si c'était dieu qui te les dictaient. Commença t-il à expliquer, avant de très vite reprendre. Si tu es d'accord hoche la tête.

Si tu es d'accord ? Comme si il avait le choix de ne pas l'être ! Comprenant que la situation était plus que dangereuse,  Zoro mouva lentement la tête de haute en bas. D'un geste prudent il déposa son courrier dans la boite aux lettres, et sous les ordres de Maël avança en direction des escaliers menant à son étage. A peine avaient-ils fait quelques mètres, qu'ils croisèrent le voisin de Zoro qui s'était un peu disputé avec Sanji dans le passer. Et qui avait aussi eu à faire à Maël lors de la première visite de ce dernier en ce lieu.

- Oh je vois que vous avez enfin trouvé votre ami d'enfance, fit l'homme le visage souriant, mais un peu étonné de voir que le plus petit des deux donnait l'impression d'être collé au dos de son voisin.

- On a fini par se retrouver ! J'y croyais plus, ria l'oméga dans une attitude des plus charmantes. Je suis vraiment très heureux, ajouta t-il en faisant une " accolade " au vert.

D'un coup de pression discrète de son arme, toujours sur le dos de Zoro, Maël força le vert à dire quelque chose. Se contraignant au calme, ce dernier garda un ton détendu mais chercha rapidement un moyen de faire comprendre à son voisin que quelque chose n'allait pas. Ne pouvant se permettre de réfléchir trop longtemps, il grava sur sa face un étrange sourire forcé. Puis dit...

- C'est toujours bon de retrouver ses vieux amis, pas vrai Rob !

Le ton avait été parfaitement décontracté, et dit avec une sincérité qui aurait pu faire passer Zoro pour une bon acteur. Le voisin lui, avait trouvé étrange qu'il l'appel Rob. Tout d'abord parce qu'il ne s'appelait pas Robert et qu'ensuite, ils ne se connaissaient que de vue, et n'était pas assez proche pour s'appeler par leurs prénoms. Son instinct étrangement lui disait de laisser couler ce détail et de ne pas réagir. Souriant à son tour, il lui fit une tape sur l'épaule du vert et constata une très, très discrète crispation de Zoro lorsque cela le fit se décaler un peu sur sa place.

- Bon, c'est pas que je veux être impoli, intervient Maël en fronçant des sourcils, mais on a plein de chose à se raconter. Des potins, tout ça tout ça....

- Euh d'accord, fit le voisin en les voyant s'éloigner en direction des marches dans une attitude vraiment étrange. 

Au même instant dans la voiture de Sanji, qu'étonnement Maël n'avait pas remarqué, le blondinet continuait de discuter avec son frère. La chaleur dans l'habitacle étaient telle qu'il sorti à l'extérieur et pris le temps de verrouiller son bolide. Sans faire attention, il leva un instant son regard bleue en direction du ciel azuré, où quelques oiseaux volaient et chantaient.

- Un type qui vit à ton étage, déménage dans un pays étranger. Il a besoin de vendre au plus vite son appartement, je vais voir ça dans la semaine, si t'es dispo on pourrait voir ça ensemble...expliqua Yonji d'un ton un peu surexcité. Tu te rends comptes on va être voisin !

- Attends d'avoir faire la visite, avant de dire ça ! Lui conseilla Sanji, en s'approchant d'un pas paisible en direction de l'entrée de l'immeuble, où il pensait retrouver son petit ami.  Si ça se trouve, ça ne correspondra pas à tes attentes, tu sais.

- Tout ce qui me permettra d'avoir mon chez moi, sera parfait ! Assura aussitôt le dernier de la fratrie. Papa est insupportable depuis qu'il a comprit qu'il pouvait plus nous retenir sous son joug. Le fait que ton patron, lui est collé dans les jambes ses avocats , l'a quand même grave calmer.

- Monsieur Hope est dans le business depuis longtemps. Plus que Judge en tout cas. Ils ne jouent pas dans la même cour tout les deux. Et puis même si c'est un très bon patron, il est normal qu'il montre un peu les dents, quand un type venu de nul par pour lui, décide de déballer tout ses petits secret.

- Ouais c'est vrai, c'est assez logique, reconnu Yonji. Dans tout les cas, après le coup de téléphone des avocats , il a boudé toute la journée. Ricana t-il avec une petite pointe de méchanceté. Et je dois dire que grâce à ça, la journée de tournage a été parfaites ..et...Mais t'es où ? Je t'entends marcher là !

- Dans l'immeuble où habite Zoro...il est venu se renseigner pour voir les conditions  pour rendre son appartement et...

S'arrêtant un instant dans sa marche ,Sanji qui avait entendu un brouhaha dans la loge de Yonji, comprit que ce dernier avait raccroché brusquement. Ou qu'on l'avait fait à sa place.

- Yonji ? Yonji ? Répéta t-il deux fois, avant de constater avec évidence qu'il n'y avait personne au bout du file. Bon...il rappellera..

Dans le hall illuminait de ce beau soleil estival ,Sanji vit devant la rangée de boites aux lettres un homme, qu'il se rappelait avoir envoyé baladé une fois, lorsqu'il avait passé la nuit chez Zoro. Une nuit si mouvementé d'ailleurs, que le voisin leurs en avait fait des reproches. Le reconnaissant aussitôt, il ne fit pas grand cas e lui, puis tourna son visage en direction de la porte du bureau du gardien, où il pensait retrouver son amant.

- Excusez moi ! Fit l'homme qui était resté devant sa boite aux lettre. Dans ses mains il tenait quelques enveloppes.

Un peu étonné que ce dernier lui parle, Sanji se retourna dans sa direction, enfonça ses mains dans ses poches, puis prit une petite attitude un peu fière, en levant légèrement le menton pour fixer l'inconnu. Sans doute sa nature même d'Alpha le poussait à prendre de haut, cet homme qui leurs avaient déjà fait quelques remarque déplacé....même si les reproches au final étaient un peu justifié.

- J'ai croisé, monsieur Roronoa tout à l'heure..Vous êtes son Alpha, pas vrai ?

- Ouais, et alors ?

- Il y avait un truc qui clochait avec lui ! Reprit l'homme qui balaya un peu l'attitude un peu défensive de son vis à vis. Un de ses amis d'enfances était avec lui....mais il paraissait crispé et pas très naturel...il m'a même salué en m'appelant " Rob " .... je ne m'appelle pas Robert...Mais Alain....Je crois...qu'il y avait un gros problème.

- Un ami d'enfance ? Répéta Sanji  en fronçant ses étranges sourcils, et qui n'avait pas le souvenir d'avoir entendu Zoro parler d'un quelconque ami, qui aurait marqué son enfance.

- Oui et...

A cet instant précis, se fut comme si une alarme avait raisonnée soudainement dans les oreilles du blond. Son coeur s'était mis à battre avec frénésie dans sa poitrine, tandis que tout son être paraissait se tendre dans une inquiétude soudaine. Quelque chose de mauvais était entrain de se tramer ... et son instinct d'Alpha paraissait lui hurler que son petit ami était en danger.

- Comment était le gars , qui était avec Zoro , pressa t-il soudainement d'une voix hâtive...Petit ? Le physique typique d'un oméga ? 

- Oui, tout à fait. Il a une voix très fine comme celle d'un oméga....Il a les yeux vert très clair, les cheveux blond, plus clair que les votre et..

- Où sont-ils allé ! S'exclama soudainement Sanji de plus en plus paniqué.

- Euh....Ils sont monté à l'étage...enfin à l'appartement de....

- Ok ! Le coupa le blondinet en partant en courant en direction de escaliers.

Inquiet, Sanji n'entendit pas le voisin lui demander ce qui pouvait bien se passer. Quatre à quatre, le cuisinier en chef des thermes grimpa les marches, jusqu'à ce qu'il soit de nouveau interrompu par un coup de téléphone. Et lui qui aurait souhaité arriver à l'étage où était l'appartement de Zoro en toute discrétion, jura contre cet appel bien mal venu. Avec empressement, il décrocha voyant en prénom de Yonji apparaitre.

- J'ai vraiment pas le temps là,

- C'est pas Yonji ! L'interrompit Judge qui après avoir coupé la conversation téléphonique entre ses deux fils, avaient envoyé le dernier de la famille, tourner la scène qui lui restait à faire ... et qu'il avait déjà fait retarder de plus d'un quart d'heure. Écoute je ne veux pas me disputer. Bougonna pourtant le père. Mais quand Yonji t'appelle assure toi, qu'il n'ait aucune obligation..il a fait perdre au studio beaucoup d'argent en faisant attendre ainsi tout le monde..alors..ça retombe sur moi, mais aussi tes frères et soeur.

-  Raah, oui si tu veux...J'ai pas le temps de me prendre la tête avec toi là, s'enflamma d'un ton pleine d'inquiétude Sanji.

Le souffle court, l'angoisse que le chef de la famille Vinsmoke entendit dans la voix de son provocateur de rejeton, lui indiqua clairement que pour les prises de bec, il reviendrait plus tard. Dans son dos, Yonji qui s'était vite débarrasser de la scénette qu'il devait joué, entra à nouveau dans sa loge. A nouveau il y eut des vociférations entre les deux hommes. Mais cette fois-ci Judge sut ternir Yonji à distance en jouant sur sa haute taille imposante.

- Boucle-là, bougre d'âne ! S'emporta t-il avant de reprendre. Sanji, qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce que tu as ?

- Chutt....fit ce dernier....reste en ligne..je crois....je crois, murmura t-il à voix basse, car tout doucement il se rapprocher du studio de son oméga.... qu'un gars super dangereux à pris Zoro en otage, expliqua le blondinet, qui trouvait le moment malvenu pour envoyer chier son géniteur.

- Tu te fiches de moi ? Murmura Judge qui avait été contraint de mettre le haut parleur, car de toute évidence Yonji ne comptait pas lui foutre la paix.

- Non, je suis le plus sérieux du monde là, marmonna Sanji qui avançait dans le couloir à pas feutré. S'il te plait, ni dit rien mais reste en ligne...envoie les flics à l'adresse que je vais te donner... J'entends leurs conversations là....et....j'ai vraiment peur pour Zoro ...

-  Mais qu'est-ce que...

- S'il te plait, insista avec une telle force et avec une telle crainte dans la voix le blondinet, que Judge capitula a son tour, et fit signe à Yonji d'écrire rapidement les coordonnée que Sanji allait leurs donner.

- Si  un type qui à prit ton.....ton oméga en otage et si dangereux, tu devrais faire attention aussi ...conseilla avec une certaine justesse Judge, car après tout il avait beau être en conflit avec Sanji, c'est pas pour autant qu'il souhaitait le voir risquer sa vie.

****

Lorsqu'il était arrivée dans ce qui avait été son ancien appartement, Zoro avait dans un premier temps était surpris de voir que la serrure avait été  fracturé. Avec ironie il avait demandé à Maël, si c'était à lui qu'il devait ce " jolie travail. Fière dans tout ce qui pouvait ne serait-ce qu'agacé un peu le vert, l'oméga avait confirmé dans un petit rire chargé de moquerie. Ils étaient donc entrée dans la studio, ou à présent un énorme bazar régné. Toujours en pointant son pistolet en direction de celui qu'il nommait pas autrement que " monstre ", Maël avait pris soin de refermer la porte derrière lui. D'un geste paisible il avait retirer cet affreux bonnet noir qui cachait de moins en moins bien ses cheveux, puis jeta par terre le gros blousons  qui certes cachait un peu sa silhouette compliquant ainsi une éventuel identification, mais lui donnait affreusement chaud.

Lorsqu'il eut fini son petit bazar, il présenta dans un grand geste de la main, le foutoir qu'il avait mis quelques jours auparavant. Des livres avaient été déchiré et jeté au sols. Son matelas éventré, ses draps arraché, sa télé cassé, les chaises brisée. Plus rien ne semblait être intacte. A voir ça, il ne fallait pas sortir de polytechnique pour comprendre, que Maël avait passé sa frustration sur tout ce qui lui appartenait. Le sol était jonché de quelques vêtements qu'il n'avait pas encore eu l'occasion de prendre, et qui était à présent en charpie ...

En plus de tout ce bazar qui avec évidence fit gronder Zoro, ce dernier remarqua une chose lorsque l'oméga se débarrassa de ses vêtements trop chaud et trop encombrant. Son bras qu'il avait vu panser d'un gros bandage, quand il travaillait encore avec eux aux thermes, avait été débarrassé de ce dernier. A présent son bras voyait sa peau tachée de grosse marque rouge, qui donnait l'impression d'avoir un peu fondu sous une chaleur trop intense. Mal soignée, il y avait quelques croutes à l'apparence un peu inquiétante, et qui suinté un léger liquide peu ragoutant.

- Que penses tu de ta nouvelle déco ? Demanda Maël toujours en le pointant de son arme. C'est jolie hein ? Ça fait des jours et des jours que j'attends que tu repasses par là ! Sale petit monstre de merde !! ..Et hier soir, j'ai totalement péter un câble ! Alors je suis monté ici, j'ai forcé la serrure....tu sais combien je suis doué avec ça...Et puis voilà !

- Vu le nombre de cadenas que tu m'as ruiné, oui j'en ai une vague idée...

-  Me suis défouler sur tes affaires, m'a fait un bien fou !! Souffla avec un gros soulagement Maël , en avançant un peu plus dans la pièce, où il poussa du bout du pied une photo que Zoro avait de son père, et qu'il avait ruiné aussi...Oups ça aussi je l'ai foutu en l'air...ria t-il sournoisement. Vu la tête de cet homme, j'imagine que s'était ton père ?

- Espèce de ...gronda Zoro en s'approchant, tout en gardant les poings fermés.

- Tu crois que je vais laisser un gorille de ton espèce, me menacer ? Hein ? Et me prendre ce qui me reviens !Le calma aussitôt Maël en levant l'arme au niveau de la tête du vert...Tu crois quoi ? Que je suis un faible oméga, et qu'un monstre plein de muscle comme toi peu avoir le dessus ? Ah ça non alors, pas avec ce que j'ai dans les mains....et ce beau bébé à l'avantage d'être silencieux...

L'instant était plus que tendu, pour pas dire assez critique. Si il voulait éviter d'être blessé, ou pire être tué, Zoro savait qu'il devait faire une chose. Faire parler au maximum Maël...Le problème ou plutôt l'avantage, c'est que ce dernier était extrêmement bavard,  et surtout sûr d'agir en toute impunité. Il paraissait quand on le voyait babiller en boucle, en se charmant de sa propre voix.

- J'imagine que tu es arrivé, avec ton ridicule petit vélo  ? C'est ça ? Peu importe, quand j'en aurai fini avec toi, ça me fera une jolie souvenir.

Comprenant là que Maël n'avait pas remarqué la présence de Sanji sur le parking, Zoro croisa les doigts pour que ce dernier comprenne au plus vite sa situation, et appel les flics.

- La marque sur ton bras,....tu t'es fais ça en mettant le feu... un peu partout en ville pas vrai ? C'est toi le fameux pyromane ?

- Oui, c'est moi. Depuis que je suis petit, j'évacue mes frustrations et ma colère ainsi. J'aime beaucoup voir les dégâts que peut provoquer une toute petite flammèche. Et c'est encore plus drôle quand on voit tout ces flics enquêter là dessus, et courir partout comme des poulets sans tête, sans jamais réussir à s'approcher de moi....

- Mais ta blessure...Murmura Zoro toujours immobile...elle a l'air grave...

- C'est un retour de flamme...Mais peu importe on est pas là pour parler de mes exploits, coupa Maël le regards suspicieux. J'ai remarqué quand on a monté les marches, que tu n'étais toujours par marqué. J'en suis assez soulagé, ça me laisse encore toutes mes chances, lorsque je t'aurai enfin tué.

- Tes chances ? Ne put s'empêcher de se moquer Zoro dans un rire franc. Ouah T'es sérieux en plus ? C'est que tu y crois dure comme fer. C'est dingue !

- La ferme ! Tonna la voix fluette du pyromane.

- Mais où tu as vu que tu avais tes chances ? Avant même que je ne rencontre Sanji, il te mettait déjà des vents, d'après ce qu'on m'a dis au boulot. Faut savoir accepter le refus mon gars....

Le regard vert clair de Maël , et qui était toujours un peu chargé d'arrogance, parut en une fraction de seconde se muer une une franche colère. En quelques pas rapide, il s'approcha de Zoro. Le bras droit, l'arme tendu en direction de son buste. Une fois arrivait devant lui, il plaqua le canon du pistolet au niveau du coeur du vert...

- Tes sûr que tu veux continuer sur ce ton là ? Hein ? Menaça t-il d'un ton dure et tellement menaçant que Zoro n'ouvrit plus la bouche. Je peux te tuer très lentement...et te voir pisser le sang, comme un putain de poisson qu'on vide, sans m'émouvoir une seconde.  Je pourrais par exemple tirer là ! Expliqua t-il en appuyant le pistolet sur la cuisse....Il y a une belle artère juste ici....mais ça te serait fatale...Marmonna t-il comme si il hésitait....

- Attends ne tire pas...demanda Zoro. Ok j'aurai pas du te parler ainsi. Mais je voudrais....je voudrais juste savoir ce qui t'a rendu comme ça...aussi...près à tout...en dehors de ton intérêt pour Sanji  ? Questionna t-il en se répétant tel une prière, qu'il devait à tout prix le faire parler un maximum , si il voulait rester en vie...

- Pourquoi tu veux savoir ça ? Questionna Maël le regard plein de soupçon en changeant d'endroit ou appuyer son arme...Ouuuh là aussi, ça serait trop douloureux, se moqua t-il en pointant le canon sur l'entrejambe du vert...hum...La cuisse...ou là  ? Se demanda t-il en appuyant un peu plus le canon..

- Ou là non non tire pas, paniqua le vert qui transpirait à grosse goutes..Si je te demande ça, c'est parce que...hésita Zoro en réfléchissant à toute à allure. Parce que, je me demande comment tu as fait pour être aussi doué pour cacher toute tes " activités ". Tout en restant naturel et détendu. Je veux dire....se reprit-il en essayant d'avoir l'air plein d'admiration. Faut être sacrément malin pour jouer une si belle comédie...

Il y eut à cet instant un gros silence durant lequel, le vert pu voir derrière Maël la porte d'entrée s'entrouvrir légèrement. Afin d'en cacher le grincement Zoro, fit semblant d'être prit d'une quinte de toux, avant de répéter à nouveau sa question.

- Ici, aussi ça fait mal....souffla d'un air pensif, le criminel en pointant l'arme sur l'épaule. Ça me parait parfait pour un premier tire..dit-il en armant le chien de l'arme, qui fit un clic des plus inquiétant....Je ne suis pas un oméga normal...un peu comme toi.....ria t-il comme un dément. Sauf que moi je suis beau...

De son autre main Maël détacha le collier de fer, qu'il avait toujours autour du cou et qui soit disant empêchait le moindre Alpha de lui imposer sa marque. Une fois cela fait, il pencha la tête un peu sur le coté. Sa peau était littéralement envahi de cicatrice de morsure.

- Je suis unique moi aussi, je suis un oméga impossible à marquer ! Les scientifiques, et autres spécialiste ne comprennent pas pourquoi je suis comme ça. Mais tout ceux qui m'ont imposé une marque...n'ont jamais pu me garder près d'eux..

- Imposé, répéta Zoro sans oser comprendre...attends...tu..

- ...Je ne peux pas être imprégné par des Alpha. Reprit le plus petit d'un ton monocorde comme si là  tout de suite il parlait de l'histoire de quelqu'un d'autre.

Le ton qu'il prenait  tranché un peu avec son habitué ton enjoué, provocateur et un peu mielleux.

- Oh bien sûr je réagis comme tout le monde à leurs phéromones et quand je suis en chaleur, je me sens attiré par eux....Mais ....ils peuvent me mordre encore et encore.... je ne suis dépendant de personne, continua t-il satisfait de voir la surprise dans l'oeil unique de son vis à vis.....Et tu sais, quand j'ai compris ça, j'en ai conclut, une chose. Seule la personne que j'aime saura capable de m'imprégner réellement....C'est moi qui décide au final, et pas eux.....Tu comprends ce que je veux dire ? C'est moi qui décide si mon corps accepte d'être marqué ou pas...Je suis une sorte d'oméga extrêmement dominant !

- Je ne pensais pas que c'était possible qu'un oméga ne puisse pas être marqué..c'est fou...

-  Comme je te l'ai dis je suis unique. Le problème étant que celui que j'ai décidé d'avoir comme Alpha, s'obstine à s'attacher à un être tel que toi....et ça , ça me rend dingue. S'écria dans une fureur soudaine l'oméga blond en pointant à nouveau l'arme sur l'épaule de Zoro qu'il frappa du bout du canon.

- Putain !! Pour une fois que je vois un mec canon, qui me plait et qui ne s'impose pas comme un connard....pour une fois que JE décide ....il faut qu'il aille voir ailleurs, s'importa t-il le visage déformé par la rage. Mais la solution et simple au final......ria t-il  en devant soudainement calme, puis en tournant brusquement la tête en direction de l'entrée, par lequel Sanji avait réussi à se faufiler sans faire de bruit. Pas vrai ? Il me suffit juste de faire ça .....expliqua t-il en souriant à pleine dent en direction du cuisinier....

- NON, cria Sanji en tendant les mains vers l'avant afin d'arrêter Maël. Ne fait pas....

Pourtant un bruit sourd, sans doute dût au silencieux situé sur l'avant du canon de l'arme à feu, se fit entendre. Immédiatement Zoro s'écroula au sol dans un geignement de douleur, la main crispé au niveau de son épaule   gauche, que la balle venait de traverser de part en part.

- Oups ....se moqua l'oméga en posant un pied sur le buste du vert, à qui il tenta de donner un coup de pieds.

Immédiatement Sanji devenu fou de rage le poussa sur le coté...et fit tomber l'individu au sol. Mais rapide et souple l'oméga se redressa  à genoux et pointa aussitôt son arme sur  le biceps du même bras blessée...

- Tu veux que je lui tire un autre pruneau ? C'est ça que tu veux ? Continu comme ça mon bébé, et je le ferais avec plaisir...J'aime beaucoup l'entendre souffrir. Expliqua t-il le regard un peu dingue, Je te déconseille d'user de ta voix d'Alpha...mes doigts pourraient se crisper sur la gâchette.

- Aaah putain, gronda Zoro dont l'épaule commença à saigner abondement...ça fait mal merde ! Sale barjot !

- Ne tire pas, demanda Sanji dont le coeur battait à toute allure...S'il te plait, on peut..on peut parler ? J'utiliserais pas ma voix d'alpha..promit !

Du calme, c'est ce qu'il devait apporter au plus vite. Avec difficulté, il essaya de calmer son instinct qui à ce moment là, crevait d'inquiétude pour Zoro.

-  Me faire parler hein ? C'est ce qu'il a tenté de faire.  Afin que tu me désarmes j'imagine... il a une sacrée confiance en toi....se moqua un peu Maël, dont le regard à présent reflétait une  bonne dose de folie furieuse...Les choses vont se passer ainsi Sanji.. Je vais me débarrasser de lui...expliqua t-il en tirant une autre balle dans l'avant bras du vert  et qui alla se figer dans le sols.

A nouveau un cri de douleur se fit entendre, faisait immédiatement réagir Sanji qui après voir fait un bon, essaya de faire de son corps un bouclier naturel pour protéger son amant.

 - Oups c'est parti tout seul, mentit-il. Qu'est-ce que tu fais ? Relève toi, je n'ai pas fini mon explication. Allez....Redresse toi Sanji ! Ou je lui tire directement une balle en pleine gueule !! Fait le !!!!

Serrant les dents le blondinet, s'efforça à obéir malgré la révolte qui tonnait en lui. Son regard bleu azure se posa sur le visage souffrant de son amant. A nouveau du sang coula de sa seconde plaie.

 - Tu vas me marquer.....car c'est toi que je veux !!!! Et personne d'autre...Pour l'instant tu trouves ça impossible, mais tu verras....quand je t'aurais fait de beau bébé...tu seras content de moi, que j'ai pris cette décision à ta place.. Tu sais,  mes bébés sont toujours magnifique...

- T'es....bébés...?  Comment ça, ils sont toujours beau ? Murmura t-il en ayant de grosse difficulté à garder son calme.  Voir Zoro souffrir ainsi et saigner abondement ne l'aidait pas vraiment à rester maitre de lui. Mais agir avec impulsivité, s'était prendre le risque que Maël ne lui tire d'autre balle et le tue....Bon sang mais.....qui es tu ?

- Je ai déjà expliqué au gorille qui je suis ! Pas vrai Zoro ? Et bah alors ? Tu réponds pas ? Hoche la tête pour confirmer , ordonna t-il en appuyant le canon...sur son ventre...Aah voila très bien ! Fit l'oméga blond en voyant malgré la grimace qui déformait le visage du vert, ce dernier confirma au hochant la tête de haut en bas...

- S'il te plait, pour moi, demanda Sanji en le fixant droit dans les yeux....éloigne ton arme de son ventre. Je...hésita t-il avant de se dire que marcher dans son jeu, serait peut-être pour le moment la meilleurs façon de gérer la situation. J'ai..un peu peur des armes à feu, j'ai peur d'être blessé...C'est pas glorieux pour un Alpha..Mais...

- Je ne te ferais jamais de mal voyons, tu le sais ! S'exclama immédiatement l'oméga blond en tendant sa main libre pleine du sang de son amant, et que Maël posa sur sa joue...

- Oh oui je le sais bien, assura Sanji en hochant la tête avant de poser sa propre main sur celle de Maël.  Mais enfin ça me rend un peu nerveux. Juste éloigne le, un peu.....insista t-il en s'efforçant à  lui offrir l'un de ses fameux sourire plein de charme. S'il te plait, fait le pour moi.

- Coquin, tu sais que quand tu fais se sourire, je ne peux rien te refuser !

Tout doucement le canon de l'arme s'éloigna du ventre de Zoro, et contre lequel il était resté dangereusement appuyé.

- Par contre, je sais aussi, que tu fais ça pour le protéger, reprit immédiatement Maël en braquant son arme à feu sur la tempe du vert. Je veux m'en débarrasser ! J'y tiens ! Et même si toi, tu me demandes de l'épargner, c'est non ! Ça fait des jours et des jours, qu'il me nargue jusque dans mes rêves et que j'attends qu'il vienne enfin ici,  pour que je le butte une bonne fois pour toute ! Hurla t-il avant de très vite rependre. Pour une fois, pour une fois !!! Que j'ai enfin le droit d'avoir quelqu'un que MOI, je veux. Faut qu'un dégénéré de son espèce vienne me le voler ! C'est pas juste !!!

Devenu fou furieux le regard de leurs ancien collègue de travaille, semblait à peu de chose près à celui d'un possédé. A de rare occasion il clignait des paupières, et sa respiration rapide mêlé à son air malsain d'affiché sur son visage, leurs faisaient comprendre à quel point la situation était plus critique. Et surtout à quel point il était déterminé à commettre ce meurtre...

*****

Quand Judge Vinsmoke avait raccroché, Yonji qui avait parfaitement écrit sur un bout de papier blanc, l'adresse que Sanji lui avait donné s'empressa d'appeler la police. La voix paniqué, et un peu désordonné en comprenant que son" beau frère", et même son frère était en danger, rendait son dialogue confus. Comprenant un peu que cela puisse le perturber, Judge avait prit le relais, avant de sortir de la loge de son fils. D'un pas pressé il traversa les nombreux couloirs du studio de cinéma. Derrière lui, son fils cadet le suivait tandis que ses autres enfants ignorant du danger imminent, continuaient le tournage.

- Papa...ça craint putain ...Imagine que ce type les tues hein ? S'exclama Yonji d'une voir paniquée, Où tu vas ?

- J'ai beau être en conflit avec Sanji et ne pas accepter ....cet oméga qu'il cherche à nous imposer, c'est pas pour autant que je vais accepter, qu'un minable ose mettre en danger un membre de ma famille.

- Mais qu'est-ce que tu crois faire, hein ? S'emporta Yonji qui marchait tout aussi vite que son paternel. Tu vas lui balancer ton égos dans la gueule ? Croit moi ça marchera pas !!!

-  Rah ferme là !J'en sais rien de ce que je vais faire, reconnu Judge dont la crinière blonde serpentait dans son dos. Rapidement il s'arrêta devant un garde  du corps chargé de la sécurité du bâtiment...Allez voir mes enfants, et dites leurs de rentrer à la maison dès qu'ils ont fini de tourner leurs scènes...Expliquez leurs que je suis partie pour une grosse urgence....Yonji tu leurs expliquera la situation à la maison....mais évite de le faire devant ta mère...tant qu'on a pas plus d'information

- Je viens !! S'imposa le plus grand des frères. Je peux pas rester en arrière et attendre comme un débile, de savoir si Zoro ou Sanji se sont fait tué comme des lapins !

- YONJI !  S'agaça Judge à présent sur le parking immense, ou il fonçait à grande enjambée en direction de sa voiture personnel. Tu fais ce que je te dis !!!

- NON !  Toi, tu fais ce que je dis ! Je viens avec toi, et puis c'est tout. Si j'attrape cette grosse merde qui menace mon frère, je lui tord le cou ! Trembla de rage le dernier de la famille.

- C'est vraiment pas le moment de t'amuser à t'opposer à moi, s'emporta Judge en ouvrant sa voiture. Ce que t'es borné c'est pas croyable, s'agaça t-il en venant s'assoir devant le volant. Près de lui Yonji pris place du coté passager, tout en bouclant sa ceinture en moins de deux.

- A ton avis de qui je tiens ça, hein ? Se moqua le vert dans un reniflement de mépris.

- Certainement pas de moi, bougonna l'homme à la crinière de lion.

- Mouais c'est ça...

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A l'intérieur du studio que  Zoro n'habitait plus vraiment depuis quelques mois, le locataire des lieux continuait de perdre beaucoup trop de sang. Avec calme et du mieux qu'il put, Sanji essaya de faire parler Maël et de le convaincre de ne pas tuer, son petit ami. Souffrant, Zoro devait pourtant contraindre sa voix au silence, car à chacun de ses gémissements douloureux, l'oméga blond lui hurlait dessus de " fermer sa gueule." Son oeil unique se fixa alors sur le plafond de son appartement, et stupidement il remarqua à quel point la peinture blanche paraissait usée par le temps. Ce détail illogique dans un moment pareil, le surprit lui même. Pourquoi se faisait-il une telle réflexion, alors qu'il risquait de mourir d'un instant à l'autre ? Il était bêtes ou quoi ?

Attristé de voir l'expression de panique sur le visage de l'homme qu'il aime, Zoro détacha sa main toute poisseuse de son propre sang et la porta sur le visage de son amant. Son regard un peu brouillé ne remarqua pas la trainé rouge que se doigts laissèrent sur la peau pâle. Ce dernier paniqué de voir un tel geste tendre, tendit la main devant lui avait afin d'empêcher Maël à lui tirer dessus.

- Non, cria Sanji, attends...ne fait pas ça. Tu...sais comment tu pourrais lui...lui faire du mal...marmonna t-il en jetant un coup d'oeil rapide en direction du blessé, car Zoro paraissait perdre peu à peu connaissance.

- Comment ! Ordonna Maël qui ne remarqua rien de l'état du vert.

- En..M'embrassant, murmura dans un sourire horriblement faux le cuisinier. Il est amoureux de moi....ça lui fera forcément mal....De voir un vrai, et langoureux baisé ? Tu veux bien ? Se contraignit-il à demander, un peu comme si il souhaitait vraiment faire cela.

- Je...fit le forcené en clignant rapidement des yeux. De toute évidence, il n'osait croire à ce qu'il venait d'entendre. Je peux pas nier que j'ai toujours voulu t'embrasser.....avoua t-il en glissant sa langue sur ses lèvres...

Derrière la porte du studio deux policiers étaient présent.  A quelques mètres d'eux le reste de leurs équipes attendait leurs instructions.  L'un des deux, passa alors une petite caméra optique par l'ouverture de la porte restée entrouverte. Là, ils virent en premier lieux l'arme que tenais celui  qui était pour eux, le preneur d'otage. Ensuite se fut, le blessé et l'alpha de ce dernier qui tentait d'après ce qu'il voyait d'amadouer l'énergumène, pour lui faire lâcher son arme...

- Embrasse moi Maël..S'efforça de réclamer Sanji d'une voix onctueuse...S'il te plait, se contraignit il à gémir.

A peine le dernier mot franchie t-il ses lèvres, que l'oméga  se pencha au dessus du corps inerte du blessé. Sur son visage jadis jolie à regarder, reflétait à présent l'expression de la folie pur, mêlé à une horrible air obscène. Tentant de garder au maximum son calme, le cuisinier observa tout ce qui était possible de voir dans un tel laps de temps. La main de Maël qui tenait l'arme à feu braqué sur le torse de Zoro, abandonna un peu sa cible. L'autre s'appuya sur sa propre épaule. A présent leurs visages étaient si proche, que leurs lèvres s'effleurèrent un peu....

Et puis se fut rapide et soudain. Une sorte d'aura propre au Alpha parut se déverser sur le forcené, tandis qu'avec précipitation Sanji utilisait sa voix d'Alpha.

- Lâche cette putain d'arme ! Gronda t-il avec force...LÂCHE ! Hurla t-il en voyant combien Maël essayer de résister à l'ordre sans y parvenir.

- Salaud, cria t-il comme si il venait d'être trahi par une personne de confiance.

Immédiatement, il vit la main blessée de vieille brûlure de ce dernier ce tordre un peu, trembler beaucoup , puis se contraindre à lâcher l'arme. Cet dernière qui était chargée tomba au sol, et lâcha une balle qui alla directement dans un mur.

- Espèce de sale menteur ! Hurla comme un fou le criminel.

Mais étant dépourvu d'arme, et donc n'étant plus une menace, Sanji l'attrapa aussitôt par la mâchoire. Le regard mauvais et brûlant d'une fureur inédite, il le fixa en tremblant de rage des pieds à la tête, tandis que les flics entraient dans la pièce en fixant à leurs tour leurs armes sur Maël.

- Sale petite merde...jura fou de rage le cuisinier en glissant sa deuxième main sur la gorge de se dernier. Ferme là ! reprit-il toujours de sa voix d'Alpha. Tu ne dis plus un seul mot.....et tu vas m'écouter..

- Monsieur lâchez le, s'il vous plait ! Demanda l'un des membres de la police en tendant la main devant lui, on va se charger de lui.

- Pas avant que je lui ai dis ce que j'ai à dire......Maël, je préfère encore passer sous un train que d'accorder un centième de l'amour que j'ai pour mon oméga, plutôt qu'à un taré comme toi.

- Monsieur, insista le policier, en s'approchant et posant sa main sur le bras de Sanji. Vous êtes entrain de l'étrangler...me contraignait pas à user de la force...Et dépêchez vous de le lâcher.

Avec violence Sanji se releva en tenant toujours Maël dans sa main, qu'il souleva légèrement avant de le jeter au sol. Immédiatement d'autre membre des services de polices se pressèrent autour de Maël afin de le maitriser. Même à cause de l'ordre d'Alpha lâchait par Sanji, il avait du mal à réagir. Ses lèvres d'ailleurs ne pouvait rien dire, mais ses yeux restaient remplie d'incrédulité et d'horreur, un peu comme si il ne croyait à la scène qu'il était entrain de vivre.

- Comment t'as pu croire, que je finissais par te céder, s'emporta totalement le cuisinier. Saloperie d'enflure de merde. T'as osé mettre mon oméga, et mon bébé en danger. Je te garantie, que tu n'auras pas assez de toute une vie pour me payer ce que tu as fait à son encontre...jamais je ne pardonnerais à une ordure comme toi.

En entendant le mot " bébé ", l'oméga blond, toujours sous contrainte et à présent menotté , écarquilla les yeux. A le voir c'était comme si on lui avait annoncé, que dans dix secondes il serait directement jeté tout droit en enfer. Abandonnant enfin, Maël qui fut vite éloigné de la scène de crime en étant encadré de deux policiers, Sanji fixa à nouveau  son attention sur Zoro, dont l'oeil s'était ouvert à nouveau. De toute évidence, il avait réussi à reprendre connaissance et à ce sujet, ils ne purent que remercier sa solide constitution.

- Oh mon dieu, je suis désolé, pleura le cuisinier en se penchant pour prendre son visage devenu pâle par la douleur. J'ai pas sû te défendre comme il faut...je suis désolé...je ..je...

- Dit pas ..d'idiotie ? Geignit Zoro en tendant à nouveau sa main pleine de sang en direction de son amant, qui la prit dans ses mains. Tu m'as sauvé la vie...marmonna t-il dans une grimace de souffrance qu'il n'arriva pas à cacher. Si tu n'avais pas été là, il...m'aurait tiré dessus....Je te dois la vie..

Aussitôt Sanji se pencha pour déposer un tendre baiser sur le front, du seul être qu'il aimait le plus au monde. Souriant malgré l'inquiétude violente qui était la sienne. Il laissa une équipe médicale s'occuper de son amant, tout en restant non loin de lui.

Depuis qu'il avait mis le pieds dans la blanchisserie de thermes Zoro était en " guerre " contre Maël. Et lui qui l'avait pris pour un avorton, comprit ce jour-là, que la folie mêlé à une grande amertume, pouvait mener un être jugeait faible à être aussi dangereux. Mais à présent, cette ombre inquiétante qu'il avait cru parfois sentir planer sur son couple dès qu'il mettait le pied dehors, ne viendrait plus le hanter. Bouclé au font d'une prison, Maël n'aurait plus jamais l'occasion de leurs nuire.

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Et voila pour le chapitre 25, qui m'a énormément inspirée puis que tout m'est venu d'une traite. Maël a définitivement basculé dans la folie, mais semble malgré tout cacher encore bien des secrets.

Sa vengeance s'est retourner contre lui, et présent Zoro dorloter par son Alpha va devoir penser ses blessures.

Judge a sû montrer que pour une fois, il a su mettre sa rancune de coté pour agir comme un vrai père en cherchant à venir en aide à Sanji et indirectement à Zoro. Et lui qui à la rancune tenace risque de vouloir pourrir au maximum Maël pour avoir eu l'affront d'oser s'en prendre à un Vinsmoke.  ( Je tenais beaucoup à le faire agir ainsi^^)

J'espère que ce chapitre vous à plu. Et si je vous ai fait peur (pour Zoro) J'en suis désolée. ^^

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