Chapitre 21: Menaces ! Les doutes de Sanji.
Chapitre 21 :
C'était sans doute là, l'expérience la moins agréable qu'il ait vécu auprès de son petit ami. Et pourtant, malgré cela, malgré une légère douleur à un certain endroit de son corps, il avait essayé de tout faire ce soir-là, pour que Sanji arrête de se sentir coupable. Il s'était forcé à prendre un ton un peu plaisantin - même si il avait du mal à être crédible- afin que le culpabilité qui gâchait, les beaux traits du visage de son bel adonis s'atténue un peu.
Jamais depuis que Sanji était devenu Alpha, il ne s'était autant fait dépasser par sa nature elle même. Il avait sû dès ses 13 ans avoir une certaine maitrise de lui, de ce qu'il était, ainsi que de tout ce qui pouvait être lié à son état d'Alpha. Et pourtant là, en entendant simplement son prénom être gémir de façon si langoureuse, il avait totalement perdu le contrôle de lui même, et avait fini par nouer son compagnon.
En toute franchise, le visage choqué et un peu douloureux de son amant, semblait depuis être gravé de son esprit. Des lors, il avait eu l'horrible impression de se noyer dans des remords assez profond, mais qu'il pensait avoir parfaitement mérité. Ce qui aurait dû être un simple après-midi un peu coquin, avait fini par tourner à autre chose...dont les conséquences étaient peut-être encore à venir...
Au final, ils étaient resté un certain temps allongé, dans les bras l'un de l'autre. Contre son coeur, il avait senti le front de Zoro, qui s'était obstiné à lui sortir des plaisanteries, et autres chose superficiel, afin qu'il se sente un peu mieux. Ainsi il pensait à Sanji plutôt qu'à lui. Mais irrémédiablement le nez de ce dernier était resté presque collé à sa peau, afin sans doute de se calmer, et de se rassurer de part sa simple odeur.
Après tout , c'est ainsi qu'agissent les omégas quand ils sont dans un trop grand état de stresse, ou qu'ils souffrent d'une quelconque façon. Pour se sentir mieux et rasséréné, ils ressentent le besoin intense d'être près de leurs Alphas, de sentir leurs présences, ainsi que leurs odeurs si rassurante pour eux.
Et de toute évidence même si peut-être il ne s'en rendait pas toujours compte de ça, l'homme aux cheveux vert avait fini par agir de plus en plus ainsi.
Le soir même, Sanji teint à se surpasser en cuisine. Ne pouvant pas faire grand chose pour gâter un peu son amant, il avait fait en sorte qu'un festin de roi lui soit offert en guise d'excuse. Tout le long de sa préparation intense, son amant qui avait tenu à passer par la case " douche ", était resté à demi allongé dans le canapé à regarder une série policière qu'il semblait apprécier. Dark Miaule en chat de bonne famille, était venu le voir et s'était installé sur ses genoux, ou de gros ronrons lui avait été offert, en quantité généreuse.
Au beau milieux d'une préparation, Sanji était revenu près de lui déposant par là un baisé sur le front. Avant de lui demander, si il avait besoin de quoi que ce soit.
- Je te dis que ça vas, le rassura Zoro une main posée pour pas dire un peu crispée sur son ventre. C'est pas la peine de..enfin je vais bien ... je suis pas en sucre , je te l'ai déjà dit.
- Je suis ton Alpha..enfin c'est comme ci.... ! C'est normal, que je me sente inquiet quand tu n'es pas bien. Et c'est aussi normal que tu te sentes ....mal ... à cause de moi..après ce qui s'est passé....
- Je ne me sens pas aussi mal que tu te l'imagines..mentit effrontément Zoro. Je suis juste un peu fatigué.
- Vraiment ? Demanda le blondinet en levant l'un de ses étranges sourcils bouclé. Juste " crevé " ? Répéta t-il en faisant des guillemet avec ses doigts, démontrant ainsi qu'il ne croyait en rien à ces fadaises.
- Vraiment !!! Répéta tel le têtu qu'il était, l'homme aux cheveux vert.
- Bon, si tu le dis, lâcha d'une voix peu convaincue Sanji en retournant s'occuper de ses bons petits plats. Comme tu te tenais le ventre, j'avais peur de..
- Bon sang ! Arrête de parler de ça ! S'emporta soudainement Zoro les sourcils froncés. Je me tiens le ventre parce que ....parce que bordel tu...tu ...m'as rempli durant 10 minutes......et cette putain de douche n'a pas changé grand chose ...alors c'est normal , que j'ai l'impression là tout de suite, que mon bide va éclater !!!
Comprenant un peu plus que son silence et ses mensonges avaient pour but de l'empêcher de culpabiliser, Sanji en entendant cela eut l'horrible sensation de n'avoir été qu'un abominable monstre pervers. Il s'approcha alors du canapé, ou était toujours à demi allongé Zoro, s'agenouilla près de lui, et porta l'une des mains de son oméga contre ses lèvres. Dark Miaule le regardait faire, et semblait dire.
" Ne t'approche pas de mon coussin humain."
- Je ne suis pas non plus en sucre Zoro. Ne me ménage pas comme tu le fais. Mentir n'effacera pas ce que j'ai fait. J'ai perdu le contrôle de moi même, ça sert à rien de le nier. Si tu as peur, si tu as envies de hurler de colère contre moi, si tu as envie de pleurer, ou quoi que se soit....fait le...mais ne ment pas sur ce que tu ressens réellement envers moi, car ça ne m'aide pas.
Il y eut un silence ou seul les murmures de la télévision, ainsi que les ronrons du félin se firent entendre. Tout doucement , le vert porta durant un bref instant sa main libre devant ses yeux, tandis qu'un reniflement se faisant entendre de sa part. D'un geste rapide, il alla encercler ses bras autour du cou et des épaules de son alpha, ou comme souvent dernièrement, il logea son nez contre sa peau.
- Je voulais juste que cet après-midi entre nous soit comme d'habitude....murmura t-il, en reniflant sans parvenir totalement à retenir des larmes d'inquiétude. Je voulais juste qu'on s'amuse comme d'habitude...et d'un coup..ça s'est produit....tu comprends ? Reprit-il en hoquetant car laisser libre court à ses émotions était plutôt rare chez lui....tu comprends , répéta t-il ...j'en suis encore à me sentir gêné rien qu'à l'idée de te demander de me marquer......et soudainement il y a .... ça ...
-Tu...bredouilla Sanji qui n'était pas sûr d'avoir très bien entendu. Tu veux vraiment que je te marque ? Mais jusqu'ici....
- Jusqu'ici les conditions étaient merdique, et poussait par des raisons ridicules et qui ne me plaisait pas, tel que ce connard de Maël qui t'avais monté la tête. Expliqua évasivement le jeune homme. Mais là, je comptais te faire cette demande...mais tout et partie de travers..juste parce que......pourquoi ça c'est passer d'ailleurs ? Je ne sais même plus...
- C'est....c'est de la manière dont tu as gémi mon prénom, reconnu le cuisinier se sentant à ce moment là encore plus ridicule. Sur ses joues une rougeur de gêne s'étala. Tu étais...si sexy, que j'ai perdu tout contrôle...
- ..Pour ça...
Tout doucement le blond cuisinier ferma les yeux, ses mains si habile dans son domaine de prédilection qui à elles seules avaient fait la réputation des thermes, étaient tranquillement posées sur le dos de son petit ami. Quelques secondes s'écoulèrent ainsi dans le silence quasi absolu... Pourtant au bout de quelques instants Zoro reprit...
- J'étais pas en chaleur....ça ne peut pas avoir ......certaine conséquence.... pas vrai ? Je veux dire, reprit-il en s'éloignant un peu avant d'essuyer d'un revers de main ses joues humides. C'est pas possible pas vrai...
- Je...et bien, hésita Sanji en se relevant tout à fait. D'un geste rapide, il glissa la main dans ses cheveux. Je sais pas vraiment. Je ne connais pas tout chez les oméga, avoua t-il d'une moue pensive avant de se prendre très vite.... Mais peut-être qu'en effet il n'y a pas de quoi s'inquiéter...et puis tu es un oméga depuis peu, et tu es encore instable donc...
Et puis sans rien ajouter de plus, car à vrai dire il n'était sûr de rien en réalité, le propriétaire des lieux retourna en cuisine, ou il alla s'occuper de ses bons petits plats. De son oeil unique Zoro l'observa faire. Une délicieuse odeur commençait à envahir la large pièce ouverte et provoquait chez lui quelque chose de beaucoup plus agréable. A savoir " une petite faim."
Pourtant et malgré ce sentiment, mêlé de gourmandise qui commença à s'éveiller en lui, il abandonna un instant l'observation obstinant de son compagnon, puis porta son regard sur son ventre.
- Je suis déjà une horreur pour beaucoup de monde .....souffla t-il avec pour seul témoins Dark Miaule...j'aurai encore plus l'air d'un monstre....Pas vrai ? Questionna t-il en direction du chat noir, qui l'observa avant de frotter sa petite tête contre son bras, comme si il cherchait ainsi à le rassurer.
Durant la semaine qui s'écoula, le couple eut l'occasion de mettre cette histoire un peu de coté, pour se concentrer sur autre chose de plus important. Le début de cette affaire avait commencé, dès le mardi après-midi lorsque fidèle à ses habitudes Sanji avait profité du beau temps extérieur pour attendre Zoro, en fumant une cigarette. A peine cette dernière avait-elle été allumée. A peine avait-il eu le temps d'aspirée une simple bouffé, que son portable s'était mis à sonner.
Agacé de ne pouvoir s'adonner paisiblement son petit rituel, le jeune homme avait un peu râlé avant de farfouiller, puis d'extraire son téléphone portable de l'intérieur de son blouson. Sur le rebord de sa bouche, sa clope paraissait être prête à tomber. Avant de décrocher , il l'a cala donc entre ses doigts puis se décida enfin à répondre. Sur l'écran de son téléphone était indiqué le prénom de son cadet.
- Ton frère adoré te manque tellement que tu ne peux pas passer une journée sans lui téléphoner ? Charia t-il d'emblée en guise de salutation.
Mais la voix qui lui répondit à cet instant précis, n'avait absolument rien à voir avec celle de Yonji, et effaça en un rien de temps le sourire qui était présent sur son visage. Grave, et méprisante par nature, Sanji n'eut pas besoin d'un long moment de réflexion pour comprendre qu'il s'agissait en réalité de son paternel, lorsqu'il l'entendit le saluer. Le ton d'ailleurs était moyennement aimable.
- Qu'est-ce que tu me veux ? Grogna immédiatement l'Alpha en se déplaçant un peu de l'entrée de l'accueil, pour se diriger à pas lent vers sa voiture. D'un geste nerveux, il fuma une autre bouffée de cigarette. Pourquoi tu te sers du portable de Yonji ?
- Je sais que tu as bloqué mon numéro depuis longtemps, expliqua rapidement le chef de famille. J'ai été dans sa loge pour lui emprunté, un instant....
- Je parie que tu ne lui as même pas demandé l'autorisation, pas vrai ? Ironisa le blondinet d'une voix agacée. Bref peut importe tout ça...dépêche toi de me dire ce que tu veux, ou ce que j'ai encore mal fait...qu'on abrège au plus vite cette conversation.
- Tu as raison, entrons rapidement dans le vif du sujet. Si je t'appelle, c'est pour te féliciter ! Gronda étrangement le père, malgré les propos censé être amicale. Tu as réussi ton coup , j'espère que tu es fière de toi ?
- Fière de moi ? Répéta Sanji dont les yeux bleue se posaient vaguement sur une voiture qui venait de se garer non loin de lui. Mais de quoi tu parles ?
- Oh ça va hein ! Prend pas ce ton surpris avec moi, ça ne marche pas! Répliqua d'une voix un peu mauvaise son père. J'ai été assez sympathique de te laisser passer une journée avec tes frères, ta soeur et ta mère. Et toi tu en as profité pour tous les monter contre moi !!
- Je n'ai rien fait de tout ça ! Nia immédiatement Sanji d'une voix un peu forte. On a passé une journée ensemble en famille et c'est tout. Maman d'ailleurs contrairement à toi était très contente de rencontrer Zoro ainsi sur sa soeur. Et elle s'entent à merveille avec sa mère. C'était une parfaite journée, puisque tu n'étais pas là ! Alors commence pas à m'embrouiller pour je ne sais quoi !!!
- C'est ça, c'est ça ! S'emporta Judge d'une voix qui était monté d'un ton ! Sans doute là ou il devait se trouvait tout le monde pouvait l'entendre s'emporter au téléphone. Tu veux me faire croire, que tu n'y es pour rien ? Hein c'est ça ? C'est ce que tu veux dire ?
- "Pour rien" à propos de quoi, putain ? Se mit en colère Sanji, en frappant le bitume du pied. Tu peux être plus clair, ou c'est encore trop te demander ?
- Je parles de la rébellion de tes frères et soeur ! Du soutient de ta mère ! Tu vas me faire croire que tu n'y es pour rien dans tout ça ?
- Rébellion ? répéta le blondinet n'osant croire ce qu'il venait d'entendre.
- Niji m'a annoncé qu'il ne renouvellerait pas son contrat pour une prochaine saisons de " Germa 66 ". Yonji veut carrément déménager de la maison familiale, et Itchiji m'a dit qu'il ne voulait plus que je sois son manageur. Quand à ta soeur, elle a osée passer ce matin une audition pour une films sans même m'en parler. Et ta mère est de leurs cotés ! Alors dit moi ce que tu leurs à dis, pour que soudainement ils me tournent tous le dos !
- Mais je ne leurs ai rien dis, ria Sanji avec une petite pointe de méchanceté. Samedi, ils ont du voir combien c'était génial d'être libre de faire ce qu'on veut dans la vie. Ils sont adultes merde !! Tu croyais quoi ? Que t'allais leurs filer des ordres jusqu'à leurs 40 ans ? Que toutes leurs vies il resteraient à tes ordres ? Non mais dans quel monde tu vis toi ? Ça te pendait aux nez, depuis longtemps. Et si d'une façon ou d'une autre j'ai pu effectivement leurs inspirer cette envie de liberté et d'indépendance, j'en suis bien content....ça fait des années que j'attendais ça.
- Tu leurs as donc bien monté la tête alors..conclus avec obstination Judge d'une voix forte.
- Je te dis que je ne leurs ai rien dis, pour qu'ils fassent ça ! S'emporta au bout du file Sanji, qui ne fit pas vraiment à la surprise que cela provoqua chez certain passant. Putain, mais tu ne veux même pas voir ,que tu les as poussé à bout ? Sérieux ? C'est limites si ils ne doivent pas te demander la permission pour respirer !! Tu t'images être un bon père, mais c'est faux. Tu es nase dans ce domaine. Tu es un obsédé du contrôle qui se cache derrière son soit disant rôle de chef de famille, pour empêcher tes enfants de te quitter !! Au final c'est toi qui nous à pousser à te rejeter.
- Tu vas ruiner leurs vie avec tes idées de " liberté ". Sans moi ils ne sauront pas se débrouiller.
- Ruiner leurs vies ? Non, ça ce que tu faisais TOI !! S'emporta totalement Sanji dont la voix raisonna un peu sur le parking. Et si Yonji veut se barrer de la taule ou il vit, et bien crois moi que je vais l'y aider.
- Tu l'emporteras pas aux paradis, le coupa avec brusquerie Judge. Crois moi que tu vas me payer tout ça et ..
Sans doutes les menaces auraient pu durer encore un petit bout de temps, si le propriétaire du portable n'était pas intervenu lui même en entrant dans sa loge. Rapidement, un grands " Hey " indigné se fit entendre. Avec un peu de brutalité le cadet de la famille arracha le portable de la main solide de son père, dont les cheveux hirsute ajoutait à l'image de " lion ", qu'on pouvait avoir de lui. Dans les couloirs du studio de cinéma, les nombreux employées qui y circulaient s'arrêtèrent un instant, curieux d'entendre l'une de leurs stars s'en prendre directement à son père, et manageur. Ce dernier d'ailleurs même auprès des plus simple employés n'avait pas bonne réputation.
- Ça va ? Faut pas se gêner surtout. A qui tu parles sur MON portable ? Demanda Yonji d'une voix forte, tandis que son père lui ordonnait de lui rendre l'appareil, afin de finir sa conversation...ou plutôt ses menaces.
N'ayant pas raccroché Sanji écouta la discussion houleuse entre Judge et son frère. Un fière sourire s'étira bientôt sur ses lèvres, tandis qu'il continuait à fumer comme un pompier.
- C'est mon portable, payé avec mon pognon, que j'ai gagné ! Donc tu n'y touches pas !! Et je m'en fou que Sanji ait bloqué ton numéro de téléphone...tu l'as bien cherché !
Là, il y eut de la par du dernier de la famille, un rire passablement mauvais. Un peu comme si il s'était retenu trop longtemps de dire à son père ce qu'il avait sur le coeur , et qu'à présent que les vannes étaient ouverte, il n'arrivait plus à se retenir de dire ce qu'il pensait. Sans doute avait-il gardé depuis trop longtemps, toute la colère qu'il contenait en lui.
- Ah je vois, entendit le cuisinier à travers son téléphone. Tu menaçais Sanji parce que tu ne sais pas comment te défouler autrement que sur lui ? Pas vrai ? Ce que t'es mesquin, c'est dingue ! Bref, peut importe sort de ma loge !
- Yonji !! S'indigna le chef de famille, change de ton avec moi.
- SORT, TOUT DE SUITE !
- Yon...
- SORT, PUTAIN SORT !
Il y eut alors un remu ménage un peu comme si une personne, en poussait une autre à l'extérieur d'une pièce. Très vite le bruit typique d'une porte qui claque, raisonna dans l'appareil. Durant quelques secondes Sanji dût éloigner le portable, avant de reprendre la conversation. Un rire satisfait voir même presque heureux, se faisant entendre de la part de Yonji. De toute évidence il rêvait depuis longtemps de mettre son père à la porte. Et surtout de lui interdire de mettre le nez dans ses affaires. Au loin, Sanji vit Zoro sortir du bâtiment principal, avec les mains enfoncés dans les poches de son jeans clair. Son visage exprimait la fatigue habituel de quelqu'un qui se lèves tôt pour aller bosser.
- Désolé frangin, intervient au bout du file Yonji. Je pensais pas qu'il oserait prendre mon portable, pour déballer je ne sais quel conneries encore...
- Alors c'est vrai ? Questionna d'une voix avide le blondinet l'air visiblement très ravis. Toi et les autres vous...
- On a décidé de vivre par nous même. Maman, a trouvée affreux qu'on ne puisse pas vivre aussi librement que toi .... Alors quand on est rentré à la maison samedi, on s'est tous expliqué avec père mais....Et comme tu t'en doutes, il l'a mal pris.....il a tenté de nous faire peur, en disant que sans lui, on serait incapable de se débrouiller...etc...etc..
- Je vois le tableau d'ici.
- Et tu sais ce qu'a dis Niji ?
- Dit moi, dit moi, questionna avidement Sanji en posant un doigts sur ses lèvres, afin de faire comprendre à Zoro qui était à présent près de lui, qu'il était au beau milieu d'une grosse conversation.
- Il a dit...Mais tu le répètes pas, hein ? Le préviens Yonji.
- Raah non, tu sais bien que je ferais pas ça , allez balances !!!
- Il a dit qu'il voulait vivre la même chose que toi.
- Qu..sérieux.. ? S'exclama Sanji d'une franche voix pleine de surprise.
- " Je veux avoir quelqu'un dans ma vie, et être enfin heureux ..comme Sanji l'es avec son compagnon ... je ne veux plus faire semblant de vivre. " récita parfaitement Yonji. Et franchement je dois dire qu'il n'a pas tord à ce sujet. Moi aussi je veux vivre ça...t'as l'air si bien et si heureux avec Zoro..qu'on ne peut que vouloir vivre la même chose.
- Je suis content que vous preniez enfin votre indépendance par rapport à père. Je te jure, je me sens vraiment soulagé. Reconnu le blondinet en s'adossant contre sa voiture. D'un gestes rapide il passa son bras libre autour des épaules de Zoro, qui ne fut pas contre l'idée d'être tout près de lui. Comment il a été avec maman ?
- Oh tu sais, comme d'hab...comme elle a une santé fragile il n'ose pas s'en prendre à elle. Je crois qu'il a du mal avec la simple idée de se disputer avec elle...ça soit être là, leurs relations " Alpha oméga". Bon après ils se sont quand même un peu pris le choux. Mais à part l'a bouder, il fait rien d'autre. Maintenant, ils sont chacun dans une aile de la maison, et font leurs vies de leurs cotés.
- Bon, tant mieux, souffla l'alpha tandis que Zoro l'observait à présent avec de gros yeux plein de curiosité. Alors tu vas vraiment quitter la maison familiale ?
- Bha, j'aimerais bien, mais faut que je me trouve un appart' qui me plait etc..ça va prendre un peu de temps, mais ouais ça y est je suis décidé..
- Putain, je suis trop heureux pour toi. Enfin pour vous, vraiment vous ne pouviez pas m'annoncer meilleurs nouvelle, reconnu Sanji avant de reprendre très vite. Surtout ne vous laissez pas avoir, il va essayer de reprendre le dessus de n'importe quel manière.
- T'en fait pas, on est bien décidé à ne plus céder face à lui et à son chantage. Assura Yonji dans un rire un peu fort. Bon je te laisse, j'ai encore pas mal de scène à tourner..Et si je veux me payer un appart et bien faut que je gagne ma croute !
- Ok, bon courage, et salue tout le monde de ma part.
Après avoir pris le temps de ranger son téléphone dans le poche de son blouson, Sanji se tourna en direction de Zoro, qui de toute évidence semblait assez impatient de savoir ce qui le mettait autant en joie. Rapidement ils rentrèrent tout les deux dans la voiture qui ne fut pas mise en route aussitôt, car le résumé que fit le blondinet fut assez important. Lorsqu'il eut fini, le vert prit une franche mine surprise, avant de s'adosser un peu plus confortablement dans son siège. D'un geste plein de réflexion , il massait son menton tout en réfléchissant intensément.
Le voiture bientôt démarra et sorti du parking des thermes. Sur la route, les habituels râleurs et mauvais chauffeurs, donnait à Sanji des occasions de gronder, ainsi que de lâcher quelques grossièretés. Pourtant le manque de réaction de son oméga face à ce qu'il venait de dire l'étonna un peu. Après tout ce week-end il avait plus eu l'occasion de discuter avec ses frères et soeur, et même de s'entendre même avec. Pourquoi était-il si indifférent.
- J'ai l'impression que ça te fait ni chaud, ni froid toute cette histoire. Lâcha t-il au bout d'un moment en voyant un loin un feu de signalisation, qu'il espéra ne pas voir passer au rouge tout de suite.
- C'est pas ça, répondit simplement Zoro en triturant peu après cela, la fermeture éclaire du sac à dos qu'il prenait toujours pour aller au travail. Je suis bien content qu'ils se libèrent tous de l'emprise de ton père. Mais ...ce qui m'inquiète c'est les menaces qu'il t'a fait...
- T'en fait pas pour ça. Il tient trop à son image de marque pour la salir. Et cette histoire d'ailleurs risque de l'entacher un peu... Les médiats vont sans doute vouloir savoir, pourquoi brusquement, tout ses enfants.....moi je compte pour du beurre, j'existe pas pour eux...bref...se reprit-il après cette précision. Ils vont chercher à comprendre le pourquoi de cette rupture soudaine entre eux.....Il en a pour un bon bout de temps à patauger dans sa merde ....
- C'est sûr, admit l'oméga en observant un peu le paysage extérieur illuminé d'un beau soleil printanier. Mais quand même...une menace reste, une menace....Même si ça reste dingue pour moi, qu'un père fasse ça à son propre fils....jamais le miens n'aurait fait ça.
- Hum...c'est sûr..fit vaguement le blondinet qui ne voulait surtout pas arrêter son esprit sur cette inquiétude. On verra bien. Pour le moment, je préfère garder en tête que mes frères et soeur seront bientôt libre de ce sale tyran. Ria t-il avant de rependre d'un air sérieux... Je devrais voir avec la gardienne, si il n'y a pas d'appart dispos pour Yonji dans mon immeuble ..t'en pense quoi ?
- J'en pense que, j'aime beaucoup te voir aussi euphorique, sourit tendrement le vert. Je préfère ce visage là. Il est plus séduisant.
- Ah ? Arrêtes tu vas me faire rougir, plaisanta le chef cuisinier avec sur son visage son éternel sourire plein de charme.
Oui, c'est ainsi qu'il aimait le voir. Débordant de charme, de jovialité et beau jusqu'au bout de ses cheveux dorés. Le soir même, le couple eut l'occasion de recevoir une foule d'appel de la part des frères et soeur de Sanji. Ce dernier véritablement heureux ,qu'ils osent enfin prendre leurs vie en main, plutôt que de la laisser sous la dictature de Judge, ne cessait de les encourager à tenir bon. A essayer parfois de leurs donner des conseils, même si dans le milieu du cinéma et du showbizness, Sanji ne connaissait pour ainsi dire rien...
Les jours et les semaines passant, il sembla que les dires du blondinet furent assez véridique. Les médiats ainsi que quelques journaux à scandale - que pour une fois Sanji achetait- ne cessèrent de parler de la discord qu'il y avait entre les enfants, et le père de la fameuse famille Vinsmoke. Ce dernier comme toujours, lorsqu'il accordait quelques rapides commentaires à un journaliste, se faisait passer pour la victime de ses vilains gamins ingrats.
Et cela parut marcher durant un temps. Des émissions People voyaient se réunir devant les caméras et sur des divans moelleux des " spécialiste " du showbiz et parlaient en long , en large et en travers de toute cette affaire.
- Cet homme a tout fait pour eux ! Disait une femme d'un âge pas mal avancé, et dont les chirurgies esthétique étaient si visible sur son visage, qu'elle semblait plus l'avoir détruit que embellis. C'est quand même grâce à lui, si ils sont connu aujourd'hui. Les enfants sont parfaitement ingrats et égoïste ! Je suis choquée que...
En entendant cela, Sanji qui était dans son canapé, gueulait avant de fumer comme un forcenée sa cigarette. Sur la table basse une nuée de mégots étaient écrasés dans un cendrier bien plein.
- Qu'est-ce que tu sais de leurs vies, vieille peau ! Bougonnait-il. Tu parles sans rien savoir ! Mocheté va !
- Elle va pas te répondre, précisa Zoro qui l'observait s'agiter tout en gardant Dark Miaule qui dernièrement aimait venir sûr ses genoux et le coller un peu. D'un geste presque mécanique il caressait le beau pelage noir, tandis que des ronronnements sonore se faisaient entendre. Enfin..quand son propriétaire ne gueulait pas trop.
Face à cette femme qui avait ainsi mis les nerfs en pelote du cuisinier. Il y avait ceux qui avaient un point de vu radicalement différent. Jambes croisées un air assez sûr de lui, l'un des intervenant était un maquilleurs professionnel qui avait travaillé directement sur la série " Germa 66 ", qui était venu témoigner à son tour.
- C'est un peu facile tout leurs mettre tout sur le dos ! Coupa t-il à un moment donné , visiblement agacé de voir cette vieille actrice sur le retour, bougonnait sur la jeunesse mal polie et tout le toutime.
- Je vais vous dire Madame, reprit-il. Moi j'ai directement travaillé avec eux, et ils ne sont absolument pas tels que vous le décrivez. A vous entendre se sont d'abominable tyrans...alors que croyez moi s'est l'inverse !!! Judge Vinsmoke est tellement dans le contrôle de tout, que même lorsque je maquillais ses fils pour une scène d'action par exemple, ils leurs interdisaient de me parler !! Parce qu'il avait peur que quelqu'un ose, leurs donner l'envi de penser par eux même....Ou pire qu'ils s'entendent bien avec les gens de la plèbes. Ce type à une haute opinion de lui et méprise tout ceux qui l'entoure, et qui ne sont pas digne...Et là je le cite..." de son rang"...
- Aah ! Voilà un qui sait de quoi, il parle !! Se mit à applaudir Sanji ! Non mais c'est vrai quoi, continua t-il de s'agiter, pendant que Zoro avait fini par s'endormir dans le divan avec un Dark Miaule parfaitement posée sur lui. Aah..merde, j'ai dis que je regardais ça 5 minutes et finalement j'ai fini par tout regarder...
Éteignant la télévision, ou les deux protagonistes étaient carrément entrain de se disputer assez fort. Le jeune Alpha se releva du divan de cuire blanc, avant de venir faire face à son compagnon, qui dormait paisiblement. Souriant il passa la main dans les cheveux vert de son amant , avant de remarquer que dans ses mains l'oméga tenait l'un de ses propre t-shirt...un peu comme comme le ferait un enfant avec un doudou.
- Mais...murmura t-il en faisant attention à ne pas parler trop fort. Quand est-ce qu'il m'a chipé ça ? Je n'ai rien vu...Il n'avait pas ça dans les mains toute à l'heure...
Curieux, il s'agenouilla toujours près de son compagnon et observa le coussin sur lequel il était un peu appuyé, et qui lorsqu'ils regardaient un film tout les deux, avait fini par être son coté préféré du canapé. Là, il vit de caché sous coussin, d'autres vieux t-shirt à lui, qu'il n'avait pas mis depuis longtemps, mais que de toute évidence Zoro s'était senti le besoin de garder pour lui...
- Oh là, là.....marmonna le blondinet en se redressant sur ses jambes, avant de passer la main dans ses cheveux blond. Oh là, là...Depuis quand il fait ça ? Se questionna t-il en s'éloignant de quelques pas....
Plongé dans ses réflexions, il observa à nouveau son compagnon qui parut se caler un peu plus confortablement dans le divan. Pris dans ce même mouvement Dark Miaule releva la tête, puis posa cette fois-ci sa petite tête noire sur le ventre du vert, avant de se remettre presque aussitôt à pioncer. Toujours en tentant de garder son calme, Sanji grimpa les marches menant à la parti nuit de son loft. D'un pas rapide, il s'approcha du lit, que Zoro dernièrement tenait à faire lui même. Pour " partager les tâches ménagère", affirmait-il.
Là-dessus l'alpha s'était toujours dis qu'il n'avait jamais eu de raison de douter de tels propos...sinon " bonjour paranoïa !" Et pourtant là tout de suite, il se laissa un peu aller à ce questionnement. D'un geste rapide, il repoussa un peu la couette, puis souleva l'oreiller de son amant. Encore une fois un vieux vêtement à lui s'y trouvait caché. Parfaitement roulé en boule, de la façon dont il était dissimulé sous le coussin, il était très difficile à remarquer.
- Oh putain ! Lâcha carrément Sanji en se redressant de toute sa hauteur. Oh putain ..de merde ! il en est là....Je crois que les omégas font souvent ça quand....Rah non, non, ça ne peut pas être ça !!
Hésitant quand à quoi penser, il descendit les marches avec prudence afin de ne pas réveiller Zoro. Puis prit ses clopes ainsi que son portable qui étaient sûr la table basse, en mode vibreur. Là, il se dirigea en direction du balcon qu'il referma avec prudence derrière lui. S'allumant encore une fois une cigarette, et resta quelques minutes, a hésiter quand à appeler sa mère, car pour répondre aux questions qui lui tournait en tête, si avait bien besoin d'un avis c'était bien de celui de Sora, une oméga ayant cinq enfants.
Un peu plus loin de là sur l'horizon qui se profilait devant ses yeux, il pouvait voir les vagues de la mer venir s'échouer sur le sable fin. Des promeneurs marchaient avec tranquillité, et un joyeux toutou, paraissait s'amuser à sauter dans l'eau en faisant le foufou.
Ayant pris sa décision, Sanji allait pour appuyer sur le bouton correspondant au numéro de téléphone de sa mère, lorsque son téléphone se mit à vibrer. Surpris, il fit un léger bon, avant de constater que s'était Sora qui cherchait à le joindre. Étrange coïncidence qui en d'autre circonstance aurait put l'amuser. Rapidement il ouvrit la conversation téléphonique...
- Ah Salut, j'allais justement t'appeler, expliqua t-il d'une voix qu'il cherchait à rendre joyeuse, afin peut-être de cacher quelques inquiétudes. Dit moi j'ai un qu..
- Écoute mon chéri, fit d'une voix hâtive la douce mère de famille. Je me suis un peu disputé avec ton père aujourd'hui. A ce sujet, j'imagine que tes frères t'en on déjà parlé.. mais dernièrement on vit chacun dans un coin de notre villa..
- Euh ...oui en effet je suis au courant, reconnu Sanji surprit que sa mère lui coupe ainsi la parole. Il n'a pas été violent avec toi j'espère ? S'informa t-il d'une voix un peu tendu.
- Oh non, jamais il ne ferait ça, ria t-elle presque comme si l'idée était absurde ( et elle l'étais en effet). Mais on s'est encore disputé. Il est persuadé que ce qui se passe dernièrement et de ta faute. J'ai beau lui dire ,que ce n'est pas le cas, que chacun de tes frères et soeur, ont fait le choix eux même de vivre selon leurs envie ..Et que c'était normal après tout...Mais ...
- Mais il n'a rien voulu entendre. Ouais je sais ! Il a fait la même chose quand je l'ai eu au téléphone l'autre jour.
- Écoute Sanji, souffla Sora qui avait près d'elle Reiju, puisque Sanji entendit sa voix, non loin de là. Il...a dit qu'il allait briser ton petit secret, et mettre à son tour le bazar dans ta vie.
- Mon secret, répéta l'alpha en fronçant des sourcils un instant.
Rapidement Reiju prit le relais de sa mère prise d'une légère quinte de toux.
- Il va dire au médiat que c'est toi le mystérieux chef cuisinier des thermes. Il espère ainsi détourner l'attention qui est sur lui, sur toi, et ....et te gâcher un peu la vie, pour se venger.
- Mais quel ordure ! S'emporta Sanji dont la voix raisonna un peu à l'extérieur. Putain, mais il n'a pas de limite ou quoi ?Tu sais quand il risque de faire ça ?
- Non, il n'a rien préciser, il a plein de rendez-vous tout le temps, donc c'est difficile à supposer. Mais même si tu l'appelles toi même...
- Il refusera de m'écouter, bien évidement, acheva Sanji en entendant sa mère confirmer au bout du file, car de toute évidence le portable était mis sur haut parleur.
Il y eut a la suite de cela quelques secondes de silence, durant lequel le cerveau intelligent du cuisinier se mit à réfléchir à toute allure. Pensif, il regardait vaguement le paysage extérieur. Et une chose lui vient vite à l'esprit. Quitte à être " révélé", il devait faire en sorte que l'herbe soit coupé sous le pieds de son père. Pour cela, il devait convaincre son patron de prendre les devants...afin que se soit lui, et non Judge qui révèle son identité.
- Bon laissez moi faire, je vais m'arranger avec ça. Vous faite pas de soucie, je vais faire en sorte que son petit piège tombe à l'eau.
- Tu es sûr que ça va aller ? Questionna Reiju.
- Oui t'en fait pas, j'ai un plan. Assura Sanji d'une voix qu'il voulut pleine de confiance. Faut que j'appelle mon boss, je vous rap..
- Attend, attend, pourquoi tu voulais me joindre mon chéri? Questionna Sora qui n'avait pas oubliée ce détail de la conversation.
- Oh euh....non c'est rien, j'avais quelques questions, mais on verra sa plus tard. C'est ..c'est pas vraiment important....
- T'es sûr ? Insista t-elle.
- Oui oui, au pire je te rappel, ok ? Allez je vous embrasses, et envois moi un message Reiju, si tu as du neuf sur l'autre là...allez à plus.
Après avoir raccroché, Sanji observa l'heure indiqué à sa montre.
- 17 h...pas sûr qu'il soit dans son bureau à cet heure-là.
Décidant de tenter le coup et de joindre la secrétaire de Monsieur Hope , Sanji comprit dès qu'il l'eut au téléphone que ses doutes se confirmaient. Rapidement, il expliqua à cette dernière combien il lui était urgent pour lui de le voir, et n'hésita pas une seconde à lui avouer que le secret sur son rôle aux cuisines risquait d'être dévoiler prochainement.
- Je vais faire en sorte que Monsieur Hope, vous reçoives demain matin. Je vais lui laisser un mot ! Venez à 9 h.
- Ok, merci beaucoup. Au revoir !
Encore une fois il raccrocha puis garda un moment son téléphone dans ses mains. La cigarette qu'il s'était allumée parut se consumer toute seule. D'un geste nerveux, il l'écrasa dans un cendrier qui était sur le large balcon, puis se décida à entrer.
Soudainement Sanji eut l'impression que son cerveau n'allait pas tarder à craquer. Trop d'inquiétude, de questions et de doutes envahissaient son petit cerveau, lui faisant à cause de cela, se poser au moins mille questions à l'heure. Et pour lui à cet instant , le plus important n'était sans doute pas, le fait que son père comptait dévoiler son petit secret sur son rôle aux thermes, mais plutôt...ce qu'il avait constaté chez son oméga ...
- Il cherche à se faire un " nid " avec mes fringues......J'ai tellement de vêtement que je m'étais pas rendu compte, qu'il m'en volait pour les garder près de lui. Et ça....ça craint....
*****
Et voila pour le chapitre 21, qui je pense est arrivée un peu plus rapidement que le précédent.
Alors, alors bien des choses se passent dans ce dernier. Les frères et soeur de Sanji se révoltent contre leurs père, et décident enfin de vivre leurs vie comme bon leurs semble. ( J'ai bien envie de mettre Yonji comme une sorte de voisin qui squatte tout le temps XD)
Judge comme toujours, met tout ça sur le dos de Sanji, ( pas le genre à se remettre en cause, le Judge )....Et Zoro pique les fringues de son compagnon, pour les garder tout le temps près de lui. Pour ceux qui comprennent le genre omégaverse j'imagine que vous avez déjà votre petite idée de ce que ça signifie. ...mais j'en dis pas plus. ;)
Dans tout les cas j'espère que ce chapitre vous à plu.
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