Chapitre 18 : Rencontre avec ses idoles.
Chapitre 18:
Il ne restait plus que quelques petits jours avant samedi, jour où le repas de famille était prévus. Durant un après midi, tandis qu'ils sortaient du parking des termes, Zoro arriva à surprendre Sanji par une demande que ce dernier n'attendait pas. Rouge et gêné, il voulu que ce dernier l'aide à choisir quelques vêtements qui rendraient sa " garde robe " un peu plus classe, ou même cool. De toute évidence il hésitait sur le bon adjectif à utiliser. Massant sa nuque un peu raide, son regard vert avait dévié en direction de son petit ami, qui souriait tranquillement avec une cigarette de coincée entre les lèvres. La fumée de cette dernière bien loin de stagner dans l'habitacle de la voiture, s'échappait par la fenêtre entrouverte. Le temps était si doux dernièrement, que le jeune homme au cheveux blond en avait profité pour l'ouvrir en grand afin d'y appuyer son bras lorsqu'il conduisait.
- Je croyais que tu t'en foutais complètement de ce qu'on pense des vêtements que tu portes ? En profita Sanji pour le taquiner. Avec un peu de rudesse, il prit un virage qui menait en direction d'un grands centre commercial assez populaire.
- Bah ouais, c'est vrai, admit du bout des lèvres le vert. Mais faut savoir aussi casser ses habitudes non ? Et puis, marmonna t-il en triturant entre ses doigts la fermeture éclair du sac, qu'il prenait toujours pour aller au travail.....et puis..
- Et puis quoi ? L'encouragea Sanji qui savait que des fois avouer certaine chose paraissait assez difficile pour Zoro. Sans doute parce que sa fierté naturel, parfois un peu trop présente en lui compliquait sévèrement les choses. T'es un grand garçon non ? Parle comme il faut..
- Ça va je suis pas un môme, râla un peu le vert. Me parles pas comme si j'étais un enfant..
- Pourtant là tout de suite t'en a l'air, à hésiter à parler comme tu le fais, insista un peu le blondinet en lançant de rapide coup d'oeil sur le coté. Et merde feu rouge! Bon sang, celui-ci je crois que c'est le plus long de toute la ville, commenta t-il en profitant d'une brise qui passait par la fenêtre de la voiture. Alors ? "Et puis" quoi ? Repris Sanji..
- Et puis, répéta encore une fois Zoro en fixant brièvement le regard sur le feu de signalisation. Et puis je sais que ta famille va être très classe...que ma mère va être tirée à quatre épingles. Et ma soeur, comme toutes les filles de son âges, elle aime la mode donc.....je veux pas faire tâche parmi vous tous....
Il y eut un bref silence, durant lequel l'alpha observa son oméga avec un air un peu plaisantin de graver sur le visage. D'un geste doux pourtant, il passa la main sur la joue matte de son petit ami, puis se pencha pour y déposer un simple mais tendre baisé.
- Mais tu sais que tu es tout mignon quand tu agis comme ça ? Hein ? Questionna t-il en ébouriffant les court cheveux vert.
- Pff tu te crois drôle ? Bougonna Zoro en haussant les épaules, puis en chassant la main de son crâne.
- Assez, reconnu Sanji en toute simplicité en mouvent légèrement la tête de haute en bas. Je vais t'aider t'en fait pas. Et ta moman pourra dire combien son " bébé " est beau.
- Je crois que tu es mal placé pour faire ce genre de réflexion. Toi aussi des un " fifils à sa moman ", ça se voit.
- Oui mais moi ça ne me dérange pas, continua de l'asticoter le cuisinier. J'assume totalement.
Il y eut un bref silence durant lequel le vert sembla continuer de bouder un peu. Puis enfin, après une longue attente le maudit feu rouge passa à nouveau au vert. Toujours dans son attitude cool et détendu, Sanji redémarra puis prit la voie menant au parking souterrain du centre commercial. Là-bas, il tourna un peu dans les divers allées, puis arriva enfin à trouver une place.
Comme souvent lorsque les beaux jours arrivent, le centre commercial cet après-midi là parut totalement blindé. Des groupes d'amis, des familles ainsi que quelques personnes solitaires circulaient dans les longues et larges allées avant d'entrer dans différents commerces. Un brouhaha régnait dans l'immense centre, et dispersait dans les airs des brides de discussions divers. Le couple avança donc, durant un moment jusque à ce que Zoro toujours aussi peu en phase avec les mots " mode" et " Fashion ", demande en toute simplicité à son petit ami de prendre les rennes de la balade. Ce dernier comprenant que faire les magasins n'était vraiment, mais alors vraiment pas le truc de Zoro, accepta. Prenant la main de ce dernier dans la sienne, il parvient à le trainer près d'une devanture où les vêtements qui étaient exposé dans la vitrine firent faire une étrange grimace au vert. La marque pourtant était assez populaire, et sûr de son idée, le blondinet l'encouragea à entrer malgré la réticence visible de son petit ami.
- Tu me fais confiance ou pas ! Demanda au bout d'un long moment Sanji, les poings sur les hanches. Autour d'eux certains les observaient, ou plutôt regardaient l'alpha avec un peu trop d'insistance pour le vert.
- Oui bien sûr, répondit-il en lançant des coups d'oeil par dessus son épaule, afin d'observer les divers passants. Comme si il cherchait ainsi à analyser chaque personne autour d'eux.
- Très bien, alors allons-y.
Et sans attendre que son oméga râle et bougonne davantage , Sanji attrapa de nouveau la main de ce dernier, et l'entraina à l'intérieur de la boutique ou quelques clients flânaient. Durant un certain temps, ils circulèrent le long des rayons sans que l'instigateur de cette sortie ne cherche à mettre le nez dedans. Parfois Zoro observaient les autres futurs clients qui tout comme eux longeaient les rayons de vêtement, mais prenaient tout de même la peine d'observer un article ou deux. Prenant encore une fois les rennes, Sanji alla donc choisir à sa place. Avec assurance, car c'était après tout un homme naturellement élégant. Il prit quelques vêtements et accepta de reposer certains d'entre eux, lorsque la grimace que faisait Zoro en les voyants devenait vraiment trop intense.
- Tu peux être très cool avec un simple jeans, expliqua Sanji avec sur le visage un petit air de monsieur je sais tout. Il suffit juste de choisir le bon, et qui va parfaitement à ta morphologie. Par exemple...Celui-ci ..
- C'est une taille fillette, l'interrompit Zoro en croisant les bras.
- Fi..non pas du tout. Tu vas essayer d'abord ensuite, tu pourras râler ensuite. Fait moi confiance bon sang.
Observant les quelques vêtements qu'avait choisi Sanji, comme si c'était une futur tenue de bagnard qu'on allait lui imposer. Le vert prit sûr lui même, et chassa au loin la soudaine envie qu'il avait de tout arrêter là, pour rentrer. D'un pas trainant un peu comme le ferait un gamin récalcitrant. Il alla en direction d'une cabine d'essayage libre, ou tout le long de l'essayage il poussa des gros soupir assez agaçant à entendre. A quelques mètres à peine de lui, le blondinet qui s'était assis sur un banc en bois clair, attendait sagement tout en jetant parfois un coup d'oeil rapide aux derniers SMS que ses frangins et sa soeur lui avaient envoyés. Comme toujours ses frères cherchaient à savoir ce qu'il comptait cuisiner lors de leurs futur repas familiale. Mais fidèle à lui même, et aimant les enquiquiner à l'occasion. Sanji s'amusa à faire une longue liste de tout les plats qu'ils détestaient, affirmant précisément que c'est ce qu'il comptait leurs servir. Des "beurk" et des " t'es pas sérieux ?" furent envoyées en quantité généreuse, tandis qu'un silence volontaire devenait pour les acteurs, la seule et unique réponse à leurs indignations.
Enfin Zoro sortit de la cabine, tout en ayant un air bien peu sur de lui de marqué sur son visage. D'un geste un peu maladroit , il tirait sur un t-shirt blanc pourtant souple, et doté de fine ligne noir horizontal. Un jeans bleue foncé, habillait ses jambes et donnait l'illusion qu'elles étaient plus longues. Ainsi sa silhouette massive et musclé, paressait être un peu plus longiligne qu'à l'ordinaire. Lorsque Zoro vit un long sourire s'étirer sur le visage de son amant, il comprit que malgré sa réticence naturel à porter des vêtements autres que " pratiques", ces derniers paraissaient bien lui aller. Silencieux il tourna un peu sur lui même, tout en observant avec attention son reflet dans le miroir. Finalement ce que celui-ci lui renvoyait n'était pas décevant. Pourtant avec un calme et un silence qui s'attarda un peu, Zoro attendit sagement que Sanji daigne enfin émettre un commentaire.
- Hum...y a pas à dire j'ai du gout quand même ! Murmura le cuisinier en prenant un profond air pensif, visiblement pas déranger de s'auto flatter ainsi. Avec une simple paire de basket blanche, tu vas être superbe là dedans. Affirma t-il en secouant doucement la tête de haute en bas, décidément très fière de ses choix.
- Ah bon ? Répondit en toute simplicité Zoro. Je suis à l'aise dedans mais..
- Tu n'aimes pas ? Demanda Sanji en posant sans aucune honte une main sur le derrière de son oméga. Il te met tellement en valeur ce pantalon, surtout là ! Affirma t-il en pressant sans aucune gêne une fesse.
- Hey ! Fout t'es pattes ailleurs...gronda le vert sans être écouté pour autant. Non mais toi alors..
- Hum, vraiment très sympathique tout ça, répéta encore une fois Sanji le regard un peu vicieux, avant de voir son amant claquer des doigts devant son visage pour le ramener à la réalité. Quoi ? Ah oui pardon...Donc je disais. T'as pas besoin d'être en costard cravate pour être cool, ni " présentable " devant ma famille. Cette tenue est très bien..Et j'aime beaucoup donc si..
- Bon, je te fais confiance. Si ça te plait alors, je les mettrais. Répondit en toute simplicité Zoro qui s'étonna lui même t'attendre inconsciemment la validation de Sanji, pour choisir quelques choses d'aussi banal que des vêtements.
Passant la main sur sa nuque, il plongea quelques instants dans ses pensées, avant de reprendre pieds dans la réalité. Cette manière d'agir à l'instant, c'était comme une sorte de soumissions indirecte. Comme si son subconscient lui avait dit " ton homme aime, donc prend le pour lui faire plaisir". Surpris de penser ainsi, il laissa pourtant de coté tout ceci, afin de reprendre les multiples essayages que lentement Sanji commençait à lui imposer.
En toute et pour tout, les deux hommes restèrent plus d'une heure dans la boutique. Parfois des rires avaient raisonné face à un mauvais choix de taille, qui donna la désagréable sensation au jeune oméga d'être littéralement comprimé dans un pantalon bien trop petit pour lui. Le rire de Sanji à cet occasion fut parfaitement incontrôlable, et provoqua bien de la curiosité chez les employés du magasin, qui ne se formalisèrent pas vraiment fasse à ça. Lorsqu'il passa à la caisse, Zoro se mit à ronchonner à nouveau, lorsque son amant sans lui laisser le temps de dire " oui" ou "non", paya le tout à sa place.
Comprenant que c'était là le tempérament d'Alpha qui parlait pour Sanji, et qui le poussait ainsi à le gâter. Zoro arriva à mettre de côté ses bougonneries, ainsi que sa petite fierté " indigné ", et remercia tout simplement son petit ami pour son cadeau. Ce dernier heureux de lui faire plaisir, laissa encore une fois un grand et beau sourire s'étaler sur son visage naturellement séduisant. Rien qu'en observant se joli rictus, le vert sentit dans sa poitrine son coeur battre à grande vitesse. Il y avait rien à dire à cela. A présent c'était plus que certain qu'il était totalement dingue amoureux de lui. Le simple fait de le voir heureux, de le voir sourire, arrivaient à envahir son être d'une joie simple , mais parfaitement délectable. Comme si ce sentiments simple et complexe à la fois, arrivait à apaiser son esprit parfois trop inquiet.
Petit à petit Sanji devenait son oxygène.
Avec tranquillité, ils reprirent leurs balades dans le centre commercial , s'arrêtèrent au passage dans une boutique de chaussure, où là, Zoro acheta lui même une paire de basket blanche à la forme plutôt simple mais agréablement souple. Cependant un détail, intrigua au bout d'un certain temps le cuisiner. Parfois durant leurs promenade le blondinet avait surpris Zoro à regarder par dessus son épaule. Un peu comme si il cherchait ainsi à surprendre quelqu'un qui les suivaient. A son tour il en fit de même, mais ne constata rien qui puissent susciter la moindre forme d'inquiétude.
- Je pense que c'est mon imagination, expliqua Zoro lorsqu'ils furent à nouveau dans la voiture, et qui lui fit part de ses inquiétudes. Maël m'a tellement harcelé et fait chier, les derniers jours ou je l'ai vu, que j'ai l'horrible impression de le voir partout.
- Subir ce genre de truc tape rapidement sur les nerfs, et j'en sais quelque chose. Ajouta Sanji qui à présent prenait le chemin de l'appartement. J'ai beau savoir qu'il ne travail plus aux thermes. Quand je t'attends après le boulot, j'ai toujours l'impression qu'il va surgir de nulle part pour me casser les pieds....avec ses déblatérations ridicule. Ce mec a vraiment un grain.
- Tu crois vraiment qu'il a abandonné ? Questionna soudainement Zoro qui observait vaguement le paysage citadin. Je veux dire, il était si acharné, si obsédé par toi....ça me parait vraiment bizarre qu'il laisse ainsi tout tomber tout d'un coup... Et qu'il accepte de faire un trait sur toi une bonne fois pour toute.
- Je m'en fou qu'il accepte ou refuse, se moqua Sanji en s'allumant une cigarette puis en ouvrant la fenêtre de sa portière. D'un geste paisible, il aspira une longue bouffée qu'il laissa peu après ça , s'échapper lentement entre ses lèvres. Le plus important dans toute cette affaire, c'est qu'il ne se mette plus entre nous, et qu'il me foute enfin la paix. Ce qu'il devient à présent n'est pas mon problème.
- T'as sans doute raison. Je sais que je ne devrais plus penser à lui, et à ce qui s'est passé dernièrement par sa faute. Mais ...j'arrive pas à me faire à l'idée que..
- S'il te plait Zoro. Mets cette histoire de coté, tu veux bien ? Demanda Sanji en lançant rapidement un regard sur le coté, avant de fixer de nouveau la route. Maël s'est du passé à présent, regardons vers l'avenir.
Sans rien répondre réellement à cela, Zoro hocha lentement de la tête puis n'ajouta plus rien en ce qui concernait le " dossier " Maël. Pourtant et malgré tout ce qu'ils s'étaient dis ce soir là dans la voiture, son instinct ou il ne savait trop quoi précisément, semblait lui laisser croire qu'en ce qui concernait cet énergumène, ils n'en avaient pas fini. Loin de là même.
Le reste de la semaine passa à une vitesse proprement prodigieuse. A présent qu'il était engagé. Zoro se sentait plus libre d'agir au boulot. Oh, bien sûr comme tout à chacun il respectait tout de même le réglement interne. Mais ne plus entendre de commentaires déplacés, ni de grossièreté sur sa relation avec Sanji, lui avait fait le plus grand bien. C'était comme si un poids qui jusqu'ici avait été présent, s'était libéré de ses épaules, avec le départ de Maël. D'ailleurs l'ambiance à la blanchisserie depuis, était beaucoup plus légère et détendu. Le temps passaient à une vitesse prodigieuse, et lui le " loup solitaire " comme il s'était décris auprès de Sanji au début, se surprenait à apprécier les liens sociaux , qu'il était entrain de créer avec ses collègues de travail. Lys qui l'avait formé, et à qui il demandait toujours des conseilles, devenait de plus en plus un véritable ami. Calme, sage, un peu taquin, mais toujours polie et bien élevé, c'était en vérité agréable de passer du temps avec lui.
Samedi arriva enfin. La veille après le travail le couple avait été faire des courses pour le repas du lendemain. Et la liste qu'avait fait Sanji à cette occasion parut si longue, que Zoro crut qu'ils allaient finir par ne plus jamais sortir du magasin. Lorsqu'ils passèrent à la caisse, tandis que le cadis paraissaient être près à vomir des victuailles en pagaille. La note que dût payer Sanji fut à deux doigts de faire tourner de l'oeil à Zoro.
- Bordel !! Avait-il lâché avant de poser la main sur sa bouche, en voyant non seulement la surprise de son petit ami, face à cet éclat de voix soudain, mais aussi celle de la caissière ainsi que des clients derrière lui. Pardon..
Ce matin là, un magnifique soleil printanier trônait agréablement dans le ciel, et montrait à qui y faisait un peu attention, que l'hiver commençait à n'être un lointain souvenir. Contrairement au autres jours, le loft ce matin là semblait être envahi d'un léger stresse. A peine Zoro avait-il émergé du lit douillé avec son habituel baisse de tension, que Sanji s'activait déjà derrières les fourneaux. Réveillé assez tôt ce matin-là, le jeune homme au cheveux blond, avait pris un petit déjeuner expresse, avant de s'atteler à son programme culinaire assez chargé.
Lorsqu'il vit Zoro descendre de l'étage en trainant des pieds, et en baillant à n'en plus finir, un petit rire amusée avait passé ses lèvres. Lui était très actif et plein d'entrain, tandis qu'à l'inverse Zoro donnait l'étrange impression de se ramollir à chaque seconde écoulée. De toute évidence tant qu'il avait pas bu sa première tasse de café, aucune information semblait être capable d'entrer dans son cerveau.
- Tu vas réussir à te réveiller avant que tout le monde arrive ? Questionna malicieusement Sanji, toujours aussi énergique.
Ses mains , ses doigts tout son être était d'une telle agilité, d'une telle souplesse, et même d'une telle rapidité que Zoro l'observa agir avec un profonde incrédulité d'affichée sur le visage.
- Comment tu fais pour avoir autant d'énergie le matin ? Bredouilla t-il la joue écrasée dans l'une de ses mains, tandis que l'autre tenait une tasse de café bien remplie. T'es pas normal.
- Ça ne répond pas à ma question. Tu seras prêts ou pas ?
Un vague mouvement de tête positive répondit à cette question tout à fait légitime. Pourtant et sans se presser le vert savoura avec une lenteur presque déconcertante, le café qui était encore dans sa tasse. Parfois son regard vert se portait que la baie vitrée, afin d'observer le paysage extérieur, qui était loin d'être désagréable à regarder.
Sanji avait beau râler régulièrement contre ses frères, l'idée de ne pas les recevoir comme il faut ne lui plaisait en aucun cas. Et vu que cette fois-ci en plus d'eux, il y aurait non seulement sa mère et sa soeur, mais aussi la famille de Zoro. Il tenait absolument à ce que tout soit parfait, afin que chacun passe un délicieux moment durant le repas.
Dark Miaule de son coté, était très content de voir son Maitre préparer tout ces plats, que ses yeux bleue adoraient observer. Ainsi bien des chances de voler de délicieuses gourmandises lui était offerte. Pourtant dès sa première tentative, les grondements de son humain le firent bouder presque immédiatement. Agacé de ne pas être le roi du loft. Et surtout de n'avoir aucune chance d'assouvir ses ambitions du jour. Le chat était parti bouder en haut d'un meuble de la cuisine. De là, il se contenta donc d'observer Sanji briller dans sa passion de la cuisine. Parfois une petite langue rose et rapeuse passait rapidement sur ses babines sombres, tandis que dans sa petite tête de chat, il se faisait à l'idée que de tout ces beau plats, il n'en aurait pas une miette.
Onze heure s'afficha à la grande horloge murale de la cuisine. Zoro qui venait à peine de sortir de la salle de bain, en profita pour étrenner ses nouveaux vêtements. Au fur et à mesure que le temps s'étaient écoulé ce matin là, un petit stresse avait réussi à s'infiltrer lentement dans ses veines. La dernière fois qu'il avait vu la famille de Sanji, les choses ne s'étaient pas vraiment bien passé, au contraire. Et même si là, Judge Vinsmoke ne serait pas présent, ce détail non négligeable n'atténua en en rien l'inquiétude qui lentement faisait grimper en lui son angoisse. Cette dernière d'ailleurs se traduisait par des gestes involontairement nerveux, et qu'il ne parvenait pas toujours à dissimuler à celui qu'il voyait de plus en plus comme son Alpha. Mise à part Yonji et Reiju, les deux autres frères ne lui avaient pas laisser un souvenir des plus agréables en mémoire. Et c'est avec une régularité presque agaçante qu'il se répétait mentalement, qu'il espérait que tout se passe bien.
- Ça va aller ? lâcha soudainement Sanji qui reposait un couvercle sur une énorme cocote. Avec rapidité il éteignit le feu sous cette dernière et s'approcha de Zoro à qui il prit les mains. Tu ne cesses de tirer sur son t-shirt depuis tout à l'heure. Ce qui indique que tu es tout en stresse..
- Non, je le suis pas, réfuta aussitôt le vert en essayant de prendre une allure pleine d'assurance. Enfin....peut-être un tout petit peu...admit-il du bout des lèvres comme si reconnaitre cela, lui brûlait un peu la langue.
- Qu'est-ce qui te tracasse autant ? Questionna Sanji qui malgré son activité culinaire assez intense depuis tôt le matin, n'avait pas fait la moindre tâche sur ses beaux vêtements.
- Rien, je te dis...
- Zoro...arrête de croire que tu peux me berner. Je le sens quand tu es stressé..ça s'échappe des pores de ta peau. Alors encore une fois dis moi ce qu'il ne va pas.
Un soupir un peu agacé passa les lèvres de Zoro, qui dut capituler face au terrible instinct de son alpha.
- La dernière fois que j'ai rencontré ta famille...ça c'est pas bien passer et je me dis..
- C'était à cause de mon père tout ça ! Le coupa immédiatement le propriétaire des lieux en posant les mains sur ses joues. Il avait réussi à mettre une ambiance de merde en un claquement de doigts. Là, il n'y aura que ma mère et mes frères et sœur. Ça sera beaucoup plus détendu tu vas voir...Et ..Itchiji et Niji ne t'approcheront pas...Ils me l'ont promis.
Sans rien répondre le vert lâcha un soupir discret, avant de passer une main agacée dans sa chevelure verte. C'était si désagréable pour lui de se laisser ainsi envahir par ses émotions, alors qu'avant il arrivait à les maitriser sans trop de soucie. Mais depuis qu'il était devenu ce qu'il est. On n'avait cessé de lui balancer à travers la tête, combien il était étrange. Combien il était bizarre. Et tout ces adjectifs censé le décrire avait fini par faire naitre en lui un début de manque d'assurance, qui ne lui plaisait pas vraiment, mais qui malheureusement était bien présent. Après tout beaucoup le voyait comme " l'oméga bizarre ". Jamais il n'avait été quelqu'un de complexé. Et pourtant tout ces mots si désagréable à entendre, avaient depuis quelques temps pris place dans sa tête, et revenaient le hanter par moment.
- On va passer une bonne journée. Lui promis Sanji en l'embrassant si tendrement, et que cela fit presque immédiatement sourire son amant. Je préfère ça, reconnu t-il. Tu es plus mignon quand tu sourit.
Peu de temps après cela, la sonnette de la porte d'entrée se mit à sonner. Un peu surpris car le sons était relativement puissant et strident, Zoro sursauta un peu tandis que Sanji alla ouvrir la porte. Lorsque ce fut chose fait, le blondinet vit sur son palier Yoko dont les mains étaient envahi d'un gros bouquet de fleur. Et de Izumi dont la nervosité était palpable à 100 mètres. Ne pouvant se faire à l'idée de venir les mains vides, la mère de Zoro était passé chez un fleuriste afin de dégoter ce magnifique bouquet, qui laissa Sanji un peu surpris. Ce dernier toujours aussi galant la remercia dans un beau sourire, avant de l'en débarrasser.
- Je ne pouvais pas venir les mains vide, se justifia la mère de famille dans un petit air honteux. J'avais l'impression d'être impolie.
- Ne vous en faites pas c'est très gentil à vous, la remercia Sanji. Oh mais entrez, ne restez pas sur le palier. Vous n'êtes pas obligé de vous déchausser, assura t-il avant de recevoir une gosse bise sur la joue de la part de Yoko.
- T'es vraiment un beau jeune homme, répéta une fois de plus Yoko avant de se tourner en direction de son fils. Oh mon chéri, tu as si bonne mine ce matin, s'exclama t-elle en prenant entre ses mains le visage de son ainé, qui crut sur l'instant que ses joues allaient rester écrasées ainsi encore longtemps. Toi aussi t'es tout beau ....assura t-elle en lui plantant de gros bisous sur chaque joue, et qui laissèrent une trace de rouge à lèvre.
- T'es si énergique le matin, ne put que commenter le vert en voyant que sa mère lançait des coups d'oeil circulaire.. Vous êtes les premières arrivées détends toi.
- Oh mon dieu ça me rassure, souffla Yoko la main plaquée sur le coeur. Je suis un peu nerveuse, reconnu t-elle. Je suis pas habituée à rencontrer des gens aussi connu moi.
- Elle a achetée cette robe pour cette occasion, commenta Izumi qui alla prendre son frère dans ses bras. Toute la journée d'hier on a fait les magasins. Je n'avais plus de jambes à la fin.
Le sourire excessif qui s'afficha sur le visage de sa petite soeur, indiqua directement à Zoro l'état de stresse dans lequel elle était à l'idée de rencontrer ses idoles. Mais aussi la force avec laquelle , elle tentait de dissimuler tout cela. De toute évidence mentir sur ses émotions, était une spécialité dans la famille, conclut il en toute simplicité.
- Je parie que tu n'as pas dormi de la nuit, souffla le vert afin de taquiner sa frangine. Cette dernière bien loin de râler comme d'habitude, se mit à secouer vivement la tête, avant de murmurer un très faible " non pas dormi."
- Ne vous faites pas autant de souci, intervient Sanji en direction de Yoko, ma mère est quelqu'un de simple. Elle n'est pas du tout comme mon père qui passe sa vie à s'étouffer dans son orgueil, et son arrogance. Vous allez bien vous entendre, j'en suis certain.
A l'évocation du père de Sanji, la mère de Zoro se mit à froncer des sourcils. L'amertume, pour pas dire la colère qu'elle avait à l'encontre de ce dernier, était encore à vif dans son coeur de maman. Et jamais elle ne pardonnerait à ce dernier d'avoir dit autant de méchanceté à son bébé. Pas idiote pour deux sous. Doté d'un puissant instinct maternel, elle avait su lire à entre les lignes, lorsque Zoro lui avait contait l'anecdote, que malgré le ton paisible qu'il avait tenté de garder tout le long, combien cette expérience lui avait fait du mal. Mais sachant aussi que son garçon avait une sacrée fierté en lui. Elle avait su garder sous silence ce qu'il fallait, et exprimer ce qu'elle se sentait en droit de dire. Une chose pourtant était certaine, connu ou pas connu, si un jour elle devait rencontrer Judge, à son tour elle lui cracherait ses quatre vérités en pleine face.
En attendant que le reste des invitées arrive, Sanji avait brièvement fait visiter le loft. Il avait même proposé à Izumi d'allumer la télé, afin qu'elle la regarde si elle s'ennuyait un peu trop. Cette dernier le remercia, mais vit rapidement chez sa maman un mouvement de tête négatif, lui indiquant clairement qu'elle ne passerait pas la journée derrière un écrans. Alors, l'adolescente avait laissé les adultes parler entre eux, tandis que Dark Miaule en charmeur naturel qu'il était, gambadaient dans sa direction afin de jouer un peu avec cette nouvelle humaine, qu'il ne connaissait pas. Assise à même le sol, des rires bientôt se firent entendre, tandis qu'un bavardage débutait entre Zoro, sa mère et Sanji.
D'ailleurs le vert en profita pour parler un peu de son travail, mais comme toujours il dissimula le problème " Maël " ,ainsi que toutes les choses affreuses que ce dernier lui avait balancé à travers la tête, durant son mois d'essais. Heureuse de savoir que son fils avait été engagé, et qu'il n'aurait plus de souci financier. Yoko en profita pour raconter quelques potins de son quartier. Levant l'oeil au ciel, le jeune homme laissa faire sa mère, tandis que Sanji assez amusé par cela, se levait parfois pour préparer quelques bricoles.
Et puis enfin midi sonna à l'horloge de la cuisine. Au même instant la sonnette de la porte d'entrée raisonna à travers le loft. Surprise, mais sachant de qui il s'agissait. Izumi qui jouait toujours avec Dark Miaule se redressa soudainement sur ses jambes, puis fonça en directions de son frère. Son coeur à présent battait si fort dans sa poitrine, qu'elle crut qu'il allait bientôt lâcher. Dans son dos Zoro sentait, sa petite soeur se cachait tout en gardant les mains accrochées à son t-shirt. Comprenant un peu pourquoi elle agissait ainsi, il ne tenta en rien de la chasser de là, et lui laissa le temps de se calmer avant de rencontrer ses idoles. Yoko de son coté, était entrain de remettre de l'ordre dans sa tenue, même si cela n'était pas nécessaire, et observa Sanji aller ouvrir la porte d'entrée. Dans la petite famille Roronoa la tension était assez palpable, et augmenta même d'un cran quand la porte d'entrée s'ouvrit.
- Oh mon dieu c'est elle, c'est Reiju..., balbutia à voix basse Izumi toujours accrochée à son frère. Elle est encore plus belle en vrai..
- Sanji, fit la belle jeune femme à la chevelure rose. Je suis si contente de te voir.
D'un geste plein de tendresse, l'ainée des enfants Vinsmoke prit son petit frère dans ses bras, et lui fit un gros câlin comme si il n'avait été pas plus âgé qu'un gamin de 4 ans. Avec douceur elle passait la main dans ses cheveux blond, tandis que le reste de la famille entrait à leurs tour. Tout d'abord se fut Yonji, qui à peine arrivé, aspira une grande goulée d'air avant de déclarer, d'un air un peu gourmand.
- Ouah ce que ça sent bon ici ! Et salut frangin, lâcha t-il en faisant une petite claque sur l'épaule du cuisinier en guise de salut.
A peine Sanji eut-il le temps de répondre, que Dark Miaule qui avait parfaitement gardé le visage de Yonji en mémoire, lui fonça dessus avec d'étrange miaulement de bonheur. Sachant que c'était garce à lui qu'il pouvait vivre dans cet appartement avec un maitre plutôt cool. Le félin se frotta avec passion le long des jambes du cadet de la famille, qui lui répondit par des caresses un peu ébouriffante.
- T'aurait pas grossi Darky ? Questionna Yonji qui bien entendu ne reçu pas de réponse , mais plutôt de gros ronronnement de bonheur.
Avançant de quelques pas, le plus grand des quadruples laissa entrer à leurs tour Itchiji, et Niji qui poussait sa mère assise ce jour là sur une chaise roulante. Cette dernière qui n'était pas vraiment handicapée moteur, avait tout de même parfois quelques faiblesses dans la marche. De ce fait, les médecins qui la suivaient depuis longtemps, lui avaient conseillé lorsqu'elles se déplacée hors de chez elle, de prendre par prudence son fauteuil pour plus de tranquillité et de prudence. Malgré ce détail, Sora resplendissait de beauté et paraissait malgré les contraintes de sa santé fragile, bien plus jeune que quarantenaire.
- Soyez sage les garçons, dit-elle en voyant Itchiji, Niji et Sanji se saluer en s'écrasant les phalanges, plus par habitude que par provocation. Ne commencez pas.
- Vous me devez le respects, vous êtes chez moi, fanfaronna malgré tout le cuisinier tandis que son frère ainé retirait ses lunettes de soleil, qu'il cala dans le cols de sa chemise.
- Oh là là, commenta à voix basse l'adolescente toujours cachée dans le dos de son grand frère. Itchiji retire rarement ses lunettes et...mais..Hein ? S'étonna t-elle soudainement en voyant Sanji et Niji s'attraper par le cou en marmonnant des " abandonnes " et des " non toi d'abord"....mais..mais...
- Ils ont fait un truc similaire la première fois que je les ai vue ensemble, lui expliqua rapidement Zoro. C'est des Alpha, même si ils sont frangins, ils peuvent pas s'empêcher de s'opposer...même si parfois c'est un peu ridicule....la dernière fois ils ont même fini par terre...c'était n'importe quoi...
- Les garçons vous gênez maman avec vos idioties, intervient Reiju en aidant sa mère à se relever de sa chaise.
- Aah, s'exclama Sanji qui de toute évidence s'était fait dépasser par son tempérament. Avec quelques hésitations, il relâcha le bleue puis s'avança vers sa mère. Excuse moi maman, fit-il en allant la prendre doucement dans ses bras. Tu vas bien ? Tu as besoin de quelque chose ?
- Ça va aller mon coeur, je me sens bien aujourd'hui, sourit avec douceur Sora, en posant la main sur sa joue. Tu as bonne mine dit donc...l'amour te donne un jolie teint, taquina t-elle un peu.
- Zoro, marmonna à voix basse Yoko en se tournant vers son fils. Cette femme est absolument magnifique, j'ai l'air d'une vieille peau à coté..
- Quoi ? S'étonna le vert en se retenant avec difficulté de rire. Mais non enfin.. qu'est-ce que...
- Yo frangin ! le coupa involontairement Yonji et qui de toute évidence était pressé de saluer Zoro, qu'il appelait souvent Frangin d'ailleurs. Comment ça va depuis la dernière fois ? Demanda t-il en tendant la main. Mon père est pas là, on va être plus tranquille pour faire ta connaissance.
- Salut , sourit-il enserrant la main qui lui était tendu. Izumi ? Arrête de te cacher....sort que je te présente...Izumi !!
Soudainement intimidé, l'adolescente pétrifiée à l'idée de rencontrer ses idoles, n'osait plus sortir de sa " cachette " et gardait à présent le visage collé contre le dos de son frère ainée. Amusé par cela, et sans doute parce qu'il était de nature un peu taquine. Yonji se pencha sur le coté tandis que sa main s'appuyait un peu sur l'épaule de l'oméga de Sanji.
- Hey, salut ! Fit-il d'un ton encourageant. Tu sais, je vais pas te manger, assura t-il. Promis.
- Tu lui fais peur, intervient Reiju qui appuya ses mains sur ses genoux, afin de se mettre au niveau de l'adolescente. Avec calme elle offrit un beau sourire en direction d'Izumi qui les observa le coeur toujours palpitant.
Rapidement Niji et Itchiji après avoir salué Zoro, se joignirent autour de ce dernier dans le but évident d'apprivoiser Izumi, qui crut à chaque secondes mourir tant elle était impressionnée. A les voir agir, on avait la sensation qu'ils cherchaient à apprivoiser un petit animal sauvage.
- Allez, l'encouragea Zoro en parfait grand frère, tout en posant une main rassurante sur l'épaule de sa soeur. Tu veux vraiment qu'ils retiennent de toi l'image d'une adolescente peureuse, et incapable de dire un mot ?
- Non, murmura d'une voix un peu tremblante la jeune fille en sortant enfin du dos de son ainé. Respirant un grand coup, elle se présenta enfin, comme sa mère le lui avait appris. Je..Je suis Izumi la petite soeur de Zoro, je suis heureuse de faire vo...vo..votre connaissances.
Avec un manque flagrant d'assurance Izumi arrivait enfin à se tenir face à ses " héros ". Terriblement impressionnée elle se força pourtant à les regarder tour à tour. D'une main un peu tremblante, elle serra celle de Yonji, puis de Itchiji. Niji fit de même , mais bâcla les salutations pour tourner son attention sur Sanji avec qui il discuta un peu. De toute évidence, le fait qu'elle soit fan de lui, était le cadet de ses soucis. Mais lorsque Reiju demanda à Izumi si elle pouvait lui faire une bise pour la saluer, la jeune fille secoua vivement la tête, avant d'éclater en sanglot tant l'émotion de la rencontrer enfin était grande.
- Oh, il ne faut pas pleurer comme ça voyons. Essaya de la consoler Reiju qui l'a pris dans ses bras, marquant à jamais cette journée comme la plus belle que Izumi eut jamais vécue.
- Je peux mourir en paix, hoqueta la petite soeur de Zoro ivre de joie. Je suis trop heureuse.
- Le plus tard possible ma chérie, s'écria aussitôt Yoko avant de saluer à son tour Sora. Vous êtes resplendissante, lâcha t-elle avec sa franchise habituel. On dirait même pas que vous avez eut cinq enfants. J'en ai eu que deux et ils m'ont détruis la silhouette à tout jamais ! Plaisanta t-elle ce qui eut le mérite de faire rire Sora.
- Oh mais, il ne faut pas dire ça, vous êtes magnifique, ria encore cette dernière avant de serrer la main de la maman de Zoro. J'étais très impatiente de vous connaitre tous les trois. La dernière fois...les choses ont été un peu...compliqué, murmura t-elle mal à l'aise, j'étais vraiment désolée de n'avoir pu discuter d'avantage avec votre fils. Il a su capturer le coeur de mon petit garçon, et...
- Mon petit garçon, ricana Niji en donnant des coups de coude à Sanji, qui haussa les épaules.
- Mon bébé est plein de qualité, s'exclama aussitôt Yoko comme si elle ventait là, les qualité d'un produit. Vous vous en rendrez compte, lorsque vous le connaitrez un peu mieux.
- Maman commenced pas...
- C'est vrai qu'avec mon petit Sanji, ils forment un couple adorable , assura à son tour Sora qui sentait qu'elle allait très bien s'entendre avec Yoko. Ils sont très mignon !!
- Vous saviez que mon bébé rougie, quant on dit le prénom de votre fils ? C'est trognon et...
- Oh, comme ça doit être adorable, Murmura Sora attendrit en joignant les mains devant elle. A la voir ainsi discuter avec Yoko on avait l'impression qu'elles se connaissaient depuis toujours.
- Oh là, là, marmonna Sanji en passant la main dans ses cheveux et qui souleva un instant la mèche qui cachait une partie de son visage. A peine arrivée, elles sont déjà les meilleurs amies du monde...
- On dirait deux chefs d'entreprises qui vantent la qualité de leurs produits, commenta Niji en ricanant à demi. Près de lui Itchiji confirmait ses dires en opinant de la tête.
- Vous n'avez pas fini d'être mal à l'aise les gars, déclara Yonji qui à présent portait un Dark Miaule qui ronronnait de bonheur dans ses bras.
Si la première fois qu'il avait vu la famille de Sanji, Zoro s'était senti mal à l'aise au point de vouloir fuir les lieux. Cette fois-ci malgré les paroles un peu gênante de sa mère, il savait que les choses se passeraient beaucoup mieux et que peut-être une sorte de lien se créer entre leurs deux familles, car après tout entre lui et Sanji, il le savait , s'était pour la vie.
*****
Et voilà pour le chapitre 18. Étant déjà bien généreux, je pense qu'il était préférable de le diviser en deux, afin de profiter un maximum de cette rencontre. J'espère dans tout les cas que ce chapitre vous à plu. Et que la rencontre entre les deux " maman fières de l'être " vous à un peu amusée.
N'hésitez pas à laisser un petit com, ça fait toujours plaisir et sa encourage.
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