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Chapitre 20

Un mois s'était écoulé depuis et les vacances étaient arrivées comme une délivrance pour la plupart des habitants du château. Beaucoup d'élèves avaient décidé de rentrer chez eux voir leur famille et Sean avait finalement put poser deux semaines de congés, Zoé et Tom aillant été chargés de les remplacés, lui et ses deux collègues. La perspective de deux semaines de congés loin de ses étudiants l'enchantait au plus haut point. Leur comportement après « l'incident » l'avait écœuré. Certains étaient venus s'excuser... envers lui, et dans le seul but de regagner les points qu'ils avaient fait perdre à leurs maisons. Aucun n'avait eu la décence d'aller voir Severus. Ils l'avaient tout bonnement ignoré. Lorsqu'il lui en avait parlé, l'adolescent avait rétorqué qu'il n'en avait rien à faire mais Harry n'était pas dupe, ça affectait le brun bien plus qu'il ne voulait le montrer.

C'était dans des moment comme celui-ci que l'ancien Gryffondor voulait éclater, tout révélé à Severus, le prendre dans ses bras et le protégé des autres et de leur méchanceté. Pourtant, il n'en faisait rien, il se contentait de le regarder avec tristesse sans rien dire. Il espérait vraiment que le garçon aurait l'occasion de profiter des vacances pour se reposer. Lui-même n'avait pas vraiment eut le loisir de se prélasser. À peine deux jours après son retour chez lui, le vieux directeur lui avait envoyé une missive l'informant du lieu et de la date de la prochaine réunion de l'ordre. 22 décembre, 21h30 ; Manoir Potter.

Le jeune sorcier ne savait pas si l'absence d'un quelconque mot de passe était, une prévision de la part de Dumbledore au cas où la chouette eut été intercepté ce qui été plutôt malin ou la révélation de l'inexistence d'un mot de passe ce qui était un manque de prudence évident. Il verrait bien le moment venu, pour l'instant, il avait d'autre chats à fouetter. Ce jour-là, était le 19, la réunion avait lieu le 22, Severus recevait la marque le 20 et il avait prévus le « braquage » de Gringotte pour récupérer la coupe de Poufsouffle le 21...

Il avait déjà rassemblé deux horcruxes, il lui en restait 4. Le problème étant qu'il n'avait pas vraiment de plan pour les récupérer. Il allait devoir y aller au talent, ce qu'il aurait, franchement, préféré éviter. Pour la coupe, son plan était plutôt simple, il avait demandé aux langues de plombs qui l'avaient accueilli à son arriver d'organiser un examen de la banque ce jour-là afin de pouvoir se glisser en toute discrétion dans la banque. Si un goblin le remarquait, il prétexterait une visite de son coffre et une fois seuls, l'endormirait en lui faisant reniflé les vapeurs de la goutte de mort vivante, profitant de son état, il rejoindrait le coffre de Bellatrix situé une quinzaine de coffre plus loin que le sien et utiliserait le sort d'explosion qu'il avait amélioré pour le rendre silencieux. Il n'y avait absolument aucune raison que ça tourne mal...

°°°°°°°°°°

Severus se laissa choir contre le mur avec un geignement douloureux. Ses robes noires encombraient ses mouvements déjà raides alors qu'il tentait de trouver une position un peu moins inconfortable. Le paysage enneigé était splendide mais, pour être tout à fait honnête, c'était bien la dernière chose à laquelle il faisait attention. Les lumières du manoir Malefoy brillaient au travers de fenêtres et illuminaient le parc recouvert de neige immaculée. Les fleurs du jardin étaient recouvertes d'une fine pellicule de givre qui donnait l'impression qu'elle était figée. Il faisait tache au milieu de ce spectacle blanc et pur. Il retint un sanglot amer. Il devait avoir l'air pitoyable avachit là contre le verre de la serre, le plus loin possible des invités, se tordant de douleur sous la souffrance que lui infligeait sa marque tout juste apposée.

Il releva lentement son avant-bras et jeta un regard torve sur l'immondice qui y trônait fièrement. La peau rougeâtre et boursouflée qui l'entourait contrastait drastiquement avec la blancheur laiteuse de sa peau et les traces sanguinolentes qui en dégoulinaient le révulsait profondément. Il venait de se faire marquer, marquer comme du vulgaire bétail. C'était nécessaire, il le savait, Sean le lui avait dit, cela n'empêchait pas son corps de lui faire subir le martyre et son âme de lui hurler tout son dégout.

Cet homme, ce, ce monstre qui se faisait appeler le « seigneur des ténèbres », il tuait des gens, torturait des innocents, violentait ses partisans, et pourtant, des centaines de personnes de le suivaient aveuglément. Il fallait que cela cesse, que Voldemort soit détruit et pour cela il fallait faire des sacrifices. Il ne cessait de se le répéter mais la géhenne qu'il ressentait empêchait toute pensée cohérente de se faire une place dans son esprit. Il laissa un gémissement plaintif percé la barrière de ses lèvres.

Que dirait Sean s'il le voyait là, faible, impuissant ? Il ne voulait pas le décevoir. Il ne voulait pas qu'il voit à quel point il était dépassé par tout ça. Il avait tellement honte de lui. Il était là, incapable de supporter son propre poids, effondré contre la paroi d'une des serres de l'immense manoir Malefoy, en larmes. Lamentable, il était... lamentable. Severus laissa finalement un sanglot rauque s'échapper de sa gorge et puis fondit en larmes jusqu'à ne plus être qu'une masse informe de sanglot et de douleur.

Une main se pressa alors sur son épaule avec douceur. Il releva la tête et croisa le regard remplie de pitié de Regulus. Les deux perles grises du plus jeune le fixaient avec incertitude. Il n'avait aucune idée de comment agir. Finalement, il opta pour une étreinte maladroite qui laissa Severus interdit. Pourquoi le sang pur se comportait comme ça avec lui ? Certes ils entretenaient une entente cordiale mais rien d'assez intime pour se permettre ce genre de débordement. Le potioniste s'essuya les yeux avec la manche de sa robe, honteux d'avoir été aperçu dans un état pareil.

« J-je voulais te féliciter pour ta marque. Les mots du garçon sonnaient creux. C'est vraiment bien que... des bâtards comme toi admette la supériorité de notre sang... Le Serpentard n'écoutait même plus. Pourquoi les paroles du sang pur sonnaient-elles si vides ? Pourquoi donnait-il l'impression de réciter un texte appris par cœur ?

- Tu es sûr que ça va Black ? L'adolescent sursauta et rougis comme un enfant surpris alors qu'il faisait une bêtise. Il tenta bien de masquer sa gêne mais son masque était fissuré.

- B-bien sûr ! Pourquoi ça ? Les plans du maitre avancent comme il le souhaite et rien ne pourrait me faire plus pla...

- Pourquoi tu mens ? L'aristocrate se releva d'un bond comme frapper au cœur par ces mots.

- Je ne mens pas ! Comment ose tu remettre ma parole en doute être inférieur ?! Son visage affichait une colère pure mais ses yeux, ses yeux étaient remplis de détresse. Severus eut un soupir las.

- Black, sérieux arrêtes, tu n'es pas crédible. Il n'y a personne à convaincre ici, ton baratin ne sert à rien.

- Le maitre est un être supérieur, j'ai foi en ses idéaux.

- Mais pas en ses actes ? Les prunelles grises le dévisageaient avec un mélange de peur et de doutes.

- J-je, je...

- Je jure sur ma magie Black de n'en parler à personne mais sois honnête avec moi : Tu ne veux pas la marque, si ?

- ...

- Je n'ai pas entendu.

- J'ai dit non. Je... je ne veux pas la marque. Je trouve ça...

- Répugnant ? Rabaissant ? Avilissant ?

-Oui.

- Là-dessus, tu n'as pas de soucis à te faire. Crois moi Black, tu prêches un convaincu.

- Mais, et ce soir ?

- Tu apprendras, avec le temps, que pour obtenir ce que l'on souhaite il n'y a pas trente-six solutions, il faut faire des concessions et accepter de se salir les mains même si ça nous dégoute du plus profond de notre aide.

- Pourquoi es-tu là Rogue ?

- Par « là », tu entends, recroquevillé en position fœtal près des serres ou aux premières loges du pot de départ de notre liberté ? L'esquisse d'un sourire passa sur le visage du brun avant qu'il ne reprenne d'un ton abattu.

- Pourquoi as-tu pris la marque ?

- Crois moi Black, tu n'as vraiment pas envie de savoir. Mais, laisse-moi te retourner la question, qu'est-ce que tu fous là ?

- Par « là », tu entends planquer derrière les serres comme un lâche avec un demi-sang en pleure ou à la soirée d'intégration des Mangemorts junior que je ne devrais normalement rejoindre que l'année prochaine.

- Hum, deuxième option, c'est mieux pour mon égo. Ricana Severus

- Pour être tout à fait honnête, je n'en sais rien. Rencontrer des gens, parler à du beau monde je suppose. Je crois qu'en fait j'essayer de me trouver des raisons de faire comme vous, de prendre la marque...

- Ce n'est pas évident à trouver, je te le concè... Le sorcier ne finit sa phrase que par un sifflement de douleur alors qu'il saisissait son bras sur lequel flambait le crâne.

- Rogue ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu vas bien ? Tu veux que j'aille chercher de l'aide ?

- J-je crois qu'i-il m'appelle...

- Qui ?!

- Le maitre, argh. » L'adolescent sentait son corps convulsé sous les pics de douleurs qui traversaient son être. Il avait l'impression que ses os allaient explosés.

Il réussit difficilement à prendre sa baguette en main et à la posé sur la marque avant de transplaner aux pieds du mage noir. Il ne se rendit compte que trop tard qu'il n'avait pas pris son masque et le sourire de requin du seigneur lui indiqua clairement que non seulement lui aussi l'avait remarqué mais aussi qu'il allait passer un sale, sale quart d'heure.

°°°°°°°°°°

Eliott poussa la porte de son minuscule appartement, posa son sac de course sur la table à manger et jeta un regard fatigué à l'horloge. 2h38 et toujours aucunes nouvelles de Severus. Il savait qu'il était parti à une sorte d'entretien d'embauche huppé pour sorcier dans la soirée mais il commençait à se faire tard, il n'était peut-être pas un expert mais il lui semblait bien qu'un entretint d'embauche ne durait pas si longtemps normalement. Enfin bon, il ne lui devait rien de toute façon.

Il se fit chauffer un bol de nouilles instantanées et s'effondra sur son divan rapiécé en soupirant. Il été éreinté. Le moldu ne comprenait pas pourquoi mais depuis deux semaines les flics du quartier étaient sur le qui-vive et il lui était devenu presque impossible de faire de la revente sans qu'ils ne viennent le faire chier. Toute sa vie, on lui avait rabâché que ce n'était pas parce qu'il était né dans un quartier pourri qu'il était obligé d'avoir une vie pourrie, que s'il travaillait bien il pourrait s'en sortir, etc... Tu parles ! Ceux qui arrivaient à s'en « sortir » comme Severus, étaient les exceptions, pas la règles. Les types comme lui, quelque part, on s'en foutait. On savait qu'il existait et s'était déjà pas mal.

Soudain, un bruit sourd dans l'entrée le fit sursauter, il se rua à la porte et découvrit son ami, embourbé dans ce qui semblait être une... robe ? Il avait l'air en piteux état et là, effondré sur le vieux tapis mité qui décorait le couloir, il faisait peine à voir. Tobias devait surement l'avoir tabassé après l'avoir baisé ou l'inverse, rien qui ne sorte de l'ordinaire en somme. Le jeune adulte passa son bras sous ceux de l'adolescent et le transporta jusqu'au canapé où il l'allongea avec précaution. Il lui retira sa robe et se mordit la lèvre devant le torse zébré de plaies de son amant. Il n'avait pas fait semblant l'autre alcoolique. Eliott se dépêcha de prendre la petite mallette à pharmacie cheloue que lui avait offert le garçon. Elle était remplie de fiole bizarre mais c'était super efficace. Il prit un petit pot de crème et s'en badigeonna les mains avant de l'étaler avec application sur la peau blanche du serpent.

« Il était pas tous seul l'autre con, c'est pas possible, même en rage il s'arrête avant ce stade normalement » Se fit-il la réflexion alors qu'il lorgnait le corps ensanglanté de son ami. Une fois sa tâche terminée, il referma le baume et s'allongea à côté du corps endormis. Il passa un bras sous son dos et le tira contre lui en embrassant l'arrête de la mâchoire. C'est alors que son regard fut attiré par une vilaine tache noirâtre sur son avant-bras. Il la saisit et remarqua avec stupeur que c'était un tatouage, un tatouage vivant ! Le serpent s'enroulait autour du crâne avec une sorte de délectation malsaine. Etrange... Ce qui l'intriguait le plus c'était le choix du motif. Il était d'une laideur, immonde. Sans savoir vraiment pourquoi, ce dessin révulsait profondément Eliott, il grimaça de dégout et relâcha le membre. C'est alors qu'il remarqua les deux yeux noirs qui le fixaient avec une sorte de peine, de douleur indéfinissable.

« Je sais que les gouts ça se discute pas Sev mais, il est vraiment moche ton tatouage. Plaisanta le garçon.

- Je sais. Les yeux de Severus se remplir de larmes à la grande stupeur de l'adulte.

- Eh, tu me fais quoi là ? Pleure pas mec. C'est pas grave, tu le fera rattraper, t'as pas besoins de chialer. Le moldu sentait le corps de l'adolescent trembler contre le sien.

- Eliott, faut qu'on parle.

- D'accord... Ça peut pas attendre demain ?

- Non.

- Ok. Y t'arrive quoi ?

- Tu vois, ça ? Le sorcier leva son bras gauche.

- Oui, c'est un bras.

- Non mais ce qu'il y a dessus Eliott.

- Ah, le, le crâne là ? Euh oui.

- C'est, c'est pas juste une tatouage. La voix du potioniste était rauque.

- Oui ! J'ai vu, t'as le machin rampant qui bouge. Je savais pas que c'était possible.

- Non Eliott, tu ne comprends pas. Je suis un sorcier, ça tu le sais. En revanche ce que tu ne sais pas c'est que, dans le monde sorcier, il y a une guerre qui se prépare... Les sorciers de sang « pur », qui descendent de deux parents sorciers pensent que ceux qui ne le sont pas donc les enfants de moldus et sorcier et les sorciers de deux parents moldus sont inférieurs. Ils sont persuadés que ceux qui n'ont pas de pouvoir sont des déchets.

- Ouais en gros, c'est des nazis.

- Si tu veux. Bref, il y a un mec, un sorcier puissant qui se fait appeler Voldemort qui dirige un groupe d'extrémistes, les Mangemorts.

- Ok, les SS, jusque-là je suis.

- Leur but c'est d'asservir tous ceux qu'ils jugent inférieurs. Et, leur symbole c'est... ça. Il pointa vaguement son bras.

- Quoi mais... Severus, je, j'ai pas de pouvoir moi...

- Je sais...

- Tu, tu penses que je te suis... inférieur ? Le ton du moldu était, révolté.

- Non, bien sûr que non ! Le Serpentard sentit sa voix se briser.

- Putain Severus ! T'as foutu quoi ?! Je veux pas coucher avec un nazi ! Le jeune homme s'écarta violement de son ami.

- Non Eliott, laisse-moi finir... s'il te plait... Je, je ne devrais pas te le dire, je n'ai pas le droit de te le dire mais, pour faire simple... je suis un espion, de la résistance.

- Tu te fous de ma gueule là ?

- Crois moi je préférerais.

- Sev, c'est pas pour être méchant hein, mais c'est difficile à avaler là quand même.

- Je te jure que c'est vrai.

- Ecoutes, là j'ai pas la force de t'écouter. On est tous les deux crevés, je vais aller me pieuter on en parlera demain, ok ? »

Le garçon se releva, mal à l'aise et commença à partir vers sa « chambre », il se stoppa pourtant d'un seul coup quand le bruit de sanglots étouffés lui arriva aux oreilles. Severus avait plaqué une main sur sa bouche pour tenter d'étouffer ses plaintes mais ses épaules étaient agitées de soubresauts irréguliers et de grosses larmes ruisselaient sur ses joues. Eliott sentit son cœur se briser en mille morceaux et se précipita vers le garçon.

« Severus ?

- Eliott, me laisse pas... j-je t'en prie, t'as pas le d-droit de... me laisser. Sa voix était tremblante. J-j'ai plus que toi... J'ai que toi... je t'en supplie. Le jeune adulte se rassit près de lui et commença à faire des cercles apaisants dans son dos.

- Sev, jamais je te laisserais tomber, peu importe à quel point tu peux être un connard. On est... ami tous les deux. Tu le sais n'est-ce pas ?

-...

- Sev, s'il te plait, regardes moi... Il lui saisit le menton avec douceur. Je ne suis pas en colère juste... déçu. Tu vaux tellement, tellement mieux que ça. »

Il posa tendrement ses lèvres sur celles du Serpentard coupant court à toute objection de la part de ce-dernier. Il embrassa ses joues mouillées puis descendis dans son cou. Il empoigna avec douceur le bras de son amant et lui sourit avant de déposer une nuée de petit baisés sur la marque sous ses yeux embués. Le couvrant d'attention et de mots doux. Le brun prit une profonde inspiration en sentant le poids qui lui écrasait le cœur se levé. Il avait peur, il était terrorisé mais au moins, il se sentait aimé, là, dans ces bras si rassurants. Il sourit tristement, même si s'était un moldu, même si s'était un garçon, même si s'était un abrutit fini, quelqu'un, ici, dans ce monde pourris, l'aimait.

°°°°°°°°°°

Ça avait mal tourné... Comment ? Là était bien la question mais ça avait mal tourné, c'était une certitude. Il avait été maudit le jour de sa naissance, à ce niveau-là de malchance c'était la seule explication possible. Son plan avait foiré de bout en bout et pire encore quelqu'un l'avait vu avec sa vraie apparence, celle d'Harry Potter. Entre Bellatrix qui était dans son coffre alors qu'elle ne devait pas y être, son polynectar qui s'était arrêté pile au mauvais moment, la bande d'Aurors qui l'avait coursé dans toute la banque et les runes de protections de Gringotte qui lui avaient retirés sa couverture, ça n'aurait pas pu être pire. Heureusement, maintenant il avait la coupe et rien ne pouvait l'incriminer. Comme pour prouver à notre cher héros que le destin s'acharnait contre lui, une chouette frappa à sa fenêtre pile à ce moment-là. Il se releva avec la vitesse approximative d'une huitre et s'empara du journal que lui tendait le volatil.

INCROYABLE SCOOP : LA BANQUE GRINGOTTE BRAQUEE PAR LE POTTER CACHER !

Un article signé Rita Skeeter.

Mesdames et messieurs, c'est un véritable choc pour moi d'écrire ces quelques lignes. Hier, dans l'après-midi, des langues de plombs étaient de passage à Gringotte dans le but de réaliser une inspection des sorts de protections de la banque. Un individu a profité de ce moment d'inattention de la part de gobelins pour braquer le coffre, de la cadette de la famille Black, Bellatrix Black. Il est entré dans la banque sous polynectar mais fut surpris lors de son méfait par la jeune sorcière qui était venue récupérée quelques pièces dans son coffre personnel. Elle l'aurait attaqué avec un courage digne des plus grand d'un sort de pétrification mais l'homme, plus rapide a tout de même réussit à s'enfuir. Un groupe d'Aurors dépêché sur place a bien évidemment tenté de l'interpeller mais le suspect s'est malheureusement volatilisé quelque part dans la banque. Un témoin anonyme a tout de même réussi à le photographié (voir la photo ci-dessus). On peut voir sur cette dernière la ressemblance troublante de cet individu avec les membres de la très célèbres famille Potter. Il serait question d'un enfant cach[...]

Le professeur n'eut pas le courage d'en lire plus et s'écroula sur son lit, rectification faite, ça pouvait être pire.

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