-Apres avoir briser mon cœur, la garce décide enfin de prendre mes nouvelles. Si toute fois tu m’as appelé dans le but de m’informer que vous êtes en couple je m’en bats les couilles parce que j’ai une meuf qui m’aime plus que tout au monde. Tu sais, Sabrina l’une de plus grand douleur est d’aimer une personne que tu ne peux pas avoir. Et raccrocha 
    
   A son réveille, elle n’arrivait pas à se lever à cause de la sensation pénible et forte qu’elle éprouve au bas de son ventre pourtant la veille, elle ressentait rien.

  Son amoureux vient lui servir le petit déjeuner. En faisant des grimaces, elle refuse parce que la douleur était insupportable. Novensky l’aida à se lever. Comme elle voulait prendre une douche. Il la conduit vers la douche et sort.
   
  Elle passa le reste de la journée en s’allongeant sur le lit sans bouger de peur que la douleur empire. Trois jours plus tard,  Il voulait la présenter à ses parents. Ils se préparent et allèrent dans La voiture . Durant tout le trajet ils donnaient des blague. La voiture s’est arrêté devant  une grande villa. Il l’aide a  descendre la voiture puis sonna.

   Une dame âgée ouvra la porte. En voyant son fils elle sourit et Novensky la serre dans ses bras ensuite la dame fait un petit câlin à Valérie. Elle les invite à entrer à l’intérieur. Après avoir fait la bise au père de Novensky.

-Papa Mama je vous présente ma petite amie, Valérie Brunet.

-Bienvenu. Dit sèchement le père de Novensky

-Merci enchaine Valérie honteuse.
La jolie mère du directeur l’emmena dans sa cuisine et l'a demandé comment elle trouvait sa magnifique cuisine de luxe.

-Vous l’avez fait ? en l’offrant un verre de jus.

-oui, avant-hier. Dit-elle confuse.

-ne soit pas honte ma fille. Je t’apprécie bien. Je ne sais pas de t’intimider. Lorsque je t’ai fait le câlin tu étais si chaude. Je ne veux pas savoir à quel point il est heureux. Tu es la première femme qu’il nous a présenté après avoir asservir par cette malhonnête.

-c’est-à-dire si je n’étais pas pucelle il m’abandonnera ? Informe-t-elle

-Oh non ! loin de la même si tu n’étais pas pucelle. Il ne t'abandonnera pas et je suis très fière de son choix. En te voyant ce matin tu m’as rappelé ma jeunesse. On a la même ténacité

-Après une semaine c’est son anniversaire je ne sais pas trop ce qu’il aime. Vous pouvez m’aider ? s’il vous plait.

-Arrête de me vouvoyer ma fille je suis ta mère maintenant. Oui je veux bien t’aider il aime les montres, les bracelets ainsi que les cravates. Quand me présenteras-tu vos parents ?