Chapitre 7: Début du Déménagement.
Chapitre 7:
Cela avait beau être les dernières fêtes de fin d'année dans ce lieux, chacun devait reconnaitre que tout c'était bien passé et que même, ils s'étaient tous beaucoup amusé. Mihawk avait digéré le fait qu'il avait dû une fois de plus chanter, même si son esprit encore parfois brouillé, ne comprenait absolument pas l'intérêt que pouvait avoir les habitants du refuges, à l'entendre ainsi pousser des vocalises.
" C'est absurde. " pensait-il régulièrement.
Lorsqu'il faisait part de son étonnement à Shanks, ce dernier l'observait toujours avec son visage d'éternel blagueur, en plus d'une teinte d'incrédulité. Le faucon n'avait aucune vision objective de son talent, et la seule choses qu'il admettait était, le simple fait que sa voix était très certainement pas aussi atroce que celle de Luffy et Ace réuni.
- Tu vois, expliqua le sabreur à la longue lame noir. Quand j'ai compris qu'ils allaient chanter, j'ai vue les petits jumeaux, et je me suis dis...il prit une pause comme pour chercher ses mots avant de reprendre....je me suis dis, qu'ils étaient bien trop jeune pour subir ce genre d'atrocité...les conséquence sur leurs petites oreilles auraient put être terrible.
Bien évidement ce genre de propos sévère et drôle à la fois, avait plongé le chef dans un fou rire incontrôlable. La main sur son ventre douloureux à force de rire, il avait hoquetait quelques mots, alors ses yeux étaient embués de larmes qui n'avaient rien à voir avec la tristesse.
- T'es pas croyable...y en a pas deux comme toi ...!!
Clignant des yeux, Mihawk l'avait écouté en penchant un peu la tête sur coté, tout en se demandant ou il avait bien pu être drôle. Ne voulant sans doute pas chercher plus loin que le bout de son nez , il s'était contenté de penser que Shanks avait le rire facile, et que le moindre petit mot était capable de l'amuser durant des heures. Pour cela il suffisait de voir sa réaction lorsqu'il trouvait un nouveau jeu de mots avec le prénom de Law.
" Un Hologramme." Cette simple trouvaille l'avait fait rire durant un bon quart d'heure. Tandis que le principal sujet de cette boutade, s'était fait une raison sur ce genre de blague récurrente.
Enfin janvier arriva et après l'anniversaire de Ace, qui fêtait ses 22 ans, Franky ainsi que tout ceux désireux de travailler au Monastère reprirent le chemin des montagnes. Et de toute évidence ils étaient bien plus nombreux à partir, qu'à leurs retour. Cependant avant de se mettre en route, le cyborg fut interpelé par Kidd et Zoro. Voir ces deux grands chamailleurs professionnel l'approcher l'avait quelques peu étonné. Relevant sa paire de lunette noir qu'il avait sur son nez en métal, il avait entendu qu'une stupide dispute entre les deux Alpha s'arrête pour les écouter.
- Bon je me lance, brama avec sa discrétion toute relative Kidd. Tu vois avec Minou..on a décidé d'avoir un deuxième enfant cette année, et afin de t'éviter plus de boulot plus tard dans l'année...
Les bras croisée sur son torse Franky observa l'homme aimant, puis dévia son regard sur un Zoro dont l'air aimable était relatif, mais qui secouait la tête d'un air positif. Ils étaient d'accord et ce simple fait était choquant. Un sourire s'étira malgré tout sur le visage de Franky qui baissa aussitôt ses lunettes et pris un air avantageux.
- Je vois, répliqua t-il sans laisser à Kidd le loisir d'achever sa phrases. Vous voulez que vos futurs chambres puissent accueillirent un bébé dans l'année c'est ça ?
Les deux bagarreurs secouèrent vigoureusement la tête, et le cyborg aux cheveux azure poussa un petit rire amusé. De ses mains imposante, il fit une tape sur les épaules des deux alphas, avant de reprendre la parole.
- Comptez sur moi les gars, je vais vous faire un super endroit pour élevé vos enfants.
- Super, merci Franky, s'exclamèrent les deux hommes dont l'un avait décidément la voix plus forte que l'autre.
Au loin, Law les interpella tandis que la petite Suzie semblait comme toujours se plaire dans le manteau paternel. D'un pas rapide, malgré l'épaisseur de la neige, les deux omégas s'approchèrent de leurs moitiés.
- J'espère que vous n'êtes pas entrain d'ajouter du travail en plus à Franky ? Les gourmandas le médecin dont Andy testait à nouveau l'élasticité de sa peau en tirant sur sa joues...Chaton...je ne suis pas élastique comme l'autre idiot...râla t-il.
- Non, mentirent effrontément les deux hommes dont la crédibilité était toute relative.
- Bon sang, intervient Sanji qui depuis quelques temps essayé de son mieux de limiter les grossièreté auprès des enfants. Vous trouvez pas que lui est ses gars ont assez de travail comme ça ? Hein ?
- C'était pour qu'il n'ait pas à s'emmerder avec ça à l'avenir ! Argumenta Zoro, qui avait croisé les bras sur son torse, et qui tentait de prendre des airs de " Monsieur je sais , tout et j'assume tout".
- Zoro ,je t'ai déjà dit de limité les grossièreté devant les enfants...je veux pas que les premiers de Suzie soit l'un d'entre eux.
- Kidd, ajouta Law dont le regard sévère avait parfois le dont de faire baisser la tête au géant. Tu crois pas qu'il est assez surmené comme ça ? Non hein ? Toi confiant tu lui rajoutes, en plus une charge de travail...ça pouvait attendre......Franky, désolé vraiment ils..
- Vous en faite pas les petits gars, c'est juste quelques cloisons en plus, ça nous rajoute pas beaucoup plus de travail, que ce qui était prévu à la base. Et puis vous en faite pas, ajouta Franky dans un clin d'oeil coquin. Les chambres auront toutes une isolation phonique.
- Pourquoi tu nous dis ça ? Demandèrent les quatre amis, tandis que Robin un peu plus loin appelait Franky en lui faisant de grand geste de la main, afin d'aller rejoindre leurs groupes partie un peu plus en avant.
- Vous êtes des beuglards....que ce soit au naturel, prise de tête et compagnie ....ou dans d'autre choses...ria le cyborg.
- HEY !! Hurlèrent-ils en coeur ! On est pas les seuls.
- C'est ça, c'est ça, s'amusa une fois de plus Franky, visiblement fière de sa petite blague. Bon, allez Ciao les gars.
Et puis, c'était terminé le cyborg ainsi que sa compagne et toute leur équipe de courageux travailleurs étaient parti, en emportant dans le Frankosore quelques unes de leurs affaires personnel. Car après tout quitte à vivre quasiment là-bas autant avoir sa propre chambre sur place. A la fenêtre de son bureau Shanks avait observé la scène avec un petit air amusée sur le visage. La bonne humeur des siens était toujours réconfortante à voir.
Les travaux avançaient à grand pas, et d'ici quelques semaines, d'après Franky des habitants pourraient commencer aller s'installer là-bas. A vrai dire le chef avait hâte de voir le début du grand déménagement, non pas que quitter ce lieux lui faisait particulièrement plaisir, mais le simple fait d'éloigner le plus d'habitant de cet endroit potentiellement dangereux, le soulageait un peu. A vrai dire depuis qu'il avait appris les dangers qui planait au dessus de leurs têtes, Shanks ne dormait pas très bien la nuit. La peur de perdre les siens, lui embrumait l'esprit le poussant parfois à faire de grand bon dans le lit, qui généralement réveillaient Mihawk. Une fois il avait fait un affreux cauchemar. Sortant de sa chambre, les pieds nus avec pour seul vêtement un pyjama , il avait évolué au file des couloirs en voyant d'horrible trainé de sang. Des Miliciens avaient envahi tout son refuges et il entendait des voix indistincte beugler des ordres.
" Éliminez les, même les enfants....ont doit tous les éradiquer."
Il avait voulu intervenir, mais étrangement dans cette abominable " rêve" il avait été faible et sans pouvoir, sans charisme , sans rien. Tel un nourrisson ...il était dénué de force et observait devant ses yeux rouges le massacre imaginaire des siens. La peur irrationnel de vivre de nouveau un événement atroce l'avait rendu malade d'angoisses.
Son réveil avait été difficile tant il était plongé loin dans son cauchemar, et seule une grande claque dans la figure de la part de son oméga parvient à le faire émerger, de cette horreur. Rapidement une trace aussi rouge que ses cheveux apparut sur sa joues, devenu bouillante par le coup. Le visage en sueur, il s'était surpris en réalisant que de grosses larmes avaient glissée le long de ses joues. Assis dans son lit, il avait enfouie sa tête sur les genoux de son oméga afin d'y trouver un peu de réconfort. Doucement le faucon avait caressé les cheveux écarlates, son calme naturel dans ces moments là, était un véritable don.
- Je ne peux pas perdre à nouveau ma famille, avait lâché alors Shanks encore sous le choque de ce songe qui lui avait paru terriblement réelle. Malgré ses mots qui rappelaient indirectement à son compagnon le geste dont il se sentait toujours coupable...ce dernier pris la parole, toujours avec calme.
- Ils devront me tuer, avant de toucher l'un des notre, assura tranquillement Mihawk, dont les doigts continuaient de caresser la chevelure pourpre.
- Tu es sourds, marmonna avec humeur le chef des lieux. J'ai dit que je ne veux pas perdre ma famille, répéta t-il. Tu es bien ma famille que je saches ?
- Et toi, es-tu aveugle ? répliqua avec sévérité et calme à la fois le brun aux yeux d'or. A qui crois-tu parler, à la fin ? Je ne suis pas faible et tuerais sans problèmes les misérables miliciens de Lucci, si ils osent venir ici. Ce n'est pas un type de son espèce qui me fera la peau.
- Mais.....
- Je suis un oméga, mais je sais me battre....j'ai été entrainer pour tuer mes ennemies. Alors ne me prends pas pour un faible Shanks, ne commets surtout pas cette erreur, le mit en garde le faucon le regard sévère. Tu ne seras pas seul à te battre si cela devait arriver. Les hommes ici sont fort, et veulent vivre à tout prix. Et c'est un merveilleux moteur que cette soif de vivre qui les habites. Alors cesse de croire que tout repose toujours sur tes seules épaules.
- Mais je suis leurs chef....
- Oui, mais tu es aussi leur amis. Ils tiennent tous à toi, et ne veulent surtout pas que tu te fasses un tel soucie pour eux. Tu dois rester fort et croire en chacun d'eux. Si tu faiblis face à la peur ...comment veux-tu que eux même ... ne faiblissent pas , hein ? Tu es leurs moteurs et leurs soutient, alors crois en eux, comme eux croient en toi.
Un silence terrible avait suivi cette longue tirade faite d'une voix calme et grave à la fois. Sans grand effort, alors qu'il laissait ses doigts glisser dans ses cheveux rouge, Mihawk avait su lui remettre les idées en place, et l'esprit au clair. Être le chef de tout ces gens étaient un honneur, pour lui, mais aussi une tâche parfois difficile à assumer. Ce cauchemar odieux ne deviendrait pas réalité, et comme toujours depuis qu'il avait perdu sa douce, il se battrait contre tout ces gens qui voulaient leurs peaux.
- Merci, avait-il dis en embrassant Mihawk, Merci de m'avoir remit les idées en place.
Depuis le chef, ne s'embourbait plus dans des songes affreux, et trop réaliste. Ayant une certain capacité à contrôler ses rêves ou du moins à limiter ses cauchemars, se genre d'horreur depuis ne lui était plus revenu.....même si l'inquiétude persistait.
L'hiver était-là et à nouveau un froid terrible vient à s'abattre sur la montagne des âmes. Un froid quasi polaire, était présent et de nouveau un gel terrible tomba sur les vitres du refuges. Aussitôt des habitant sans doute pressé de partir d'ici afin de s'éloigner du possible danger, s'était précipité sur Nami, afin que ses précieux conseil météorologique, les rassurent aussitôt. Des questions lui avait été asséné en boucle sans que la pauvre jeune femme ne puisse y répondre.
- Mais..laissez moi ..par...
- Dit nous, si ça va continuer...
- Allez, allez....on veut savoir !
- LA FERME ! Brailla alors Luffy, et s'interposant, puis en les repoussant tous un peu brutalement. Non mais vous vous croyez ou là ! Ne lui criez plus jamais dessus, ou vous aurez à faire à moi, menaça t-il le regard mauvais, ce qui était rare chez lui.
- Mais on a peur de ne pas pouvoir partir ! S'emportait certain, alors que d'autre baissaient la tête, car visiblement ils n'avaient aucune, aucune envie, de se prendre la tête avec ce petit bourrin de Luffy.
- Du calme, du calme, intervient alors Nami en levant les mains devant elle. Comme toujours elle était un peu fière lorsque son compagnon prenait ainsi sa défense. Les températures vont rester dans le négatifs jusqu'à mardi prochain, ensuite il devrait y avoir une éclaircie...
- A présent, fichez le camps bougonna Luffy, qui n'aimait vraiment pas qu'on prenne Nami pour une servante !!
Et puis n'ajoutant rien de plus, il avait pris la jeune femme par la main, en toisant du regard ceux qui auraient voulu de plus ample information. Ses yeux lorsqu'il étaient en colère avait le dont de forcer les autres à s'aplatir devant lui comme dans un signe de soumissions. Il n'avait peut-être pas l'air effrayant avec sa bouille toujours souriante et de son corps élancé et mince à cause de ses capacités caoutchouteuse, mais Luffy était un puissant Alpha, et en aucun cas il fallait se le mettre à dos. Aussi cette petite mise au point, entre le jeune hommes et les habitants du refuges, calma un peu ceux qui avaient l'habitude que les autres soient à leurs services.
- Laure, Laure !!! S'écria un jour le petit garçon, qui ne souhaitait plus appeler Sanji autrement.
- Je ne m'appelle pas comme ça, répéta pour la millionième fois le cuisinier qui sortait ce jours-là d'une séance de Kiné, en massant un peu ses doigts plus par habitude qu'autre choses.
- C'est vrai que dans l'endroit ou on va déménagé, s'était un monastère ou les gens te vénérait...
Un soupir las, passa les lèvres du jeune homme aux cheveux blond qui leva les yeux au plafond un cour instant, comme pour s'encourager à garder son calme. N'étant pas très loin du couloir Arum, il décida d'aller s'assoir sur l'un des nombreux banc qui s'y trouvait, afin de parler un peu plus sérieusement au jeune garçon obtus.
- Écoute Laël , je sais que m'appeler Laure t'amuse terriblement. Mais je ne suis pas Laure.....
- Mais tu l'as été un petit peu ? insista le gamin plus têtue qu'un troupeau de mule, qui le regardait avec un étrange espoir dans le regards.
- Non absolument pas ! Je ne l'ai jamais été...je ne l'ai même jamais vu...
" Ce qui est assez ironique." pensa t-il.
- Mais les grands ont dit que tu n'étais pas mort, parce que Laure était en toi et que..
- Justement, ce n'est pas pareil, coupa Sanji, c'est là qu'est la différence. Un fragment d'âme de Laure, était en moi oui c'est vrai reconnu le cuistot avant de préciser. Mais ça ne veut pas dire pour autant que j'étais elle....je suis moi et personne d'autre.
- Mais tu avais les cheveux long , comme Laure ...et doré comme Laure et ...
Croisant les bras sur son torse le blondinet écoutait ce jeune gamin têtue continuer à s'entêter dans ses croyances. Il y avait même pour son âge quelques choses d'irrationnel, un peu comme si lui même s'obstinait dans ses convictions, comme si il ne voulait absolument pas abandonner....ou plutôt comme si il ne pouvait pas se résoudre à abandonner...
- Pourquoi tu veux absolument que je sois Laure ? Demanda Sanji d'un ton plus calme en penchant un peu la tête sur le côté ce qui fit se balancer sa longue mèche de cheveux qui cachait son oeil droit. Au loin, il vit le père de l'enfant débouler dans leurs directions avec sur le visage un petit air agacé. Discrètement le cuisinier lui fit signe d'attendre avant d'intervenir.
- Pourquoi ? Répéta le gamin en baissant la tête comme si il s'apprêtait à dire une grosses bêtises. De temps à autre il se tortillait les doigts alors que ses yeux restaient fixé en direction du sols. Le père de l'enfant ne disait rien et attendait comme le lui avait discrètement demandé Sanji, que son fils parle... qu'ils révèle enfin ce qu'il avait sur le coeur...
- Oui, pourquoi ? Tu peux me le dire, je ne me fâcherais pas l'encouragea le blondinet souriant.
- Et bien .... je veux croire que tu es Laure, parce que comme ça .. je n'ai plus peur du tout...
Surpris Sanji écarquilla les yeux avant de passer une main incrédule dans ses cheveux blond. A vrai dire, il s'était attendu à entendre une petit blague venant du gamin, ou toute autre choses mais certainement pas à ça.
- Comment ça, tu aurais moins peur ? Le questionna en prenant garde de toujours garder un ton calme, afin que l'enfant continu de lui dire ce qu'il avait sur le coeur.
- Je me dis, reprit Laël qui n'osait plus relever la tête, que si tu es Laure...Même un tout petit peu, et bien on risque rien ici. Que les méchants dehors ne viendront pas nous faire du mal à Papa, maman et moi...puisque tu es un peu une déesse ....
L'aveu avait été franc, mais le dire avait plongé le gamin dans une grosses crises de larmes, comme si il avait eu honte de dire tout ça,..de dire " son secret". A présent ses poings frottaient ses yeux rougies, alors que des hoquets de tristesse se faisaient entendre de sa bouche. Un air désolé se peignit bientôt sur le visage du cuistot. Lui qui n'avait vue que espièglerie, comprit alors que l'enfant cherchait d'une certaine manière à se rassurer en l'appelant ainsi. Mais vivre dans l'illusion, même si elle est rassurante n'est pas bon, car il n'est jamais bon de fuir la réalité.
- Je comprends, mais je suis désolé, je ne suis pas Laure, lui dit-il en le prenant dans ses bras pour calmer son gros chagrin. Par contre je peux te promettre une choses. Assura t-il en levant l'index devant lui. C'est qu'il n'arrivera rien à tes parents et à toi. Les " méchants " ne vous trouverons jamais....Et puis ici, il y a plein de gens très, très fort, et qui les chasserons comme des mouches si ils viennent ici, ok ?
Doucement le père de famille s'était rapproché avant de s'assoir près de son fils qui ne tarda pas à se réfugier dans ses bras.
- Dans pas longtemps Franky, aura terminé nos nouvelles chambres expliqua le père. Et là-bas personne ne nous trouveras et on sera tranquille, pour très, très, très, longtemps.
Durant un bon quart d'heure Sanji et le père de famille calmèrent les soucies et les craintes du jeune garçon. De nouveau souriant, malgré ses yeux encore un peu rouge, Laël avait remercié Sanji de lavoir écouté et pas grondé parce qu'il l'avait appeler par le mauvais prénom. Comprenant qu'il pouvait retourner voir son compagnon qui s'occupait de leurs petite fille, Sanji s'était levé, puis dirigé en direction de la salle de divertissement. Encore préoccupé par cette étonnante révélation, le jeune homme se demandait si d'autre comme Laël le voyait comme une sorte de " Laure " au masculin et en version plus humaine. De tout coeur il espérait que non, car si ils s'attendaient à voir des miracles avec lui, ils risquaient d'être sacrément déçus à l'avenir.
- Si j'avais des pouvoirs...je guérirai ma main, et effacerait la haine des bêtas à notre égard marmonna t-il en enfonçant ses mains dans les poches.
*****
Dans le village de Durangue les habitants se contraignaient à vivre comme ils l'avaient toujours fait, malgré la présence désagréable de Lucci et ses hommes. En plus de Kaku Jabura et Kalifa, de simple hommes de mains étaient venu leurs prêter main forte, et avaient à leurs tour envahi l'hôtel plusieurs fois centenaires.
- On a l'impression d'être de nouveau en otage, murmurait certain à voix basse, on devrait les dénoncer au journaux...afin que tout le monde sache comment ils sont.
- Chut ! Tait-toi...ils vont t'entendre.
Désespéré à l'idée de voir s'éterniser la présence de ces gens aux regard inquiétant, les habitants du petit village commençaient à prendre conscience de certaine choses. Le danger ne venait pas forcément de ceux qu'ils étaient censé haïr, et les seules fois ou ils avaient eu peur , c'était en présence de personne du gouvernement, ou pire des membres de la famille de la reine.
Le fait que leurs présences fut indésirable auprès de la populace local amusait méchamment Lucci. A présent qu'il était débarrassé de Reiju, que le roi avait forcé à partir de Durangue, le milicien à demi félin se sentit un peu plus libre dans sa manière d'agir. A présent qu'il n'avait plus sa souveraine sur le dos, il pausait toujours avec cette même insistance les mêmes questions avec cette fois-ci un ton plus menaçant, dans l'espoir de voir l'un de ces pécores lâcher une information intéressante. Une fois, alors que c'était jours de marché, l'homme au long cheveux noir , décida pour impressionner ses bouseux de prendre sa forme la plus monstrueuse, avant de leurs balancer une vérité qui les firent s'inquiéter d'avantage.
- Nous ne partirons pas d'ici, tant que vous n'aurez pas révélé vos petit secrets. Gronda t-il en montrant ses crocs aiguisé. Près de lui ses Hommes se tenaient fière et droit, comme si ils avaient l'impression d'être des êtres supérieurs.
- Des êtres à part se cachent dans le coin et un jours ou l'autre vous finirez par nous révéler leurs petites cachettes, reprit-il, Alors râlez, grondez, pleurez, et plaignez vous ! Si nous restons ici, aussi longtemps c'est entièrement de votre faute. Vous n'avez que quelques petites informations à nous fournir et vous serez enfin libérer de notre présence...
Les habitants du villages l'avaient écouté avec la peur au ventre à cause de son apparence de félin géant. Ses crocs long comme des lames de rasoir, se ton dure et méchant, ses menaces à peines voilé...tout leurs faisaient peur chez Lucci, qui visiblement se délectait des réactions qu'il provoquait chez eux. Jabura avait fini par l'imiter et pousser des cries digne d'un loup à intervalle régulière.
- Qui était cet homme blond, qui à centralisé tout l'intérêt des frères Vinsmoke.....? Je suis certain que vous me cachait quelques choses à son sujet ! D'où venaient ces gens qui vous ont " sauvé " ? Avez-vous des liens avec des êtres à part ?
- On ne sait pas d'où ils venaient ! S'exclama une voix dans la foule. Ils sont arrivée comme ça ! On était enfermé chez nous...comment voulez-vous que l'on sache d'où ils venaient ?
- Ils sont donc apparu...Comme par magie ? Ce moqua avec dédain Kalifa , un peu de sérieux ! Arrêtez de nous prendre pour des idiots.
- Mais c'est la vérité...on ne sait pas d'où ils viennent, ni où ils vivent, cria une autre voix caché dans la foule, alors que les commerçant tête basse attendaient que le speech se termine afin que les affaires reprennent.
- Il ne vous est jamais venu à l'idée, qu'ils étaient proche d'ici ? Pour que ce type blond, que les frères Vinsmoke tenaient absolument à voir, arrive aussi vite, c'est qu'il était proche d'ici forcément !!! Expliqua Kaku, d'une voix plus calme et moins méprisante que les deux autres.
Il y eut un bruit de discussion, et bientôt les habitants marmonnèrent entre eux en commentant la logique implacable de l'homme girafe. Le vent bien que glacé ne sembla pas décourager Lucci quand à sa démonstrations de force.
- Ils nous ont sauvé....hasarda un homme dans la foule, que Lucci eut du mal à identifié.
- Et alors ? Ça reste des êtres à part....des monstres ! Commenta ce dernier.
- Et vous...vous en êtes un de monstre aussi..même si vous êtes un bêtas ! Vous faites peur à tout le monde avec cette apparence !! Alors que eux ne nous ont pas fait peur !
- Tant mieux si je vous fait peur , ça vous délira la langue. Gronda le chef milicien dont le pigeons voletait non loin de lui. Parlez !!!
Il y eut alors un grondement parmi la populace qui bien qu'effrayé en avait assez de subir la violence des autres. Avec amertume certain se rappelait des propos qu'avait eu Kidd, lorsqu'ils s'étaient plein, de la violence dont ils avaient été victime avec les chasseurs et les frères de la reine.
" Ça vous donne une idée , de ce qu'on subit."
- On ne sait rien, gueula un homme tel le slogan d'une manifestation. On ne sait rien ! Bientôt d'autre le suivirent, et très rapidement de grand cries commun se mirent à hurler à tue-tête qu'ils ne savaient rien d'autre.
Ainsi ils démontraient à Lucci et ses hommes qui si ils tenaient à avoir de plus ample informations, ils allaient devoir se débrouiller tout seul car eux, n'avaient plus rien à leurs dire. Malgré la peur que l'homme léopard leurs inspiraient, les habitants du petit village de Durangue eurent l'impression d'être fort. Et puis en faisant cela, ils avaient l'impression de rendre la pareille, envers ceux qui les avaient sauvé. S'obstiner au silence et au propos simple ralentiraient les recherches de ses dangereux miliciens. C'était sans doute une première dans ce pays, mais pour la première fois depuis longtemps un village tout entier était bien décidé à protéger des êtres à part.
Le soir à l'hôtel Lucci qui avait repris sa forme humaine, rongeait son frein. Migraineux et fatigué, sont agacement envers ses êtres inférieur et têtue augmenta chez lui. De temps à autres ses mains tremblaient et rendaient ses gestes un peu désordonné ...sans s'en rendre compte il avait des allures de camé ayant abusé de substance illicite.
- Foutu bouseux , râla t-il, en faisant de long allée et retour dans le salon de l'hôtel. Ils ne comprennent pas que c'est dans leurs intérêt de parler ? Je suis sûr qu'il y a un refuges pas loin d'ici, et qu'il y a là-bas de gros poissons.....
- Ils se sentent redevable envers ceux qui les ont sauvés, c'est normal, intervient Kaku qui observait son chef, ruminer sa colère depuis plusieurs heures. A ses propos un regard féroce lui fut lancé. Je ne dis pas que je suis d'accord avec eux, répliqua immédiatement Kaku sans pour autant se sentir mal à l'aise face à un tel regard. Mais je comprends leurs manière de penser. Ils pensent leurs être redevable....c'est une réaction purement humaine...
- Ce qui est certain, c'est que d'eux même, ils ne nous dirons rien, intervient Kalifa qui buvait avec élégance une tasse de thé. Avec délicatesse elle rejeta en arrière sa longue chevelure blonde, puis remonta ses lunettes qui accentuait chez elle, son petit air sévère. Je me suis permise de faire venir du château, les sérums de vérité que Clown avait concocté et mit de côté au cas, ou ! Ils arriveront dans la semaine....ainsi que d'autre petite choses amusante.....
- Sage initiative ma chère Kalifa, sourit Lucci dans un sourire féroce avant de se laisser tomber sur une chaise en massant ses tempes douloureuse.
- On va les faire passer un à un, ainsi nous saurons d'où venaient ces crétins d'être à part et on les bouffera ! Ricana Jabura dans un regard de convoitise parfaitement ignoble.
- De toute manière, ajouta Kaku en jetant un regard par la fenêtre, puis en observant une tempête de neige frapper le village. Nous ne pouvons pas intervenir à l'extérieur tant qu'il fera se temps là.....autant rester ici, pour le moment....
- Espérons que le roi, ne nous rappel pas avant, murmura le chef Milicien. Je n'aime pas abandonner une chasse que j'ai commencé.....
Près de la porte séparant l'accueil du salon de l'hôtel, la femme du gérant, écoutait avec attentions les propos tenue par leurs inquiétant " invitées". Si elle ou son mari passaient au sérum de vérité le chef et les siens étaient foutus. Inquiètes et triste à la fois, elle alla voir son époux avec les larmes aux yeux. Parfois elle soulevait son cache oeil, frottait sa paupière vide et humide puis le remettait là ou il était.
- On doit trouver une façon de les prévenir, dit-elle à voix basse auprès de son époux, en s'agrippant à ses bras.
- On ne peut pas remonter l'ordinateur, sinon ils fouilleront dedans...Ce Monsieur Kaku n'aura aucun problèmes à trouver quoi que ce soit dedans...Ni cette femme odieuse qui accuse tout le monde de harcèlement.
- Je ne veux pas trahir le chef, une fois de plus chéri. Pleura alors sa femme....Si on passe au sérum de vérité, ...ils sont fichu...et si on part soudainement ils auront des soupçons....que faire ?
- Ne t'en fait pas ma chérie je vais trouver une solutions pour prévenir le chef, assura le gérant en serrant sa femme contre lui. Je finirais bien pas trouver une idée....
*****
Les jumeaux de Ace aimaient prendre leurs petits bains. Et si l'un d'entre eux se sentait un peu chagrin, des qu'ils étaient un peu immergé dans l'eau idéalement chaude, ils se détendaient et arrêtaient aussitôt de pleurer. Ace adorait se genre de moment. Par chance la salle de bain de la chambre qu'il partageait avec Marco était suffisamment grande pour que chacun de leurs petits bout de choux ait leurs propres petites baignoire. Alors le même rituel se déroulait chaque matin, chacun prenait le bébé qu'il n'avait pas eu la veille et se chargeait de lui faire prendre son petit bain. Satsuki qui était beaucoup plus énergique que son frère et un peu plus pleureuse, devenait presque aussi détendu que Marco et Edward dans ces cas-là. Mais gare au malheureux qui avait l'impudence de la sortir de là, immédiatement une punissions pleine de pleure et de chagrin leurs était jeté à la figure.
- Là, c'est rien ma puce, murmura paisiblement à son oreille Marco qui l'avait calé sur son épaule, alors qu'elle était encore emmitouflé dans serviette de bain toute rose.
Lorsque le terrible chagrin était passé, le phœnix s'était chargé de l'habiller, tandis que Ace toujours aussi gaga avec ses enfants, parlait à un petit Ed' tout tranquille tout détendu. Paisible le petit garçon agitait ses bras aux poing fermé, et émettait quelques petits sons ressemblant à des gazouillis. Sa jolie mèche de cheveux blond doré était toujours aussi amusante à coiffer. A l'abri dans leurs confortable chambre, il arrivait à l'occasion que Marco leurs chantent une petite chanson lorsque l'heure du dodo arrivait.
Et si Ace avait été apte à quémander une chanson auprès de Mihawk surtout pour l'enquiquiner et de l'inciter à se dérider d'avantage, il était pour lui hors de questions que partager le jolie chant mélodieux de son Alpha avec qui que se soit. C'était un privilège qu'il voulait se garder égoïstement - ça il en avait conscience- et qu'il ne voulait partager avec personne d'autre hors-mi ses précieux petits bébés.
Cela faisait quelques semaines que Franky et les autres étaient partie au Monastère et tout les matins à l'heure du petit déjeuner Shakky venait leurs faire un compte rendu que Robin prenait soins de leurs envoyer tout les jours. Tout le monde était réuni autour de la longue tablé et Luffy qui adorait son neveux et sa nièce en aurait presque oublié de manger, tant il était occupé à les regarder et à leurs parler d'une petites voix assez amusante a entendre. Sabo quand à lui prenait parfois l'un ou l'autre dans ses bras et faisait semblant de leurs confier des secrets, sur les bêtises de leurs papa oméga quand il était gamin. Mais à l'heure du petit déjeuner, les jumeaux n'avaient qu'une hâte, avoir leurs biberons de lait, les confidence serait pour plus tard.
- Ils sont trop chou habillé comme ça, assura Sanji qui tout comme Law depuis qu'ils avaient accepté auprès de leurs Alpha de mettre en route un deuxième enfant, se voyait régulièrement noyé sous son tempérament d'oméga.
Mais Suzie savait le ramener rapidement à ce qui était le plus important dans ces moments de gagatisations...c'est à dire " Elle ". Quand l'attention de son cher papa à tête blonde était un peu trop tournée sur les jumeaux, elle tapait avec sa petite cuillère en plastique sur sa chaise haute, ou se mettait à pousser des petits crie, afin de ramener l'attention sur elle. Parfois elle lançait un regard en direction de Zoro qui était occupé à bouloter son petit déjeuner , et le regardait d'un air de dire...
" Et toi tu dis rien ? "
Le vengeance pour cette " trahison " généralement et de la compote ou de la purée de légume suivant l'heure du repas, en pleine figure de Sanji.
- Suzie ! Ne crache pas ta nourriture, s'exclamait d'un ton ferme mais pas dur pour autant le cuisiner. Ne fait pas ça !
La petite alors arrêtait de tout crachouiller, lorsque l'attention de son papa était entièrement tournée vers elle.
- Les nouvelles du jours , intervient Shakky en agitant une feuille de papier devant elle. Rapidement la secrétaire enfila une paire de lunette puis après s'être servie un long café noir commença à lire.
" Chère Shakky.
Les travaux ici avance à une vitesse vertigineuse. Et le fait qu'il y ait plus de monde avec nous en est certainement la cause. J'ai fini d'aménager la nouvelle bibliothèque, et tout mes précieux livres sont à présent en place. Il reste encore quelques petits bricoles, que je ferais moi même plus tard. C'est là, l'avantage d'avoir un compagnon aussi bricoleur, ça à fini par me déteindre dessus.
Franky et quelques uns des gars continue de travailler sur l'infirmerie...Ils ne ménagent pas leurs peines, et finissent tard pour reprendre très tôt."
A cette évocations Law , Chopper et Kaya relevèrent le nez, visiblement curieux d'entendre la suite.
" ...Je penses qu'elle sera plus grande que celle qu'ils ont actuellement au refuge..et mieux agencé, je suis certaine que Law ne trouvera rien à redire...."
- Ça va je ne suis pas si râleur que ça ! Si ? Marmonna le cerné, avant de constater bien des hésitations de la part non seulement de son Alpha, mais aussi de son frère de coeur ainsi que de tout ses amis présent.....ouais, bah je vais pas changer maintenant, bougonna t-il, en tournant son attention sur son joyeux petit garçon, qui tenait toujours à ce que son nounours préféré soit " nourrit " en même temps que lui.
" Les appartements de l'aile Est du bâtiments situé au Rez-de-Chaussée sont à présent fini. L'eau et l'électricité sont installé. Le rez de chaussé et parfaitement vivable à présent. Franky pensent qu'on peut commencer à faire emménager quelques uns des notre. Je viendrais donc demain avec Franky et le Frankosore.....il y a une dizaine de chambres disponible...les peintures et le reste se feront plus tard. Je t'envoie en pièce jointes les plans des chambres....je vous laisse décider qui viendra.
Je te laisse car il y a encore beaucoup de travail ici.
Amitié Robin. "
- Et bien en voila une bonne nouvelle, Affirma Shanks dans un grand sourire, d'une traite il but sa tasse de café, avant de la reposer un peu brusquement sur le table.
- Ça va être la foire pour savoir qui va partir et qui va rester ! Assura Kidd en prenant sur ses genoux son fils qui avait fini de prendre son petit déjeuner.
- C'est rien de le dire, confirma Zoro en se tournant sur sa chaise afin de lancer un coup d'oeil circulaire en directions des habitants encore présent dans la catine.
- Moi je propose de faire partir les plus anxieux, intervient Luffy avec un sérieux tel que cela paraissait choquant.. Ceux qui sont toujours à s'angoisser à la moindre nouvelle et au moindre changement de temps.....ils deviennent insupportable à la longue.
- Hum se n'est pas une mauvaise idée, reconnu Mihawk dans un bref mouvement de tête. Shanks il va falloir faire une liste et que tu annonces toi même au " heureux élue " qu'ils déménagent ....avec toi ils ne l'ouvriront pas et obtempérerons sur le champ.
Shanks passa une main las dans ses cheveux , mais reconnu que les propos de son compagnon n'était pas mauvais. Rapidement, et ceux derrière la feuille qu'avait ramené Shakky et sur lequel avait été imprimé le message de Robin. Il rédigea avec l'aide de tout le monde, une liste des futurs " élues". Sanji se permit d'insister pour que Laël et ses parents soient du voyage. Durant le reste de la mâtiné, le Chef et Mihawk allèrent voir les différents habitants pour leurs annoncer la bonne nouvelle. Heureux à l'idée de s'éloigner d'un potentiel danger, ils passèrent le reste de l'après-midi à terminer leurs cartons, en ne gardant que l'essentiel pour leurs dernière nuit au refuge.
Le soir à l'heure du dîner certains râleurs, se permirent de venir déranger leurs chef, afin de lui demander des explications, sur le fait qu'ils devaient rester encore ici. Aussitôt et ceux avant même que Shanks n'ait eu le temps d'ouvrir la bouche, Zoro était intervenu.
- Bon sang, mais vous n'êtes jamais content ? Gronda t-il le regard mauvais en frappant du poing sur la table. Faut toujours que vous vous plaignez !
- Sérieux les gars, vous pouvez pas patienter un peu, intervient tranquillement Marco qui faisait faire le rot à son fils. Franky ainsi que tout ceux qui sont là-bas travail d'arrache pied. Alors un peu de décence, et d'humilité serait pas plus mal, vous attendrez votre tour, comme tout le monde ici.
- Sérieux, marmonna avec humeur Kidd qui prit soins de prendre son regard le plus effrayant. Je suis pas d'humeur, mentit-il avec perfection, retourner à vos place, et arrêtez avec vos exigence à la con. On vous le fera savoir quand se sera à votre tour....
Les râleurs semblèrent hésiter, mais décidèrent finalement de décamper quand à son tour Kidd se mit à frapper du poings sur la table.
- Ah là là, souffla avec indulgence le chef. Fallait s'attendre à ce genre de réaction..
Dès que les enquiquineur eurent le dos tourné le géant, reprit l'attitude détendu qu'il avait eu jusqu'ici et termina son dîner comme si de rien était. De temps à autre Zoro le charrier sur la tête de meurtrier qu'il avait pris. Mais rapidement la soirée reprit son cour habituel.
Le soir alors que tout le monde était couché, Sanji sembla être plongé dans de longue réflexion. Le regard un peu brouillé, car les coups que lui avaient donné ses frères avait baissé un peu sa vue, il observait sans vraiment le faire le plafond de sa chambre.
- Zoro, tu dors ?Demanda t-il en se tournant un peu sur coté, avant de tendre la main qui entra bientôt en contacte avec le dos de l'homme aux trois sabres.
- Hmm...pas vraiment, marmonna d'un voix pourtant endormit le sabreur. Qu'est-ce qu'il y a ?
- Tu crois que c'est prudent de faire un bébé à mes prochaines chaleurs ? Je veux dire..
- Quoi ? S'exclama aussitôt le vert en allumant si brusquement la lumière qu'il crut renverser la lampe au sol. Tu veux revenir sur ta décision ?
- Non, assura Sanji en se frottant les yeux, aveuglé quelques instant par cette lumière soudaine. Mais...d'après mes calcules,....ce sera en février...il fit une courte pause, et calcula de nouveaux sur ces doigts en comptent à voix basse... oui c'est ça fin février ...Et si ont est encore ici....avec....le déménagement...le danger ....etc...je ne sais pas si...
Zoro sembla ronchonner un instant, mais tout en croisant les bras sur sa poitrine il se mit à réfléchir intensément. Dans les yeux de son époux, il voyait une pointe d'inquiétude briller avec ardeur. Sans rien demander, Zoro était certain que Sanji avait du parler de ce détail avec Law, ces deux -là étaient si complice que malgré leurs physiques diamétralement opposé , ils pouvaient passer pour des frères.
- Faisons ceci, proposa enfin le sabreur en éteignant la lumière puis en calant son mari contre lui. Si tes chaleurs se passent ici....on attend....et si d'ici là, on a déménagé et bien..on met le petit deuxième en route. Ça te va comme ça ?
- Tu accepterais d'attendre encore 4 mois dans le pire des cas, s'étonna franchement Sanji, qui laissait ses doigts voguer sur le buste parfaitement musclé de son mari. Et bien mon vieux c'est que tu réagirais presque comme un adulte. Plaisanta t-il, avant de reprendre malgré le souffle d'indignation de Zoro. Ça me convient parfaitement comme ça...
Finalement le grand déménagement allait bientôt commencer, et très rapidement, du moins s'est ce qu'espérait chacun d'eux, le danger s'éloigneraient d'eux. Et à nouveau la tranquillité et la routine reviendrait dans leurs vies. De tout coeur, les deux chamailleurs et amis à la fois espéraient que d'ici là, les choses iraient dans le sens tant espéré.
*****
Voila pour le chapitre 7, ou Franky semble être aidé par de plus en plus de monde. Comme vous avez pu le voir, les déménagements vont bientôt commencer, et petit à petit le refuge va commencer à se vider.
Lucci et ses hommes ne perdent pas le temps et profitent que Reiju ne soit plus là pour les surveiller, pour menacer ouvertement la petite population de Durangue, qui continue de lutter contre eux. Malgré tout le danger se rapproche petit à petit.
Quoi d'autre ? A oui, j'ai fini de faire mes petits calcules pour Sanji et Law....Donc je vous laisse le loisir de choisir. Soit ils mettent un petit en route...dès février ( c'est là que seront leurs chaleurs) soit on attend " juin" quand ils seront bien installé au monastère.
Je vous le demande car j'hésite entre les deux. ( mais chacun me convient.) Donc profitez, choisissez.
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