Chapitre 39 : Koby le fouineur ! Rêve ?
Chapitre 39 :
Caesar avait toujours été doté d'une certaine intelligence, mais en contre parti de son " génie" qu'il jugeait incroyable, un tempérament mesquin, menteur, méchant, abjects et ignoble envers certaine partie de la population, le rendait parfaitement insupportable. Tout comme son horrible petit rire stupide. La vie des autres n'était pour lui que le terrain de jeu de ses expériences. Tuer rapidement ou lentement ne lui procurait en général, aucun regret, ni remord, à partir du moment ou il parvenait à atteindre l'objectif qu'il s'était fixé. Seul, ses envies et ses souhaits comptaient à ses yeux, et tant pis pour les pots cassés. La seule vie qu'il jugeait importante dans ce monde, était la sienne et uniquement la sienne.
Les autres n'étaient qu'insignifiantes...
Mais perdre le soutient du roi, et être contraint à l'isolement dans une méprisable résidence, sous la surveillance constante de soldats n'était en rien un projet de vie qui lui convenait. Il avait beau être handicapé jusqu'à la taille à cause de Mihawk, ce n'était pas cela qui allait freiner ses envies de liberté. Et à présent qu'il n'avait le soutient de personne, seul son propre compte était à présent le sujet le plus important pour son avenir. Alban l'avait rejeté, méprisé et humilié comme si il n'avait été qu'un vulgaire rat, ou pire un affreux cafard. Et bien cas cela ne tienne, il allait sans vergogne lui rendre la monnaie de sa piece, et pourrir d'avantage son petit peuple en proie dernièrement à l'agitation. Bientôt lui aussi pèserait lourd dans la balance instable de ce pays, qui avait eu l'audace le rejeté. Lui aussi comptait bien mettre le bazar et se venger ainsi du roi, et de son ingratitude.
Si tout comme Caesar certain continuait d'entretenir leurs plus horribles et terribles penchant. D'autre continuaient de défendre avec vigueur la vie de chacun. Si Oscar Marie avait su semer un peu le doute partout où il passait, son association avec son volubile et fière cousin en ajoutait d'avantage. Cachée grâce à Iceburg et ses amis, pour lui éviter de voir une corde se nouer autour de son cou. Oscar Marie avait refusé malgré tout de rester sous silence, et de ne plus être actif pour défendre ses convictions. Cavendish avait eu beau le secouer, le gronder et même se fâcher contre lui, rien n'avait fait et son têtue cousin s'était obstiné à vouloir agir pour le bien de tous.
- Je refuse de taire mes convictions quand je sais qu'elles sont juste ! Répétait souvent l'agitateur. Le peuple est en pleine réflexion, et commence à comprendre à quel point ils étaient injuste. Ce n'est pas le moment de faiblir face à la peur...
Réalisant que décidément, son cousin avait un caractère aussi butté que le siens, Cavendish s'était contraint à abandonner toute possibilité de le raisonner. Mais ne voulant toujours pas le voir pendu à un arbre, et ceux même si il manquait parfois de lui faire de l'ombre. Il décida donc de l'accompagner lors de ses sorties en plein centre ville, ou comme toujours il babillait parmi les passant pour secouer un peu leurs manières de vivre et de penser. Son association avec Cavendish ajouta à leurs deux réputations. Et très vite bien des femmes furent prise dans le charme incroyable de se duo de bavard séduisant. Et si un fâcheux venait à vouloir en découdre avec eux, l'habilité de Cavendish au jeu d'épées, arrivait en un rien de temps à chasser ses brutes jaloux de leurs popularité.
Mais les choses continuait à évoluer lentement, mais surement. Et certain petits hameaux ou village ruraux, faisaient des demande officiel auprès du roi, pour avoir le droit d'héberger des êtres à part sans que ces derniers n'aient de risque d'être arrêter, comme cela avait été le cas dans le passer. Ces demandes pour le moment n'avaient pas de réponses, car encore perdu dans ses envies de détruire ceux que son père avait préféré à lui. Alban comme toujours devait lutter avec sa violence naturel pour tenter d'agir avec justesse, comme le lui demandait sa belle épouse. Mais un argument un peu sournois était parfois glissé ici et là, et faisait teinter un peu, la partie un avide d'argent d'Alban.
" Comme tout citoyens, ces derniers paierons leurs impôts et donnerons au gouvernement de sa majesté bien plus de possibilité d'action financière pour le bien du pays."
Ces phrases pleines de culots, avaient plus d'une fois attiré l'intérêt d'Alban qui malgré tout s'était un peu indigné de voir cette ficelle grossièrement tiré, et qui pour le faire réagir lui était ainsi jeté en plein visage.
- C'est malgré tout un argument à retenir, se risqua à dire un ministre qui contrairement à ses prédécesseurs osait dire ce qu'il pense au souverain, même si il prenait toujours garde à sa manière de dire les choses. Le pourcentage d'être à part dans notre pays, nous est totalement inconnu depuis quelques années. Et il faut reconnaitre que nous privés des impôts de cette partie de la population, est un sacré manque à gagner pour les caisses de l'état.
Encore une fois, Alban avait vu la une astuce un peu grossière, pour lui faire un peu plus accepté les êtres à part au sein de son peuple. Et Malgré son envie d'être plus juste, malgré son envie de changer, et de ne plus se laisser aller à cette violence qui parfois le fascinait. Il hésitait encore dans certaine de ses actions. Et lorsque au beau milieux d'une réunion de ministre son humeur changeait pour s'assombrir. La maligne Reiju avait pris l'habitude de faire un geste discret de la main en direction des ministres, et qui indiquait à ces derniers qu'il valait mieux changer de sujet. Aussi était-ce grâce à cela que les depuis quelques mois, Alban n'avait pas pu l'occasion de pousser l'une de ses célèbres gueulante.
Lui aussi changeait, mais beaucoup de ses anciens défauts, restaient encore cheviller à son âme. Et il faudrait encore bien du temps, pour que l'évolution totale sûr sa manière de pensée se fasse...si elle se faisait un jour. Mais une chose était certaine, pour peuple qui désiraient une paix totale dans leurs pays.
Le roi était beaucoup plus juste, grâce à son épouse.
Un autre continuait son bonhomme de chemin, et surtout de travailler en toute tranquillité sans que personne mise à part le couple royal ne viennent le déranger. C'était Koby. Depuis que le roi lui avait demandé d'en apprendre d'avantage sur le culte de Laure, le jeune homme s'était mis à faire de nombreuses recherches un peu partout dans le pays. Il avait aussi étudié les livres rares de la bibliothèque royal, que le roi lui même lui avait conseillé. Une chose importante ressortait de tout ce qu'il avait lu, que ce soit....de la " naissance " de cette déesse. A son " sommeil " contraint.
- Dans tout les livres ou j'ai pu lire son histoire, il est dit que la déesse Laure survie que parce que le fragment de son âme est présent dans une élue, murmura Koby qui se balançait un peu sur une chaise.
Travaillant souvent seul, Koby avait pris l'habitude de réfléchir à voix haute, le regard bleue vaguement fixé devant lui. Ceux qui s'occupaient de la bibliothèque, ou y venaient pour emprunter un bouquin, ne faisaient plus vraiment attention à ce jeune homme qui sans modérer sa voix, se faisait bien des réflexions. Entre ses doigts, il faisait tourner un stylo, qui plus d'une fois manqua de lui échapper. Ne se laissant pas distraire, il reprit rapidement sa réflexion....
- Imaginons qu'une telle personne existe de nos jours, supposa t-il en se balançant toujours. Il faudrait que je la retrouve pour pouvoir lui poser des questions, et ainsi en apprendre plus sur le culte de Laure. Conclu t-il avant de reposer enfin son siège sur ses quatre pieds.Là, il se laissa aller sur le bois de la table contre lequel il écrasa sa joue. C'est soit ça...reprit-il...soit ...chercher les derniers lieux de cultes connus de Laure....Aaah là là, j'ai l'impression de chercher une aiguille dans une botte de foin.
Une fois ces deux possibilités établie le jeune milicien reprit ses recherches, et alla débusquer parmi les livres d'histoires, et les comtes de fée, les indices indiquant ou se trouvait le tout dernier lieu de culte de la déesse avant qu'elle ne " disparaisse " de l'histoire. Il prit même le temps de lire de très vieux journaux qui avait été archivés, et qui parfois relataient dans un article ou deux, la découverte de ruines ici et là, à travers le pays. Ne mettant pas de limite à ses heures de recherche, le jeune homme aux cheveux parme , passa des jours et des jours, dans la bibliothèque, ne s'accordant du repos qu'à la nuit tombé. Parfois il faisait une pause, et frottait avec vigueur ses yeux devenues douloureux à force de lire durant de très longues heures.
Un jour pourtant il tomba sur un bouquin usagé que le responsable en chef de la bibliothèque eut bien de mal à lui accorder le droit d'y jeter un oeil. L'air soupçonneux, il avait observé Koby comme si le but de ce dernier avait été tout simplement d'y mettre le feu. Surpris le jeune homme qui pourtant n'était pas du genre sournois et malhonnête, avait dû laisser entendre que si il fallait, il irait directement demander au roi le droit de pouvoir étudier ce précieux ouvrage ancien.
- Je ne pense pas que ça va le mettre de bonne humeur, avait fait semble de supposer Koby, mais je dois m'occuper de la mission qu'il m'a donné et ...
- Bon, c'est bon, vous pouvez regarder...Mais mettait ses gants blanc afin de ne pas abîmer d'avantage les pages, en les tâchant. Cette ouvrage est extrêmement fragile et ancien, et de ce fait si vous le permettez, je resterais près de vous. Il est unique et bien peu ont eu le droit de le lire, hors mis le roi bien entendu...
- Son contenu est-il donc secret ? Demanda Koby qui baissa sur son nez ses lunettes qui étaient pour le moment remonté sur son front.
- Non .., bredouilla l'homme avant de lâcher...mais ce qui est dedans reste entre nous...et sa majesté bien entendu...
- Si vous voulez, promit Koby intrigué. Je serais muet comme une tombe.
A nouveau, il avait dû resté des heures courbé sur cet énorme livre, donc les écrits au langage un peu ancien , compliquait sa compréhension. Parfois l'homme qui le surveillait et qui de toute évidence était un érudit, l'aidait aux déchiffrages de ce langage compliqué. Et petit à petit..l'histoire prit forme...après tout de même bien des jours d'étude.
- La montagne des âmes ? Frissonna d'inquiétude Koby, qui comme tout ses concitoyens connaissaient parfaitement toutes les affreuses légendes qui y était lié. Il est écrit que les derniers serviteurs de la déesse Laure..des moines qui vivaient là-bas...avaient été contraint de quitter leurs lieux de prière et de culte, parce que la montagne les avait maudit...
" Cette montagne refuse de voir les Hommes vivre en son seins. Laure ne peut plus rien pour nous...elle a disparu et nous à abandonnée...La preuve en est avec cette épidémie qui à fauchait bien des âmes.....La déesse n'est plus...."
- Lorsque les moine ont quitté cet endroit qu'ils qualifiaient de maudit, ils ont affirmé à qui voulait l'entendre que la montagne était devenue maléfique, crut comprendre le jeune homme avant d'être pris d'un doute tout à fait compréhensible. Ou bien est-ce encore un comte de fée qui s'est une fois de plus s'est greffé à l'histoire réel ?
- Légendes et réalités s'entremêlent, conclu en toute simplicité le responsable des lieux. Ah ? Si vous me permettez, je vous laisse à vos études, on a besoin de moi, précisa t-il en désignant discrètement un nouveau venu dans la bibliothèque.
- Oh pas de soucie allez-y, souffla Koby toujours pensif mais soulagé de pouvoir réfléchir tranquillement dans son coin, sans être surveillé. De son regard clair il observa l'homme s'éloigner de lui, tandis qu'à nouveau les paroles confuses de Lucci lui revenait à l'esprit.
" On était dans la montagne des âmes...on se battait contre des êtres à part." ..." Et puis il y a eu une lumière doré.."
- Hum...fit le jeune homme. C'est tout de même un drôle de coïncidence, reconnu t-il dubitatif. Si j'en crois mes dernières recherches.....le dernier culte de Laure était précisément dans cette montagne...là même ou Lucci et les autres ont disparu dans cette " étrange lumière doré" , et là même aussi où des êtres à part se cachaient....c'est étrange quand même que tout ce rejoigne là-bas.
Cette fois-ci la chaise sur laquelle il avait recommencé à se balancer partie un peu trop vers l'arrière et le fit lourdement chuter au sol. Se cognant l'arrière de crâne, le jeune homme aux cheveux parme poussa un petit grognement de douleurs avant de très vite se relever. Honteux d'être ainsi tombé tel un écolier peu attentif à ses études, Koby reprit place sur son siège dont les quatre pied cette fois-ci restèrent fermement au sol. De l'une de ses mains, il frottait une petite bosse qui avait commencé à apparaitre...
- Le problème, songea t-il mentalement en reprenant le fil de ses pensées comme si elles n'avaient pas été interrompu. C'est que la Reine lorsqu'on était à Durangue, avait laissé entendre que son frère prétendument mort, était potentiellement caché dans ce groupe d'être à part planqué dans la montagne. Si je dois étudier un tel lieu....ou même les alentour je dois prendre garde à ne pas la trahir...
A nouveau Koby se mit à réfléchir sur une manière de poursuivre ses recherches dans le sud du pays, sans pour autant prendre le risque de trahir la reine ainsi que son secret. Il resta ainsi un long moment à tapoter le bout de son stylo sur le bois de la table, avec une cadence un peu agacement. La lumière de l'extérieur qui passaient à travers les fenêtres du la large pièce, se faisait de plus en plus discrète. Demain le mois d'octobre serait entamé...
- Je sais, s'exclama t-il en claquant des mains, ce qui fit se retourner quelques personnes présente.
S'excusant pour le bruit qu'il faisait, Koby commença à réunir ses affaires qui s'étalaient un peu partout sur la table devant lequel il était assis. Puis tout en rangeant les livres qu'il avait empruntés, le jeune soldat reprit le court de ses pensées.
- Je n'ai qu'à dire au roi, que je vais étudier les régions du sud, car là-bas bien des ruines ont été découverte dernièrement..A cause de travaux ou que sais-je. Ainsi je ne désigne pas d'endroit précis...et j'évite donc d'évoquer la montagne des âmes..
D'un pas énergique , Koby sortit de la bibliothèque après avoir rangé les derniers ouvrages qu'il avait utilisé. Sûr et certain d'avoir trouvée une bonne idée, son esprit malgré tout restait partagé entre envie d'apprendre, et de découvrir plus sur Laure et son culte. Et la peur de trahir la reine, pour qui il avait un grand respect. Malin, et ingénieux, il avait su voir combien Reiju était bénéfique pour pays, dans sa manière de calmer les humeurs terribles du roi. Grâce à elle leurs souverain était plus juste, et des inégalités qui avaient été largement présente dans le pays diminuaient un peu.
- Koby mon vieux, se parla à lui même le jeune homme. Te v'la bientôt repartie à traverser le pays dans tout les sens.
*****
Comme l'avait si judicieusement remarqué Koby, octobre arrivait avec un automne toujours aussi précoce dans la haute chaine de montagne. Les arbres durant ces dernières semaines écoulées avaient pris de belles teintes orange, marron et jaune. Les températures avaient sacrément baissées, reléguant ainsi la moindre tenue un peu légère au font du placard. Les manteaux, les gilets et les pulls étaient de nouveau les stars du moment. Et il n'était pas rare, de voir l'un des habitants du refuge rentrer d'une balade en poussant un grand..
- Bouh il fait vraiment froid dehors.
Le soir il n'était pas rare d'entendre le vent siffler contre les fenêtres de l'ancien monastère, dont les nombreuses vitres paraissaient parfois trembler dans leurs chassies de bois. La pluies avaient vite succédé au beau temps, et détrempée à présent les nombreux chemins, devenu trop boueux pour être pratiqué. L'été avait définitivement disparu, pour laisser place à un temps beaucoup plus froid, et humide. Le ciel à présent ne se teintait que très rarement de couleur azuré, et préférait prendre un manteau gris aux nuances multiples.
Avec l'arrivée du mois d'octobre Sanji et Law entamaient leurs 8ème mois. Le bout du chemin paraissaient de plus en plus proche. Et si pour le médecin cela était sources de soulagement dans un certain sens, car son état le fatiguait un peu trop à son gout. Cela faisait de nouveau naitre chez Sanji des inquiétudes quand à leurs capacités à s'occuper de deux nourrissons en plus d'une petite Suzie, qui apprenait que très difficilement à le partager avec d'autres enfants.
Mais désireux de ne pas se laisser déborder par son tempérament de suprême qui lui faisait toujours tout ressentir avec force. Il avait consenti à écouter les conseilles de Zoro en matière de méditation et de contrôle de soit. En toute franchise, jamais le blondinet n'avait été adepte de ce genre de chose qu'il ne comprenait pas vraiment, et qu'il avait jugé jusqu'ici avec un peu de moquerie. Pourtant et ceux malgré ses plaisanteries du début, et qui plus d'une fois avait bien agacé son époux. Sanji devait reconnaitre que ses exercices de respiration, l'aidait assez dans le contrôle de ses nerfs un peu fragile. A présent il était plus rare de le voir pleurer brusquement , pour ensuite s'énerver contre lui même.
Étant enceinte de jumeaux, les visites de contrôle se firent plus souvent, afin de s'assurer tout d'abord que tout allait bien. Que les jumeaux n'étaient pas en potentiel souffrances dans le ventre très très rond de Sanji, et surtout qu'ils continuaient de bien se développer. Pour le moment les heureux parents eurent le bonheur d'apprendre qu'il n'y avait aucune inquiétude sur un potentiel accouchement prématuré.
- Je crois que les exercices de méditation de Zoro te sont très bénéfique, expliqua Jane qui lui faisait passer une énième visite. Ta tension est assez stable, et fait moins le yoyo que les fois précédentes. Tes analyses sont bonnes, et les cœurs des petites battent à un bon rythme.
- Waouh, s'exclama Sanji qui réajustait sur ses épaules le t-shirt amusant que Zoro lui avait offert pour leurs premier anniversaire de mariage. C'est bien la première fois depuis longtemps que tu ne m'as pas dit autant de chose positive. C'est un jour à marquer d'une pierre blanche.
- Oui c'est vrai, reconnu Jane en riant de bon coeur, toute en prenant quelques notes dans le dossier de son patient.
- A présent tu ne pourras plus prendre, mes séances de méditions à la légère, ajouta le sabreur en lançant un petit regard arrogant en direction de son petit blondinet, qui était à présent assis les mains croisées sur le ventre.
- Cependant, les coupa Jane qui voyait le cuistot lancer des petits coup d'oeil en direction de Zoro comme pour lui dire " ça va arrête de répéter la même chose." Je ne peux que te conseiller d'avantage de repos. Nous sommes vraiment dans la dernière ligne droite et...il va te falloir un maximum de détente durant les prochaines semaines à venir. Chaque jours à partir de maintenant et un jours de bonus. Donc évite les efforts, le stress....enfin tant que c'est possible et essais de rester un maximum allongé.
- Mais ...s'étonna Sanji en faisant une grimace d'inconfort face à un petit coup de pied nerveux d'un de ses fils. Tu as dit que tout allait bien !
- Oui c'est vrai, et je te le répète. Reconnu la jeune femme en se relevant de son tabouret, pour poser la main sur l'épaule de son patient. Mais...Ton ventre est déjà un peu plus bas que la dernière fois...donc reste juste prudent....
Clignant des yeux, Sanji sentit son coeur battre à un rythme un peu plus soutenu. Soudainement son imagination un peu trop fertile, lui fit voir des scénarios catastrophique. Tel que la naissance prématuré des petits, ...naissance compliqué bien évidement, ...des problèmes de santés lié à cette venue au monde trop précoce à son gout ...Et qui alla de mal en pire, au fur et mesure que son imagination tenait les rennes de son esprit.
- Chéri !! Tonna d'une voix forte Zoro, pour le sortir de ses horribles songes. Calme toi, souffla t-il en prenant sa main dans la sienne. Commence pas à t'emballer. Pour le moment ils sont ici, déclara le sabreur en passant la main sur l'abdomen proéminent de son époux....ils sont ici, tranquille et bien à l'abri garde ça en tête...Ne commence pas à imaginer des choses affreuses dans ton petit crâne.
- Aahh...euh....oui, bien sûr oui ! Sourit nerveusement le cuisinier avant de prendre une grande respiration. Désolé, j'étais entrain de me faire déborder par la panique. Je serais le plus prudent possible Jane, je vais éviter de trop en faire..
- Je vais mettre pendant un temps mes entrainements de coté, pour m'occuper de toi et de la petite, ajouta Zoro qui à cet instant le couvait du regards. Sans doute était-ce son tempérament d'Alpha qui à mesure que les mois passaient faisait ,qu'il devenait de plus en plus surprotecteur envers son compagnon. Je veux être sur d'être présent si tu as besoin de moi.
- Bien, s'exclama joyeusement Jane toujours aussi confiante et souriante. Avec une telle équipe tout ne peut que très bien aller. On se redonne donc rendez-vous..à la fin de la semaine, à la même heure ça vous va.
- Ok, ont fait comme ça, répondit le blondinet qui prit la main que son mari lui tendait pour l'aider à ce relever. Car là aussi, son ventre rond commençait à lui poser quelques difficultés.
Lorsqu'ils sortirent de l'infirmerie, ou une petite épidémie de rhumes faisait qu'elle n'était jamais complètement vide. Le petit couple marcha le long du couloir l'esprit visiblement pensif. Mains dans la mains, ils grimpèrent les marches menant à la salle de divertissement, afin d'aller rejoindre leurs amis. Malgré le temps exécrable de l'extérieur, et qui assombrissait un peu les lieux, aucun des deux hommes n'accorda le moindre regard en direction de l'extérieur. L'idée que bientôt leurs familles s'agrandisse avec deux adorable bébés, les faisaient un peu passer pour tout un tas de pensées et d'émotion.
- Dit, souffla Sanji en s'arrêtant à quelques pas de la porte d'entrée et serrant tout doucement la main de Zoro dans la sienne. Il va falloir qu'on s'occupe de la chambre des enfants. Les lits ne sont pas montés ...la chambre n'est pas prête ..en faite rien n'est fait.....
- On va faire ça cette semaine. Assura le sabreur qui pour garder l'esprit de son oméga en paix ,s'efforçait en toute circonstance d'avoir une bonne dose d'assurance en lui. J'ai commencé à en parler à Franky et son équipe. Expliqua le vert en déposant un baisé sur la joue de son adorable petit blond.. j'irai les voirs tout à l'heure pour savoir quand peut-on recevoir les meubles des bébés, ok ?
Un hochement de tête, répondit à la demande de son mari. A nouveau Sanji passa la main sur son ventre, ou depuis des mois il sentait la vie s'agiter en lui. Son corps encore une fois avait pris de sacrée rondeur, et avait évolué, pour que ses fils puissent grandir comme il faut. A ce sujet il n'était pas rare que, lorsque son regard croisait son reflet quand il était dans la salle de bain, il ait besoin de quelques secondes d'adaptation pour pouvoir se reconnaitre. Ses reins à chacun de ses pas paraissaient se creuser. Marcher lui faisait ressentir la nécessitée de joindre les doigts sous son ventre. Comme pour en allégé le poids. A cela, il n'était pas rare qu'il perçoive chez son frère de coeur, une sorte de petit sourire satisfait, car lui était loin de se déplacer ainsi.
- Tu te rends compte Chéri...d'ici quelque semaines on les tiendra dans nos bras.
- Je suis impatient et stressé à la fois....reconnu Sanji en hochant un peu la tête, avant de baisser le regard en direction de son ventre ou décidément les petits jumeaux paraissaient faire la fête. Mais....même si ça sera un peu difficile au début, je suis sûr que c'est une incroyable aventure qui nous attends.
- Ça c'est sûr, ajouta Zoro en caressant les cheveux blond de son oméga. Tout ira bien, je te le promet. ok ?
A nouveau Sanji répondit dans un mouvement de tête discret, puis tout deux reprirent leurs marche en direction de la salle de divertissement. Avec le temps désagréable de l'automne précoce, cette dernière était remplie raz à la gueule, de la quasi totalité des habitants du monastère. La salle de jeu pour enfants, voyait les bambins du groupes d'amis s'amuser et ce divertir comme des petits fous. Suzie par exemple était très occupée ce jour-là avec son papy, à qui elle faisait " la cuisine"...
- Le service dans ce restaurant laisse complètement à désirer, commenta Zeff qui voyait sa petite fille entre deux confections de bon petit plat, jouer avec ses nounours en l'oubliant au passage. La serveuse n'est pas bien rapide, et ça fait plus une demi heure que j'ai passé ma commande, sans qu'on ne s'occupe de moi ! C'est un scandale, fit-il semblant de s'indigner ...La réputation de ce restaurant va en pâtir croyez moi....
Il y eut quelques rires amusés face à cette déclaration digne d'une émission culinaire porté sur la critique. En le voyant faire, Sanji s'amusait du fait que son si sévère papa, car après tout Zeff n'avait pas été une guimauve avec lui enfant, s'était transformé au contact de Suzie et d'Andrew, ainsi que des jumeaux de Ace et Marco, en vrai papy gâteau.
- Bon bah la sortie au restau est foutu pour cette fois, s'amusa Kidd en lançant un coup d'oeil malgré tout sérieux en direction de Law qui éclata de rire. C'est ça, les jeunes entrepreneurs, un rien les distraits...
De la serveuse et de ce drôle restaurant imaginaire, Andrew à ce moment là n'en eut rien à faire du tout. Abandonnant soudainement son camion pompier qu'il adorait plus que tout, il se précipita en direction de son papa Alpha, puis se mit à sautiller sur place en faisant de drôle de grimace.
- Papa pipi..pipi vite...!
- Tiens du boulot pour toi, commenta le chirurgien en direction de son Alpha à qui il donna un léger coup de coude. Ça m'a l'air pressé en plus, ajouta t-il en posant malgré tout une main affectueuse sur le crâne à cheveux rouge de son fils. Sachant qu'il ne serait pas assez rapide au vue de son état pour aider son fils, Law continua de lancer des coup d'oeil appuyé en direction de son compagnon.
- Bon dieu, s'égosilla comme toujours le géant à cheveux rouge, en attrapant son fils dans ses bras. Fait pas sur toi hein.....
- Vite pipi, insista le petit garçon qui malgré son envie pressante paraissait s'amuser de la panique de son papa alpha.
En un rien de temps Kidd sortit de la pièce comme si la mort était à ses trousses. Sa voix comme toujours était si forte qu'il était facile de l'entendre bramer sûr son passage" retient toi chaton."
- Quand je pense, qu'il va avoir bientôt deux ans, souffla Law en mouvant lentement sa tête de droite à gauche. Un petit air incrédule était visible sur son visage dont les cernes depuis quelques mois paraissaient moins visible. Le temps passe trop vite..
Sans doute le chirurgien aurait-il pu s'extasier d'avantage sur le temps qui passe et le fait que son fils grandissait trop vite, si un puissant "daada " de Satsuki ne s'était pas fait entendre. Téméraire et obstinée comme pouvait parfois être Ace, la bambine s'était redressée d'elle même sur ses petites jambes en se cramponnant à ce dernier. Sans doute la petite pile électrique qu'elle pouvait être se sentie t'elle capable de marcher du haut de ses 11 mois, presque un ans. Elle tenta donc de faire un pas comme une grande, avec la présence rassurante de Ace , dont les mains ne restaient jamais éloignées d'elle. Curieux le petit groupe d'amis observait le possible exploit du jours, sans pour autant oser faire de bruit. Mais ce qui aurait pu être ses premiers pas capota malheureusement et manqua de la faire tomber sur son petit derrière, si Ace ne l'avait pas rattrapée à temps. Frustrée, Satsuki poussa un petit cri indignée, avant de pleurer de frustration.
- C'est rien ma puce, tu y arriveras un jours, assura l'homme de feu en lui faisant un gros câlin. Ses mains chaudes et rassurante, caressait son petit dos, dans le but évident de faire passer ce petit chagrin.
- Plus ça va , et plus elle a ton caractère, commenta Marco en observant la petite fille pleurer avec colère, car elle n'était pas arrivée à atteindre son objectif du jour.
- C'est à dire ? Questionna Ace le regard soupçonneux, tandis que dans un geste mécanique il berçait sa petite furie dans le but de la calmer.
- Elle est du genre très décidée, et refuse d'abandonner. Et quand elle est contraint de le faire, elle est sacrément colère. Répondit le calme homme oiseau dont son mini lui, jouait sur ses genoux, se fichant éperdument de l'idée de marcher. Même si tout de même, il avait fait quelques rares tentative.
- Pff, comme si je me mettais en colère pour un rien, nia avec culot Ace en détournant la tête, puis en posant le regard sur le visage de sa fille qui avait abandonnée les larmes pour se concentrer sur la chaine qu'il portait autour de son cou. Ce dernière lui avait été offert par Marco à ses 22 ans, quand ils étaient encore dans l'ancien refuge....Non...tire pas sur la chaine ma puce..
- Daaadaaa ta..s'indigna la petite fille, en le fixant droit dans les yeux d'un air de dire ..." comment oses tu m'interdire quelque chose."
Ce soir là, comme souvent depuis quelques temps, Sanji n'eut pas vraiment le temps d'écouter Zoro lire la moindre ligne de l'histoire qu'ils se lisaient mutuellement. Sa fatigues étaient telle que même le couchée de leurs adorable Suzie, lui avait parût durer des heures. Baillant sens cesse, après avoir fait un dernier bisous à sa petite puce, il était parti rejoindre son lit avec un empressement compréhensible. Son dos à cause du poids des jumeaux, étaient de plus en plus douloureux, et pouvoir enfin s'allonger dans son lit fut un véritable plaisir pour lui. Mais à peine sa tête toucha t-elle l'oreiller, que le sommeil l'emportait en moins de deux. A peu plus tard ce soir là, son époux l'avait rejoints. Toujours aussi attentif et addict de son adorable petit blondinet, Zoro s'était endormi près de lui, la main posée sur le ventre rond où il sentit quelques petites ondulations. De toute évidence ses fils étaient en pleine forme. Mais malgré leurs agitations, Sanji semblait ne pas en être particulièrement dérangé, puisque cela ne le réveilla absolument pas.
Le vent qui depuis deux ou trois jours, soufflait avec un temps de repos relativement minime, fit cette nuit là, une pause pour de bon. Les nombreuses fenêtres du bâtiment pour une fois furent tranquilles dans leurs chassies de bois, ou plus d'une fois dernièrement elles avaient parfois dangereusement tremblées.
Cette nuit là , un étrange rêve, happa l'esprit de Sanji. Il se voyait debout dans une sorte d'endroit bizarre ou l'obscurité côtoyait de près la lumière. Un silence terrible plombait ce lieu qu'il avait bien du mal à qualifier et à reconnaitre. Rapidement le jeune homme tenta de jeter un coup d'oeil sa propre silhouette, ou il put malgré l'étrange luminosité du lieu, distinguer les courbes particulière de son corps. Sans qu'il ne sache pourquoi, il avança droit devant lui tout en tentant de voir, ou de distinguer quelques choses, ou quelqu'un qui lui expliquerait le pourquoi de sa présence de ce lieu. Comme toujours dans les songes, le temps lui parut factice car rien ne lui paraissait normal, pas même les secondes qui s'égrainaient.
- Il y a quelqu'un ? cria t-il d'une voix forte, les mains posée de chaque cotés de sa bouche, comme pour en amplifier le sons.
Rien ne se fit entendre, pas même un échos. Il avança donc, tentant parfois de se pincer pour ce réveiller, même si cela ne marchait pas vraiment. Et puis après ce qui lui parut durée un temps infini à marcher vers un lieux inconnu, il entendit des pleures. C'était une voix de femme, qu'il ne connaissait pas. S'arrêtant un instant, il chercha à se guider grâce à son ouïe. Calme, fermant les yeux, il focalisa son esprit sur les bien tristes pleure qui au fur et à mesure de son avancé, lui parurent plus fort et plus facile à détecter.
Ses pas étrangement faisaient le bruit typique des clapotis dans une flaque d'eau. Il avança encore un peu , puis arriva malgré l'étrange luminosité de ce lieu , à distinguer la silhouette assise et vouté d'une femme. Elle pleurait fort, et paraissait inconsolable....Parfois, et ceux même si cela paraissait difficile, on pouvait l'entendre marmonner des mots, que Sanji eut une peine infini à comprendre.
Mais pourtant cette peine et cette inquiétude qui se dégageait de cette femme, parut lui broyer le coeur. C'était comme si quelqu'un avait fait de la peine à une personne qui lui était chère. Il avança un peu plus, et sentit bientôt comme une sorte de chaleur se dégager de son front. Par réflexe, il posa les doigts dessus et sentit la marque que lui avait imposée Laure, être particulièrement bouillante. Et pourtant malgré la chaleur que ce " truc" comme il la qualifiait parfois dégageait, il n'en ressentit aucun mal, aucune douleur. Alors, Sanji décida de ne pas perdre plus de temps sur ce détail, puis s'approcha de la jeune femme assise et courbée sur elle même, et qui ne cessait de pleurer.
- Pourquoi êtes-vous si malheureuse ? Demanda t-il en posant avec prudence la main sur l'épaule de la jeune femme, dont la couleur des cheveux parut lui rappeler quelqu'un...
- J'ai peur, murmura cette dernière....j'ai si peur..
- De quoi avez-vous peur ? Questionna Sanji en s'agenouillant de son mieux près de cette pauvre âme en peine. Regardez moi, et dite moi tout ? Tenta t-il de l'encourager en prenant un ton rassurant et chaleureux.
Doucement le visage qui était resté caché dans le creux des mains se releva . Dans un geste à la lenteur peu croyable, la jeune femme tourna la tête, puis planta son regard bleue embrouillé de larme sur le visage de Sanji. Elle avait une belle chevelure rose, et un sourcils dont la spirale allait vers l'extérieur de son visage. L'autre était caché par une mèche de cheveux tout comme lui même le faisait. Dès qu'il la vit son coeur se mit à battre à une cadence de folie. Le visage de cette femme, il le connaissait bien puis qu'il l'avait vu enfant...
- Reiju ? C'est toi ?
- Vous connaissez mon prénom ? S'étonna t-elle en penchant un peu la tête sur le coté. Sans doute surprise d'être ainsi reconnue, la souveraine sembla s'arrêter de pleurer un instant. Je ne vous voit pas bien, approchez que je vois mieux votre visage...
Était-il vraiment dans une rêve ? Comme pour avoir une réponse, le blondinet releva son visage et tourna la tête dans tout les sens dans l'espoir d'y voir le moindre indice expliquant ce qui se passait là.
- J'ai peur, lâcha Reiju qui parlait en toute liberté dans ce lieu, comme si elle savait que là au moins personne de son entourage directe, que ce soit au château ou même son époux, ne pouvait l'entendre et la juger.
- De quoi as tu peur ? S'efforça de demander avec calme Sanji en observant à nouveau sa soeur qu'il avait envi de prendre dans ses bras. Mais la brusquer pensa t-il judicieusement n'était sans doute pas une très bonne idée. Des larmes commençaient à envahir de nouveau le visage de son ainée, tandis qu'avec prudence il prenait soins de prendre de profonde respiration afin de ne pas laisser ses nerfs fragile prendre le dessus.
- Le roi mon mari à des doutes sur la disparition de mon petit frère, il y a de cela de nombreuses années.....je veux qu'il le croit mort...pour qu'il ne le cherche pas....ainsi Sanji pourra vivre heureux parmi les siens, sans qu'il ne risque le moindre danger....
- Le roi doute....souffla le blondinet perdu dans ce déluge d'émotion qui l'assaillait.
- J'ai promis à ma mère que je protégerais son secret ainsi que celui de Sanji.... je le ferais ! Assura Reiju les poings fermés, avant de relever à nouveau son regard sur son interlocuteur. Rapprochez vous, s'il vous plait je ne vois pas votre visage il y a une ombre dessus.
- Une ombre ? Répéta Sanji qui lui ne voyait pas cette dernière. Avec prudence il s'approcha doucement de sa soeur. Tu sais que tu es dans une sorte de rêve lucide n'est-ce pas ?
- Oui je le sais très bien ! Ici c'est parfait pour expulser ma peine, et mes inquiétudes du quotidien. Ainsi devant le roi et tout ceux qui habitent au château céleste, je peux faire bonne figure et cacher toutes mes émotions en moi. Comme je l'ai toujours fait depuis enfant... Approchez vous un peu plus, ce n'est pas suffisant..je ne vous vois pas encore assez bien...Êtes vous réel au moins ? Ou est-ce parce que je suis dans un rêve, que j'imagine une présence près de moi ?
- Ce n'est pas qu'un rêve. Enfin...c'est..
- Quel est cette lumière ? Coupa Reiju intrigué, c'est la première fois que l'un de mes songes me parait aussi bizarre..d'habitude je suis seule ici.
Et comme pour lier le geste à la parole, la jeune femme tendit la main en direction du léger éclat lumineux qui se dégageait de la marque que Laure avait laissé sur le front de Sanji. Doucement cette dernière parût éclairer le visage qui jusqu'ici avait semblait être caché derrière une voile d'obscurité. Lentement les traits d'une mâchoire se précisèrent ...la jeune femme distingua tout d'abord une barbichette brune...des lèvres entrouverte qui laissaient passer de long souffle....un nez droit....une mèche de cheveux blond couvrant une partie d'un visage...Une prunelle bleue azure, comme les siennes...et puis..un sourcils dont la boucle à l'inverse d'elle, allait vers l'intérieur du visage...
Ses mains tremblante qui s'était tendu en direction de cette présence aux contour brouillonne se mirent à frémirent d'avantage. Des larmes coulèrent à nouveau sur son visage, tandis que telle une petite fille triste, la courageuse souveraine mordillaient sa lèvre inférieur. La voix enroué par la peine elle dit..
- Que rêve cruel ......murmura t-elle dans un sanglot à fendre l'âme...Sanji me manque tellement que je le fais apparaitre en songe....
- Ce n'est pas fictif ...s'exclama le blondinet en se rapprochant un peu plus de sa grande soeur; dont il prit la main dans la sienne.
- Bien sûr que si.. souffla cette dernière....qu'est-ce que ça pourrait être d'autre ? Les rêves sont les refuges de l'âme...rien d'autre ...
- Bon c'est vrai c'est un rêve, mais c'est aussi autre chose que je ne comprends pas bien moi même, essaya de la convaincre le blondinet, qui vit la visage mature de sa soeur nier lentement. Tu ne me crois pas ? ...Et bien alors, comment aurais tu pu imaginer ça ? Déclara t-il en posant la main de sa soeur sur son ventre rond.....Hein ? comment aurais tu pu savoir que j'attends des bébés, alors qu'on ne s'est pas vu depuis notre enfance ? Il n'y a ici une part de réalité....
Devant ses yeux, Sanji pouvait voir le visage parfaitement incrédule de sa grande soeur. La bouche grande ouverte comme sous l'effet d'un choque, elle gardait ses yeux braqué sur le ventre rond de son petit frère.....A nouveau..elle se mit à trembler, tandis que des larmes inondaient à nouveau son visage pale....
- Petit frère ? Bredouilla t-elle...Sanji c'est bien toi ? Mais comment est-ce possible ?
- Je ne sais pas....
Le jeune homme de nouveau ému, prit sa soeur dans ses bras. Cette dernière totalement perdue ne comprenait pas du tout ce qui se passait à cet instant précis.Mais pour la première fois depuis de très nombreuses années des larmes coulées sur son visage, mais c'était là pour une fois des larmes de joie. Peut importe combien de temps durerait ce songe bizarre seul la vu de ce petit frère tant aimé était à cet instant le plus important à ses yeux.
*****
Et voilà pour le chapitre 39, ou bien des choses se passent. Comme Caesar qui rumine sa colère et concocte dieu sait quel vengeance. Les pacifistes eux cherchent toujours à faire évoluer la mentalité de leurs peuples.
Et le malin petit Koby fouinent et démontrer clairement qu'il est loin d'être bêtes.
Sanji et Law arrivent à leurs 8ème mois, et commencent à percevoir le bout du chemin. Mais un rêve étrange en plus des nombreuses pensées et inquiétude qui viennent envahir notre petit blond, vient le perturber d'avantage.
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