Chapitre 32 : La demande d'Alban. Le cousin d'Oscar Marie.
Chapitre 32 :
Le mois de juillet battait son plein , et les températures digne de ce bel été, prouvait que même dans les montagnes elles pouvaient être forte. A l'instar de l'ancien refuge, qui ainsi à être dans la roche avait l'agréable fonction de garder sa fraicheur lorsque le thermomètre était à la hausse. Le monastère lui n'avait pas encore cette agréable utilité que beaucoup regrettaient. Les nuit à présent étaient chaude pour pas dire parfaitement désagréable, et le sommeil pour certain ne devenait que bien peu réparateur.
Franky et ses gars avaient donc laissé un peu de coté, tout leurs projets pour mettre en place une sorte de climatisation générale qui aurait le mérite de rafraichir un peu les lieux. La première pièce à subir ces travaux était la cuisine qui était devenu véritablement infernal. Avec les fours ainsi que les nombreuses gazinières, la large pièce devenait très rapidement à elle seule une sorte de four vivant, et difficilement supportable.
A cause de son état, il avait été conseillé à Sanji de ne pas travailler en cuisine durant les périodes de forte température. Un peu obstiné sur les bords, car abandonner sa passion lui coutait toujours beaucoup. Le jeune homme qui jusqu'ici avait réussi à tenir bon, avait fini par être contraint d'accepter. L'événement qui l'avait ainsi forcé à suivre les conseilles qu'on lui martelait depuis des jours, fut celui-ci. Il était encore très tôt, et l'heure du petit déjeuner approchait à grand pas. Malgré l'heure matinal la température dans la pièce était déjà fort élevé, et les travaux pas tout à fait terminés.
Depuis quelques minutes déjà les commits de Sanji ne cessaient de lui lancer des regards en biais, en lui demandant régulièrement si tout allait bien. Malgré l'assurance avec lequel répondait le jeune blondinet, il fut évident que comme toujours son obstination le forçait à jouer les braves. Mais pourtant à un moment donné son corps le trahi une bonne fois pour toute, en le faisant légèrement chanceler sur lui même. Son front était trempée de transpiration et sa chemise bien que large, donnait l'impression de lui coller à la peau. Mathias, qui avait été le premier a cuisinier dans ces lieux lors de la découverte du monastère, avait été prompt à réagir et l'avait soutenu avant qu'il n'aille côtoyer le sol. Aussitôt Sanji avait été conduit dans la salle de cantine, ou Law qui était arrivé avec un peu d'avance, car sa petite fille réclamait sa pitance dans divers petit coup de pieds furieux. S'était aussitôt occupé de lui, en posant sur son front un linge fraie et humide. Chopper à la suite de cela avait pris sa tension et avait estimé avec justesse, qu'ils étaient passé à deux doigts du drame.
- T'es inconscient quand même, le gronda Law en lui faisant de gros yeux plein de reproche. T'es toujours dans l'extrême....
- Heureusement que Mathias était présent, pour te rattraper, ajouta à son tour Chopper don la mine ordinairement souriante était pour le moment encore très inquiète. Sinon ça aurait pu finir en catastrophe Sanji. Faut être plus raisonnable à présent.
Fort heureusement dans toutes cette histoire les petits jumeaux n'avaient subi aucun dommage, ni aucun soucie. Mais avec des petits coups de pieds furieux ils semblaient vouloir eux aussi dire à leurs papa oméga, qu'un peu repos ne serait pas de refus. Peu après cela, lorsque le jeune homme se sentit assez bien pour aller prendre son petit déjeuner, il eut à faire au regard à demi furieux de son époux. A l'instar des deux médecins Zoro avait été beaucoup plus directe avec son mari. Et lorsqu'il était revenu prendre place à ses cotés autour de la longue tablé d'amis. Il l'avait regardé, et dis d'un ton clair, net et sans réplique.
- Pas de cuisine par ce temps là ! Pas de mais...pas d'argumentation, rien ! Ta santé , et celle des bébés avant tout ok ? Son regard digne d'un félin en colère s'était posé sur son visage encore un peu rouge par l'épreuve de chaleurs qu'il venait de subir.
Une moue boudeuse avait accueillie les propos de l'homme aux trois sabres. Mais les joues encore un peu bouillantes de ces excès de température, incita le cuistot à accepter cette demande faite avec un peu de sévérité. L'une de ses mains s'était posée sur son ventre rond, et l'espace d'un instant Sanji s'était senti un peu honteux de n'avoir pas pensée sur le moment, aux conséquences que cela aurait pu avoir sur ses bébés.
- Ton mari, à raison petit cornichon. Penses un peu plus à toi mon garçon, ajouta Zeff en lui tapotant l'épaule. Ce n'est pas raisonnable tout ça.
- Comme je te l'ai dis tout à l'heure. C'est un ordre du médecin, renchérie Law qui ce jours-là, faisait une véritable fixation sur les tartelettes poires, qu'il mangeait un peu gloutonnement. Tu es en repos maternité à partir d'aujourd'hui. Toutes mes félicitation , taquina t-il avec une pointe de provocation dans la voix.
Ayant dit cela, le chirurgien, engouffra dans son gosier un gros morceaux de tarte aux poires qui fut mâché sans pitié. Mais ce que Law ne voyait pas à cet instant à ses cotés, c'est que son ironie avait été jugé comme étant un peu culottée.
- Et pour toi minou, c'est pour quand le repos ? Questionna Kidd qui jugeait l'arrogance de son compagnon un peu excessive. Car lui même lorsqu'on lui conseillait le repos, il devenait soudainement sourds et inattentif. Law non plus ne voulait pas abandonner, le travaille aussi rapidement. Même si tout les soirs Kidd le voyait s'endormir d'épuisement, bien avant qu'Andrew ne soit couché. Voyant là, une occasion de conseiller à son compagnon de lever le pied, Kidd comptait bien profiter du moment pour le forcer à prendre à son tour un congé maternité.
- Mais , j'ai encore du travail, murmura le brun devenu boudeur à son tour. Son regard gris restait obstinément posé sur Andrew qui mangeait tranquillement ses petites tartines beurrées. Le mois prochains , si les os du chef ont bien repoussé comme il faut autour de la prothèse, on pourra procéder aux premiers essais avec son bras mécanique. La connexion nerveuse etc...Seront des étapes importante auquel je ne veux pas échapper. C'est....c'est un projet réellement intéressant, et auquel je tiens. Je ne veux pas l'abandonner, ni passer à coté d'une telle occasion d'apprendre...
- A la la, intervient Shanks avec son éternel sourire optimiste sur le visage. D'un geste tranquille il reposa sa grande tasse de café noir. A ses cotés Mihawk mangeait avec une certaine prudence et détournait parfois son regard dorée de son assiette, pour observer la petite Suzie, qui buvait son biberon de lait tranquillement. Vous êtes pas frères de coeur pour rien tout les deux. Assura, le chef en pointant du doigts Sanji et Law. Toujours aussi compliqué pour vous de lâcher le travail.
- Mais.... , firent en coeur les deux concernés.
- Y a pas de mais, coupa à nouveau Zoro qui sans jeter le moindre regard à son copain de chamaillerie savait parfaitement que Kidd était tout à fait d'accord avec lui. Avant que ces températures de dingues nous frappent, tu avait déjà du mal à tenir. Pas vrai ?
-.....
- Tu commençais déjà à avoir mal au dos, depuis tu es de plus en plus fatigué. Jane a bien dit qu'il te faut du calme et plus de moment de repos. Surtout avec quelqu'un qui comme toi ressent tout plus fort que tout le monde. C'est nécessaire... Je suis désolé chéri, mais la cuisine pour le moment, c'est fini.
- Bon...bon ça va....si vous vous y mettez à plusieurs, pas la peine d'argumenter plus, marmonna Sanji en buvant un grand verre de jus d'orange fraie.. Ouh ça fait du bien ça ! S'enthousiasma t'il soudainement. Comme si cette boisson fraiche et pleine de vitamine lui avait procuré le plus grand bien.
- Je suis ne pas aussi fatigué que Sanji, continua de lutter Law qui jouait en ce jours les ânes têtues. La dernière fois j'ai travaillé jusqu'à 6 mois et ...
- Et les conditions était différente, le coupa Nami en agitant un doigts sentencieux dans sa direction, un peu comme si elle grondait un petit garçon. L'été croyait moi vas être très, très chaud.. enfin du moins..pour le mois de juillet ... rien à voir avec ce qu'on à connu plus bas..enfin je veux dire dans l'ancien refuge.
- Écoute mon petit Law! Reviens à la charge Shanks qui malgré son long et large sourire, avait dans la voix, un ton qui ne semblait pas accepter d'être contredit. Tu vas prendre du repos à partir d'aujourd'hui. Mais si tu veux, tu pourras revenir lors des premiers testes pour mon bras , ok ? Je sais que tu aimes étudier ce genre de nouvelle expérience, et t'en priver me parait un peu cruel. Mais en dehors de ça, repos totale !
- Notre petite fille à besoin aussi de repos et de calme. Acheva d'argumenter Kidd en posant sa main sur le ventre rond de 5 mois du chirurgien. S'il te plait minou, accepte...
- Bon....bon ça va ...bouda à son tour le brun ce qui rendait son regard cerné, encore moins aimable. D'accord.
L'acceptation pour l'un comme pour l'autre c'était fait du bout des lèvres et avec bien des réticence. Mais bon grès malgré, le repos serait leurs quotidien à partir de ce jour. Intérieurement les deux meilleurs amis devaient reconnaitre, que les jours passant et la chaleurs s'accentuant leurs énergies paraissaient parfois leurs faire défauts. En ce qui concernait Sanji, porter Suzie devenait de plus en plus compliquer. Le poids de la fillette ajouté à ceux des jumeaux, sans parler de son ventre plus rond qu'une grossesse normal, l'épuisait d'avantage. D'ailleurs ces deux bébés continuaient chaque jours de montrer leurs présences, et gigotaient comme il faut. Jusqu'à lui provoquer parfois de léger petites grimaces d'inconfort. Sans doute prenaient-ils à certaine occasion le ventre de leurs papa oméga pour un ring de combat, ou encore une boite de nuit.
Si Suzie à cause de son jeune âge avait encore du mal à comprendre que des bébés étaient dans le ventre de son papa aux cheveux blond. Elle paraissait d'instinct comprendre que ce dernier avait quelques difficultés à la prendre dans les bras trop longtemps. Maligne, elle demandait à présent à Zoro ou à Zeff de la porter, et profitait des canapés et autres sièges tout aussi confortable pour aller faire un câlin à Sanji lorsqu'elle en voulait un. Car les petits chagrins qu'elle pouvait avoir à son âge et qui parfois semblait venir de nul part, ne pouvait malgré tout être effacé que par son papa oméga dont les bisous magique chassaient les larmes et les petits bobos.
Ce jours-là après le petit déjeuner, Shanks se dirigea comme à son habitude en direction de son bureau. Son pas était plus au moins lent, et la motivation pas bien élevé. Dans les murs du monastère raisonnaient les divers travaux que Franky avait entamer avec " ses petits gars." Le chef remonta donc la volée de marche l'esprit peu enclin au travail. Mihawk lui ne l'accompagnait pas et préférait passer un peu de temps avec les deux frères de coeur qui avaient un peu oublié leurs bouderies du moment . Cela au moins faisait plaisir au chef de constater que cette grossesse non prévus, avait rapproché son si solitaire et silencieux compagnon, de leurs amis omégas. Ils passaient plus de temps avec eux, se divertissaient d'avantage et arrivaient même à en devenir presque bavard.
A deux mois le ventre du faucon se faisait voir un tout petit peu, mais restait somme toute encore très discret. Pourtant cette petite évolution suffisait amplement à rendre Shanks totalement gaga, et laissait dans l'esprit du faucon bien des interrogations et des curiosités quand aux mois à venir. D'ailleurs chacun ici présent avait pu constater ces émotions extrême - mais fort heureusement joyeuse - qui frappait le chef. Faisant même dire à Kidd dans un volume de voix moyennement discret...
- Et bah voilà un qui est pire que moi !
Là-dessus tout le monde ne semblait pas tout à fait d'accord. Par pur esprit de contradiction Zoro, avait même affirmé qu'il se trompait carrément, juste pour le plaisir ultime de se chamailler avec lui.
Shanks était à présent assis devant son bureau. La fenêtre de son balcon était largement ouverte et laissait entendre le chants des oiseaux venu un instant se poser sur son balcon. Parfois c'était la voix de l'un des siens qu'il entendait. Ou encore les rires joyeux et puissant de Luffy qui partait à l'aventure avec son meilleur ami Ussop. Devant lui se trouvait une petite pile de feuilles résumant les nombreux messages que ses contactes à travers le pays lui avaient envoyés par l'intermédiaire de Shakky. Général, ils avaient tous un rapport avec la prise de conscience d'une partie du peuple bêta, contre les réfractaires qui continuaient à vouloir les bannir de leurs villes et pays. La guerre civile n'était qu'un mot encore lointain, mais qui ne quittait pas pour autant l'esprit, de ceux qui parlaient des dernières agitations du pays.
Être accepté par les bêtas était quelques choses auquel Shanks rêvait depuis longtemps à présent. Mais si il fallait obtenir cette même liberté, par le sang, la force et les larmes, cette " victoire " en resterait bien amère. Bien sûr depuis qu'il vivait en exilé loin de tout, et contraint à ne jamais sortir, car trop facilement repérable, l'avait fait plus d'une fois râler contres ses idiots en qui il perdait parfois la foi. A d'autre occasion, il parvenait à se raisonner face à cette colère qu'il pouvait ressentir contre ses gens qui menaçaient sans cesse son peuple.
Arriverait-il le jour, où ils pourraient tous vive si ce n'est dans une harmonie parfaite, au moins dans une liberté égale à chacun ?
Le chef en était tout à ses rêves, lorsqu'il décida de redescendre sur terre et de se mettre au travail. Avec rapidité, car sa lecture était loin d'être lente, il commença à lires les nombres rapports. Parfois ses doigts pianotaient le bois de son bureau dans un rythme régulier et constant. De temps en temps, ils s'arrêtaient soudainement lorsqu'un détail accrochait son attention, puis reprenait peu après.
Il en était encore toute à sa lecture, lorsqu'il fut interrompu par quelques petits coups frappés à la porte même de son bureau. Sachant pertinemment de qui il s'agissait, le chef invita Shakky à entrer. C'est fidèle à elle même qu'elle pénétra dans la pièce, avec comme toujours une cigarette de coincée entre ses longs doigts. Cependant contrairement aux nombreuses fois où elle venait dans le bureau pour parler d'un sujet important, ses bras étaient vide de tout dossier, et un air terriblement sérieux se lisait sur son visage.
- J'ai reçu ce matin, une vidéo sur ma messagerie. Comme tu le sais, nous sommes difficile à contacter ici , et les messages et autres informations en général arrivent parfois avec un certain retard.
- Oui c'est vrai, reconnu Shanks en se redressant de son fauteuil en cuire, avant de contourner son bureau et de s'approcher de sa secrétaire et amie.
D'un mouvement de tête léger, la brune encouragea son supérieur à la suivre directement dans son propre bureau. Intrigué ce dernier la suivi le long du court couloir, qui séparait les deux pièces. Lorsqu'il entra dans le bureau de Shakky, le rouge fut assez amusé de constater qu'à peu de chose près, la décoration était quasiment identique à l'ancien. Glissant ses doigts dans ses cheveux rouge , il rejeta en arrière quelques discrètes mèches écarlates qui lui retombaient parfois devant les yeux.
- Cette vidéo, commença à expliquer Shakky en invitant Shanks à s'installer dans sa chaise de bureau, c'est l'allocution télévisé du roi, dans lequel il explique pourquoi lui, et son gouvernement ont décidé d'instaurer le couvre feu.
Rapidement elle avait tapé sur le clavier de son ordinateur, pour faire apparaitre sur l'écran le sujet de toutes ses interrogations.
- En quoi ça nous concerne , interrogea Shanks en levant un sourcil intrigué.
- C'est ce que je me suis dis au début, reconnu la brune en écrasant sa cigarette à demi fumée dans un cendrier en verre transparent. Mais je me suis dis que si l'un de nos contacts nous envoyait cela, ce n'était certainement pas pour rien....argumenta Shakky en mettant en route la vidéo...Voilà..attend je te met le passage qui nous intéresse.....écoute bien...
Après avoir passer au moins dix minutes de vidéo, dans lequel on voyait le roi. Digne et bien habillé dans son beau costume sombre. Alban assis derrière son bureau, expliquait dans des mots choisi le pourquoi de sa décision d'instaurer un couvre feu. Sur le mur situé dans son dos, on pouvait voir le portrait de plain pied; d'un de ses ancêtres, et dont la chevelure était aussi blanche que la sienne.
" ...J'espère mes chers concitoyens qu'a présent vous comprendrez pourquoi cette décision a été prise. En tant que roi , le bonheur de mon peuple est la chose la plus importante à mes yeux. Je ne peux souffrir l'idée de vous voir, vous opposer et vous tuer entre vous. Mon rôle est de vous protéger. Et c'est pour ça qu'à partir de demain, les sorties extérieur seront interdite à partir de......"
- C'est si étrange de voir le roi ....comme ça....commenta Shanks la main sur son menton, qu'il ne cessait de masser en signe de profond questionnement interne. Il est toujours décris comme un homme à demi fou, et peu apte au calme. Et là, il fait si ...réfléchi...digne et maitre de lui même ...il à l'air si aimant envers son peuple...enfin les bêtas...C'est ...très étrange...
Avant de rendre l'antenne, Shanks vit dans la vidéo le roi faire un signe de sa main valide en direction des caméramans, afin sans doute qu'ils continuent à filmer. Son épaule blessait par Mihawk bien des mois auparavant ne bougeait presque pas. En tendant l'oreille, il était facile d'entendre à l'extérieur du champs de vision des voix s'étonner de ce qu'était entrain de faire le roi.
" J'ai une requête à formuler auprès de l'un d'entre vous. " Formula Alban avec un sourire en coin sur le visage, fière visiblement de prendre tout le monde au dépourvu." Une personne un jour m'a fait une étrange remarque en ce qui concerne les êtres à part. Pour qui vous le savez je n'ai que peux d'affection. Cela concerne se fameux Alpha, connut de vous tous et qui est capable de réduire à rien, une ville de par sa simple colère. Shanks le roux..."
- Hein ? S'exclama le chef dans une profonde et sincère surprise, avant de tourner son regard pourpre en direction de Shakky qui l'encouragea dans un geste gracieux de la main , de continuer à regarder le reste de la vidéo. Moi ? Mais que me veut-il ?
".... Cette personne m'a fait remarquer intéressant. Malgré les lois promulguées contre le peuple de ce Shanks le roux. Malgré les choses qui se sont passé contre eux....chose parfois......extrême " ..les dernières parole semblèrent passer sa bouche avec quelques difficultés au vu de la grimace que le roi n'arriva pas à contenir. ..." Malgré tout ça ,il ne s'est jamais venger sur l'un des miens, à savoir mon peuple fait entièrement de bêta. J'en suis bien heureux d'ailleurs.... Mais il aurait pu, faire de cette devise la sienne...oeil pour oeil , dent pour dent ! Et pourtant ... des rapports et des informations m'ont prouvé dernièrement, qu'il serait du genre à voir tout le monde sur le même pieds d'égalité ..Et même à protéger tout le monde sans distinction.... Pourquoi agir ainsi, alors que de part son pouvoir de monstre, il pourrait faire ce qu'il veut et détruire tout ceux auquel je tiens. Je veux comprendre ... pourquoi il pense ainsi ! Pourquoi il ne cherche pas à me faire payer, ce que j'ai fais aux siens, en les chassant de mon pays ? Pourquoi il ne se venge pas de moi, et de tout ceux qui rejet son peuple ? Je veux comprendre sa manière de penser. Alors j'ai une requête à formuler auprès de toi Shanks le Roux ! Je veux que tu m'expliques toi même , ce qui te motive à croire en nous les bêtas, et t'empêche de te venger de moi. Pourquoi n'es tu pas plus en rancunier que ça ? Pourquoi, tu ne fais rien malgré ta puissance ? Que cherches tu à avoir, en agissant ainsi ?
Je sais très bien, que si tu réponds à ces questions, ce ne sera pas de vive voix, et en face à face. Mais qu'importe la façon, que tu utiliseras pour me faire entendre ta réponse face à mes questions. Je veux les entendre. "
La fin de cette vidéo pour le moins surprenante, n'était qu'une formule de politesse pour mettre fin à ce discours qui laissa sans voix le chef, réputé bavard. Devenu soudainement muet, Shanks resta un moment le coude appuyé sur le bureau le visage posé dans le creux de sa main. Son expression était si pleine d'étonnement, si pleine d'interrogation et de question sans réponse, que lui le bavard compulsif donnait l'impression d'avoir soudainement perdu sa langue.
- C'est dingue, marmonna t-il en secouant la tête de droite à gauche, en faisant ainsi s'agiter un peu ses cheveux écarlate. Comment en est-il arriver là ? Lui qui m'a fait passer pour un monstre près à tout ravager sur son passage. Comment en est-il arrivée à une décisions somme toute raisonnable....
- C'est la reine, qui l'a poussée à se questionner ainsi. Je suis sur que cette fameuse "personne" qui lui à fait de telles remarques ,c'est la reine Reiju, assura Shakky en allumant une seconde cigarette. Demande à Sabo et Koala ils seront d'accord avec moi !
- Sans doute, reconnu Shanks devenu très pensif. Son regard comme perdu dans le lointain sembla un instant se poser sur la fumée blanchâtre qui commença discrètement à envahir son champs de vision. D'un geste de la main, il la chassa de devant son visage....
- Alors ? Que fait-on ? Questionna la secrétaire en claquant des doigts devant les yeux de son chef, afin de ramener son esprit rendu pensif, dans le présent.
Ce dernier leva aussitôt son regard en direction de la brune et secoua légèrement la tête, avant de hausser des épaules.
- Je vais en parler avec les gars, mais je ne sais pas quoi penser de tout ça, reconnu Shanks en se relevant du siège de bureau. D'un pas paisible, presque lent, il se dirigea en direction de la porte d'entrée ou il posa sa main unique sur la poignet... si j'étais optimiste envers le roi, je me dirais que c'est une chance à saisir....mais c'est difficile d'avoir confiance envers un homme aussi peu stable que le roi Alban....
- Écoute, lui conseilla Shakky, prends ton temps pour y réfléchir, et ensuite parle en avec les autres à tête reposée.
- Oui, je vais faire ça , murmura Shanks en s'apprêtant à fermer la porte derrière lui. N'en parle pas à Mihawk , ni à qui que ce soit d'autre pour le moment... ok ?
- D'accord, compte sur moi !
*****
Lors du couronnement de la reine, presque un ans auparavant, Alban avait fait la promesse à sa femme de revenir, au château des mille beautés l'été suivant. N'aimant pas trahir la moindre promesse faite à sa belle épouse, le souverain avait fait déménager toutes sa cours, pour passer l'été dans ce palais pour lequel la belle Reiju avait beaucoup d'affection.
Son annonce faite à la télévision, il y a de nombreux jours de cela, avait laissé bien des gens surpris, pour pas dire totalement stupéfait. Tous semblaient être intrigué parce qu'il devait se passer dans le royal cerveau du roi, pour qu'il exige ainsi à parler, ou du moins communiquer avec ce monstre d'Alpha. Certain pensaient avec sournoiserie que c'était-là un piège parfaitement étudier par Alban, qui cherchait ainsi à capturer le puissant Alpha. Et mettre en prison cet homme qui menaçait d'une quelconque façon la liberté des " gens normaux." D'autre beaucoup plus malin, voyaient là, la main discrète de Reiju. Depuis qu'elle avait épousée Alban Reiju avait vu son influence sur lui augmenter de plus en plus. D'ailleurs bien loin de s'en fâcher, ou de s'en indigner, certain nobles trouvaient que grâce à elle une certaine paix, ainsi qu'une certain tranquillité pourrait revenir à la cours. Mais aussi dans le pays, qui commençait sévèrement à s'entredéchirer. Comme pour tout la cours était divisé sur le sujet, mais la peur de déplaire au puissant Roi Alban, empêchait quiconque de dire tout haut ce qu'ils pensaient tout bas.
Cela faisait à présent plus d'une semaine que toute la cours étaient revenu s'installer dans ce beau château situé au coeur de la capitale. Heureux et ayant la mémoire visiblement courte, les citoyens de cette belle ville, avaient vite laisser de coté le choque que les propos du roi avaient laissé en eux, lors de son annonce télévisuel. Pour profiter du simple fait que ce dernier à nouveau était au coeur de la capitale, tout près d'eux. Fière , chacun se sentait comme exceptionnel de part le simple fait de vivre dans la même ville que lui.
Les agitateurs comme toujours, continuaient de souffler des tempêtes dans les cerveaux déjà bien secoués par les derniers éventements. Ils espéraient ainsi enfin faire comprendre leurs points de vue, au plus récalcitrant de leurs concitoyens. Oscar Marie le plus agité d'entre eux, s'amusait toujours. Et continuait dans de grand discourt plein de malice à encourager les bêtas à moins de haine envers les êtres à part. Mais cela commença à lui jouer de plus en plus de mauvais tour. Car même si les femmes étaient toutes prêtes à se damner pour lui venir en aide. Bien des têtues à l'inverse comptaient lui faire la peau, pour le plaisir simple de ne plus l'entendre faire le malin.
Aussi faillit-il un matin de juillet après avoir été attrapé par une bande d'homme totalement opposé à l'idée de vie en commun avec des êtres à part. Être pendu haut et court par ces derniers qui visiblement comptaient faire justice eux même. Et se venger de lui pour des fautes qu'il feignait de ne pas comprendre. Caché à l'abri des regard curieux que des policier pourraient jeter ici et là. Le groupes d'homme l'avait mené dans les bas quartier, ou personne n'aidaient personne. Ce qui à cet instant les arrangés bien. Une corde à nœud coulant avait été accrochée à un arbre dont le tronc énorme présageait sur son age centenaire.
- Hey, nargua le blondinet aux beau cheveux long et ondulé. Ce n'est pas parce que vos magnifiques femmes sont toutes dingues de moi, qu'il faut ainsi me mener à la mort ! C'est totalement mesquins vous savez ?
Ses bras étaient ligotés dans le dos, et le nœud coulant déjà autour de son cou. Assis sur un cheval, il suffisait d'une simple tape sur le derrière de l'animal , pour qu'il en soit fini de se bavard prétentieux, qui ne cessait pas de babiller même dans les moments les plus critiques.
- Imbécile , jura l'un des plus renfrognait de la bande et faisant craquer ses poings volumineux. Tu vas faire le malin jusqu'au bout ? On s'en fou que tu sois populaire.
- Pas moi , coupa un autre dont le visage bien peu plaisant en comparaison ,avec celui de Oscar Marie, semblait ivre de rage. Ma femme ne cesse de me parler de toi, et de ta sois disant beauté. Elle va me quitter par ta faute...
- Mais j'y suis pour rien , si la vie t'a rendu aussi vilain physiquement, nargua le blondinet bavard.
- Raah maudit séducteur, grondèrent d'autres tout aussi en colère. Qu'on le fasse taire sur le champs ! Il y en a assez de l'entendre dire toutes ces idioties.
La petite bande de rageux se mit alors à vociférer et à agiter ses poings dans tout les sens. Certain hurlait " à mort". Tandis que d'autre ajoutaient " bon débarra". Voyant sa fin venir le blondinet, ligoté comme un saucisson comprit que la mort était proche. Et pourtant malgré sa fin imminente qui menaçait de faire chavirer son esprit dans la peur la plus profonde. Sa fierté encore plus forte se cabra face à ce sentiments de peur, et son envie de provoquer n'en devient que plus puissant, l'empêchant ainsi de céder à la panique.
- Quel triste destin que le mien. Mais la mort rendra vos pauvres épouses encore plus malheureuse à l'idée de devoir à l'avenir supporter vos vilaines faces de cul terreux.
Sans doute cela aurait-il pu être les derniers mots, de Oscar Marie l'agitateur qui avait ainsi mis les nerfs en pelote à bien de monde. A une partie au bêtas haineux, mais aussi aux service d'ordre qui avaient souvent failli l'attraper pour le punir de ses méfait, sans jamais y arriver. Mais ses agitations et provocations multiple n'étaient pas resté sourd et avait su malgré tout, faire comprendre à quelques un des ces concitoyens que leurs façon de penser n'était peut être pas la bonne...
Il y eu alors, une claque forte sur le postérieur de l'animal qui se mit à ruer dans tout les sens avant de partir au grands galop. Aussitôt Oscar sentit la corde se resserrer autour de son cou, tandis que des cries de joies l'entouraient. Il avait beau s'agiter, il avait beau essayer de sauver sa vie d'une quelconque manière, rien n'y faisait. Dans quelques minutes sa vie s'arrêterait là au bout de cette corde, pendu comme un criminel.
- Tu l'as bien cherché ! Gueulaient certain de ses vils opposant !
- Crève sale raclure, hurlèrent d'autre !
Ses yeux sombres commençaient à se révulser, le souffle ne passait presque plus des poumons devenu pauvre en oxygène. Lorsqu'une voix jeune mais pleine d'assurance se fit entendre. Une odeur de rose se mit alors à envahir l'air ambiant, tandis qu'un magnifique cheval blanc fendait la petite foule en deux. Un coup d'épée, ou plutôt de rapière, trancha la corde épaisse qui ainsi pendait le pauvre Oscar Marie qui tomba au sol comme un vulgaire sac de linge sale.
- Aaah là là , fit la voix masculine et fine à la fois du nouvel intervenant. Avec une certaine exagération dans sa gestuel il sentait avec délicatesse une rose qu'il tenait entre ses doigts fins. Ne soyez pas fâché d'être ainsi réduit à rien par la magnifique personne que je suis !
- Mais c'est qui encore celui là ! Grondèrent les hommes visiblement très déçu de ne pas avoir pu poursuivre tranquillement leurs basse vengeance.
- On m'admire partout ou je passe, parce que je suis une personne incroyablement populaire. N'ayez pas peur de m'admirer ! Ah ah ah ....
- Bordel, gueula l'un d'entre eux ! Encore un gros prétentieux, y en a marre !!!
Descendant au bas de son cheval, le nouveau venu dont les cheveux était aussi blond et bouclé que Oscar Marie, mais donc les yeux étaient d'un magnifique bleue azure, parut irradier si ce n'est beauté - même si il l'était- d'une prétention qui frôlait la stratosphère. Un chapeau pompeuse emplumé, trônait sur son crâne, tandis qu'une chemise blanche entrouverte laisser voir une peau pale, et des muscles bien dessiné. D'un geste souple il trancha le nœud coulant de l'agitateur, ainsi que la corde qui lui liait les mains.
- Je vais vous montrer, ce qu'il en coûte de toucher ainsi à mon cousin ! Menaça l'inconnu en prenant une pause plus qu'exagéré. Un peu comme si il s'attendait à être pris en photo par une nuée de fans. Il reprit son dialogue visiblement dessus de ne pas susciter d'avantage l'extase ou l'admiration. Cavendish est mon nom ! Et bientôt les gens , les journaux, le monde entier parlera de moi avec admiration ....ah là là là que vais je faire quand les foules se déchainerons pour venir m'admirer ou me serrer la main....
Toussant un peu Oscar Marie se redressa sur ses jambes un peu tremblante, avant d'entendre son cousin parler en boucle de son avenir plein de paillette et d'admiration. La popularité était visiblement la chose la plus importante de toute sa vie, et ne pas être admirer lui mettait bien de la peine au coeur.
- C'est pas vrai il est pire que l'autre celui là ! Continuèrent de gronder la bande d'agresseur.
- Mais tu vas la fermer oui ! Y en a marre des prétentieux dans votre genre !! Prend garde à ne pas finir au bout d'une corde toi aussi.
- Bande de jaloux, affirma dans un rire de gorge Cavendish avant de battre en un rien de temps tout ceux qui avaient menacé de pendre la vie son cousin. Ses gestes avaient été si rapide et si nette que personne ne vit quoi que ce soit de l'action. Pourtant quelques petites secondes plus tard, ceux qui avaient menacé la vie d'Oscar en étaient pour le fraies...Car ils gisaient tous à terre inconscient et blessé.
- Admirable mon cher cousin, applaudit à tout rompre Oscar. Admirable ! Le timing était parfait, j'ai cru mourir, reconnu t-il en frottant sa gorge où des marques de cordes étaient visible sur sa peau pâle.
- Hum peut-être que j'aurais dû les laisser te pendre. Tu commences à me faire de l'ombres, murmura d'un air pensif Cavendish en prenant comme toujours une sorte de pause calculé. Mais comme toujour, il était près à s'enivrer de ses propres paroles. Mais agir ainsi m'aurait fait perdre tout mes fans à travers le monde, et m'aurait rendu laid par cette acte...
Oscar qui avait toujour eut la langue bien pendu, et aimait jouer de son physique mais aussi de ses mots, semblait admirer ce cousin qui était venu le sauver comme dans un livre de comte de fée. Applaudissant Cavendish, il riait un peu en l'entendant s'auto flatter de la sorte. Mais très vite le sérieux reprit le pas.
- Je t'avais dis de cesser, ses agitations Oscar. Gronda le nouveau venu. Un jours ces gens finiront par te tuer pour te bon et je ne serais pas là pour t'aider. Tu es douée avec les mots, mais tu es un bien piètre combattant et je ne serais pas toujours là pour te sauver la peau.
Remontant sur son cheval blanc, Cavendish hissa son cousin derrière lui et qui souffrait encore un peu de sa mésaventure. Toussant encore un peu, Oscar avait semble t-il un peu de mal à récupérer. Pourtant et malgré le triste événement qui avait failli le mener de vie à trépas, il s'accrocha à taille de son arrogant cousin, puis repris la parole tandis que Farul partait au triple galop.
- Si je fais ça, toussa un peu Oscar avant de se reprendre. C'est pour toi et les tiens mon cher cousin.....Ce n'est pas juste ce qui vous accables. Je veux juste secouer les consciences et ...
- Et c'est dangereux ! Je n'ai pas besoin d'aide, je ne suis pas faible....Même si certain de leurs populaces me jugerai ainsi à cause de ce que je suis.
- Mais.....
- Ne dis plus rien, je vais t'emmener dans un endroit sur, où tu seras soigné. A présent, ne fais plus le malin, je n'aime pas qu'on me vole la vedette. Crana un peu Cavendish en prenant un faux air hautain qui amusait Oscar Marie.
Le cheval d'un blanc éclatant continuait de galoper au grand galop, les ruelles de la ville. Bientôt ils arrivèrent près d'une gare, où bien entendu ils ne s'arrêtèrent pas, et reprirent de plus belles leurs courses les menant à l'extérieur de la capitale. Sur le chemin, ni Cavendish, ni Oscar ne firent attention à un jeune homme aux cheveux parme, qui faillit tomber au sol, à cause de leurs cavalcade bien peu discrète. Sur le front de ce dernier était posée une paire du lunette qui glissèrent légèrement du bandeau qui enserrait son crane pour venir se poser sur le bout de son nez. Le vieil attaché-case en cuir qu'il tenait à la main, était tombé au sol et paraissait vomir sur le bitume tout un tas de documents, et de chose qu'il rangea en toute hâte.
- Oh là là, vite vite, s'exclama Koby, le roi m'attends pour entendre mon rapport. Je ne peux pas me permettre d'être en retard.
Après avoir rangé tout ce qui s'était répandu ainsi au sol, le jeune homme repris sa course, en espérant que ces révélations et ses découvertes sur Lucci et sa bande seraient prise au sérieux par le souverain.
*****
Et voila pour le chapitre 32 Dans lequel Shanks apprend la plus étonnante des demandes, faite par le roi Alban. Et où Cavendish fait son entrée toujours pleine de flash et de paillette.
Alors en toute franchise, au début je ne pensais pas inclure Cavendish, mais en relisant le passage ou mon personnage Oscar était intervenu , je me suis dis qu'il y avait entre les deux une certaines ressemblances. Aussi ai-je décidé d'en faire des cousins ( un peu fière de leurs superbe physique XD). Qu'en pensez vous ? Avez vous des questions à ce sujet ?
J'espère dans tout les cas que ce chapitre vous aura plu. Ne vous en faite pas, on reverra un peu plus Sanji and Co dans les prochains chapitres.
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