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Chapitre 79 : Lutter contre le temps.

Chapitre 79 :

Nami avait annoncé ça un matin, alors que novembre débutait dans un froid quasi polaire. Cet hivers serait rude et glacé, bien plus que les autres années. Ses nombreux calcule savant ainsi que sa connaissance parfaite dans la science météorologique faisait que tout le monde au refuges la croyait. Aussi à cette annonce des plus sérieuse, Franky ainsi que ses petits gars décidèrent de renforcer et d'améliorer le puissant chauffage qui assuré au refuge montagnard une température plus qu'agréable par temps froid.

A présent les vitres du couloir Arum ainsi que celle de tout l'habitat, avaient sur leurs surfaces une pellicule de givre de plus en plus épaisses au fur et à mesure des jours qui s'écoulaient. Le thermomètre était continuellement bas et descendait bien souvent en dessous de zéro degrés. Alors afin de s'assurer que les nombreuses vitres ne cassent pas sous le poids de la glace qui s'accumulait à leurs surface , il était devenu essentiel que chaque matin, une partie des habitants grattent et nettoient les nombreuses vitres.

Les repas étaient composé de plats chauds et savoureux et même si Sanji ne pouvait toujours pas cuisiner et réintégrer son poste de chef cuistot, il n'était pas rare pourtant que les commits voient sa petite tête blonde apparaitre afin de leurs suggérer de délicieuse recette dont il avait le secret, ou qu'il avait tout bonnement imaginer. Étant sortit enfin de sa période de chaleur, qui était en décalage de deux jours avec son frère de coeur. Il pouvait de nouveau arpenter les couloirs du refuge avec dans ses bras sa jolie petite fille qui semblait devenir rapidement plus autonome.

Un après-midi, alors qu'il était comme souvent dans la salle de divertissement  avec son mari, du côté " enfant". Il avait eu la surprises de voir son bébé qui jusqu'ici aimait faire du surplace lorsqu'elle était à plats ventre sur un tapis moelleux, avancer à quatre pattes. Bien sur la petite Suzie était loin d'être aussi rapide et habile que Andrew qui filait comme une flèche, mais le fait qu'elle avance tant bien que mal, l'avait laissé pour le moins bouche bée, les yeux écarquillés. Son petit bout de choux, sa précieuse petite fille qu'il couvait comme un dragon couve un trésor, grandissait et évoluait admirablement bien. Avec son petit sourire adorable, elle avait réussi à avancer en direction d'un jouet dont elle avait visiblement très envie, et devant lequel elle s'était assise avant de jeter un coup d'oeil en direction de ses parents , d'un air de dire.

" Ça vous épates hein ? "

- Elle grandit horriblement vite, s'exclama Sanji un peu ému, en repensant au tout petit bébé qu'il avait mis au monde 8 mois auparavant.

- Tu noteras qu'elle l'a fait d'elle même. Ne put s'empêcher de mettre en avant Zoro démontrant ainsi qu'il ne mettait plus la pression à son enfant .

Mais surpris l'un comme l'autre, les deux hommes avaient regardé encore une fois leurs fille avec dans leurs cœurs une fierté de paon, qui les faisaient se gonfler d'orgueil. Chacun avait applaudit la petite princesse comme la surnommée Kidd, et avait reçu en remerciement des petits cries de joies et bien des agitations.  En atteignant 8 mois, Suzie avait vu la curiosité lié à son jeune âge se développer aussi, elle aimait toucher à tout ce qui était à porté de main, et dès qu'elle voyait un biscuit non loin d'elle, elle s'en emparait pour tenter de le mâchouiller avec gourmandises. Au moment des repas ou même durant la journée, elle offrait à ses parents ainsi qu'à leurs amis des minis concerts ponctué de " ma ma ma ," ou " pa pa pa ".

Développent de plus en plus son caractère, lorsqu'elle en avait assez de jouer et de se " balader " à quatre pattes, elle tendait ses petits bras en directions de son papa oméga, afin qu'il la porte. Généralement, lorsqu'elle faisait ça, un dodo n'était jamais loin, car calant sa petite tête aux boucles vert clair contre le torse de Sanji, elle ne mettait pas un quart de seconde à s'endormir. Pour le sommeil Suzie n'avait pas changée d'un pouce, elle ressemblait toujours autant à Zoro.

- A 8 mois, expliqua une fois Law, les bébés de cette âge " souffre " de la peur de la séparations. Ils n'aiment pas que leurs parents quittent leurs champs de visions. Ils ont peur qu'on ne reviennent pas. Andrew faisait des vrai crise de larmes, lorsque je devais aller travailler à l'infirmerie et qu'il restait avec Kidd.

- Mais après quelques grimaces, précisa le géant à cheveux rouges, il redevenait joyeux.

Cela se vérifia plus d'une fois. Habitué à être souvent avec ses deux parents, Suzie semblait détester lorsque Sanji devait les quitter elle et Zoro, pour aller faire ses séances de Kiné avec James. Calé dans les bras du sabreur confortablement assise sur ses genoux, ses petits yeux bleue regardaient son papa oméga s'éloigner, alors que de grosses larmes venaient envahir son visage.  Irrémédiablement elle tendait les bras, un peu comme si elle s'attendait à ne plus jamais le voir de toute sa vie. Mais lorsqu'il revenait après son rendez-vous, un sourire et des petits rires  illuminaient à nouveau son visage poupin.

En ce qui concernait les séances de Kiné, Sanji avait eu la surprises de voir un James professionnel et presque pas tendu à l'idée que Zoro lui fasse la peau en cas d'échecs. Oh bien sûr le médecin n'était toujours pas très à l'aise avec le sabreur, mais il avait fini par comprendre que le verts les considéraient lui tout comme son frère et sa sœur comme faisant parti des leurs.  Avec professionnalisme, il avait réussi à redonner un début de souplesse aux doigts terriblement raide de Sanji. Mais le chemin avant la guérisons complète était encore long. Parfois Zoro venait pour le remercier et malgré la trouille inné que James sentait en lui et qu'il combattait tout les jours, il s'efforçait à présent à le regarder droits dans les yeux, lorsqu'il devait répondre à l'une de ses questions.

- Les progrès sont discret mais présent, affirma t-il à un Sanji un peu agacé de ne pas guérir plus rapidement. Je sais qu'on te dit ça depuis ton retour au refuges, mais il faut être patient. Continus de faire les exercices que je t'ai montré et tout ira bien ! D'ici décembre à janvier tout devrais rentrer dans l'ordre...

- Encore un à deux mois d'attente, murmura d'un ton un peu affligé le jeune homme blond, en fixant la cicatrice qui ornait à présent le dessus de sa main.

- Tu sais , hasarda James qui continuait de masser et d'étirer les longs doigts jadis souple et agile, ça aurait pu être pire. Tu aurais pu, ne jamais retrouver la moindre motricité.

- Oui c'est vrai, reconnu Sanji en hochant légèrement la tête. Je ne m'en tire pas trop mal dans cette histoire...! Je n'ai pas le droit de me plaindre...

Puis ne disant rien de plus, le cuistot avait gardé le silence durant le reste de la séances. Son esprit visiblement était parti dans ses pensées , et avait plongé une fois de plus dans cette nuit fatidique ou il avait failli mourir, et ou bien des horreurs lui avait été infligé que ce soit au corps, à l'esprit, comme au coeur...

Dans son bureau Shanks qui s'était enfin remis de son gros rhume , regrettait de ne plus avoir d'excuses pour boire de délicieux grog bien corsé. Durant les quelques jours de maladie ou il avait été contraint de garder le lit, et de laisser les " affaires " de côté, il avait pu constater malgré son faible état combien son compagnon, laissait de plus en plus parler son côté oméga. Et c'était quelque part toujours assez surprenant  de voir le très sérieux et peu expressif Mihawk s'inquiéter et s'occuper de lui, avec autant d'attention. Son regard doré s'était posé plus d'une fois sur lui, alors que d'une voix calme, ou un légère inquiétude se faisait entendre il demandait.

" Tu te sens comment ? " " Tu veux que j'appelle Law ?"

Ne s'étant pas fait dorloter ainsi depuis très très très longtemps, Shanks n'avait pu lutter contre cette satisfaction toute mâle d'être ainsi chouchouter et câliner. Le plaisir de ne plus être à nouveau seul  avait agis sur lui comme une baume apaisant, où plutôt comme une bombe de bonheur qui avait explosé dans son coeur. Malgré les mois écoulés il lui arrivait encore de s'étonner de ce bonheur soudain qui lui tombait sur le coin du nez. Il avait été si longtemps à lutter contre la tristesse et la solitude, que d'être heureux continuait de le surprendre.

Ce jours-là pourtant alors qu'il regrettait le grog, ainsi que les petits attentions de Mihawk qui des le retour de sa santé avaient un peu diminué. Shakky qui restait toujours en contact avec le monde extérieur avait réussi à mettre la main sur l'article de ce mystérieux journaliste qui avait tant énervé le roi, de part ses propos acerbes.  Si au début il avait soupçonné qu'Iceburg avait fait fit de la surveillance dont il était l'objet et avait pris le risque malgré tout de publier un article incendiaire sur le gouvernement. À la lecture du dis article, Shanks dut reconnaitre que ça ne pouvait être lui l'auteur. Le style était trop différent pour être celui de son vieux complices au sang froid.

- Je ne sais pas qui à écrit ça ! Mais ses propos me plaisent bien, ricana Shanks son grand sourire fendant son visage.

- Le roi doit être dans une fureur abominable ! Commenta Mihawk assis sur le divan du bureau, les jambes croisées les mains jointes sur ses genoux. Lui qui ne supporte pas la moindre critique si petite soit-elle voit un  inconnu l'épingler ainsi à la face de tous. Il ne doit pas faire bon d'être près de lui en ce moment.

- Le problème, intervient Shakky, c'est ce que nos contactes ont appris. Le roi a demandé une enquête complémentaire dans la ville de Durangue afin de comprendre ce qui s'y est passé. Involontairement ils s'approchent de nous et ça....

- ...ça craint ! Compléta Shanks dont le sourire s'effaça aussitôt .

Un air sombre s'était peu à peu peint sur son visage d'éternel blagueur, ses yeux rouges semblaient plongé dans le lointain alors que son esprit vif, réfléchissait à toute allure, à cette nouvelle peu rassurante.

- Sabo et Koala ont effacé les souvenirs des témoins qui pourraient nous compromettre sur ce qui s'est passé cette nuit-là ! Reprit Mihawk de sa voix quasi monocorde. Personne ne peut trahir notre présence sur les lieux, j'en suis certain.

- Espérons que cela sera suffisant. Murmura le chef qui se balançait sur sa chaises, alors que les doigts de son bras unique pianotaient l'accoudoir dans un rythme quasi effréné . Mise à part les contactes que l'ont a là-bas, personne ne sait ou du moins ne se doutent de la présences de notre refuges....récapitula t-il.

- Et puis les plaines et les marécages qui encercles la montagne des âmes, sont parfaitement impraticable en hiver , surtout avec le temps de ces derniers jours. Personne ne pourraient survivre à leurs traversé, affirma Shakky qui donnait l'impression de fumer cigarette sur cigarette.

- Pourtant les frères de Sanji avaient fini pas connaitre notre positions en maltraitant les gérants de l'hôtel du village. Les autorités vont surement vouloir leurs parler puisque l'acharnement des trois frangins c'est fait sur eux...avec le traumatisme psychologique qu'ils ont subi, ils pourraient céder plus rapidement cette fois-ci....supposa Mihawk. L'esprit humain peut-être très fort ..mais la peur peut le rendre faible.....et peur...ils l'ont déjà eu....

- Jusqu'à  ce que l'enquête là-bas soit terminé, nous ne devons plus entrer en contact avec eux ! Shakky, envoie un dernier mail aux gérants de l'hôtel qu'ils effacent la moindre trace nous concernant.  Sauf en cas d'extrême urgence, qu'ils ne cherchent en aucun cas à communiquer avec nous, jusqu'à ce que l'enquête soient terminée et que les autorités aient quitté leurs villages. Dit aussi à tout ceux que nous connaissons à travers le pays que nous ne pourront plus intervenir à l'extérieur durant un bon bout de temps , afin que de potentiel soupçons sur ce lieu ne se soient éloigné.  Ordonna Shanks en se redressant puis en allant comme toujours jeter un coup d'oeil à l'extérieur ! Mihawk tu veux bien aller me chercher Franky ? J'aimerais au moins durant l'hiver que le tunnel que l'ont prend habituellement en cas d'intervention soit bouché ! On sait jamais si " ils fouinent " dans le coin, j'aimerais qu'ils tombent sur un cul de sac. Cette fois-ci on va vraiment devoir vivre coupé du monde !!!

Cette menace potentiel qui planait au dessus de leurs têtes , incita Shanks à réfléchir quand à un autre endroit pour vivre. Non pas que l'idée de quitter le refuges lui plaisait réellement , surtout pas après toutes ces années passé ici, mais afin de protéger les siens, il se devait de réfléchir à un plan B. Parfois il repensait à cette drôle de discussion qu'ils avaient eut dans la salle de divertissement, alors que Sanji enceinte jusqu'au yeux avaient imaginé avec Ussop une ville imaginaire ou ils pourraient tous vivre en paix.

- C'est une utopie, murmura t-il avec tristesse et fatalisme.

Malgré cela, aux heures des repas Shanks se montrait fidèle à lui même et au tempérament qui avait toujours été le siens. Farceur souriant et bourré de blagues et de jeux de mots qui passaient sa bouche sans aucune retenu, il riait comme un forcené lorsque quelques choses l'amusait. Souvent Mihawk l'écoutait, et acceptait de sourire un peu à un jeu de mots ridicule, puis portait son attention sur la petite Suzie qui babillait avec force, ou sur le petit Andrew qui bien loin de recracher sa nourriture comme il l'avait fais durant un temps mangeait gloutonnement.

- Quand je penses qu'il va avoir un ans, commenta à voix haute Law avec un étrange petit grelot d'émotions dans la voix.

- L'année dernière à cette époque, lui rappela Kidd, tu n'arrêtais pas de dire que tu ressemblais à une grosses vaches et que tout était de ma faute !

- Mais c'est vrai, tout était de ta faute! Affirma Law qui pris la peluche que son fils lui tendait, avant de la réclamer  presque aussitôt.

Des éclats de rires éclatèrent alors que sans rien dire, Marco se retenait de préciser que la matin même Ace dans un excès d'humeur, lui avait balancé la même phrases en pleine figure.

Il y avait une évidence lorsqu'on pausait les yeux sur le petit Andrew, c'est que bien que ses cheveux étaient rouge flamboyant comme ceux de Kidd, le côté hirsute et indiscipliné de ceux de Law avait largement déteint dessus. Des petits pics de cheveux pointaient souvent ici et là sur son petit crâne, alors qu'aucune brosses et qu'aucun shampoings ne parvenaient à les aplatir même un tout petit peu. Son regard aux pupilles grise accentuaient sa ressemblance avec son papa oméga, ce qui plaisait beaucoup à Kidd, qui ne cessait de dire que son fils était le plus beau de la terre.....en toute objectivité.

- Et je dis ça s'en vouloir me vanter, affirmait-il d'une voix orgueilleuse.

Lorsque Kidd s'était enfin débarrassé du plâtre qu'il portait à son gout depuis trop longtemps, il eut là aussi la satisfaction d'apprendre que tout était rentré dans l'ordre et que même, il n'y allait pas comme un bourrin il pourrait de nouveau s'entrainer. Heureux d'apprendre cette bonne nouvelle, car l'inactivité n'était pas ce qui lui plaisait le plus au monde. Il avait peu de jours après cela déboulé avec sa discrétion naturel dans la salle de divertissement ou Zoro trainait avec Sanji et leurs fille, puis après s'être posté devant lui en gonflant le biceps  afin de montrer combien il était guéri et de nouveau intact, il avait beuglé.

- Je suis de nouveau sur pieds ! Ça te dis de t'en prendre une bonne en pleine tronche dans la salle d'entrainement ?

- C'est demandé si gentiment, ironisa le sabreur l'oeil flamboyant, satisfait de pouvoir à nouveau se battre avec ce géant incapable de moduler sa voix. Faudra pas venir pleurer comme une fillette, si tu morfles gros balourds.

- C'est ça, face de pelouse !

D'un oeil désabusé, Law tout comme Sanji avaient vu leurs alpha s'éloigner d'eux en se demandant dans quel état ils allaient encore les retrouver lorsqu'ils iraient les chercher dans la salle d'entrainement. Laissant tomber ce détail les deux amis portèrent de nouveau leurs attentions sur leurs progénitures. Appuyé et bien cramponné  au épaules du médecin, le petit Andrew semblait bien décidé à apprendre à marcher, et visiblement ce n'était pas ses petites jambes encore un peu flageolante qui allaient le freiner. Décidant de le laisser évoluer à son rythme Law semblait suivre le rythme de son fils sans jamais le contraindre à des efforts qui n'étaient pas nécessaire. Parfois Sanji l'entendait râler un peu lorsque le petit Andy un peu trop impétueux s'agrippait à la chevelure noir de son papa et tirer dessus afin de ne pas se laisser tomber sur son popotin.

- Aaah ! Non ! Disait Law avec autorité sans vraiment avoir besoin de lever le ton. On ne tire pas les cheveux, expliquait-il au petit garçon qui le regardait avec de grand yeux curieux, alors que de son index le médecin désignait sa chevelure.

- Pa....fit le petit garçon, avant de porter son attention sur sa futur meilleure amie qui jouaient avec un petit ballon en tissu.

Non loin d'eux, il y avait près d'un des nombreux divan de la salle de divertissement, Ussop qui racontait une histoire farfelue à quelques enfants. Pris dans son rôle de compteur et heureux d'être ainsi écouté, il lançait à l'occasion des coups d'oeil en direction de Luffy qui à l'aide de petite poupée ou figurine emprunté au jeune spectateur jouait la scène que le long nez comptait avec passion. Sabo qui observait la scène riait à l'occasion en mettant toute fois la main devant sa bouche, un peu comme si il cherchait à ne pas trop se faire entendre. A l'inverse Koala tout comme Nami secouaient la tête d'un air navrée, en affirmant parfois que ça allait mal finir.

- C'est aloooors, récita Ussop comme possédé par les dieux du théatre, que le valeureux groupes de héros arrivèrent à destination. Ensemble ils avaient affronté  la terrible forêt d'arbres chatouilleurs, la rivière chantante, ainsi que bien des dangers tout aussi effrayant !

Les enfants l'écoutaient la bouche grande ouverte, visiblement absorbé par son histoire. De temps à autre un rire éclatait lorsque Luffy mimait l'histoire, et faisait faire une bêtises au groupes de héros.

- ...après tout ces périples, ils leurs restaient une dernière choses à faire ! La pire ...la plus périlleuse et sans aucun doute la plus dangereuse. Grimper la monstrueuse et énorme colline dodu ! Là-bas les attendaient leurs dernier et plus terrible ennemie....là-bas vivait un terrible dragon cracheur de feu ....

Se servant toujours des petites figurine qu'on lui avait prêté Luffy faisait avancer les petits jouets sur une masse ronde et impressionnante. Et puis se fut soudain, un tête à cheveux brun émerge de derrière "la colline dodu",  un regard vexé  en dessous duquel se trouvait de jolie tâche de rousseur, était lancé au compteur et à son acolyte.

- Je ne suis pas la colline dodu, ni un monstre cracheur de feu ! Gronda Ace qui par mégarde laissait quelques petites flammèches sans importance s'échappaient de sa bouches.

Les gamins prient dans toute cette histoire se mirent à applaudirent en poussant des " ouais " d'enthousiaste croyant que la colère de Ace était feinte et que ses excès de voix était présent que pour pousser plus loin le réalisme de l'histoire. Constatant la colère de son frère ainé Luffy grâce à son agilité habituel échappa de justesse à une claque qui menaçait de lui frapper l'arrière de la tête. Ayant une mobilité réduite, ou étant plutôt contraint à limité ses mouvements, Ace arriva à grande peine à retenir un jurons de passer sa bouches. Trop d'oreilles chaste étaient près de lui, pour qu'il se permette de se laisser aller à une telle choses.  A demi vautré dans le divan, il tenta en faisant attention de se redresser, tout en marmonnant dans un froncement de sourcils impressionnant des menaces à l'encontre de son propre frère. Ussop toujours aussi prudent, toujours aussi peureux, avait pros soin de s'éloigner du danger, et sans aucune honte tentait de se dissimuler derrière Sabo, qui bien loin de vouloir l'aider se décalait afin que le long nez reste dans le champs de vision de Ace.

- Allons, intervient Marco qui n'avait vu que la fin de l'histoire. Vous n'avez pas autre choses à faire que de le stresser ? Gronda t-il d'un ton un peu dur, alors qu'un léger froncement de sourcils se faisait voir sur son visage d'ordinaire détendu.

Il avait dis ça avec autorité et la mine légèrement dur ce qui était assez rare pour calmer les deux crétins qui avaient pris le ventre de Ace pour un élément de décors pour leurs histoires. Honteux de subir ainsi le regard réprobateur du Phoenix, dont le tempérament protecteur prenait toujours plus d'ampleur, les deux copains de crétineries marmonnèrent un vague pardon. Les mains dans le dos, les yeux baissés en directions du sols, ils ressemblaient tout les deux à des enfants qu'on venaient de punir pour avoir fait une grosses bêtises. Sabo honteux de s'être fait embarqué dans leurs histoires stupide, ne se sentait pas très à l'aise à présent que Marco leurs passait un savon. Au lieu d'empêcher son petit frère ainsi que Ussop d'enquiquiner Ace qui avait besoin de calme et de repos, il avait l'impression d'avoir involontairement encouragé ses deux idiots en riant à leurs histoires abracadabrante.

- On vous avez bien dit de ne pas faire ça ! Ajouta en plus de cela Nami, tandis que Koala confirmait en agitant la tête de haute en bas.

Pourtant lui aussi était au courant que Ace avait besoin d'être le plus au calme possible, afin que ses enfants ne montrent pas trop tôt le bout de leurs petits nez. Souvent depuis qu'il leurs avaient annoncé cela, il avait vu son frangin, râler et gronder à longueur de journée car il était à présent limité dans ses mouvements. Parfois lorsque Ace se déplaçait il le voyait marcher lentement les mains croisées sous son ventre volumineux, à cause des deux bout de choux qui avaient selon toute vraisemblance pris leurs aises en lui. Sabo tout comme les amis de l'homme de feu avait compris que chaque jours de passé était un jours de plus de gagner pour les petits.  Leurs crétineries ne devaient pas forcer Ace à s'isoler pour avoir un minimum de tranquillité.

" Je veux pas rester seul, sous prétexte que je dois peu bouger." l'avait-il entendu dire une fois à son alpha, qui avait tenté de lui conseiller de rester un peu plus dans leurs chambre. Je déteste être seul..

Se rappelant de cela, Sabo avait pris son petit frère entre quatre yeux, alors qu'il venait de se faire réprimander par sa compagne.

- Écoute petit frère, je sais que pour toi Ace prend juste plus de repos que d'habitude. Mais ce n'est pas que ça !

- Oui, je sais ! Marmonna Luffy dont la concentration parfois pouvait être très limité.

De ses grands yeux brun il observait un groupe de joueur de billards. Aussitôt Sabo attrapa sa mâchoire caoutchouteuse, puis le força à le regarder de nouveau droit dans les yeux. Son sérieux et son froncement de sourcils lui fit vite comprendre qu'il n'avait pas envie de rire. Autour d'eux les bruits habituels des conversations et des rires avaient repris.

- Tu sais ce qui pourrait se passer si les bébés venaient trop tôt au monde ?

- Ils seront un peu trop petits ? Supposa Luffy dans un intense réflexion.

- Pas seulement ! Si les enfants mettent 9 mois à venir au monde ce n'est pas pour rien, Luffy. Ils pourraient avoir de gros problème de santé à venant bien avant l'heure prévu,... voir même pire...

- A bon ? S'exclama le petit brun, en prenant soudainement conscience du sérieux de l'affaire.

- Oui, alors si tu veux être un super tonton , pour les petits à venir ! Aide leurs père à les garder le plus longtemps possible en lui , d'accord ? Expliqua le jeune bêta dans un sourire d'encouragement , ne le stresse plus même si c'est dans le but de l'amuser, laisse le se reposer. C'est vraiment, vraiment important....

Très certainement Sabo avait voulu bien faire en sermonnant un peu Luffy, en le forçant ainsi à prendre conscience des dangers d'un accouchement prématuré pour leurs frères. Mais après cela, le jeune garçon élastique décida de surveiller Ace dans le moindre de ses mouvements lorsque Marco pour une raison ou pour une autre devait s'absenter un peu. D'ailleurs le jeune bêta se laissait un peu embarquer dans cette surveillance extrême de tout les instants  que subissait l'homme de feu. Leurs amours pour leurs frères était si important que Sabo et Luffy s'inquiétaient à la moindre de ses grimaces, même si la plupart du temps elles étaient lié à de l'inconfort, ou à un coup de pied un peu violent d'un des bébés. Inquiet pour lui et ses petits bouts de choux à venir, Ace avait fini par s'habituer à avoir plein de monde autour de lui. Quelques fois, il se moquait avec malice, mais sans méchanceté en affirmant que c'était à peine si il avait la possibilité de soulever sa cuillère, ou de mâcher ses propres aliments . Il sembla d'ailleurs que la nouvelle phrases fétiche de Marco, en dehors des " allons," était " laisse je vais le faire à ta place." Aussi Ace lui fit un petit blague lorsque voulant se soulager d'une envie pressante, il le regarda avec le plus grand des sérieux puis lui dis.

- Malgré toute ta bonne volonté, tu ne pourras pas faire ça à ma place.

Malgré toutes ses blagues, et ses moqueries Ace devait le reconnaitre plus le bout de chemin s'approchait et plus il devait admettre que se faire dorloter par son Alpha n'était pas aussi désagréable qu'au début. Fatigué, épuisé car ses enfants semblaient lui pomper toutes son énergie, il arrivait parfois à se demander, si il parviendrait à les mettre au monde.

- Ne t'inquiète pas ! On est tous passé par là ! Affirma Law en se pointant du doigts avant de faire de même avec Sanji. J'ai cru ne pas pouvoir aller jusqu'au bout....mais on trouve toujours la force d'y arriver....

Malgré l'agacement que cela pouvait parfois provoquer chez lui à être ainsi surveillé tel le lait sur le feu, Ace devait reconnaitre que tout cette amour qui lui était ainsi donné tout les jours, l'aidait à prendre son mal en patience. Et cela au moins fut bénéfique, car il parvient enfin à atteindre les 8 mois de grossesse.

- C'est très bien, lui dit Jane lors de son dernier examen de surveillance. A présent on va visé plus petit d'accord ? Visons une semaine de plus...Pour le moment tes bébés se portent bien, mais ils semblent toujours aussi pressé de faire leurs entrée dans le monde. Donc continus comme tu l'as fait jusqu'ici, et reste allongé le plus possible.

- Très bien, répondit Ace. Pourtant...parfois je ressens de petites contractions. Mais elles ne durent pas longtemps.

- Ça arrive même dans les grossesses dite normal. Si elle persistent sans se calmer viens immédiatement à l'infirmerie ! N'hésite pas à venir me chercher même si c'est au milieux de la nuit d'accord ?

- D'accord, répondirent en coeur les deux hommes.

A l'anniversaire de Zoro qui avait été beaucoup plus discret que l'année précédente, Ace put non sans joies profiter d'une énorme part de gâteau, qui lui avait été servi. Délicieux et merveilleux, il avait senti ses bébés bondir dans son ventre comme pour exprimer le plaisir qu'ils avaient de partager avec lui ce repas merveilleux.

- C'est une récompense pour avoir réussi à tenir une semaine de plus! Avait-il plaisanté. A présent on vise jusqu'à la semaine prochaine !

- Ouais !! S'était exclamé ses frères ainsi que ses amis ! Comme si ces cris encourageaient ses enfants à tenir bon.

L'homme aux trois sabres d'ailleurs ne prenait plus son anniversaire comme une jours maudit. Bien sûr, il se rappelait toujours de la nuit terrible qu'il avait passé à ses 18 ans, et qui avait fait de lui un orphelin, mais il arriva à lutter contre cette morosité qui avait menacé de l'engloutir, en se rappelant que l'année dernière à ce jours précis leurs petites fille avait commencé à bouger dans le ventre de Sanji.

Toute fois son chère époux qui n'aimait pas que ce jours soit un jours comme les autres, avait décidé de lui préparer une petite surprises à l'occasion de ses 20 ans. Profitant des heures d'entrainement de son Alpha, le jeune homme avait grâce à l'aide de ses amis, car sa main droite restait peu habile, réuni sur le mur qui faisait face à l'entrée de leurs chambre,  tout un tas de belle photo. Certaine provenait de l'album que Zeff avait apporté l'année dernière à la même époque, et d'autre provenaient de leurs mariage. Habillement disposé sur le mur, elles étaient toutes protégé dans de jolies cadre de bois doré. La dispositions était-elle qu'on pouvait voir une sorte d'arbre généalogique se dessiner. Sur la droite on pouvait voir des photos de Sanji gamin, avec Zeff, et sur la gauche des photos de Zoro avec ses parents et son futur mari. Au milieu de ses deux branches, il y avait des photos de leurs mariage, alors que juste un dessous, une tas de photos de Suzie étaient affiché.  Ici et là, était disposé des photos avec leurs amis, réunissant ainsi sûr un simple pan de mur toutes les personnes auquel ils tenaient vraiment.

Surpris, lorsqu'il était entrée dans la chambre afin d'aller se coucher ce soir là, Zoro était resté bouche bée quelques instant. Sans rien dire il s'était approché de ce magnifique patchwork et avait effleuré du bout des doigts une photo de sa mère, dont Suzie avait hérité la couleur des cheveux. Elle souriait timidement, alors que sa main pâle était pausé sur l'épaule de son lui enfants. Juste à côté se trouvait une rare photo de son père, qui droit comme un i, observait  devant avec un sourire un peu crispé. Tout comme lui le faisait régulièrement, il avait les bras croisé sur son torse, alors qu'une fois de plus son lui plus jeune tentait d'avoir l'air aussi digne que son père.  Non loin d'eux un petit Sanji visiblement distrait regardait sur le côté, comme si quelques choses à cet instant avait attiré son attention.

Un grand sourire toujours trop rare au gout de Sanji, s'étala alors sur le visage de l'homme aux trois sabres . Avec douceur il avait embrassé son compagnon, murmurant au creu de son oreille un " merci" un peu ému . 

- Suzie, ressemble beaucoup à ta mère c'est dingue ! Affirma le blondinet ! Si elle n'avait pas hérité de mes sourcils ça aurait été encore plus flagrant.

- Hum, c'est vrai , reconnu Zoro qui continuait de fixer ces témoignages du passé.

- L'année prochaine, intervient de nouveau le cuistot, en levant les mains en directions du mur, il y aura encore d'autres photos...des preuves que notre petite famille s'agrandit, et que malgré ce que les " autres " pensent de nous, on ne s'empêchera pas d'être heureux.

- C'est vrai que ici, et là , désigna le bretteur en pointant quelques  coin vide du mur, il y a de la place pour un petit junior.

- En espérant, précisa Sanji en prenant un petit  air inquiet, qu'il n'y aura qu'un junior, je te rappel que je suis très fertile, et que je suis moi même issu de quadruplet...et...

Et ?..Et rien ! Les suppositions s'arrêtèrent là, le souvenir soudain de ses frères sembla frapper le blondinet en pleine poitrine. Parfois ça lui arrivait d'être joyeux et confiant envers l'avenir qui l'attendait auprès de son époux et de sa fille, ainsi que de ses amis. Et d'autre fois, c'était de la mélancolie qui venait l'attraper ! Les souvenirs de cette fameuse nuit semblaient parfois ne jamais le quitter, et lui rappelait que cette vie qu'il vivait au refuges était un bonus, qu'il n'aurait peut-être jamais du vivre. Heureusement dans ces cas-là, Zoro parvenait à le ramener à de meilleurs sentiment et à chasser au loin tout ses sentiments néfaste qui envahissait son coeur.

- Si Laure t'as jugé digne d'une seconde chance, c'est que tu le mérites. Expliqua une fois Zoro en le serrant fort dans ses bras. Soit digne de cette confiance qu'une déesse a mis en toi, et vit ta vie....notre vie, à font. N'ait pas honte d'avoir survécu.

La vie est ainsi faite, mêlé de moment de joie profonde, à des instants de pur tristesse. Mais pourtant une choses évidente frappait chaque personne vivant dans ce refuges montagnard qui protégeait leurs vies du mal extérieur ! C'est que jamais aucun d'eux n'accepteraient d'être autre choses que les maître de leurs propres destins.

*****

Voila pour le chapitre 79 dont je ne sais absolument pas quoi penser.

Dans tout les cas j'espère que vous ne vous êtes pas ennuyée.  Le chapitre prochain.....peut-être un Ace qui atteint le bout du chemin !!

Je profite de cette fin de chapitre, pour remercier celle qui m'ont encouragé dans mon gros instant de doute aujourd'hui. Merci infiniment de votre soutient. Je peux vous assurer que sans vos paroles encourageante ainsi que votre gentillesse, j'aurais certainement abandonnée cette histoire depuis longtemps. Si elle existe ce n'est pas seulement parce que je l'écris, mais c'est surtout parce que vous la lisez.














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