Chapitre 67 :

Lorsque Septembre arriva, Mia la jeune femme que Mihawk avait sauvé des griffes de Caesar Clown, put mettre en place son programme d'éducation scolaire. Les enfants au refuges n'étaient pas nombreux, mais se fait eut l'avantage pour la jeune femme de se concentrer d'avantage sur le petit groupe d'études. Aussi créa t-elle des petits duo en fonctions de leurs niveau et de leurs connaissances. Parfois elle demandait l'intervention de plusieurs habitant du refuges. Ussop par exemple leurs enseignait l'art du dessin, Nami la science de la météo, et Jane les science naturel. Robin qui était une littéraire et une historienne connu de tous, intervenait aussi afin de donner à ses enfants la passion de la lecture de l'écriture, et du savoir.

Un après-midi alors que la pluie ne semblait toujours pas décidé à se calmer un peu, la jeune femme au long cheveux noir avait réuni autour d'elle dans la bibliothèque ses élèves qui aimaient l'entendre raconter des histoires de sa voix douce. Assis en cercle autour de Robin les enfants attendaient le coeur débordant de curiosité, la prochaine histoire qu'elle allait leurs lire. Certain plus petits avaient sur leurs genoux, leurs peluches favorite, prétextant que ..." lui aussi à le droit d'écouter les jolies histoires ". La jeune femme à cela ne disait rien, trouvant cette attention mignonne et plutôt adorable.

- Aujourd'hui les enfants, intervient avec son calme habituel la belle bibliothécaire, je vais vous raconter la légende de la déesse au cheveux d'or.  En avez-vous déjà entendu parlé ? Demanda t-elle en relevant ses yeux clair sur les petits visages enfantin qui la fixaient avec grand intérêt.

- Non, dirent d'une seule et même voix, les enfants, alors que leurs maitresse d'école Mia, corrigeait non loin d'eux les exercices de la journées.

Dans les rayonnages des livres quelques habitants cherchaient ici et là, de quoi s'occuper le soir avant de dormir. Parmi eux, se trouvait Sanji, qui portant sa fille dans ses bras cherchaient un petit bouquin, pour commencer à lui lire des comtes de fées. Bien sur la petite était encore trop jeune, mais le blondinet se disait que même si elle était trop petite pour retenir quoi que ce soit, cela ne lui ferait pas de mal non plus. Il marchait le long des étalages essayant de faire le moins de bruit possible afin de ne pas déranger le cour. Jusqu'à ce qu'à un moment il vit Robin avec les enfants du refuges autour d'elle.

- Quel charmant tableau, se dit-il mentalement avant d'imaginer la manière dont Franky dirait les choses...un super tableau...ria t-il pour lui même.

" Il était une fois, il y a très longtemps de cela, dans un espace infinie et froid, une jeune déesse qui s'ennuyait à en mourir. Ses cheveux étaient d'or, et ses yeux aussi brillant que du cristal, sa peau aussi blanc que de la porcelaine, et ses mains délicates. Elle avait prêt d'elle bien des frères et des sœurs, mais chacun pour leurs plus grands bonheurs, avait crée de tout leurs coeur leurs propres univers de splendeurs. Chacun d'eux étaient le dieu, d'un monde issue de leurs créations et de leurs mains.  Mais elle était la petite dernière et personne ne la jugeait assez mûre pour devenir tout comme eux, un merveilleux dieu, créant de magnifique créatures. Alors elle attendait que le temps face son œuvre, mais toujours dans son coeur demeurait le même ennuie.

- Moi aussi je veux créer la vies, dit-elle un jours à ses frères et sœurs.

- Mais allons, tu ne peux pas, tu n'es que notre petite sœur, lui répondirent ces derniers tout occupé qu'ils étaient à jouer les déités. ... "

La jeune femme s'interrompit un instant en voyant son amis cuisinier prendre place sur une chaises de la bibliothèque, intrigué par l'histoire et par les talents de compteuse de Robin, Sanji avait envi tout comme les enfants d'écouter la suite de cette légende.

" Alors respectueuse de la décision de ses frères et sœurs, la jeune déesse  attendit encore, et encore, ...la permissions de ses ainées, pour pouvoir à son tours jouer les déités. Devenu observatrice, elle lançait son regard divin, en directions des différents mondes que ses ainées avait crée. Ils étaient foisonnant de vie et de bonheur, des êtres aux formes étrange et multiple s'agitaient devant elle, ils semblaient aimer cette vie qu'on leurs avaient donnée. Parfois les plus âgés de ses frères fatigué de jouer aux dieux, laissaient leurs créations se gérer seul, tandis que eux épuisé par les années et les siècles s'endormaient pour ne plus se réveiller. "

A nouveau Robin fit une pose en voyant Zoro entrée à son tour dans la bibliothèque, à la recherche sans doute de Sanji et de sa fille. Immédiatement le blondinet avait mis un doigts sur sa bouche en signe de silence, alors qu'à voix basse et à toutes vitesse, il expliquait rapidement qu'il écoutait l'histoire que la jeune femme était entrain de conter.  Les enfants qui attendaient la suite avec impatience lancèrent des petits coup d'oeil de travers en direction du sabreur qui faisait un peu trop de bruit, et qui à cela décida de s'asseoir près de son mari en attendant la fin de cette lectures.

" La jeune déesse s'affligeait du sommeil éternel de ses ainées, mais se jurait que jamais elle n'abandonnerait ses créations quand elle en aurait. Alors, passant au dessus des ordres qui lui avait été donnée, elle créa un monde. De ses mains elle façonna les montagnes et les plaines, les champs, et les désert de glaces et de sables. Elle creusa les lacs, les rivières et les mers. Et puis elle donna vies aux Hommes , ainsi qu'au animaux, mais aussi aux plantes et la végétations. Ce travail qui était de donner la vie lui prit un temps infini. Mais chaque minutes passait près de ses " enfants"  la remplissait d'un bonheur inépuisable. Ses mains plus que celle de ses frères et sœurs étaient une sources de vies puissante. Fertile au de la des mots, elles étaient capable de créaient  des merveilles plus que tout le monde. Sa terre bientôt fut plus grande et plus foisonnante que celle de ses ainées. Ses " enfants " la vénéraient comme la déesse aux cheveux doré ,  elle devient un symbole de fertilité et d'abondance...elle était aimé d'eux, et elle les aimaient en retour. Leurs accordant de son pouvoir divan, vie paisible et magnifique, sans qu'aucun ténèbre ne viennent assombrir leurs coeur.

Mais bientôt les frères et sœurs, de la jeune déesse furent jaloux, de ses exploits. Elle la plus jeune étaient au final bien plus puissante qu'eux. Son monde irradiait de bonheur et de félicité, alors que les leurs, étaient de plus en plus plongeaient dans la noirceur. 

Un jours, las de cette petite sœur qui bien que puissante, n'était pas vantarde, il décidèrent de la plonger à son tour dans un sommeil éternel, qui à ceci condamnerait certainement, son monde à l'oublie et aux ténèbres. Mais fort était son coeur, et bien avant de succomber face à ceux qu'elles aimaient, elle détacha un morceau de son âme qu'elle jeta sur terre avant de s'endormir pour un sommeil sans doute millénaire. Ce fragment qui tomba sur sa créations était voué à renaitre à travers d'un de ses enfants. A travers de cette élue, le pouvoir de la déesse renaitrait durant une vie humaine, empêchant cette dernière de mourir, et de par là même sa création aussi. "

A cette dernière phrases bien des enfants qui avaient écouté avec la plus grande des attentions cette histoire furent perdu.

- J'ai pas  tout compris, sur le truc avec le bout d'âme de la déesse , demanda un petit garçon en levant la main.

- Et bien, fit Robin en refermant le bouquin qu'elle posa sur ses genoux. Ça veut dire, que les élues qui portent le fragment de la déesse en eux, empêche cette dernière de totalement disparaitre et permet ainsi au monde qu'elle a créer de vivre aussi. Car si un morceau d'elle vie, elle ne peut mourir malgré le sommeil éternel, dans lequel elle a été plongé.

- Ça veut dire que grâces à l'élue, elle est un petit peu vivante ? Demanda une fillette, avec de longue natte blonde.

- C'est toute à fait ça !! Sourit Robin.

- C'est quoi le prénom de la déesse , questionna à nouveau le même petit garçon.

- Laure , répondit la voix grave de Zoro.

Surprit tout les yeux et même ceux de son compagnon, se tournèrent en direction du sabreur qui n'avait pas cru sur l'instant parler aussi fort. D'un geste un peu embarrassé il passa la main dans ses cheveux et prit la parole.

- Ma mère m'en parlait qu'en j'étais petit, avoua t-il. Laure, la déesse aux cheveux d'or. C'est soit disant elle qui à créer notre monde...Expliqua t-il, avec sur le visage une expression peu convaincu quand à cette légende. Elle me disait que tout les deux cent ans, où truc dans le genre, une élue arrivait sur terre en portant en elle un bout d'âme de la déesse. Et que grâce à cette élue, le monde vivait alors " un âge d'or" ...c'est à dire une vie pleine de grâces, sans guerre, sans haine, avec des récoltes foisonnantes et une paix impossible à briser.

- C'est ce qui est dit en effet, reconnu Robin en ignorant le profond scepticisme de Zoro, qui gardait les bras croisée sur son torses. Après reprit-elle chacun et libre d'y croire ou non. Chacun doit trouver sa vérité par rapport à cette histoire.

- A mon avis, s'exclama un élèves, la déesse elle doit être morte, parce que le monde dans lequel qu'on vie, et bah il est pas joyeux, et pi y a des guerres, et des gens tout plein de haine..

Alors s'en suivie une grande conversation entre les enfants qui les firent réfléchir énormément quand à la légende de " Laure la déesse aux cheveux d'or."

- Bah mon vieux, souffla à voix basse Sanji en direction de son Alpha, si je m'attendais pas à ce que tu connaisses un truc pareil, avoua t-il en s'approchant de la belle bibliothécaire, alors que les enfants discutaient activement.

- Je rêves ou tu me prends pour un crétin ignorant, gronda ce dernier alors qu'un enfant d'environ 8 ans se mettait à étrangement fixer Sanji. Qu'est-ce qu'il a celui là ? Marmonna t-il moyennement aimable.

- Robin, s'exclama le cuistot, je t'emprunte se livre, expliqua t-il en agitant un bouquin pour enfant.

- Pas de problème, tu me diras ce que la petite puce en a pensée, taquina t-elle en faisant ainsi rire, le jeune homme.

- Oh tu sais, elle vas surement me dire " Gaaga ", Ria t-il.

- Madame Robin, coupa le petit garçon de 8 ans, vous avez dit que  la déesse Laure dans l'histoire était plus fertile sur ses frères et sœurs pas vrai ?

- Oui, c'est ce que la légende raconte, reconnu Robin.

- Et fertile, ça veut bien dire qu'on peut faire plein de bébé, pas vrai ?

- Oui, c'est ça !

- Alors ça veut dire, que le chef cuisinier, expliqua le gamin en pointant du doigts Sanji comme si il l'accusait d'un grave crime, à un fragment de " Laure" en lui ? Il est blond, et je sais qu'il peut faire plus de bébé que tout le monde ici !!!

- Ah ah ah, ricana bêtement Zoro prit d'un fou rire, elle est bien bonne celle-là !

- Qu'est-ce que tu racontes petit, bredouilla le cuisinier rouge de honte, tandis qu'une envie de donner une coup de pied au derrière de son époux hilare le saisissait. Je suis un homme moi, et....et puis...

- Qu'est-ce que tu dis, c'est trop nul ! Intervient une petite fille en fixant le gamin comme si il était un parfait crétin.  C'est une fille qui doit être une élue, et Sanji est bah c'est un garçon que je te ferais dire !!

- Pourtant , insista le petit garçon visiblement très têtue ! J'ai entendu les grands dire qu'il pouvait faire plus de bébé que tout le monde, et que il était un " suprême" ça veut bien dire au dessus des autres non ? Alors pourquoi pas ?

- Mais je ne suis pas une fichu déesse bon sang , s'emporta Sanji toujours aussi rouge, alors que ses excès de voix réveillé son bébé que d'autre élève s'amusaient regarder dormir.  Zoro de son côté riait des arguments des enfants, ignorant de temps à autre les regards plus que mauvais de son oméga.

- Allons, allons les enfants, intervient Mia, d'une voix douce et calme. Il faut savoir faire la différence entre légende, et réalité. Par exemple....

Et sur ce cours que s'apprêtait à faire la douce et gentille maitresse d'école, le couple décida de quitter la bibliothécaire dans lequel le petit gamin continuait de garder ses convictions fermement encrée dans son petit crâne d'enfant de 8 ans.  Au cour du repas ce soir là, des rires se mirent à envahir la table des turbulents où sans aucune gêne aucune Zoro raconta l'anecdote, malgré les regard toujours aussi meurtrier que lui lançait Sanji.

- Tu vas finir par avoir la folie des grandeurs toi, Brama de rire Kidd, tout aussi amusé que son copain de chamaillerie par l'histoire.

- N'importe quoi, c'est juste des paroles de môme ces tout....bougonna Sanji. Genre tu vas me faire croire qu'un déesse à claqué de doigts " boum" nous v'la ! Bah voyons...

- Tu sais, intervient Law chacun son opinion sur la création du monde tu ne crois pas ?

-Je...

- Attend avant de répondre, continua le chirurgien en levant les mains devant lui comme en signe de protections. J'aimerais que tu ne me foudroie pas de ton pouvoir divin, si je ne suis pas d'accord avec toi !!

A nouveau des rires éclatèrent ici et là, alors que Luffy hilare tambourinait la table de son poing. Agacé le blondinet fronça des sourcilles, haussa des épaules, et porta son attention sur sa petite fille qui sans doute charmée par sa propre voix s'amusait à poussait des petits cries aiguë et joyeux. Bien installé dans le creux de son papa oméga Suzie en atteignant 6 mois commençait à devenir une "grande", car à présent sa nourriture n'était plus seulement que des biberons , mais d'autre choses dont la découverte des saveurs la satisfaisait amplement. Les compotes de fruits semblait être ce qu'elle aimait le plus, car à l'instar de son copain Andrew qui s'amusait à la recracher, elle l'avaler sans problème et sans en laisser ne serait-ce qu'un petit peu. Et lorsque Sanji ou Zoro s'était selon le moment, tardait trop à lui donner une autre cuillère de cette délicieuse gourmandise, la petite poussait des petits crie agacée d'un air de dire ...

" Ooh ! T'attends quoi ? " 

Andrew de son côté, était un " grand " de dix mois, et Law lorsqu'il l'observait, réalisait à quel point le temps passait vite. Le petit bout de choux aux quelques cheveux rouge qu'il avait porté et mis au monde, faisait place doucement à un petit garçon avec du caractère, - comme si il avait pu en être autrement avec de tel parent - mais joviale et câlin. Espiègle, il s'amusait souvent à faire volontairement tombé sa peluche favorite, afin de la faire ramasser dix à  vingt fois dans la journée par l'un de ses papas. Kidd le faisait toujours sans rien dire, ni râler, comme si s'était au final un geste conditionné.  Law au début avait agit comme son Alpha, jusqu'à ce qu'il décide de ne plus se casser la tête et créer des " micro " room , où il récupérait sans le moindre effort la peluche. Ses petites jambes semblaient de plus en plus robuste et à l'aide de l'un de ses parents, il parvenait, si on le tenait bien comme il faut à faire quelques pas. Pourtant quand il en avait assez, il se laissait tomber sur son petit popotin rembourré grâce à sa couche et avançait en sautillant sur son derrière, ou en se mettant à quatre pattes. L'un de ses jeux favoris était sans nulle doute de tirer sur la peau élastique de Luffy. Ce qui le faisait rire au quart de tour était le " clac " sonore qu'il entendait lorsqu'il relâchait la peau sur lequel il tirait de toute la force de ses petits bras. Le problèmes était qu'étant un tout petit garçon Andy ne semblait pas comprendre que tout le monde n'avait pas la même particularité que Luffy, et en vain il tentait que se soit avec Law où avec Kidd de tirer sur leurs peaux tristement peu extensible.  Une fois il en avait même fait une grosse colère en pleurant de dépit !!

La semaine de chaleur de Mihawk se termina et bientôt les habitants du refuge purent voir à nouveau  le visage joviale de Shanks, et entendre ses blagues foireuses. Pouvant à présent parler  au chef qui s'était terré dans sa chambre avec son oméga durant une semaine, et qui sous son tempérament d'Alpha suprême un peu excessif n'acceptait que très difficilement les oméga venu leurs apporter à manger, Marco décida un matin d'avoir un tête à tête avec ce dernier.

Shanks était à son bureau et soufflait d'agacement sur le travail en retard qui s'était accumulé durant son " absence". Mihawk n'était pas là et était retourné à l'infirmerie pour effectuer un petit bilan de santé, afin de mesurer le future dosage de ses pilules. Le ciel ce jours-là était sombre, mais pour une fois depuis longtemps la pluie ne tombait pas. Le parc était tout aussi gadouilleux et les feuilles des arbres, commencèrent à envahir la vaste étendu d'herbe dont la croissance ces derniers jours était pour le moins impressionnante. Il venait de finir un rapport sans grande importance sur lequel, il écrivit quelques mots en rouge, quand Marco frappa à la porte.

- Entré ...fit Shanks en constatant que le phénix n'avait pas attendu sa permissions pour pénétrer dans la pièce ..Ah bah c'est déjà fait. Marco comment vas-tu ? Lui sourit-il visiblement amnésique sur ce tour de force qu'il avait fait dans la salle de divertissement lorsqu'il était venu chercher Mihawk alors tombé en chaleurs.

- Bien, fit le phœnix le visage fermé. D'un mouvement de main il tira une chaise sur lequel il s'installa, puis croisant les jambes et appuyant ses coudes sur son genoux, il se mit à fixer avec intensité son supérieur. Il m'en faut beaucoup pour me mettre en rogne tu le sais, pas vrai ?

- Oui, en effet, reconnu le rouge en se laissant tomber dans le font de son siège. Pourquoi quelqu'un à réussi à te faire sortir de tes gongs  ? Bah mon vieux qui est ce fou ?

- Toi !Répliqua immédiatement Marco, avant d'entamer une longue explications sur ce qui s'était passé ce fameux jours. Le regard sévère choses extrêmement rare chez lui le roux clair expliqua la réaction que le charisme débordant de Shanks avait provoqué chez Ace.  Il est enceinte de 6 mois..et de jumeaux en plus, tu la littéralement épuisé, ...putain !!! Jura Marco ce qui était là aussi une rareté....c'est quoi ton problème ? T'as  de nouveau un oméga, donc tu ne sais plus te contrôler ?

- Je...

- Durant trois jours Ace est resté alité. Porter des jumeaux et épuisant en soit, mais se faire pomper son énergie par un suprême trop enivrait par son oméga en chaleur, la fichu à genoux. Ça aurait pu être très dangereux. J'ai vraiment eu peur pour lui, ainsi que pour mes enfants, alors je te le dis Shanks, je te respecte tu le sais, mais c'est la dernière fois que tu fais ressentir une telle choses à mon oméga, dans l'état ou il est !!!!

- Tu me menace ? Demanda Shanks, dans un sourire énigmatique.

- Non, je met en garde.  Tu ne veux pas qu'on face de mal  à Mihawk  et c'est très bien. Mais j'ai ma famille à protéger, et voir mon oméga enceinte couché et sans force parce que tu n'as pas su te contrôlé , m'a mit hors de moi. Il aurait pu perdre nos bébés, ...Et toi même dans une telle situation tu n'aurais pas su garder le sourire, ni ricaner, ni te la jouer cool !

Un silence lourd s'installa dans le bureau, la fenêtre était légèrement entrouverte et laissait passé à l'occasion une très légère brises d'air fraiche et un peu humide. Lentement, Shanks après s'être fusillait du regard avec Marco, baissa un peu la tête tandis qu'il passait la mains dans les cheveux rouge encadrant son visage.  Il s'en voulait un peu de n'avoir pas pu se contrôler ce jours-là, mais cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas été avec quelqu'un et qu'il n'avait pas sentis ce désire fou liés au chaleur, qu'il s'en était sentit totalement submergé.

- Je suis désolé, souffla le chef, à l'avenir je m'arrangerais pour qu'à l'approche de ses chaleurs Mihawk ne soit pas loin de moi. Je me suis laisser submerger, et ...c'était stupide de ma part de ne pas me contrôler comme j'en ai l'habitude.....j'irais faire mes excuses auprès de Ace, si le veux bien.

- Si tu veux, ...souffla le phœnix encore vexé en se relevant de sa chaises. Si tu recommences une telle choses et que tu mets de nouveau Ace en danger, Suprême ou pas, je t'en colle une !!!

- J'espère bien......tenta de plaisanter Shanks en voyant Marco disparaitre derrière la porte de son bureau qu'il claque avec force. J'ai un peu merdé sur ce coup-là...

C'était si rare de voir cet homme continuellement détendu et souriant , avoir le visage aussi fermé et l'oeil aussi assassin, que Shanks se sentit encore plus fautif de s'être ainsi laissé aller. Mais n'étant pas non plus du genre à se faire du mourons pour un oui, ou pour un non, il pensa avec une certaine justesse qu'il fallait laisser le temps à Marco de se calmer pour de nouveau pouvoir déconner avec lui.  A l'infirmerie  Mihawk subissait des examens de routine, laissant parfois s'échapper avec sa franchises habituel des confidences sur ses premières chaleurs que Law n'avait surtout pas envie d'entendre...

- C'est beaucoup 5 fois d'affilé ? Avait-il demandé avec le plus grand des sérieux...C'est bizarre ou pas ?

- Raaah pitié, me demande pas ça, bougonna le chirurgiens en se bouchant les oreilles.

- C'était bien mais...., continua sans pité le faucon avec un sourire amusé, mais qui des yeux extérieur pouvais paraitre cyniques....mais un peu trop....ensuite il ronflait fort et ..une fois je l'ai réveillé et j'ai eu ....

- Raaah bon sang !!! Gronda  plus fort Law le visage écarlate devant ces aveux, tandis que derrière la porte de son bureau les membres de l'équipe médicale l'entendait vociférer.

- Et...j'ai eu terriblement envi de faire des bébés. Mais j'imagine que c'est normal, pas vrai ?C'est la part d'oméga en moi, qui me disait " il nous faut un bébé, ..un bébé...." C'est ça, hein ?

- Oui, c'est ça ! Reconnu Law la main sur le coeur, heureux que la conversation prenne une autre tournure.

- C'est si étrange de ressentir de tel sentiment. Souffla Mihawk en reboutonnant sa chemises qu'il avait un peu ouvert afin que le docteur puisse écouter son coeur. Je pensais n'être qu'une arme humaine, qu'un être de combat, qu'un assassin, et rien d'autre. Une choses qu'on appel pour exécuter les ordres, et qui rentre dans son placard quand il n'a plus rien à faire.... Il fit une courte pause durant lequel Law l'observa, avant de reprendre....on m'a forcé à détester les miens, on m'a forcé à les tuer rien ne pourra pardonner ce que j'ai fait ...même si je n'avais plus le contrôle de moi même, ça reste impardonnable. Et pourtant ....pourtant bien loin d'être puni, je suis ici avec..." mes frères et sœur, " avec ma famille.....j'apprends à vivre, et à rire, j'apprends à m'amuser et à faire autre choses que me battre....et j'en viens même à vouloir créer ma propre famille....je sais que je suis indigne d'un tel souhait, mais je sais aussi, que Shanks mérite ce que mes hommes lui on retirait à savoir ...une descendance....

Que dire face à cela ? Law ne savait pas vraiment, quel paroles lui dire, et quel paroles saurait le réconforter. Pourtant il descellait dans la voix monocorde du faucon , une simple expositions des faits. Il ne se plaignait pas, et ne sous entendait pas qu'il était malheureux, où qu'il l'avait été. Il expliquait ce qu'il ressentait, et à présent il était évident qu'il devait avoir une certaine haine envers le gouvernement qui l'avait manipulé comme un jouet. Mais en plus de cela, il  y avait une profonde culpabilité, et le fait d'être aussi parallèlement à cela un étonnement certain, par le bienêtre qu'il ressentait en étant ici, à vivre une vie pour le moment paisible et sans contrainte. A coup sur ils avaient eu raison de lui venir en aide, et très certainement, Zoro devait penser la même choses. A présent le vert ne ressemblait plus à un chat près à attaquer lorsqu'il étaient en présence de Mihawk. Il n'avait plus cette méfiance débordante à son encontre, et ne réagissait plus vraiment quand Sanji - parvenait- à confier leurs fille au faucon, qui avait même été surpris une fois à faire une grimace dans le but de la faire rire.  Lui aussi le voyait comme faisant partie des leurs...

Ce jours-là, à l'heure du repas du midi Shanks prit la parole pour s'excuser auprès des habitants du refuges de leurs avoir fait subir de manière aussi " impitoyable " son charisme et promit que la prochaine fois, ça ne se passerait pas comme ça.  Marco de son air indifférent l'avait écouté d'une oreille distraite, la colère ne semblait plus l'animer mais pourtant il parut encore un peu fâché, démontrant ainsi à ceux qui l'ignorait que la rancune pouvait être tenace chez lui. A ses côté Ace qui avait été épuisé durant plusieurs jours, durant lequel Luffy et Sabo s'étaient inquiétés se servait de cette excuses, en plus de ses jumeaux pour se goinfrer.

- T'es bébés vont être obèses, à bouffer comme ça ! Se moqua l'homme élastique ! Qui évita une tentative de Ace de le frapper derrière la tête.

- Tu vas exploser avant 9 mois, je penses. Intervient à son tour Sabo d'un air excessivement pensif. Je plaisante, ria t-il en recevant un regard mauvais de son frère de coeur.

*****

Depuis qu'ils avaient quitter la capitale, peu de jours après le départ du la cours au château céleste, les trois frères Vinsmoke depuis plusieurs jours arpentaient les différentes villes et villages située au plus près de la montagnes des âmes. Afin de récolter des informations, ses trois brutes épaisses dénué du moindre sentiments devaient lutter avec leurs instinct de tueur pour inciter les habitants assez confiance pour ce confier à eux. Cependant et malgré leurs efforts leurs petits jeu ne prenait pas du tout ,car leurs réputations abominable les ayant précédé, c'est avec la peur sur le visages que les citoyens répondaient à leurs questions, dans des propos évasifs. Ichiji sans doute le plus apte à garder son calme, se disait qu'à force d'insister ils finiraient bien par récolter quelques infos intéressante. Souvent il rappelait au deux autres, moins enclin à la patience ....qu'ils devaient surtout ne pas attirer l'attention sur eux, car si le roi venait à apprendre qu'ils mettaient le " bazars " dans son dos, très certainement il s'en prendrait encore à eux.

- Sa patiences à des limites et un jours , il nous jettera vraiment en taule...ou il nous laissera moisir jusqu'à la fin de nos jours. Donc non, pour le moment " non ne tue pas ", on ne " menace pas ," et on "ne fou pas le feux non plus".

Pour une fois le bleue semblait s'ennuyer autant que le vert, mais malgré ce " point commun", l'un comme l'autre ne s'entendait pas plus pour autant. Et bien souvent des prises de becs entre eux les faisaient encore plus ralentir dans leurs recherches, agacent ainsi d'avantage Ichiji. Le fait est que Niji doutait de plus en plus de Yonji lorsqu'il affirmait parfois 100 fois par jours, qu'il voulait que Sanji crèves. Aussi se doutant que sa parole était remise en cause le plus jeune de fratrie, manqua plus d'une fois de se laisser aller à tordre le cou de ce crétin au cheveux bleue. Pourtant afin de ne pas passer à l'acte, il sortait dans ces cas à prendre l'air deux minutes. Son cerveau semblait surchauffer à longueur de journée, et bien qu'il détestait qu'on doute de lui, il comprenait les suspicions de ses deux autres frangins. Lui même avait du mal à se reconnaitre, et sa personnalité réel semblait se confronter au faux souvenir incrusté dans son crâne par Caesar Clown.

-Qu'est-ce tu fais le vieux ? Demanda t-il un soir, ou lui et ses frères n'avaient eu aucune information quand à l'existence possible d'un refuges pour " être à part dans le coin." Il était sortie sur la place principale du village, ou une fontaine pour le moment éteinte était encadré de plusieurs banc en bois.

- Moi ? Fit un hommes extrêmement âgé, pas bien haut en taille et dont la barbe blanche tombait sur ses genoux. J'admire les étoiles mon garçon, on ne l'ai a pas vue depuis des jours à cause de la pluie, alors....j'en profite, avant qu'elle ne se cache à nouveaux les coquines. Expliqua t-il d'une voix terriblement chevrotante.

Ses sourcils était épais et broussailleux, son visage aussi fripé qu'un vieux bout de parchemin, ces mains osseuse était appuyé sur une canne, alors que ses bras semblait trembler légèrement, de froid , ou de vieillesse.

- Pourquoi tu fais ça pépé ? Demanda le vert intrigué, les mains dans les poches, se disant que levieux devait avoir plus de 100 ans au moins... C'est que des étoiles .....

- Et bien, commença le vieillard après  s'être mouché. J'admire leurs beauté millénaire. Elles étaient là, quand j'étais petit garçon, et à présent que je suis vieux, elles sont toujours là resplendissante de beauté et de mystère à la fois. Et quand je serais mort elles seront toujours là !!!

Regardant le vieil homme comme si s'était un vieux machin complètement fou. Yonji pencha la tête sur le côté puis après l'avoir regarder brièvement, il releva le nez, et observa la voute céleste. Durant de longue minutes il essaya de comprendre ce qu'il y avait de beau et d'admirable, dans ces petits point lumineux dans le ciel, noir d'encre, mais aucun réponses ne lui viens. Pour lui ce n'était que des étoiles, rien de plus rien de moins, pas de quoi rester des heures à les regarder, ni des heures à en faire l'éloge.

- Tu perds ton temps papy, c'est juste...des étoiles ! Pas de quoi s'émouvoir de ça !

Le vieux bonhomme  tourna son visage ridé en direction du vert, durant un instant il l'observa  puis remarqua les étranges sourcils du jeune homme au visage totalement dégagé. Un Vinsmoke s'était-il dis à n'en pas douter. Les fils de  ce fou de Judge dont la réputations n'était plus à faire. Des rumeurs avaient courut comme quoi il avait fait des expériences sur ses propres enfants. Et envoyant se regard vide de compassion, d'émotion, de vie en quelques sortes, le vieil homme eut de la peine...pour ce môme...

- Ne pas s'émouvoir de la beauté qui nous entour et une bien triste choses. Vivre, pour vivre......ce n'est pas vivre...!

- Raah mon pompe pas l'air avec tes leçon de morale le vieux ! Je ne suis pas un abruti je sais vivre !!!

- Ah , vraiment? fit le vieil homme les deux mains toujours appuyées sur sa cannes, car il ne pouvait marché sans. Vivre s'est quoi d'après toi ?

- Et bien vivre s'est .......

Cette questions que Yonji avait trouvé d'avance " conne" sembla lui vider le cerveau. Vivre c'est quoi ? Tuer ? Non ça c'est tout l'inverse de la vie, mais vivre c'est quoi ? Ressentir des choses ? Peut-être mais lui n'en ressentait rien et se fichait de tout ! C'est créer des liens avec ses semblables ? Peut-être mais, pourquoi faire ? Ils sont tous idiots !  Alors dans ce cas vivre c'est quoi ? C'est passer son temps à poursuivre un frère qu'on a pas vu depuis des années, et le tuer ? Mais que ce passera t-il une fois la choses faite, vivrait-il mieux ? Ou continuerait-il a faire toujours les mêmes choses qui au pire l'occupe mais ne lui font rien ressentir réellement. La vie est quelques choses d'admirable et tellement fragile, qu'à chaque fois qu'il a tué, il a admirait jusqu'au bout cette lueur de vie disparaitre à jamais de ses victimes. C'est puissant et faible à la fois, c'est fort et médiocre  ! C'est en nous, et pourtant la vie et impossible à toucher et à prendre en mains ! Car la vie c'est quelques choses qu'il ne connait pas ! au final Il ne sait pas ce que s'est vraiment que de vivre !  Car après tout, comme la si souvent dit le roi,  il n'est qu'une poupée vide ! Il est voué à rester à jamais avec ses deux crétins de frangins tout aussi vide que lui, et à faire à jamais la mêmes choses, jusqu'à ce que " sa vie " s'éteigne !

- Vivre s'est respirer, répondit-il hâtivement en voyant le regard insistant du vieux.

- Si c'est ça, alors s'est une bien triste vies, conclu le vieillard, en se redressant avec difficulté.

En temps ordinaire, Yonji aurait été capable de tordre le cou à ce vieux babouin donneur de leçon, rien que pour le plaisir de le faire taire. Pourtant ce soir là, il n'en fit rien, absolument et définitivement rien. Il le laissa partir, d'une parce qu'il ne devait pas attirer l'attention comme l'avait si bien répété Ichiji, mais aussi parce que pour une fois il n'en avait pas eu envie. Aucune pulsion n'avait raisonné en lui, aucune démangeaisons n'avait agité ses mains, aucune violence hurlait dans son cerveau, aucune envie de donner la mort n'était présent en lui. Rien....! Durant de longue minute et ceux malgré la pénombre, il avait observé cet homme âgé le dos vouté claquant sa canne à chacun de ses petits pas peu assurée rentrer chez lui.

- Je ne vivrai pas aussi vieux, que ce machin là ! Gronda la vert, en voyant la silhouette disparaitre derrière la porte d'une maisonnette.

Et-ce que Sanji savait ce que s'était de vivre ? Lui qui était si différent d'eux, avait-il une réponses à cette questions ? Très certainement, puisque lui ressentait des choses, en tout cas la douleurs il l'avait ressentit, ça c'est sur vue le nombre de fois ou lui et les deux autres s'étaient acharnée dessus. Un sourire à glacer le sang, se dessina de nouveau sur ses lèvres tandis que d'un pas trainant, il entrait dans l'hôtel ou il séjournait. Sur le mur de la chambre qu'il partageait avec ses frères était affiché la même carte pourrie dont il ne supportait plus la vue. Dessus était dessiné plein de petite croix rouge.

- Ça y est ? T'as fini ton caca nerveux ? Se moqua Niji en riant fort, alors que le vert lui répondait par un généreux doigts d'honneur. Tsss..vas te faire foutre aussi....

- Nous irons demain dans la ville de Durangue, déclara Ichiji, en baillant avec force. Je penses que là-bas nous aurons plus d'informations..et ...

- J'ai une idée, pour leurs délier la langue avant l'hiver, et pour faire sortir notre frère de sa cachette !!! Déclara Yonji le regard de nouveau mauvais.

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Voila pour le chapitre 67: Dans lequel Robin raconte aux petit enfants du refuge l'une de légende les plus connue dans leurs mondes. De son côté Mihawk en a fini avec ses chaleurs et sa franchises toujours aussi terrible met mal à l'aise le pauvre Law, et cela sembla assez l'amuser d'ailleurs.  Marco de son côté à mis les choses au clair avec Shanks, et  laisse pour une fois sa mauvaise humeur s'exprimer, car son instinct protecteur est de plus en plus accrus au fur et à mesure que Ace avance dans sa grossesses.

Les frangins avances très lentement, et Yonji se pause de plus en plus de questions alors que parallèlement à cela, il cherche néanmoins à se débarrasser de Sanji. Une dualité commence à diviser son cerveau et son âme...

J'espère que ce chapitre vous a plu !