Chapitre 30: Ce qui se passe un peu partout.
Chapitre 30 :
L'été qui pourtant avait été magnifique avait très vite disparu pour laisser place à un automne des plus maussade. La pluie depuis près d'une semaine tombait sans discontinue sur le " château céleste" rendant l'ambiance déjà passablement désagréable carrément glauque. Les couloirs pourtant éclairé des plus beaux luminaires possible, avait malgré cela un côté sombre et inquiétant. Le vent qui soufflait donnait l'impression qu'un être surnaturel, poussait de terrible crie aiguë. Cette ambiance qui déplaisait au trois quart des gens de la cours semblait à l'inverse beaucoup amuser le roi Alban, sans doute parce que cela correspondait assez à son esprit tordu. Pourtant cet homme connu pour sa cruauté ainsi que son manque sévère de compations, avait envers sa nouvelle femme une dévotion dès plus impressionnante. Au début, il n'avait cherché qu'à l'avoir pensant juste qu'elle serait peut-être mieux que sa première épouse qu'il avait répudié et renvoyé chez son père. Mais aussi surprenant que celui puisse paraitre, il éprouvait à présent pour Reiju un réel amour ( si tenté qu'il puisse en ressentir) alors que jusqu'ici personne ne l'aurait cru capable de ressentir un tel sentiment aussi doux.
Sans doute était-ce grâce à la patience ainsi qu'à la force de caractère de la jeune femme qu'il avait commencé à s'attacher réellement à elle. Calme, mesuré, elle avait le dont de ne jamais l'énerver, mais aussi de le calmer, quand l'une de ses monstrueuses crise de colère menaçaient d'exploser. Souvent, il venait la voir, au beau milieux de l'après-midi, interrompant quelques fois une réunion importante avec ses ministres pour venir chercher une sorte de calme et d'équilibre mental près d'elle. Là, il s'agenouillait près d'elle ou à ses côtés, quand elle était assise dans un fauteuil et posé sa tête sur ses genoux, un peu comme un enfant réclamant de l'attention de la part de sa mère. Pendant de nombreuse minutes Reiju caressait sa longue chevelure blanche et lui assurant que toute allait bien se passer....Elle avait finis par s'habituer à cet étrange manège, et gardait toujours une patience quasiment surréaliste. Tous les projets qu'elle avait en tête, elle ne pourrait les accomplir que si elle était toujours aimé du roi, aussi faisait-elle sorte de n'être jamais détesté.
Et lorsque enfin après cela, le roi retrouvait ce calme qu'il avait momentanément perdu, il la remerciait d'un baiser plus que chaleureux, et repartait en réunion, ou ses ministres l'attendaient parfois depuis une heure, voir plus. La jeune femme de son côté commençait à se faire avoir par son propre piège, et semblait lutter tout les jours pour garder un certain mépris envers son mari. Pourtant elle ne pouvait s'empêcher d'être satisfaite de voir que cette époux qu'on lui avait imposé, au final la respectait, et ne se montrait jamais brutale avec elle, mais cette douceur qu'il lui offrait commencé lentement à la faire succomber, et ça la rose ne pouvait pas le supporter. La plus part du temps quand elle était seule, elle se raisonnait à haute voix, en se rappellent à l'esprit que bien qu'étant gentil et doux avec elle, il n'en restait pas moins un psychopathe, cruelle et abominable. Mais la dualité dans son esprit s'accentuait un peu plus chaque jours, et parfois pour détourner un peu ses pensées, elle se renseignait sur ses frères, qu'elle soupçonnait de manigancer quelques choses.
Depuis qu'elle avait fait brûler secrètement le laboratoire de son " cher " papa, la jeune femme avait sentis un agréable sentiments de vengeance se répandre en elle. Un peu comme la satisfaction du devoirs accompli, et lorsque on était venu lui conter la réaction de Judge quand il avait découvert les ruines de son labo, la jeune femme s'était enfoncé dans sa chaise , un sourire discret aux lèvres, alors que sa bouche lançait de fausse paroles compatissante.
- Majesté, dit-elle une fois à son royal époux. Puis-je vous poser une question ? Demanda t-elle en prenant toujours garde de laisser à Alban, l'impression qu'il dominait toujours la situation.
- Bien entendu ma très cher épouse ! Affirma le roi, qui ce jours-là avait décidé qu'elle devait porter une véritable rivière de diamant autour du cou. Comme tu es magnifique ainsi.
- Oh, vous me flattez sire. Puis-je savoir ce que devient mon père, depuis qu'il a perdu son laboratoire dans cet accident tragique ?
Elle avait essayé de poser cette questions, comme si elle n'avait jamais rien compris à toute cette affaire, pourtant le regard que lui lança Alban, l'inquiéta un peu. Droit sans même cillé un instant, elle avait eu l'impression sur le coup qu'il cherchait à lire en elle, afin de savoir peut-être si elle avait une quelconque part de responsabilité dans cette histoire. Alors la jeune femme comme toujours depuis des mois, essaya de la jouer fine, en se rappelant qu'elle ne devait pas baisser la garde auprès de son royal époux, tout épris qu'il soit d'elle.
- Et bien, dit-il au bout d'un moment, alors que Reiju ne montrait aucune émotions particulière. J'ai décidé qu'il devrait à présent bosser avec César Clown.
- César Clown, répéta d'une voix un peu forte la rose. Excusez-moi de mon étonnement, mais mon père n'a jamais aimé cet homme et....
- C'est ce qu'il y a de plus amusant, très chère, affirma dans un grand sourire sadique le roi, mettre en conflit deux scientifiques aussi veule et qui ne peuvent pas s'encadrer vas être extrêmement drôle. Ils vont tout les deux chercher à attirer mon attention, ça promet un divertissement des plus intéressant.
- Vous avez surement raison, acquiesça Reiju, dans un sourire léger. Il sera sans doute très amusant de voir de quel manière ils chercheront l'un, l'autre à vous plaire.
- Mais peu importe ma belle. Là, n'est pas l'important pour nous, coupa Alban, dans cette conversation qui visiblement ne lui plaisait pas. D'ici quelques mois, dit-il en la faisant se lever de son siège avant d'entamer une valse sur une musique imaginaire. Tu seras officiellement ma reine, ainsi que celle de tout mes sujets, jusqu'ici tu n'étais que mon épouse mais après cette grandiose cérémonie tu seras plus ...il faut au moins ça pour ma très chère épouse.
- Vous me comblez tellement de bonheur Majesté, souffla t-elle en tournant élégamment, dans sa magnifique robe brodé d'or.
- Mais tu le mérites, avait insisté l'homme au cheveux blanc, en la regardant d'un air un peu fou, comme si il percevait en elle, l'astre le plus lumineux de toute la galaxie.
*****
César Clown était un autre grand scientifique au service du Roi Alban, ses expériences ainsi que ses travaux n'avaient absolument rien avoir avec ceux de Judge. Ne pouvant se supporter l'un et l'autre, ils avaient pourtant le triste points commun de ne pas savoir respecter la vie des autres. Passionné par les gaz toxique ainsi que toutes les formes de poisons existant dans le monde, il avait réussi à créer des pilules qui octroyait à ceux qui l'avalait des capacités exceptionnel tel que pouvait en avoir les êtres à part. Bien sûr à la différence de ses derniers, ces capacités artificiel n'avaient qu'un temps limité d'actions dans le temps, aussi travaillait-il à l'amélioration de se détails. En plus de cela, il avait réussi à créer des armes qui malgré leurs apparence particulière étaient redoutablement efficace. A chaque fois qu'il avait dû en faire tester une, il s'était pointé sur un éventuelle champs de bataille, où lors d'exécutions de " criminels " et dans un sourire à faire des cauchemars avait pris note de tout ce qui le satisfaisait dans cette nouvelle création, et tout ce qui était à retravailler. Il avait dans son laboratoire une grande collections de poisons d'une rareté incroyable, il avait aussi une sorte de ménagerie regroupant les animaux doté de ces plus terribles substance afin de ne jamais être à court de ces lotions mortel.
Le problèmes était qu'en tant que scientifique César était doté d'une prétention hors du commun.Persuadé d'être le génies ultime, voir même un miracle de la nature, il avait été choqué lorsque le roi lui même était venu lui annoncer qu'il devrait partager son précieux labo, avec ce gros balourd de Judge. N'ayant aucun amour propre devant le roi, alors qu'en temps normal il débordait de prétention, il en avait été jusqu'à le supplier à genoux de ne pas le forcer à côtoyer ce désagréable individu. Grave erreur, car plus il s'avilissait ainsi devant Alban, et plus se dernier avait une furieuse envie de voir ce que cette collaborations allait lui donner comme divertissement.
- Très bien, très bien, avait finis par accepter César, je ferais selon vos ordres majesté, avait-il marmonné de sa petite voix aigrelette.
Judge de son côté, continuait de penser que les dieux lui avait définitivement tourné le dos, devoir travailler avec la présence constante de ce type, au rire des plus énervant, ne lui inspirait rien de bon sur l'avenir. D'ailleurs le père Vinsmoke, qui avait toujours fait en sorte de tester ses recherche sur des cobaye humains, n'avait jamais compris pourquoi César avait testé certain produit sur lui même. Depuis, cet imbécile à l'allure grotesque dégageait à l'occasion des espèces de vapeur toxique particulièrement urticante, voir même suffocante.
- J'ai appris ce qui était arrivé à votre laboratoire, s'exclama Clown de sa voix énervante, alors que Judge était en prises avec des calcules des plus compliqués. Ce n'est pas moi qui aurait commis la bêtises de mettre le feu au miens.
- C'est un accident, je ne suis pas assez stupide pour mettre le feu à mon laboratoire et perdre ainsi toutes mes recherches. Alors fermez-là, et allez dans votre coin, gronda Judge.
- Shulolololo....vos travaux sont perdu à jamais, pourquoi ne deviendriez vous pas mon assistant ?
Se relevant de toutes sa haute taille, Judge toisa du regard cet énergumène qu'il ne pouvait déjà plus supporter.Une furieuse envie de le tuer lui chatouiller les doigts.
- Moi un vulgaire assistant ? Gronda l'homme, vous devriez m'être reconnaissant, d'avoir accepté d'honorer votre minable labo de ma présence. Vous ne m'arrivez pas à la cheville...
- C'est vous Misérable qui devriez , être entrain de me remercier à genoux de vous autoriser à travailler ici. Sans moi vous seriez à la rue.
Alors des disputes interminable débutait dans le laboratoire, alors que les voix des deux prétentieux s'élevaient toujours un peu plus. Bataille d'orgueil, les témoins qui passaient par là était généralement sidéré par les propos tenus. Un jours pourtant la curiosité du Judge fût mise à rude épreuve, connaissant parfaitement tout les chef miliciens du royaumes, il avait été surpris un jours de voir arriver dans le laboratoire, un homme avec une grand épée noir dans le dos.
- Que fait Dracule Mihawk dans un tel lieux, se demanda le père Vinsmoke.
- Pourquoi je suis là, déjà ? Demanda l'impressionnant oeil de faucon l'air étonnement perdu, le regard vague.
- Drogué ! Observa Judge, avant de voir cet imbécile de César, emmener l'épéiste dans une pièce adjacente.
Depuis que leurs père avait " déménagé " dans un telle lieux, les frères Vinsmoke avait évité d'y aller trop souvent, supporter leurs paternel les agaçaient de plus en plus, si de surcroit ils devaient se farcir cet imbécile de boule de gaz, même eux pourtant dénué de sentiment finiraient par péter un câble.
Aussi les trois frères continuèrent t-ils de travailler sur la mission qu'ils s'étaient octroyaient eux même, depuis de nombreuses semaines à présent. A savoir retrouver leurs frères Sanji, qu'ils souhaitaient de plus en plus voir mort. Sa présence, où plutôt son absence se faisaient encore plus ressentir depuis qu'ils avaient décidé de le retrouver et les mettaient à l'occasion dans un tel état de nerf, que bien des victimes au châteaux en payèrent le prix. Aussi Tuèrent-ils sous un coup de colères quelques serviteurs innocent, dont Alban ne remarqua même pas l'absence à l'inverse de Reiju. N'aimant que très peu que ses frangins élimine ainsi des personnes innocentes, elle avait fait comprendre dans un sourire adorable qu'ils devraient à l'avenir passer leurs nerfs autrement. Ne pouvant plus la contredire, ni lui parler sans son autorisation, les trois hommes avaient subis cette remontrance comme une injure infamante.
A présent ils étaient tous les trois dans une bibliothèque du château libre d'accès. Assis autour d'une longue table en bois précieux, Niji et Yonji, observaient leurs frère ainé dérouler une longue carte devant leurs yeux.
- Qu'est-ce que tu veux qu'on face avec ça ? Demanda le vert en se balançant comme toujours sur sa chaise, alors que ses bras étaient croisé derrière la tête.
- Rétrécir notre champs de recherche ! Expliqua le rouge en ignorant l'agacement de son cadet. Il semblerait que le vieux cuistot n'est plus de nouvelle de notre frère, sa vie et d'un ennuie mortel....
- Je ne suis toujours pas convaincu de cela, le contredit le bleu, j'ai l'impression qu'il jouait la comédie. Chacune de ses explications puaient le mensonge. On devrait retourner le surveiller.
- On peut pas plutôt reprendre la chasse au être à part ? Demanda Yonji, au moins là on s'amusait ......
- Ici, expliqua Ichiji, en faisant quelques croix blanche sur la carte à l'aide d'une craie. Ce sont les refuges que l'ont à trouvé et rasé...Il est certain qu'il doit être caché dans un planque comme ça !
- Ils étaient tous situé vers le nord, certain raconte qu'il y en a un au milieux du désert, mais je suis étonné que personne n'en ai jamais eu la confirmation, marmonna Niji pensif.
- Comment un refuge pourrait exister dans un désert alors qu'il n'y a pas de flotte...Marmonna le vert, toujours aussi boudeur.
Un *crac* soudain se fit entendre, la chaise sur lequel était assis Yonji et sur lequel il n'arrêtait pas de se balancer depuis quelques minutes , cassa et le fit rouler sur plusieurs mètres avant d'atteindre la porte d'entrée de la bibliothèque. Là, il se releva assez agacé de cette situation ridicule, lorsque soudain ses yeux se posèrent sur sa sœur.
- Qu'est-ce que tu fais là ! Gronda t-il le regard mauvais.
Reiju ne répondit rien mais se contenta de froncer légèrement les sourcilles, l'une de ses suivante sans doute la plus dévouer et la plus fidèle prit notes sur un carnet, en fixant les trois frères qui visiblement refusaient se jours-là de s'agenouiller devant elle. Pendant quelques minutes elle resta là, debout digne, belle, et majestueuse à la fois, aussi calme et impressionnante, qu'elle pouvait l'être elle arriva à obtenir ce qu'elle voulait....
- Bien ! Dit-elle, dans un sourire moqueur, alors qu'elle voyait ses frangins soumis à son autorité. Je voudrais savoir ce que vous faites ici ! Pourquoi vous n'êtes plus aux ordres de père.
- Qu'est-ce que ça peu bien te faire ? Râla Yonji les dents serrées, les yeux rivés au sols.
- Je veux savoir, se contenta t-elle de répondre.
- Le roi n'est pas là, ria Niji nous ne sommes pas obligé d'obéir à tes ordres.
- Lilia, souffla de sa jolie voix la futur Reine, prend note que mes frères refuse de m'obéir et porte le message au roi...
- Bien Madame, s'inclina sa suivante en miment le départ.
- C'est bon , pas la peine de menacer ! S'exclama Ichiji avec aigreur. Nous faisons juste quelques recherche !
- Sur quoi ?
- Notre frère, Sanji, répondit le rouge son regard toujours cacher derrière ses lunettes de soleil.
- Sanji ? Répéta Reiju, mais fit-elle en dissimulant ses inquiétudes, il est mort depuis bien longtemps. Il est tombé malade quand mère s'est enfui avec...
- Ah ah ah ah ah , rirent les trois frères.
- Tu crois vraiment qu'on va gober cette histoire ? Se moqua Yonji, c'est des bobards, et père lui même nous à confirmé qu'il était toujours en vie. Alors arrête cette mascarade !
- Il nous à même dit que pour protéger notre famille, son existence devait rester cacher au yeux du roi... repris Niji.
- C'est pour me perdre, que vous voulez le retrouver, demanda en toute franchise la rose en marchant entre ses frères toujours soumis.
- Au début, on y avait pensé, admit l'ainé dans un ricanement sinistre, mais finalement on a autre choses à faire que de s'occuper de toi, et de tas misérable traitrise. On veut le retrouver car on en a besoin. Sa présence, où plutôt son absence se fait de plus en plus ressentir....et c'est intolérable....
- C'est une souillure ! L'homme qui l'à élevé, à reconnue qu'il était un être à part, intervient le bleue, il est l'un des leurs, et partager le même sang que cette choses ...et à vomir..
- Aussi, avons nous décidé de le retrouver et de mettre un terme à sa vie. Comme ça on sera à nouveau libre, on ne ressentira plus le manque de sa présence....
- Je comprends, souffla Reiju. Alors comme ça, pensa t-elle, Sanji est bien un être à part.
Lentement la jeune femme repartit dans ses souvenirs au près de sa maman, elle se souvenait de ses larmes qu'elle avait versé près d'elle en disant qu'elle ne voulait pas que son père, tue son gentil petit frère. L'image vague de la petite bouille souriante d'un enfant blond lui revient à l'esprit...Il était si adorable, malgré les sévisses physique qu'il subissait, combien de fois l'avait-elle caché afin qu'il ne se prenne pas de coup de la part des frères ou de son père. La dernière fois que la jeune femme avait vu, son petit, frère c'était la veille de sa " disparition" avec sa mère, il avait un bleue sur la joue et un oeil au beurre noir. Judge avait passé ses nerfs sur lui.
Avant de mourir sa mère lui avait bien, dit...
- Ne t'en fait pas ma chérie ils ne le trouveront jamais, ne te fait plus de soucie pour lui, et pense à ton bonheur.
Reiju n'avait plus vu son frère, depuis 15 ans, et pourtant elle sentait au font d'elle cette même envie qu'elle avait eu enfant de le protéger, sans doute parce qu'il avait été avec sa maman, l'être le plus normal qu'elle est connu. Adorable, gentil et doux, tout l'inverse des trois autres qui s'étaient toujours montré d'une extrême cruauté. Oui, dans un sens elle aussi avait envies de le voir, afin de savoir ce qu'il devenait, qui il était, quel était sa personnalité ? Et le fait qu'il soit un être à part ne le dérangeait pas vraiment, elle s'en fichait complètement même , car qu'importe cette différence, il était aussi de son sang. Mais ce rêves de revoir son adorable petit frère, ne se réaliserait jamais, elle en avait pleinement conscience de part son statu de reine, mais à cause de son époux qui ne supporterait pas qu'elle est un être à part comme frère caché...son amour n'irait pas jusqu'à accepter cela. Tout ce qu'elle pouvait faire pour lui s'était mettre des bâtons dans les roues, des trois " poupée vide ".
- Et bien , bon courage dans vos recherche, souffla Reiju. Vous pouvez vous relever ! Dit elle en sortant de la bibliothèque.
Alors qu'elle était dans le couloir avec sa fidèle suivante, Reiju incita cette dernière à se rapprocher un peu, là, elle prit la parole en prenant soins de baisser le volume de sa voix.
- Contacte " le" demain, car aujourd'hui, tu attiras leurs attentions, ma chère Lilia, et dit lui de surveiller mes frères je ne veux pas qu'ils retrouvent Sanji.
- Bien madame, s'inclina la petite servante. " Il" saura brouiller les pistes, je penses.
- J'espère, j'ai promis à ma mère de le protéger, je le ferais....
*****
C'était un lundi, et comme tout les lundis Zeff était en repos. La mâtiné était bien entamé, et avec tranquillité il savourait son thé favoris, alors qu'il écoutait une émission qui passait à la télé. Sans ménagement, il jurait comme un charretier sur la stupidité des participants. Il n'avait reçu qu'une seule et unique fois des lettres de son fils adoptif, et à chaque fois que son contact dissimulé sous l'apprendre d'un livreur venait le voir, il espérait toujours que ce dernier lui tende un paquet bien dodu dans lequel Sanji, lui raconterait sa vie dans le lieu ou il était. Mais rien, à chaque fois l'homme lui parlait de tout de rien, mais de rien en rapport avec son gamin. Agacé et peut-être un peu déprimé le vieux cuisinier trouvait la vie bien amère de lui avoir retiré son fiston. Même si au début quand la mère du petit lui avait demandé de le garder, il avait eu une furieuse envie de dire un grand et gigantesque NON. Mais malgré la dureté dont il pouvait être capable, la petite bouille souriante de ce môme de 3 ans l'avait fait chavirer. Si il avait sut par la suite que se même petit sourire charmant, n'allait pas arrêter de le traité de "vieux schnock" il aurait peut-être été moins attendrit. Quoi qu'il en soit, et malgré son fort tempérament, il arrivait à l'occasion que Zeff déprime un peu sur l'absence de son fils. Comme il maudissait cette haine, que tout le monde avaient des êtres à part, à cause de ce sentiment à la con, combien vivaient comme lui, dans la contrainte d'être séparé de son enfant pour sa sécurité. Se laissant pour une fois aller à ses émotions, le vieux cuistot sentit des larmes lui monter aux yeux.
- Imbécile, jura t-il contre lui même.
Se relevant, il alla en direction de la fenêtre du salon, cela faisait quelques semaines qu'il n'était plus du tout surveillé, et pour lui s'était pas plus mal. Non, par qu'il se privait d'une quelconque manière à cause de cela, mais leurs présence même que , ce soit le gouvernement, où les frères de Sanji, l'agaçaient.
Et puis il entendit quelqu'un frapper à la porte d'entrée, se disant que finalement sa tranquillité n'était peut-être que de courte durée, et qu'à nouveau on allait l'enquiquiner, il ouvrit la porte bien décidé à offrir à l'opportun un visage des plus désagréable.
- Quoi ? Gronda t-il en guise de salut. Ah ? C'est vous ?
L'homme qui se tenais sur le pas de la porte était le livreur et contact avec l'endroit ou était Sanji.
- Que faite vous là ? Il n'est rien arrivé au gamin ?
- Non, tout vas bien je vous rassure, mais puis-je entrer ?
- Oh, oui bien sûr !
D'un mouvement de la main, Zeff invita l'homme à entrer, puis à le suivre dans la cuisine , une fois là-bas, le vieil homme lui servi un bon thé, avant de s'assoir autour de la table.
- Que c'est-il passé pour que vous veniez me voir, pendant un de mes jours de congé.
Immédiatement son instinct paternel s'était mis en alarme et le vieil homme, même si il ne montrait rien s'attendait à entendre le pire. Les mains croisé devant lui, il ne pouvait empêcher son pied unique de tapoter le sol dans un rythme régulier.
- Je vous assure qu'il n'y a rien de grave, lança le contact. En faite j'ai même une proposition intéressante à vous faire, elle vient de la part du chef !
- Le chef, c'est ce type qui dirige le lieu ou est le petit ?
- Exactement, le compagnon de votre fils, à eu l'idée de lui faire une surprise. Il voudrait vous faire venir là, ou ils sont afin que vous puissiez passer du temps avec vot.....
- Je pourrais voir mon fils , Beugla Zeff en se relevant ....Vraiment ?
- Oui, mais il y a une procédure à suivre avant cela, afin d'assurer votre sécurité, mais aussi ceux des habitants du re....des lieux ou ils sont.
Alors l'homme expliqua au vieux cuistot la procédure qu'il allait devoir suivre si il voulait pouvoir revoir son garçon dans de bonne condition, et surtout dans attirer l'attention. Il allait d'abord devoir prendre des vacances afin d'expliquer son absence, et irait dans un petit village assez isolé réputé pour ses spécialités locale, où il logerait dans un petit hôtel de gares tenu par un de leurs " amis". Là-bas, le jours convenu des membres du groupe qui était venu chercher Sanji, viendraient le chercher pour l'emmener au près du blondinet. Toute fois l'homme précisa...
- Pour des raisons de sécurité, ils seront obligé de vous bander les yeux, afin que..
- Je ne reconnaisse pas les lieux ! Je comprends, mais qu'importe qu'on me bande les yeux, sourit le vieil homme, je vais pouvoir revoir mon gamin, alors que je ne pensais pas ça possible...
- Pour le retour je penses que vous verrez ça avec eux. Est-ce que vous êtes partant ?
- Bien sûr ! Je peux même déjà vous donner une date, attendez ! S'exclama Zeff qui le matin même avait l'esprit morose, alors que là son coeur semblait bondir d'impatience à l'idée de revoir son fiston.
Après avoir disparut, durant quelques minutes le vieux cuistot revient avec entre ses mains , un calendrier qui était surtout affiché dans la cuisine de son restaurant, là durant quelques minutes il se mit à réfléchir en caressant ses longues moustache tressé.
- Hum...je sais ce que je pourrais faire, sourit-il l'œil sournois. Je pourrais toujours dire que j'ai des problèmes avec ma jambes ...expliqua t-il en cognant de son poing sa jambe de bois, et qu'à mon vieil age j'ai besoin de prendre un peu plus de repos.... je laisserais le resto aux gars, le laisser tourner attirera moins l'attention ,que si je le ferme complètement....
- C'est vrai, reconnu le livreur, en le voyant s'assoir à nouveau à table alors que devant ses yeux s'étalait un calendrier rose avec des chattons tout mignons dessus. Un peu étonné par se sujet très mignons ce qui collait pas tellement à l'homme qui lui faisait face, l'homme allait pour dire quelques choses, lorsque Zeff répondit à sa questions muette.
- Sanji, m'a filé se calendrier merde, de vieille bonne femme amoureuse des chats, juste pour me faire chier en début d'année, ria t-il. Bon....alors disons....je pourrais être là-bas le 10 novembre....Dans deux semaines en sommes...
- Très bien, je prend note ...le 10 novembre. Je vais confirmer ça au près du chef, et je vous tiens au courant de la même façon que d'habitude ça vous vas ???
- Impeccable sourit Zeff heureux, en repensant à toutes ses choses que son fils n'avait pas pu prendre avec lui faute du manque de place dans son énorme sac de bagage le jours de son départ.
Après avoir discuté encore un peu, le contact prit congé afin de tenir au courant, Shanks sur la venu imminente de Zeff, au refuges.
Un peu plus tard ce jours là, dans le bureaux du chef, Shakky qui avait reçu le coups de téléphone entra après avoir brièvement frappé à la porte. Là, elle vit son supérieur debout près de la fenêtre à observer le parc à demi ensoleillé alors que Luffy, Ussop et Chopper qui était en congé essayaient avec quelques difficulté à faire voler un cerf-volant. Un rire éclatât dans le bureau lorsque le Chef, vit le cerf-volant faire une sorte de looping avant de percuter l'arrière du crâne en caoutchouc de l'homme au chapeau de paille.
- Ah ah ah ah ce qu'ils sont nouille ! Ricana t-il, alors qu'il avait une furieuse envie d'abandonner son travail pour aller les rejoindre. Tiens Shakky, je ne t'avais pas entendu.
- Je vois ça, sourit la brune. J'ai des nouvelles de notre contact, pour faire venir Zeff ici....Il propose le 10 novembre. Je me suis permises de confirmer. Tiens je t'ai réuni quelques infos supplémentaire sur ce papier.
- Ah merci, tu as eu raison, ça nous laisse le temps de nous organiser, fit le rouge en prenant les feuillets puis en allant s'assoir derrière son bureau. Il est au courant au faite que Sanji est enceinte.
- Hum ? Fit la brune en réfléchissant. Maintenant que tu le dis, je ne crois pas. Nous n'avons pas eu l'occasion de lui faire parvenir les lettres que Sanji lui à écrit dernièrement donc... je crois pas qu'il soit au courant.
- Oh, la surprise vas être grande alors, sourit le rouge espiègles. J'ai hâte de voir sa réaction.
Quel serait la réaction de Sanji, en voyant son père adoptif, cette question Zoro se la posa quelques jours plus tard lorsque Shanks pu le tenir au courant de l'avancer de la surprise. D'ailleurs en voyant que son mignon petit oméga était toujours aussi emmerdé par ses sauts d'humeurs gigantesque, il l'avait encore vu à l'occasion pleurnicher au maudissant les dieux de l'empêcher de voir son père. Alors qu'à d'autre à nouveau Sanji s'engueuler de pleurer comme un gamin incontrôlable. Pourtant, Zoro tout comme Law avaient beau lui dire que c'était normal avec le taux d'hormone excessif qu'il avait , cela ne l'agaçait pas moins.
C'était un soir de début novembre, allongé dans le lit, alors que les douleurs dans le dos à force de rester trop debout commençait à se calmer Sanji, pris la paroles.
- Zoro ?
- Hum....fit le sabreur qui commençait à s'endormir. Quoi ?
- Dans quelques jours tu vas avoir 19 ans, tu veux fai..
- Je veux pas fêter mon anniversaire, coupa Le bretteur.
- C'est parce que ...
- Exactement, l'interrompis une fois de plus le vert, J'ai trop de mauvais souvenir lier à ce jours, mes parents ont été abattu comme des chiens, j'ai perdu un oeil, et j'ai été éventré....donc, non je préfère pas.
- Oui, bien sûr que je comprends, c'était stupide de ma part de te demander cela.
Puis se retournant sur le côté, le blondinet parvient à se caler, alors qu'une terrible culpabilité commençait à l'envahir. Se retenant d'avoir ces " putain" de larmes aux yeux, Sanji tentait à respirant lentement de chasser cette tristesse qui le prenait soudainement. Mais Zoro qui avait sentit son manège se releva assis dans le lit, puis après avoir allumé la lumière, alors que le blondinet cachait son visage dans la couette, il dit...
- Te prend pas la tête pour ça , Chéri....c'est rien ce n'est qu'un anniversaire...
- Je sais bien mai..snif...
- Tu pleures ? Demanda Zoro, en tirant sur la couette afin de voir le visage de son oméga.
- Pff n'importe quoi....arrête de tirer........! ...Bon d'accord !! Un peu, mais ce n'est pas de ma faute....c'est ses ...hormone à la con....
- Bon, fit Zoro en passant la main derrière son crâne alors que l'autre caressait les doux cheveux blond. On va faire comme ça, ....je veux bien que tu fasses un gâteaux d'anniversaire mais rien de plus..ok ? Et pas de chanson hein ...je supporte pas ça ....!
- Je voulais que se soit un jours spéciale pour toi, je te dois bien ça !!
- Quoi ? Tu me dois bien ça ? Répéta d'une voix surpris le bretteur ! Mais...tu portes notre bébé, grâce à toi, on va avoir une famille. Je te serais à jamais redevable, rien que pour ça ....murmura t-il dans un de ses trop rare sourire charmant.
- Merci, c'est gentil ...marmonna le cuistot rougissant jusqu'à la racine des cheveux, avant de recevoir un baisé sur le front.
- Tu sais, si il y a une choses que je peux te promettre c'est que cette journées ne sera pas comme les autres, affirma, Zoro toujours aussi souriant.
*****
Et voilà, pour le chapitre 30:
Dans lequel Judge doit partager un labo avec César Clown, qui manigance quelques choses avec Mihawk (un calvaire pour une dyslexique comme à écrire ce nom)
De son côté Reiju qui est en lutte avec elle même, continu de garder un oeil sur ses frères. Zeff de son côté apprends qu'il va rendre visite à son fils et piétine d'impatience (même avec sa jambes de bois)
J'espère que ce chapitre vous à plus. Et le prochain sera sans doute durant la semaine prochaine.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro