7. L'orphelin devenu un homme
Alors que je me dirigeais vers cette petite maison, je sentie comme une présence derrière moi, je tourna la tête mais il n'y avait personne. Je regarda de nouveau vers moi et il n'y avait personne donc je continua ma route. J'observais tout de ce chemin, les fleurs étaient magnifiques, comme-ci quelqu'un s'occuper tout les jours de ce chemin. C'est comme si la petite maisonnette en bout de chemin avait énormément d'importance. Je pressa alors le pas ne voulant pas rester dehors trop longtemps. J'arrivée alors devant cette maison et vis une grande porte en bois. Je m'arrêta face à celle-ci et l'effleura de mes doigts. Elle était en bois, un beau bois. Je me dis alors que ce qu'il devait avoir à l'intérieur devait avoir de l'importance. J'ouvris doucement la porte et tomba sur deux pierres, je pus lire "Martha Wayne" sur l'une et sur l'autre "Thomas Wayne" je tomba alors sur les genoux après le choc que je venais de vivre. Je repensa alors au cauchemar de l'épouvantail celui où j'avais... j'avais tué... les parents de Bruce... je fondis alors en larme. J'avais mal pour lui, mais aussi pour moi. Je sais que ce n'est qu'un rêve mais si c'était la réalité ? Par je ne sais quel moyen je serais revenu dans le passé et les aurait tué ? Non, impossible ! Je sécha alors mes larmes et me releva espérant que personne ne m'ai entendu ou même vu. Je posa alors mes mains sur la tombe et ferma les yeux. Je pria pour ce couple et partis ensuite.
J'ouvris la porte et tomba nez à nez avec Bruce, il y avait donc bien quelqu'un qui me suivait, moi qui pensait avoir été discrète. Je le regarda droit dans les yeux puis ne sachant quoi dire je commençais à avancer vers lui je m'arrêta au niveau à 10 centimètres de lui puis posa ma main sur son épaule et partis. Je regretta alors ce que j'avais fait tout à l'heure et le geste que je venais de faire. Ce geste, cette main sur son épaule ne représenté pas un soutien mais de la pitié et j'avais sans le vouloir montré ce qu'il ne fallait pas. J'avais mit en évidence la pitié que cet homme pouvait donner au gens comme moi, c'est-à-dire au personne bien classé ayant toujours leur famille avec eux. Je m'en voulu tellement mais revenir vers lui après le mur que j'avais installé entre nous n'était pas une bonne idée et je le savais. Rentré au manoir, je décida d'appeler un taxi pour qu'il me dépose au bureau du Daily Planet. Il fallait que j'avance sur mon scoop si non Perry allait me faire rentrer à Gotham. Ce soir j'avais décidé d'arrêter de parler à Bruce Wayne. En sortant je remercia Alfred et alla vers mon taxi et sur le petit sentier de tout à l'heure, je le vis... Bruce. Je baissa les yeux et rentra dans le taxi.
Arrivée devant les bureaux, je paya le taxi et le remercia. Je sortis ensuite et alla dans les bureaux. Personne, comme d'habitude. J'alla directement dans le bureau qui me faisait office de chambre. Je posa mon téléphone sur la table de nuit et sur celle-ci je vis le papier que B-Monsieur Wayne m'avait écrit avec son numéro. Je le pris dans les mains et le mis à la poubelle. A quoi bon ? J'avais choisi d'arrêter tout ça. Alors que je m'installais dans mon canapé, mon téléphone sonna. Je pria pour que ça ne soit pas Wayne mais quelqu'un que... j'appréciais ? Je me faisait du mal à dire ça. Je pris mon téléphone dans les mains et lus le nom : Clark Kent. Je décrocha attendant de savoir pourquoi il m'avait appelé.
Clark : Alors comme ça tu te fais agresser et tu dors chez Bruce, et tu ne me le dis même pas ?
Moi : Clark... je ne dors pas chez Monsieur Wayne... je suis rentrée chez moi.
Clark : (T/p), t'es sûre que ça va ? Tu as l'air déprimée.
Moi : Clark, je perds la tête. Je ne sais pas quoi faire. Déjà mon agression puis Wayne qui vient à mon secours, Batman, le presque bisous, le meurtre,... c'est trop.
Clark : LE PRESQUE QUOI ?!? Et quel meurtre ?
Moi : Wayne a faillit m'embrasser, j'en avais envie mais d'un coup j'ai pensé à Batman et je me suis ravisée. Et je parle du meurtre des parents de Wayne.
Clark : Pourquoi est-ce que tu ne l'appelles plus par son prénom ? Et tu aimes Batman ?
Moi : Je ne sais pas, j'ai envie de tourner une page. Je ne pense pas aimer Batman mais il me turlupine...
Clark : Tourner la page ?! Alors que tu aimes Bruce ?
Moi : Je n'ai jamais dit ça ! Je... je suis perdue... Je ne sais pas quoi faire.
Clark : Eh bien... argh c'est compliqué tout ça !
Moi : Mais oui...
Clark : TU AURAIS DU L'EMBRASSER !
Moi : Je sais. Fin, NON !
Clark : Tu vois que tu l'aimes ! Quelle idiote tu fais !
Moi : Mais si je l'aime, ATTENTION je ne dis pas que je l'aime j'ai dis SI. Si je l'aime pourquoi est-ce que j'aurais pensé à Batman ?
Clark : Peut-être que tu aimes Batman.
Moi : Je ne l'ai vu que 2 fois !
Clark : Et alors ? Peut-être que tu aimes les deux.
Moi : C'est bizarre d'aimer deux personnes à la fois.
Clark : Hé hé hé.
Moi : Qu'est ce qui te fais rire ?!
Clark : *hum* rien rien !
Moi : Tu me caches quelque chose et je compte bien le découvrir !
Clark : Sache, (T/p)... que aimer ces deux hommes n'est absolument pas bizarre. Peut-être que tu vois en l'un l'autre et inversement. Personne ne sait quelle surprise tu pourras rencontrer.
Moi : Je... merci Clark.
Clark : Je te laisse (T/p). Mais essaye de savoir pourquoi tu les aimes et non pas qu'un seul.
Moi : Oui, je te rappellerais. Au revoir.
Clark : A la prochaine.
Je raccrocha et je regarda la poubelle où j'avais mit le papier. J'alla vers celle-ci et le pris dans les mains. Je le regarda longtemps mais le laissa tomber de nouveau dans la poubelle ne voulant pas me torturer d'avantage. J'alla me rasseoir et m'endormis aussitôt, l'esprit embrouillé entre les propos de Clark et ce que je ressentais pour Bruce Wayne et Batman.
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FIN DE CHAPITRE !
BON ALORS ! Je dois vous avouer que j'ai écrit le chapitre 5,6 et 7 dans la même journée...OUPS !
J'espère que vous aimez toujours !!!!!
GROS BISOUS !
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