Chapitre 10
Le lendemain Daniel m'a emmené voir une caverne, elle était superbe, l'eau gelée donnait des formes magnifiques on aurai dit des œuvres de sculpture c'était magique, nous marchions l'un à coté de l'autre il me tenait la main malgré que nous portion des gants j'avais des sensations uniques, j'étais heureuse et sereine.
A un moment donné j'ai trébuché alors Daniel m'a rattrapé tout de suite, ses deux mains derrière mon dos, et son visage tout prêt du mien, son nez a caressé le mien puis il a déposé un baisé sur ma bouche.
Daniel : tu ne veux pas que nous rentrions au chalet ?
J'ai hoché la tête pour dire oui.
Nous sommes arrivés et mon cœur allait sortir de ma poitrine, nous sommes directement montés dans la chambre, Daniel m'a fait assoir sur le lit : écoutes Alice, si tu ne veux pas .......................
J'ai mis ma main sur sa bouche : je veux être avec toi plus que tout au monde !
Daniel m'a englouti contre lui sous la couverture : comment cela fait il que tu n'ais connu aucun homme ?
- Avec mes allez-retours à l'hôpital et mon état de santé, je n'avais pas le temps de connaitre des garçons ou des hommes !
Daniel : tu es si pure !
- Et toi ?
Daniel : quoi moi ? ( il avait un sourire mesquin)
- Combien de femmes as-tu connu ?
Daniel : la moitié des habitants de l'Afrique du sud ( elle a poussé un rire)
J'ai pris l'oreiller et je l'ai frappé avec.
Daniel qui m'a remis entre ses bras : crois moi mon poussin je n'ai pas eu autant de conquêtes que ça, j'avais d'autres chats à fouetter.
- Racontes moi combien de frères tu as, tes parents, je veux tout savoir§
Daniel a eu le regard qui s'est égaré comme l'autre fois, son esprit s'est évasé pendants quelques instants et il a poussé un soupire : je te raconterai tout sur moi, donnes moi juste un peut de temps mon poussin.
Daniel : et si je n'avais pas ce temps Daniel ?
Il m'a séré très fort : tu l'aura ton temps ma chérie, tu mérites d'être heureuse, on trouvera un donneur et tu vivras jusqu'à tes cent ans.
Les sept prochains jours étaient les plus beaux de ma vie, j'étais comblé de bonheur, nous sortions chaque jour pour voir des endroits magnifiques, et quand nous étions à la maison nous dansions, nous nous amusions comme des enfants, nous avons passé la nuit de Noël ensemble s'était vraiment magique, j'étais épanouie, maman et mes amis m'appelé au téléphone pratiquement chaque jour.
Tout aller très bien jusqu'au onzième jour j'étais dans la cuisine quand j'ai entendu Daniel qui crié dans la salle de bain, je me suis précipité vers il disait : au mon Dieu, pourquoi ( il pleurait)
J'ai frappé à la porte : Daniel, qu'est ce qui se passe, ouvre moi la porte s'il te plait !
Daniel : Je veux rester seul, laisse moi un peut.
Je ne savais pas quoi faire je suis restée devant la porte de la salle bain à attendre qu'il ressorte.
Apres une demi-heure il est ressorti avec son portable dans la main, les yeux tous rouges: prépares tes affaires Alice, nous devons rentrer à Paris.
- Mais qu'est ce qui se passe, nous devions rester quinze jours, tu as eu un problème ? tu sais tu peux tout me dire ????
Daniel : je ne peux rien te dire pour le moment, s'il te plait ne me poses pas de questions.
J'ai préparé ma valise, nous avons pris la route après une heure de temps, Daniel n'a plus redit un mot tout au long du chemin du retour, et je n'osais plus rien demandé.
Il a garé sous notre immeuble, il tapotait le volent de la voiture, j'attendais qu'il dise quelque chose, j'étais frustrée, je voulais qu'il me parle, qu'il, m'explique au moins ce qui s'est passé là-bas au chalet.
Daniel : allé, on monte, je vais faire monter ta valise.
Maman a ouvert la porte elle m'a enlacé : oh mon Dieu, tu es rentrée ma chérie !!!
Daniel : bonsoir madame, nous sommes rentrés un peut plus tôt, merci de m'avoir fais confiance, Alice vous est revenue.
Daniel m'a regardé avec des yeux larmoyant, il a avancé et m'a pris dans ses bras il m'a chuchoté dans l'oreille : merci pour tout, c'était les plus belles vacances de ma vie, je m'excuse pour toute à l'heure.
Il m'a embrassé sur la joue et il est ressorti, je l'ai suivi sur le palier, il descendait les escaliers, mon cœur se séré dans ma poitrine.
Je suis rentrée dans ma chambre, j'ai fermé la porte et j'ai pleurai toutes les larmes de mon corps, j'étouffais mon visage contre l'oreiller comme ça ma mère ne pouvait pas m'entendre.
Maman a frappé à ma porte ; tu ne veux pas manger quelque chose ma chérie ?
- Non maman merci je veux juste dormir !
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