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Chapitre 12 : Première nuit

Une fois seule chez elle, Damaris cru qu'elle mettrait du temps avant de s'endormir, mais à peine fut elle allongée qu'elle sombra dans le sommeil.

Chez Nina, les choses étaient très différentes, Louise l'aidait à se déshabiller pour aller se coucher mais elle voulait absolument qu'elles allaient chercher Damaris

— Pourquoi tu l'as déposé chez elle ?

— Parce qu'elle me l'a demandé, répéta Louise pour la énième fois.

Louise parvint à la mettre au lit et voulu aller prendre un peu l'air.

— Où est ce que tu vas ? demanda Nina.

— Je vais dehors ?

— Tu m'abandonnes toi aussi ? dit Nina en voulant se lever.

— Mais non, dit Louise en revenant coucher Nina. Je vais juste prendre un peu l'air et je reviens dormir avec toi. Aller couche toi maintenant, il faut que tu dormes.

Louise parlait avec une voix douce et posée, elle ne s'agaça pas du comportement de Nina, mais avec la soirée qu'elle venait de passer, elle méritait bien une petite clope. Elle repensa aux baisers qu'elle avait échangé avec Damaris et Nina. Elle espérait que ce n'était pas l'histoire d'une soirée, mais comme Damaris avait préféré rentrer chez elle, ces doutes étaient revenus.

Elle n'étira pas cet instant de solitude et préféra rejoindre Nina. Elle se mit en sous vêtement et se glissa dans les draps. Nina était déjà endormie et Louise se cola à son corps encore bouillant.

— Je t'aime, murmura Nina.

— Je t'aime aussi, répondu Louise en déposant un baiser sur son épaule.

Damaris fut réveillé par sms, elle ne le regarda pas tout de suite, elle avait l'impression d'avoir à peine fermer les yeux, mais le soleil éclairé déjà son appartement à travers le store. En reprenant peu à peu conscience, elle se souvenu de la soirée de la veille, des lèvres de Nina et de Louise sur les siennes. Elle se demanda un instant si ce n'était pas qu'un rêve, mais elle se dit que si c'était un rêve elle aurait passé la nuit avec elle, elle ne serait seule dans son petit appartement. C'était stupide, pourquoi était-elle rentrée chez elle seule, au lieu de suivre les filles chez elles.

Elle se décida à regarder son téléphone, elle fut déçue que ce ne soit pas une de ses nouvelles amies. C'était son amie Héloïse :

« Ça y est, tu les as embrassés ? T'es surement encore chez elle, endormi dans des bras sexy... »

Damaris lui répondu en lui livrant les grandes lignes de la soirée, Héloïse s'insurgea qu'elle ait préféré rentrer seule chez elle.

Héloïse : « Tu devrais aller les retrouver »

Damaris était totalement d'accord avec Héloïse, mais elle n'allait pas débarquer comme ça, après leur avoir fait faut bon.

Elle se décida à prendre une douche. Elle repensa aux lèvres de Louise sur les siennes, à celle de Nina sur son cou. Elle se prit à penser à ce qui aurait pu arriver si elle n'était pas rentrée chez elle. Alors que son esprit divaguait, sa main glissa de son bas ventre à son intimité. Elle aurait déshabillé Louise, redessinait ses courbes des bouts des doigts. Elle aurait laissé Nina lui arracher ses vêtements, elle aurait apprécié leurs caresses, chacun de leur baiser.

Damaris se laissa fantasmer jusqu'à en jouir. Elle se dit qu'elle ne devait pas se contenter d'imaginer. Elle avala un bol de céréale, et prit le chemin pour aller chez ses nouvelles amies.

Quand Nina ouvrit les yeux, Louise n'était plus à côté d'elle dans son lit. Elle voulu l'appeler, mais le son de sa propre voix lui faisait mal à la tête. Elle se leva péniblement, la bouche pâteuse, les yeux presque fermés et se traina jusqu'à la salle de bain. Elle prit le verre qui était posé sur le lavabo, et bu de l'eau. Elle en passa sur son visage ce qui lui fit le plus grand bien. Elle bu un second verre d'eau et s'étira péniblement. Elle se dirigea vers la terrasse où Louise buvait un café en lisant un livre.

— Comment ça se fait que tu sois si fraiche ce matin, dit Nina en faisant sursauté Louise, alors que moi j'ai l'impression d'être une véritable épave ?

— Parce que moi, contrairement à toi, je n'ai pas abusé de boisson alcoolisée hier soir, dit-elle en souriant. Viens t'asseoir, je vais m'occuper de toi.

Nina s'exécuta, Louise lui ramena un verre d'eau dans lequel effervesçait une pastille jaune, un verre de jus d'orange et un café. Elle lui tartina deux tranches de pain qu'elle avait toastés avec du beurre sur lequel elle étala une confiture à la pêche.

— J'ai de la chance de t'avoir, lui dit Nina.

— Non, c'est moi qui ai la chance de t'avoir.

Nina sursauta quand quelqu'un sonna au portail :

— Qui peut bien venir nous faire chier un dimanche matin ?

— Il est deux heures de l'après-midi chérie, rétorqua Louise en allant voir qui c'était.

Elle reconnut Damaris, lui ouvrit le portail en lui disant de les rejoindre sur la terrasse.

— C'est Damaris, dit Louise en revenant à table.

— Quoi ? mais je ne suis pas présentable, se plaignit Nina.

— Mais si, tu es très bien, comme toujours.

Damaris fit le tour de la maison pour prendre les escaliers qui mener à la terrasse. Quand elle apparut en haut des marches, Nina remarqua vite que seuls ses petits yeux trahissaient la consommation excessive d'alcool la veille. Elle en vint à se demander si elle n'avait pas été la seule à boire. Damaris était tout à coup extrêmes timide, ne sachant pas quel comportement adopter depuis les événements de la nuit dernière.

— Tu es resplendissante, dit Nina quelque peu jalouse. Pourquoi je suis la seule à pâtir de cette soirée ? J'avais l'impression que tu avais bu autant de verre que moi, Damaris.

— C'est la jeunesse, dit Louise.

— C'est gentil de dire ça, intervint Damaris, mais j'ai une sale tête.

— Tu m'as vu ? demanda Nina.

— Oui, et tu es, hésita Damaris, réveillée.

Nina se leva faussement blessée, alors que Louise riait de bon cœur. Elle annonça qu'elle allait prendre une douche et qu'elle espérait qu'on serait moins sévère avec son grand âge lorsqu'elle reviendrait. Elle disparut dans la maison, puis revint en passant la tête par la porte vitrée qui donnait sur le salon.

— Ai-je droit à un baiser d'encouragement ?

Cette question était clairement à destination de Damaris qui se figea quelques secondes. Nina et Louise la dévisagèrent, attendant une réaction. La jeune femme prit son courage à deux mains, franchit les quelques mètres qui la séparaient de Nina et déposa ses lèvres sur les siennes. Ce baiser ne dura qu'une fraction de seconde, mais il suffit pour raviver les souvenirs de la nuit passée.

— Viens t'assoir, proposa Louise alors que Nina parti à l'étage. As-tu déjeuné ? Est-ce que tu veux un café ?

— Oui, j'ai déjeuné, mais je ne suis pas contre un café.

Quand Louise revint avec son café, Damaris entreprit de s'excuser pour son comportement de la veille.

— Tu n'as pas à t'excuser, la coupa Louise. Si t'en avais pas envie, t'avais pas à te forcer. De toute façon, Nina avait bien trop bu pour faire quoique ce soit.

— Oui, mais quand même. En plus, j'en mourrais d'envie, confia Damaris, j'en meurs toujours d'envie.

— Tu as peur de quoi ? demanda la rouquine en rougissant.

— C'est juste que je n'ai aucune idée de comment ça doit se passer. Je veux dire laquelle d'entre vous je dois embrasser en premier ? Est-ce que je dois vous déshabiller ? Ou est ce que chacune se met nue ? est ce que je vais réussir à vous combler ? Non, mais c'est vrai, je suis à peine capable de faire l'amour à une femme, alors comment je pourrai combler deux femmes ?

— Damaris, calme-toi, coupa Louise avant de l'embrasser. Tu te poses trop de question. Regarde hier, les choses se sont passées naturellement, ça sera pareil. Il ne faut pas que tu te mettes la pression.

Damaris rapprocha son visage de Louise pour l'embrasser encore.

— Tes baisers sont doux, dit-elle, ils sont réconfortants.

Louise lui répondu par un doux sourire, ses yeux se plissant légèrement. Elle l'embrassa de nouveau.

— Qu'est-ce que tu lis ? demanda Damaris pour changer de conversation.

— Les quatre filles du docteur March. Je l'ai lu quand j'étais au collège, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de le relire. Et puis Nina vient à peine de se réveiller, fallait bien que je m'occupe.

Louise interrogea Damaris sur ses lectures, puis elles parlèrent se série télé et enfin Nina réapparu. Même si elle était habillée simplement, elle semblait avoir fait des efforts pour qu'on oublie qu'elle se faisait vieille.

— Qu'est ce que vous voulez faire ? demanda Nina.

— Il fait beau et pas trop chaud, on pourrait aller se promener.

— S'il te plait chérie, dit Nina, je sais que j'ai l'air d'avoir vingt ans, mais en réalité j'ai besoin de calme et de repos.

— Qu'est-ce que tu proposes ? demanda Louise.

— Un film, ça vous dit ?

Elles allèrent s'installer sans le salon, Damaris passa en revue les DVDs que Louise ou Nina refusaient assise dans le canapé.

— On a cas mettre Netflix et lancé le premier film qu'on nous propose.

Elles s'exécutèrent. Damaris et Louise étaient assises à chaque extrémité du canapé. Nina, assise entre elles deux, prenait ses aises : sa tête sur l'épaule de Louise et les pieds sur les jambes de Damaris. Elles lancèrent la dernière comédie romantique pour ados. Nina s'endormi rapidement, alors que Damaris somnolait bercée par les doigts de Louise qui jouait délicatement dans sa chevelure.

Quand le film se termina, il n'y avait que Louise qui pouvait en raconter le contenu. Nina proposa à Damaris de rester diner, elle accepta mais dit qu'elle préférait rentrer pas trop tard puisqu'elle commençait tôt le lendemain.

— Tu peux rester dormir, dit Nina.

— Je sais très bien que si je reste, on va se coucher tard et je suis encore fatiguée de la soirée d'hier.

— Elle a raison, dit Louise. Toi tu as fait une bonne petite sieste, t'es en forme, ce n'est pas notre cas.

— C'est qui la vieille maintenant ? taquina Nina.

Nina se mit à la cuisine, Damaris la regarda avec admiration alors que Louise était partie prendre un bain.

— T'es vraiment douée en cuisine.

— Merci, dit Nina avec un sourire sincère, je fais de mon mieux.

— Qui t'as appris à cuisiner comme ça ?

— J'ai appris toute seule, en regardant des émissions télé et des vidéos Youtube.

— C'est un vrai don alors.

— J'ai dû m'y mettre pour garder Louise, elle adore la bonne cuisine.

Quand Louise revint de la salle de bain, vêtu d'une légère robe de chambre, la table était déjà mise et le repas était prêt. Nina ouvrit une bouteille de vin et elles trinquèrent au début d'une belle histoire.

L'ambiance était conviviale, elles riaient de bon cœur parlait de choses futiles et se taquinèrent. Le sentiment d'être de trop s'estompait de plus en plus pour Damaris qui avait l'impression d'avoir trouvé sa place.

Après le repas, elle alla sur la terrasse, elle regardait le jardin parfaitement entretenu appuyée contre la rambarde. Elle ne fut pas surprise de sentir des bras enlacer sa taille et un corps se presser contre son dos. Elle en profita quelques secondes, sentant un souffle chaud glisser sur son cou, puis elle se retourna sur Nina. Elle lui sourit et se mit à penser qu'il n'y avait pas de meilleur endroit au monde que sur cette terrasse. Nina se pencha vers elle et l'embrassa. Damaris lui rendu son baiser en s'accrochant à la rambarde. Il devint de plus en plus profond, alors que la main chaude de Nina glissa sur la peau du dos de Damaris. Leur cœur battait à tout rompre.

Louise les regardait de la cuisine, elle avait envie de les rejoindre, mais elle ne voulait pas risquer de rompre le charme. Elle vit Nina attirer Damaris vers la maison , elle se doutait de la destination qu'elle voulait prendre. Elle ouvrit la porte de la terrasse en continuant des les observer alors que Nina s'atteler à détacher le short de Damaris tout en prenant le chemin de la chambre.

Quand elles passèrent la porte fenêtre, Damaris passa des lèvres de Nina à celles de Louise qui avait déjà enlever son haut laissant apparaitre sa poitrine généreuse. Nina était dans le dos de Damaris qui n'en revenait pas de ce qu'elle était sur le point de vivre avec deux magnifiques femmes.

Elles avancèrent péniblement jusqu'aux quelques marches qui menèrent à la chambre. De peur de manquer une marche, Louise rompu ses baiser avec Damaris, lui pris la main et l'emmena dans la chambre, Nina sur leurs talons.

Une fois dans la chambre, Louise jeta Damaris sur le lit, comme si cela faisait des mois qu'elle attendait ce moment. Damaris s'appuya sur ses coudes pour lever la tête et voir Nina et Louise s'embrassaient avec passion. Elles se déshabillèrent sous son œil alerte. Puis elles en vinrent à Damaris, Nina lui enleva son haut, lécha son téton duret embrassa sa poitrine gonflée. Louise enleva son short et sa culotte.

Damaris se retrouva nue sur le lit, sa peau frissonnante se réchauffant au contacte des corps de Nina et Louise. Elle ne savait pas quoi faire, comment agir, mais ses nouvelles amies savaient exactement ce qu'elles voulaient.

Nina embrassait Damaris et prit sa main pour la diriger vers son intimité. Au moment où Damaris l'effleura, Nina ouvrit les yeux et plongea son regard givré dans celui de Damaris. Pendant ce temps, Louise embrassé l'intérieur de la cuisse de Damaris, se rapprochant peu à peu de sa vulve.

Pour la première fois, elles couchèrent ensemble et cela se fit de façon naturelle comme l'avait dit Nina et Louise.

Damaris se dit que tout pouvait s'arrêter ici, elle venait de vivre l'une des plus incroyable expérience de toute sa vie. Nina et Louise avaient les yeux clos, cette dernière semblait même s'assoupir alors que les doigts de Nina caressaient délicatement la hanche de Damaris.

Elle avait les yeux bien ouverts fixant le plafond et se demandent si elle n'était pas en train de rêver. Nina murmura :

— A quoi tu penses ?

— Que je suis dans un rêve, répondu Damaris.

— Et c'est un rêve agréable ? demanda Nina en ouvrant les yeux pour voir l'expression de Damaris.

— Très agréable, délicieux, dit-elle en souriant.

Nina mit la main sur la joue de Damaris pour l'inciter à la regarder. Elles échangèrent un sourire puis baiser. Damaris vit alors l'heure qu'il était sur le réveil poser sur la table de nuit.

— Il est super tard, il faut que j'y aille.

— Mais non, reste, passe la nuit ici, protesta Nina. Je t'amènerai au café demain.

— Je n'ai pas ramené d'affaire de rechange, ni rien, et je ne veux pas te faire lever aux aurores.

Nina fit mine de s'endormir, mais Damaris insista.

— Si tu ne veux pas me ramener, je vais rentrer à pieds.

— Très bien, concéda Nina, mais seulement si tu me promets que demain on se voit.

Nina se leva, enfila un short et un débardeur sans mettre aucun sous-vêtement. Elle n'était pas satisfaite de cette décision, mais elle n'allait pas laisser Damaris retournait chez elle seule en plein milieu de la nuit.

Damaris embrassa la joue de Louise qui dormait profondément, elle dira un drap sur elle avant de partir à la recherche de ses vêtements. Elle rejoignit Nina dans le garage et monta sur le siège passager de la Porsche.

— T'as l'air très pensive, dit Nina.

— Oui, désolée. J'ai un peu de mal à réaliser, j'ai l'impression de planer.

— Ce n'était pas bien ? Tu n'as pas apprécié ?

— C'était incroyable, époustouflant, je n'ai jamais rien vécu de comparable.

Nina était fière, ravie que Damaris ai apprécié de coucher avec elle et Louise, mais elle aurait voulu ne pas prendre la voiture au milieu de la nuit pour la ramener.

— Tu m'en veux ? demanda Damaris.

— Pourquoi ?

— De pas être rester dormir.

— Non, répondu Nina après réflexion, mais je ne veux pas être un coup d'un soir. Je veux que tu restes pour la nuit, le petit déjeuner, le déjeuner, le diner et qu'on recommence.

— T'es un amour, dit Damaris touchée par ses propos.

Elle prit la main de Nina dans la sienne, cette dernière les mena jusqu'à ses lèvres et embrassa les doigts de Damaris.

— Et moi, j'étais comment ? demanda-t-elle.

— Parfaite, dit Nina après un rire.

Quand elles arrivèrent devant l'immeuble, Damaris hésita à l'inviter à monter, mais ce n'était pas raisonnable, d'autant plus que son appartement ressemblait à une zone de guerre, le contenu de son placard éparpiller un peu partout.

— On se dit à demain alors, dit Damaris.

— J'essaierai de passer entre deux rendez-vous au café, et tu pourras venir diner demain soir.

— Avec plaisir, j'adore ta cuisine.

Nina lui rappela d'amener de quoi rester pour la nuit. Damaris l'embrassa avant de sortir de la voiture. Nina attendit qu'elle passe la porte de l'immeuble avant de repartir.

Quand Nina se glissa dans les draps, Louise ouvrit les yeux :

— Où est Damaris ?

— Je l'ai ramené chez elle.

— Pourquoi elle est partie ?

— Elle est un peu trop sérieuse pour une étudiante. Mais ne t'inquiète pas mon cœur, on la revoit demain.

Damaris aurait préféré rester avec ses deux nouvelles petites amies, mais elle ne voulait pas prendre le risque d'arriver en retard au café le lendemain. Son chef lui avait dit que si son travail était sérieux, il la garderait à temps partiel à la rentrée. Elle avait besoin d'un emploi, surtout si elle avait deux petites amies.


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