Chapitre 8
Chapitre non-corrigé. ✗
Rappel: L'histoire ne m'appartient pas, je ne fais que la traduire.
Chapitre VIII - L'amour entre quatre murs
Après la conversation, les deux couples ont décidé de quitter la pièce. Sirius et Remus s'étreignirent par les hanches, tandis que James et Severus entrelacèrent leurs mains, un contraste exotique de la couleur pâle avec la couleur chocolat.
Severus se sentait un peu mal à l'aise à cause du moment intime dont il avait été témoin. James, cependant, qui y était plus au moins habitué, avait déjà oublié.
- Sirius et moi allons dans notre salle commune pour récupérer nos documents et allons à la bibliothèque pour faire l'essai de transfiguration, dit soudainement Remus, qui voulait que Snape se sente plus à l'aise en présence des Maraudeurs, et son petit ami le regarda, choqué. Veux-tu nous accompagner?
- Bien sûr, répondit Severus immédiatement, ne réalisant pas l'expression admirée de James. Je vais juste récupérer mon matériel et nous nous rencontrerons.
- D'accord, répondit Lupin.
Suite à cela, le couple s'éloignèrent, Sirius essayant de persuader son petit-ami de faire des activitées plus agréables, mais sans succès.
- Mais Severus... commença James, marchant à côté du Serpentard. J'aimerais passer une journée entière seul avec toi, sortir ensemble.
- On aura du temps demain, gronda Snape, le regardant un peu agacé. Aujourd'hui, je dois terminer l'essai et ensuite, je vais pouvoir profiter de mes vacances.
- Tu as étudié tout ce temps? demanda le Gryffondor, choqué.
Il n'avait jamais passé ses vacances au milieu des livres, il pensait juste à s'amuser, et il avait du mal à voir comment quelqu'un y arrivait.
- Oui, répondit Severus, parlant d'un ton neutre, ignorant le regard horrifié de son petit-ami.
Ils descendirent les escaliers et dépassèrent quelques collègues, qui les regardèrent avec étonnement, ne comprenant pas pourquoi un Serpentard et un Gryffondor étaient ensemble. Snape remarqua les regards confus et, quand ils tournèrent un coin, il regarda autour de lui. Voyant qu'ils étaient seuls, il se tourna vers son petit ami:
- Tout le monde nous regarde, dit-il pensivement. Tu ne peux pas venir avec moi.
James sourit, engagé, avant de répondre:
- Oui, je peux.
Il sortit la cape d'invisibilité de sa poche d'uniforme. Il le tendit devant lui, voyant l'expression admiré du Serpentard. Severus hésita, il l'avait vu plusieurs fois, parce que James aimait s'en vanter auprès de ses amis, mais il n'en avait jamais touché un et en souhaitait autant.
- Je peux le toucher? demanda-t-il, sa voix rauque d'excitation. S'il te plaît, ajouta-t-il après avoir tendu le bras.
James lui tendit la cape et Severus la toucha. C'était un tissu brillant et argenté. Il avait une texture étrange, il semblait être tissé avec des fils d'eau. Il se sentait puissant, s'imaginant marcher dans les couloirs du château sans que personne ne le harcèle, mais il gronda bientôt. Il l'a remis, ne voulant pas tenté de marcher étant invisible, et a commenté:
- C'est très vieux.
- Ça fait partie de ma famille depuis plusieurs générations, dit Potter, la fierté dans sa voix.
Il mit la cape d'invisibilité et se dirigea vers la salle commune des Serpentard. D'autres camarades sont passés près du Serpentard, mais personne ne l'a regardé. Et James réalisa que Severus était invisible aux yeux de toute l'école et sentit un serrement dans son coeur. Ils descendirent les Grands Escaliers du château et entrèrent dans le couloir du donjon. Des torches clouées au mur ont créé du feu, produisant des formes fantomatiques sur les murs. Il entendit James sa plaindre:
- Comme il fait froid...
Ils marchèrent à la hâte, voulant sortir de ce froid glacial le plus rapidement possible et s'arrêtèrent devant un mur.
- Tu ferais mieux de t'appuyer contre ce mur, dit Severus, un peu effrayé et James le regarda, réalisant qu'il savait qu'il enfreignait un règlement scolaire.
«Vous ne devriez jamais emmener des élèves de d'autres maisons dans votre salle commune.»
- Je ne veux pas que tu sois pris.
- D'accord, répondit-il en regardant son petit-ami chuchoter le mot de passe avant que le passage ne s'ouvre.
Ne voulant pas être seul dans les couloirs glacés, il se glissa avant que l'entrée ne se ferme. Il poussa un soupir de soulagement quand il se vit à l'intérieur de la salle commune des serpents, ne pensant jamais qu'il se sentirait de cette façon.
Il entra dans une longue pièce luxueuse, où les fenêtres donnaient sur les profondeurs du lac de Poudlard, lui permettant d'entendre l'eau les frapper. Ses yeux s'écarquillèrent, étonné de voir le calmar géant nager calmement dans les eaux sombres, avec ses énormes tentacules flottant doucement autour de lui.
La salle commune était avec des étudiants assis sur des chaises, entourés de livres, finissant leur travail. D'autres ont joué à ES, murmurant entre eux quand leur collègue a gagné. La cheminée était allumé, le feu crépitait, sa chaleur chauffant les murs froids. Il vit Severus entrer par une porte et, de peur de se perdre, courut après lui. Il est entré dans un couloir avec plusieurs portes en acajou et s'est rendu compte que la dernière était ouverte, la lumière sortant.
Il marcha rapidement, mais essayant de ne pas faire de bruit. Il regarda attentivement les autres portes, pour voir si elles s'ouvraient et si des élèves en sortaient. Il s'arrêta à la porte, regardant son petit ami dos à lui, regardant des livres dans sa main. Il entra et ferma doucement la porte.
Severus continua de regarder les livres, absorbé. Il s'avança calmement et le serra par les hanches, le rapprochant. Snape étouffa un cri, frissonnant dans ses bras. Voyant qu'il atteignait sa baguette, il lui chuchota à l'oreille:
- C'est moi...
Severus se dégagea de l'emprise et lui frappa l'épaule. James vit sa respiration inégalement et son visage qui était blanc comme un fantôme.
- Je suis désolé... dit-il, vraiment désolé de voir l'état de son petit-ami. Je ne voulais pas te faire peur.
- Tu ne devrais pas être là! gronda Severus, furieux. Et si quelqu'un te touchait? T'as pensé à la panique que ça provoquerait?
- Il ne s'est rien passé, dit James, essayant de calmer son compagnon, mais sans succès.
Les yeux de Severus brillèrent de colère dans sa direction et il se souvint des regards qu'il lui lançait lorsqu'il avait été la cible d'une blague des Maraudeurs. Il le regarda tristement et, baissant les yeux, dit:
- Je suis désolé.
Severus renifla en réponse, caressant ses cheveux d'une main, essayant de se calmer. Il aurait dû penser que Potter aurait une telle attitude. Ne voulant rien dire qu'il regretterait plus tard, il posa les livres sur la table de nuit et s'accroupit vers son sac à dos, poursuivant sa recherche.
Le Maraudeur regarda le cul rond de son petit ami et déglutit, sentant une érection se former. Il regarda autour de lui et remarqua que les lits restants étaient très bien rangés et que les tables de chevet étaient vides.
- Es-tu seul? demanda-t-il, curieux.
- Oui, répondit Severus sans détourner le regard. Tout le monde est allé passer les vacances de Noël chez eux.
- Pourquoi tu n'es pas partie? continua James avec ses question, voulant en savoir plus sur la vie de son petit-ami.
Il remarqua la tension dans son corps en prononçant les mots. Severus se leva, tout en organisant son sac à dos, et répondit:
- Je n'aime pas être chez moi.
James réalisa que quelque chose n'allait pas dans les relations familiales du Serpentard, mais décida de ne pas insister. Severus pourrait être très en colère contre lui. Mais il demanderait plus tard. Regardant la tension dans le corps de son petit-ami, il pensa à un moyen de le calmer et une idée lui est venue.
Il s'approcha de lui et l'attrapa par les hanches, frottant son érection sur son cul rond. Severus frissonna en sentant les mains du Gryffondor parcourir son corps et grogna, détournant son visage:
- James, arrête.
- Mais pourquoi? ronronna-t-il, se frottant contre lui et entendant un gémissement étranglé en réponse. C'est pas bon?
Severus voulait le gronder, mais il ne pouvait pas parler. Les touches de James l'apaisaient, ses pensées se dissolvant comme de la fumée. Il laissa échapper un gémissement rauque, sentant le souffle chaud de son petit-ami contre son cou, ses lèvres charnues embrassant son extension. Il frissonna lorsqu'il sentit ses mains sur son corps, le soulevant:
- James...
Il se sentit tourné et regarda le visage rougi de son petit-ami, les yeux noisettes le regardant avec convoitise. James le rapprocha et l'embrassa passionnément, sentant à quel point le Serpentard se détendit dans ses bras.
Severus caressa ses cheveux indisciplinées, sentant son membre se raidir, se serrant dans son pantalon. Un sentiment inconnu surgit en lui, il se sentait aimé, désiré. Les lèvres de James étaient douces et pleines, il voulait les mordre. James enroula ses bras autour de la taille de son petit-ami et l'attira contre lui. Severus recula de quelques pas et tomba sur le dos sur le lit moelleux, sentant le corps du Gryffondor le presser contre lui.
Le baiser devint urgent, l'excitation de son petit-ami caressant sa cuisse. Une main dévissa magistralement sa cravate, la jeta au sol révélant son cou pâle. Il gémit de frustration en sentant les lèvres de son petit ami exploser les siennes, un frisson de plaisir parcourant son corps excité.
Il se souvint de Black et Lupin et murmura à l'oreille de son petit-ami:
- James... et tes amis?
Le Gryffondor eut un sourire narquois et répondit:
- Ils iront bien, ne t'inquiète pas.
Il s'attaqua ensuite à son cou, pour lui faire oublier ces détails. Severus sentit ses dents marquer sa peau, sa langue coquine jouant avec son cou. Il laissa échapper un gémissement rauque et glissa ses mains jusqu'aux fesses fermes de James, pressant son corps contre le sien.
James grogna, quittant son cou, et murmura:
- Si tu ne veut pas être puni pour ton impertinence, arrête.
Severus l'observa avec malveillance et demanda, innocemment:
- Et si je ne veux pas?
En réponse, le Gryffondor leva sa baguette et, avant que Snape ne puisse déclencher une réaction, lança un sort informulé, les déshabillant.
Severus sentit sa peau ramper au contact du froid et plaça ses mains devant son corps, se rétrécissant. Des larmes de frustration coulèrent sur son visage rougi, mordant ses lèvres gonflées pour qu'il ne manque aucun son. James le regarda sous le choc, des horribles cicatrices qui traversaient le corps du Serpentard, des marques blanches et profondes.
- Qui t'as fait ça? demanda-t-il, horrifié.
Severus détourna les yeux, les fermant. Ses joues étaient humides, de petites gouttes glissaient doucement sur sa peau.
- Severus? insista James, sa voix douce mais tendu, voulant savoir ce qui était arrivé à son petit-ami, craignant qu'il ne soit à blâmer pour la plupart d'entre eux.
Il regarda ses réactions, voyant ses cheveux couvrir une partie de son visage.
- Mon père, entendit-il d'une voix était basse et souffrante. C'était mon père...
- Mais pourquoi? demanda-t-il, se sentant tenté de toucher chaque marque, de les embrasser avec affection.
Il voulait les faire disparaître comme par magie, mais il savait que ce n'était pas si simple. Même s'il guérissait les cicatrices physiques, celles psychologiques resteraient à jamais dans sa vie.
- Parce que c'est un horrible moldu! cria Severus en le regardant.
Son visage était baigné de larmes, ses yeux noirs brillaient d'une intensité effrayante. Ses cheveux étaient étalés sur les oreillers et son corps tremblait d'un mélange de peur et de frustration.
- Un foutu moldu ivre qui me bat, moi et ma mère parce que nous sommes des sorciers...
Sa voix se brisa et il tenta de repousser son petit-ami. Il voulait se cacher dans la salle de bain, pleurer ses peines, couvrir son corps, mais James l'arrêta. James mit une main sur son visage, l'obligeant à le regarder dans les yeux.
- Severus... commença-t-il d'une voix calme mais ferme.
Il soupçonnait déjà que la vie de famille du Serpentard n'était pas facile, mais ça avait été un choc de découvrir qu'il était maltraité à la maison juste parce qu'il était un sorcier. En regardant la tension dans le corps de son petit-ami, il essaya de le calmer:
- Je m'en fiche si t'as ses marques sur ton corps. Tu es une personne spéciale, d'une beauté inhabituelle. Tu es une personne intelligente, bien que réservée. Qui utilise le sarcasme pour te défendre, qui est une duelliste brillant. Un potionniste hors pair, aux mains délicates, idéal pour parfaitement manipuler les ingrédients. Qui n'aime pas être dérangé quand il lit ou travaille. Tu as de merveilleuses qualitées, beaucoup que je ne connais toujours pas. Mais tu sais quoi? Je ferai tout pour les découvrir un par un, décoller chaque couche qui l'entoure, parce que je t'aime. Beaucoup, depuis longtemps. Je n'ai pas de mots pour décrire mes sentiments pour toi, je sais juste qu'ils sont trop intenses pour tenir dans ma poitrine.
Severus le regarda, ses lèvres entrouvertes de stupéfaction.
- Et si tu penses que je vais te laisser pour ce petit... détail, que je vais te répudier, tu te trompes beaucoup. J'ai attendu trop longtemps pour te voir dans mes bras et je ne te quitterai pas pour le monde.
Snape étouffa un sanglot, son corps tremblant imperceptiblement. Il ne pouvait pas croire que James lui avait déclaré de si belles paroles. Il le laissa le tenir, pleurant toute sa douleur. Il n'avait pas honte de montrer qu'il était désolé, qu'il avait besoin d'affection pour être pris en charge avec tout l'amour.
Pendant des années, il avait voulu que quelqu'un prenne soin de lui, écoute ses peurs, ses doutes, et il s'est rendu compte qu'il avait trouvé toutes ses qualités chez James Potter.
- Je... je t'aime aussi, dit-il à voix basse.
Il sentit les lèvres de son petit-ami l'attaquer passionnément. Le Gryffondor pouvait sentir l'odeur douce des herbes pénétrant dans ses narines. Ses lèvres touchèrent celle de Severus avec passion, avant de descendre le long de son cou, aimant sentir chaque centimètre de peau sous ses lèvres. Les gémissements de Severus résonnèrent dans la pièce, excités par la langue coquine de James, qui mordait et caressait ses mamelons, coulant le long de sa poitrine fine.
Le Gryffondor embrassa chaque cicatrice, comme un arc, voulant lui montrer qu'il ne se souciait pas de son corps blessé, qu'il l'aimait tout de même. Il ne vit plus les larmes couler sur son visage, ce qui lui était reconnaissant pour l'échantillon d'amour qu'il lui avait présenté.
Ses lèvres touchèrent l'érection pulsante de son petit-ami. Il y donna lentement quelques coups de langues avant de prendre soudainement le membre en bouche, et un petit cri traversa la bouche de de Severus. Il commença à faire des mouvements de va-et-vient successifs, du gland à la base, provoquant des gémissement forts et rauques. Il sentit Severus remuer sous lui, lui chuchotant de ne pas s'arrêter, ses hanches bougeant contre sa bouche.
Avec sa baguette de bois, sans interrompre ce qu'il faisait, il effectua un sort du lubrification informulé.
Suivant son instinct, il écarta les fesses du Serpentard et inséra un doigt dans l'intérieur lubrifié, écoutant un nouveau gémissement qui s'échappa des lèvres de son petit-ami. Snape écarta automatiquement ses jambes, voulant plus de contact, livré à ses sensations agréables. James sentit son membre souffrir d'excitation, ses cheveux indisciplinés caressés par ses mains fines. Il fit des mouvements fluides, insérant un deuxième doigt, désireux d'entrer, sentant son membre gonflé lui faire de plus en plus mal.
Le Gryffondor rajouta un deuxième doigt, entendant un autre gémissement, et commença des mouvements de ciseaux.
- James... s'il te plaît...
En entendant les supplications du Serpentard et sentant qu'il ne pouvait plus supporter son excitation, le Gryffondor retira ses doigts, puis un gémissement de protestation se fit entendre. Il prit les hanches de Snape et l'attira vers lui, son sexe devant l'entré de Snape.
Il pénétra lentement Severus pour ne pas trop le blesser, éprouvant la merveilleuse sensation d'avoir le corps du Serpentard le serrant si délicieusement. Quand il est enfin entré en lui, il a réalisé que le corps de son petit-ami devenait raide, et il savait qu'il avait mal.
Il était un peu surpris de réaliser que Snape n'avait jamais expérimenté l'art de l'amour avec un autre garçon et était fier d'être le premier. Mais ce sentiment a vite été remplacé par l'insécurité. Il ne savait pas s'il devait continuer, mais s'il s'arrêtait, il souffrirait davantage.
Une idée lui vint et il ferma un main sur le membre du Serpentard, faisant de doux va-et-vient. Il regarda le visage tendu de son petit ami se ramollir progressivement, de faibles gémissements de plaisir s'échappant de ses lèvres:
- James... chuchota-t-il.
Le Gryffondor entra complètement dans son corps. Il attendit un moment pour qu'il se détende. Ses mains caressaient la peau pâle, sentant les yeux onyx briller, le regardant avec désir. Il se pencha doucement et embrassa son menton, puis son front, passant au bout de son nez et enfin, ses lèvres.
Le toucher de Severus était timide, mais cela mit feu à son corps. Il voulait que la première fois de son petit ami soit inoubliable. Les mains de Snape caressèrent son corps, le faisant frissonner. Les baisers qu'ils échangèrent étaient calmes, sans hâte. Leurs bouches bougeaient, leurs langues se caressant avec affection.
Severus, se sentant plus détendu, poussa ses hanches en avant, écoutant le gémissement étouffé de son petit-ami contre sa bouche. Il voulait le sentir plus profondément à l'intérieur, il voulait que Potter le rend fou. James, réalisant que Severus était prêt, commença à bouger lentement, le sentant de plus en plus excité.
Progressivement, il augmenta le rythme des coups, voyant comment le Serpentard était déjà complètement délivré, cambrant le dos et rejetant la tête en arrière, se déplaçant avec lui. Le Gryffondor n'avait jamais rien ressenti quelque chose comme ça, à chaque fois qu'il avait quelqu'un dans ses bras et ne se souciait que de son plaisir, personne ne lui en donnait autant que Severus.
- James... entendit-il d'une voix rauque.
Severus sentit une vague de chaleur écrasante parcourir le bas de son ventre, et James augmenta le rythme des coups, entrant et sortant violemment, jusqu'à ce qu'il sentit son petit ami cambrer son corps, poussant un cri rauque et libérant son essence. Sentant son corps se détendre, les ongles de Severus glissant sur sa peau, il donna quelques va-et-vient de plus et éjacula à l'intérieur avec un grognement.
Il prit quelques respirations profondes, relaxant le petit nombre et le quitta doucement, écoutant un grognement. Il s'allongea à côté de son petit ami et le tira contre lui. Snape posa sa tête sur la poitrine du Gryffondor, se sentant fatigué. Il sentit un baiser sur ses cheveux et la voix rauque de James:
- Je t'aime, Severus.
Il bougea, devenant plus confortable et prit une profonde inspiration. Il répondit, avant de s'endormir profondément dans ses bras:
- Je t'aime aussi, James...
@LillyTears VOICI UN EXEMPLE DE LEMON ENTRE JAMES ET SEVERUS.
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