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Chapitre 3 :

Cafétéria. C'est l'enfer sur terre pour une famille de vampires. Un théâtre où ils devaient jouer leur meilleure scène. Bien sûr, un métamorphe et une hybride y aidaient. Ils mangeaient réellement eux au moins. Mais les sept autres... Et bien ils jouaient à déplacer la nourriture, la couper, pour faire croire qu'ils mangeaient réellement cette infamie. Parfois c'était drôle mais bien souvent, c'était d'un ennui mortel. Refaire encore et encore les mêmes choses, juste à des endroits différents, avait le don d'exaspérer même les plus patients d'entre eux. Rosalie menaçait déjà de tuer un ou deux humains présents dans la pièce à cause de leurs mots sales et irrespectueux envers elle ou sa famille.

Ces derniers temps, un groupe de garçons échafaudaient un plan pour que l'un des leurs, Jordan Landais, puisse mettre sa soeur Alice dans son lit. La réputation de ce coureur de jupon et fripon n'avait d'égal que la réputation de la Reine d'Angleterre ici. Les deux étaient très connues. Cependant, pour l'un c'était par sa réputation de briseur de cœur, et l'autre par son travail de Reine presque impeccable. L'un ne valait jamais l'autre. Il faisait partie des deux que Rosalie souhaitait tuer. Bien sûr, Edward, son frère, lui grognait dessus pour ces pensées. Bien qu'a ce stade, Rosalie ne savait pas s'il lui grognait réellement dessus ou si, prit dans les pensées probablement immondes de ces humains, il avait également des envies de meurtre.

- « Les deux Rose. » répondit Edward en grognant.

- « De quoi parlez-vous ? » demanda Bella, perdue.

- « Les pensées de ce groupe d'humains sont immondes. Dégoûtantes. Innommables ! Indicibles ! Dieu je ne pensai pas détester avant un humain autant que ceux-là ! » siffla le brun cuivré avec colère.

- « Pourquoi ? A quoi pensent-ils ? » demanda Jenny en appuyant son menton sur ses mains, ses coudes posées sur la table.

- « Ils pensent à... Dieu non c'est ignoble ! » gronda Edward.

Les Cullen fixèrent le vampire télépathe dont les yeux ambrés étaient devenus d'un noir de jais, prêt à tuer.

- « Calme-toi Edward... » murmura Alice, voyant ce qui allait se passer si ce dernier perdait le contrôle.

- « Comment peux-tu dire ça ?! C'est à toi qu'ils pensent de cette manière dégoûtante ! » siffla son frère.

Alice leva les yeux au ciel.

- « C'est quoi cette fois-ci ? Me prendre contre un mur, me faire crier dans la forêt, gémir, mendier qu'on me prenne ? » demanda Alice.

- « Pire que ça... Te prendre par derrière, lui et ses copains, les cinq en même temps ! Dieu retenez-moi ou je vais leur arracher leurs appendices ! » menaça Edward, se tournant à la vitesse de l'éclair vers le groupe des cinq humains de sexe masculin qui osaient poursuivre leur fantasme barbare sur sa sœur impunément.

Alice resta stupéfaite. Ce n'était jamais allée aussi loin avant. Elle était dégoûtée. Jordan et son groupe d'amis faisait partie des pires garçons du lycée. Populaires, sportifs, ils en profitaient pour essayer de se glisser dans les jupes de toutes les filles de l'école. Même Mike Newton, quand il était en vie et dans ce lycée, n'était pas aussi obsédé. Et pourtant, il avait déjà un bon level.

- « Je vais les tuer ! » siffla Rosalie, écœurée par ces pensées abjectes que ces humains puériles avaient.

- « Je t'accompagne chérie. » répondit Emmett en commençant à se lever.

Alice paniqua, stoppant son frère, le forçant à s'assoir avant que la scène qu'elle venait de voir ne se produise.

- « Reste là ! »

- « Mais Alice ! Tu ne peux pas accepter ça tout de même ! » s'exclama Emmett.

- « Je n'accepte pas mais ne tuez pas pour moi. S'il vous plaît ! Je peux me défendre. S'ils essayent, je sais quoi faire. Ils ne peuvent rien me faire. Tout ira bien ! » essaya de le calmer Alice.

- « Le fait n'est pas qu'ils essayent mais qu'ils y pensent Alice ! » siffla Rosalie.

Sa sœur soupira.

- « Rose... S'il te plaît... Vous n'avez pas besoin de faire ça. Ça me dégoûte plus que quiconque qu'ils osent penser à moi de cette manière mais vous ne pouvez rien faire. Ce ne sont que des pensées pas des actes. »

- « Ça pourrait en devenir ! Peut-être pas avec toi mais si une autre se retrouvait dans ta position, ignorait leurs envies et leur disait non ? Qu'est-ce qui te dit qu'ils n'essayeront pas quand même ? » demanda Rosalie.

- « Rose... On ne peut pas savoir... Et on ne peut rien faire avant qu'ils n'essayent quelque chose, du moins qu'ils prennent la décision de le faire... » soupira Alice.

Rosalie grogna, irritée que sa sœur puisse avoir malheureusement raison.

- « Il n'empêche que ce n'est pas normal. » gronda la blonde.

- « Je sais mais c'est ainsi. Les pensées sont dans la tête pour une raison. Elles ne sont pas encore réelles. Du moins pour les actions futures. Aucune vision ne m'a prévenu de cela. Donc pour l'instant, ça ira. » répondit Alice.

Les Cullen soupirèrent, sachant qu'elle disait malheureusement vrai. Si rien n'arrivait, ils ne pouvaient agir sur de simples pensées qu'Edward n'était pas censé pouvoir capter s'il était un humain.

- « La sonnerie retentira dans cinq minutes. Nous devons aller en cours. » dit Alice en se levant, prenant son plateau et son sac avant de s'en aller, sa famille la suivant rapidement.

En quittant la cafétéria, chacun se rendit à son cours. Alice commença à se diriger vers son cours d'art, son préféré.

- « Alice ! » l'interpella Rosalie.

- « Oui ? » demanda-t-elle en se retournant, le sourire aux lèvres.

- « Juste... Soit prudente... » murmura la blonde.

Alice sourit, hochant la tête.

- « Promis ma soeur. Je t'aime aussi. » dit-elle en repartant, un saut dans son pas.

Rosalie soupira. Elle protégerait sa sœur contre n'importe qui. Même si ça signifiait exposer leur espèce et devoir tuer toute la ville avant de fuir. Elle s'en fichait. Sa sœur ne vivrait pas son cauchemar. Rosalie savait que ça commençait par des pensées puis des paroles, des gestes et enfin, des actions. Des actions destructrices. Elle, elle ne s'en était jamais vraiment relevée. Et personne ne l'avait vraiment compris non plus. Souvent, on lui disait qu'on comprenait mais elle savait que c'était faux. À moins de l'avoir vécu, personne ne pourrait jamais vraiment comprendre la peur sourde qu'on ressentait toujours au contact d'une personne un temps soit peu similaire à son ou ses agresseurs. Personne ne pouvait jamais comprendre réellement la douleur de savoir qu'elle n'avait pas été assez forte, qu'elle ne s'était pas assez débattue, qu'elle n'avait pas assez crié pour parvenir à se libérer. Personne ne pouvait réellement comprendre à quel point et pourquoi elle se sentait coupable malgré qu'on lui avait répété que rien n'était de sa faute. Parce qu'avec des si, Rosalie n'aurait jamais vécu ça. Parce que si elle n'était pas rentrée seule, parce que si elle était restée un peu plus tard ou un peu moins longtemps, elle ne les aurait pas croisé. Parce que si elle avait couru en les croisant comme elle l'avait envisagé au début, rien ne serait arrivé. Qui saurait réellement ? Est-ce qu'un jour, quelqu'un comprendrait vraiment ? Rosalie l'ignorait.

Soupirant, elle partit à son prochain cours.

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¡Hola mis ángeles!
Comment allez-vous en cette belle journée d'avril ?
Personnellement ça va !

J'ai survécu du coup je poste un chapitre en deux deux comme ça !
J'avais que ça a faire entre deux cours oui oui !

J'espère en tout cas que cela vous a plu !
N'hésitez pas à donner votre avis et des idées de fictions futures si vous le souhaitez.
J'adore vos idées !

¡Besos a todos!💜

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