Chapitre 4:
Numéro inconnu : Coucou Tessa...
Moi :...
Numéro inconnu : Comment vas tu ?
Moi : Toi je vais te renommer en imbécile de première
NI : Toujours pas douce toi.
Moi : Coucou Matéo, comment as tu eu mon numéro de téléphone * que je retrouve ce connard et que je lui dise ma manière de penser*
NI: Très bonne logique
Moi: Rien à faire de ma logique. Qui ta donné mon numéro Matéo.
MA: Rohhhhhhh. T'es célèbre chez moi, CLARA.
Moi: Ravie que tu connaisse mon vrai nom très cher mais tu n'as toujours pas répondu à ma question triple imbécile.
MA: Je t'aime bien toi.
J'étais littéralement morte de rire seule dans ma voiture. Je croyais que le pauvre enfant dans la voiture d'à coté devait me prendre pour la fille la plus folle qu'il n'est jamais put connaitre dans sa petite vie. Ce mec que je ne connaissais absolument pas m'aimait bien. J'espérais que c'étais une de ces nouvelles expressions à la mode ou un truc du genre parce que sinon ça devient très grave.
Après une très longue route avec très peu de poses j'arrivais dans cinq minutes chez Oscar. Miami était magnifique. La première vue que j'ai pu avoir était la meilleure, le soleil se couchait doucement sur la ville et je voyais le coucher de soleil de ma voiture sur la plage. Des petits frissons me parcouraient l'échine tellement le spectacle est beau. La ville était encore plus belle qu'en photo. Mais d'un seul coup je dus freiner subitement car un pauvre idiot traversait la grande route lorsque c'était notre tour d'avancer. Je vis rouge et lui criais enragée: IMBÉCILE ! Il me répondait avec toute la facilitée du monde en riant: a ton service bébé! Oui, ce garçon était un pur imbécile mais en l'observant plus longtemps partir vers les magasins je vis qu'il était encore mieux construit que Matéo... de la tête au pied, beau gosse en plus oh mon dieu si je n'avais pas failli l'écraser je lui aurais parlé et pas que ca, il avait l'air tellement gentil quand il le voulait, je pourrais tellement me confier à lui. Je croyais que c'était l'un de ces garçons qui pourrait rester toute sa vie avec une seule fille sans jamais arrêter de l'aimer, le prince charmant quoi.
J'avançais à contre coeur parce que personnellement j'avais juste envie de sauter au plafond en pensant a ce mystérieux jeune home en espérant qu'il soit dans mon lycée... je remettais ma musique et conduisais vers ma nouvelle maison et espérant que je me sente bien dedans et surtout que je me sente bien dans mes baskets...
Dix minutes plus tard
J'arrivais devant une immense villa, ou plutôt un manoir avec vue sur la plage dont je suis tombée amoureuse en arrivant. Je rentrais dans l'allée quand je vis l'énorme terrain que détenait les parents d'oscar, je vis aussi des boxes au loin... en espérant qu'il est gardé ses deux chevaux... je continuais a avancer quand je vis la décapotable rouge d'oscar ( qui est sa décapotable fétiche). Je me garais et pris mes affaires. Je m'arrêtais devant la toute aussi immense porte d'entrée et sonnais. Trente seconds après j'entendais la voix a la fois virile, profonde, et douce de mon meilleur ami qui criait: c'est ouvert Alex! Je ne savais pas qui était cet Alex mais j'arrangerai cette histoire plus tard. J'entrais dans la maison et fut impressionnée par tout ce qui ce trouvait à l'intérieur. Je posais ma valise et sifflai Maddie qui arrivais en courant trois petites seconds plus tard. Je posais ma valise et mes cartons et fus lourdement projetée au sol. Une douleur me tourmenta les tempes mais je fus rapidement couverte de bave visqueuse. Je me mis a rire de mon soit disant rire cristallin. "Coucou Caleb" dis je au ravissant berger malinois d'Oscar: ce chien était toute ma vie, il me faisait tellement rire a renifler les pieds de son maître après son entrainement et de tourner sa tête, limite dégouté... je le pris par le collier pour me relever doucement et lui tapotais la tête. Je m'avançais vers une pièce qui ressemblait drôlement à une cuisine pour me prendre à boire quand je me retrouvais une autre fois par terre :
- Quelle genre de salope ne vient pas me dire bonjour? Disait Oscar l'air fatigue mais toujours aussi éclatant de Bonheur
- Oh !!!! Il voulait que je lui fasse un bisou hein! Disais je en pinçant sa joue
Il était considérablement grand, blond l'été, brun l'hiver et musclé. Il me dominait largement. Sans vous le cacher c'est le plus beau mec que j'avais put voir de ma vie. Il avait de magnifiques yeux bleu azur que je pourrais définitivement comparer a la mer... il me faisait littéralement rire et surtout fonder même si c'était mon meilleur ami ... il était hyper drôle, absolument pas coincé et surtout il a beaucoup mais beaucoup de succès avec le basket et les filles. Il est doux et adorable.
- Je te fais la tête méchante disait il en se mettant à califourchon sur moi
- Tu m'as manqué aussi. disais je en le regardant longuement dans les yeux et en rigolant
- Mouais bisou. Disait il en se baissant sur moi
Je lui offrit deux tout petit bisous sur la joue en riant de bon coeur.
- Radine! disait il en riant
Il m'aidait à me relever et me pris dans ses bras. Je me blottissais contre son torse pendant de longues minutes. Il me chuchotait après m'avoir caresser la tête pendant dix bonnes minutes:
- Tu m'as grave manqué chéri. aller assis toi.
- Moi aussi tu m'as manqué beau gosse...
Je m'asseyais sur le canapé et 3, 2 et 1 et je fus soulevée sur l'épaule d'Oscar
- Repose moi espèce de macaque!!!! Râlais je
- Ah non! Alex va arriver! Je te veux que pour moi !! Je veux MA BAE pour ME!
- Alex?
- Ah... eh... on monte? disait il gêné par la situation
Il se fiche de moi non? Oscar est le mec le plus con que je puisse avoir la chance de connaitre, et c'est absolument impossible qu'il soit gêné. Je bougeais un peu mes fesses de droite a gauche pour glisser le long de son épaule mais bon, ce ne fonctionnais pas et j'avais eus comme cadeau une des très chères vannes du bon homme qui est censé être mon meilleur ami: " Bouges encore tes jolies petites fesses et je te baise." Et personnellement il récoltait un grognement de ma part et un coup de poing dans le dos : " AIE! Ça fait mal!!". Il me monta des escaliers en marbre et avança dans un couloir puis dans sa chambre je devine. Il m'assis sur ses genoux et commençais, grave:
- J'ai un truc important à te dire sur le lycée madame. Disait il en prenant mes jambes pour les mettre autour de sa taille
Pendant quelques minutes je ne répondais pas et observais sa chambre. Elle était immense et rangée a sa manière : ce qui voulait dire pas du tout. Des tas de cahiers, de livres et un mac jonchaient le bureau, des habits en bouchons étaient jetés sur le sol et des photos de nous étaient posées sur ses tables de nuit.
- Tu me fais flipper la Oscar. Disais je véritablement effrayée par la nouvelle
- Ok on commence par les bonnes ou les mauvaises nouvelles?
- Les bonnes a la fin disais je a contre coeur
- ... Mon ex devient folle depuis qu'elle sait que tu viens... Mon demi frère va habiter avec nous... et Mase arrive dit il rapidement
Attend...Mason revient... Mason est mon ex ultra beau gosse que j'ai, sans vous mentir, jamais arriver à oublié que cela soit en mal ou en bien. Quand un garçon vous a tellement fait pleuré je comprends. Ça faisait exactement un an qu'on à arrêté de sortir ensemble, ça avait été super dur pour moi pour plusieurs raisons et Oscar avait toujours été la pour moi. Un sanglot m'échappait et mon âme soeur l'effaçait avec son pouce. Il avait été adorable... tellement mignon avec moi.
-Clara?
- Oh! Oui, oui, oui, oui vas y euhhhh je sais pas attend. On parlait de quoi déjà? Disais je perdue
- Clara... regardes moi ma vie, je sais que t'aime pas quand on parles de lui. Mais je voulais quand même te dire qu'il vient au lycée.
Attend ... j'avais du mal entendre. Ce connard allait être dans mon lycée, mince ! Respire Clara. J'inspirais et expirais doucement. Mais je sentais les doigts d'Oscar bouger doucement sur mes cuisses et me chuchoter : « Chutttt... je suis là princesse je suis là... ». Enfaite je pleurais, je ne m'étais même pas rendue compte mais je pleurais. Oui, Mason m'avait définitivement détruite.
( Caleb au dessus)
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