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Chapitre 17: OSCAR

C'était désespérant qu'elle finisse avec un homme dans son genre, elle méritait bien mieux. Il mis ses mains autour de sa taille et plaça sa main au creux de ses reins.

Apres quelques minutes avoir parlé madison et son soit disant petit copain, Mathéo, je sortais de la pièce. Je m'avançais vers le salon et je m'asseyais sur un des canapés quand je me rendis compte que je n'étais pas seul. Mathéo riait seul derrière moi. Ce genre de mec me fatiguait.

- je peux savoir ce qui te fait rire mec ? disais je en fermant les yeux

- t'es mignon

- ne commence pas

- t'es fragile

- j'ne suis pas chez moi

- donc...?

- j'peux pas te plaquer contre le mur et t'envoyer la droite du siècle

- on se calme poto

- j'suis en cavale

- c'est bien

- va voir ta meuf et laisse moi respirer

- magie ?

- magie ? répétais je outré

Magie était le surnom que je donnais a madison quand nous étions bon amis. Je me rappelais encore le jour ou j'avais trouvé ce surnom : nous devions, avec Clara, accompagner son petit frère a son orthodontiste. Nous avions pris le bus et nous attendions le rdv. Clara m'envoyait un message:

BAE: vient on se cache dans les toilettes jusqu'à la fermeture et on reste un peu après ^^

Moi : et le petit frère ?

BAE : il a 13 ans a ce que je sache il sait prendre un bus

Moi : ouais.

BAE : bon pas grave t'as pas l'air intéressé

Je souriais a son message et tournais la tête pour la regarder, elle était assise sur les sièges devant moi avec Madison : celle ci me regardait et Clara souriait a son portable. J'aurais préféré qu'elle me sourisse.

Moi : on le fait.

BAE : trop facile

Moi : tu me connais maintenant, mec facile un jour mec facile toujours

BAE : BAE un jour BAE toujours

Moi : exactement, mais on le fait avec magie ?

BAE : magie ?

Moi : madison pardon

J'entendais un grognement limite bestiale de l'autre cote de la salle, ce qui me faisait assez rire. Elle me regardait avec ses magnifiques yeux vert émeraude. Enfaite je ne dirais pas qu'ils s'étaient magnifiques, je crois bien qu'ils étaient ravissants. Aussi belle qu'elle. Elle me transperçait de son regard.

BAE : a voir.

Je lisais rapidement le message et me remettais a la regardait. Elle avait arrêté, maintenant, elle regardait mon téléphone. Raison me gueulais « forceuse » et Conscience me regardait avec ses grands yeux et me suppliait de regarder mon portable. Bordel raison, je ne t'écoute presque plus ces temps si me disais je. Je regardais mon téléphone :

BAE : La fille à cote de toi te dévisage idiot. Arrête de me regarder et tourne la tête.

Je tournais et voyais une pré adolescente avec les cheveux blonds teint en rose. Elle avait le genre d'appareil dentaire hideux et elle bavait, tout a fait horrible. Je toussais et elle refermait sa bouche. Je tournais la tête vers ma rousse. Puis, je prenais mon portable.

Moi : hum.

BAE : morte de rire. Regarde les mecs dans la pièce maintenant.

Je tournais ma tête et regardais les hommes dans la pièce. Ils avaient tous les yeux rivés sur ma meilleure amie et son amie. Ils regardaient surtout leurs jambes et leurs cuisses.

Moi : mais je me demande pourquoi ?! T'as vu tes jambes. Tes leggings justes.

BAE : espèce de jaloux.

Moi : jaloux de BAE ? T'es mignonne.

BAE : comment ? Comment ne pas être jaloux ?

Je me remettais à la regarder avec insistance. Je ne lui répondais pas et m'avançais vers les toilettes. Je l'entendais se lever et me suivre. Les toilettes ressemblaient vaguement à des WC publics mais tout m'allais. Ma respiration s'accentuait et mon cœur commençait à battre plus fort. L'adrénaline commençait à arriver, plus que cinq minutes avant la fermeture. Clara me regardait bizarrement, penchait la tête vers la droite puis vers la gauche mais ne disait toujours rien. Puis elle avançait doucement, comme pour anticiper mon comportement, et après avoir été rassurée par un de mes regards doux dont j'avais le secret. Elle entourait ses bras autour de moi pour me faire un câlin. Je me rappelais encore de cette sensation qu'elle avait déclenché chez moi : un énorme frisson le long de mon échine, un frissonnement constant de mes bras, mon cœur qui battait plus vite s'était tellement beau, j'avais adoré...

- Aller on fait sa ensemble ?

- Je regrette juste pour magie disais je calmement

Nous étions un mercredi, un des jours préférés de la semaine mais la matinée en cour avait été chaotique. Mon professeur de physique nous avez collé un contrôle de synthèse que je n'avais absolument pas révisé, parce que le jour d'avant j'avais eut entrainement de basket. J'étais rentré lessiver. Je m'étais couché sur mon lit et je m'étais endormi. Cet après midi nous étions allé chercher madison et son frère avant d'aller acheter des bonbons pour après le médecin. Deux grandes poches entaient apparues sous mes yeux... la fatigue s'abattais sur moi. Mes yeux se fermaient mais j'entendais toujours la respiration chaude et douce de Clara. Mais tout d'un coup une voix dans l'haut parleur parla : le cabinet va bientôt fermer ses portes, dirigez vous s'il vous plait vers la sortie.

J'ouvrais les yeux et regardais mon cadeau du ciel.

- viens on va se cacher.

- Où ? Dans les toilettes ? Harry Potter version roux ? Je flippe un peu tout compte fait.

Ses yeux étaient légèrement rouges et ses joues se rosissaient mais je rigolais doucement.

- on va faire comme les films d'espions, tu vas caler ton dos contre la première cloison puis tu gènes, facile. Disais je rapidement

Ses yeux sortaient de ses orbites mais elle se mettait à rire.

- un peu de sport ne me fera pas de mal

Nous avions parlé quelque temps puis lorsque nous avions plus entendu de bruit nous nous étions mis en position. Je l'avais porté et elle avait réussit. Elle rigolait en silence pendant que je me mettais contre la cloison. Son rire la faisait trembler légèrement mais elle semblait tellement forte qu'elle m'arrachait un sourire. Quand nous avions entendu un bruit nous nous étions crispés. Une porte s'était ouverte et des pas raisonnaient dans les toilettes. Nous avions retenu notre respiration et avions fermés les yeux. La personne avait juste regardé et était parti. Nos respirations avaient recommencées et nous descendions de notre cachette.

A nous la liberté !

Je sortais en rigolant silencieusement des toilettes, et me retournais pour observer ma rousse, qui avait les yeux pétillants. Nous avancions dans les longs couloirs éclairés par des néons. Quand un léger bruit attirait l'attention de ma meilleure amie. Je me retournais en même temps qu'elle vers le même endroit : une porte entre ouverte avec une légère lumière a l'intérieur. Elle me regardait maintenant avec un sourire illuminé par cette étrange lumière. Elle me demandait en chuchotant :

- on va voir ce qui se passe ?

Je la regardais, réfléchissais et acquiesçais. Tel un espion, elle se plaquait contre le mur, relevait ses cheveux couleur feu en queue de cheval. Je la suivais quand mon portable bipait dans ma poche.

VOUS ETES OÙ LES GENS ? De Madison

Je levais les yeux au ciel, rangeais mon téléphone et ne lui répondais pas. Nous continuions à avancer et elle ouvrait doucement la mystérieuse porte. BIP. Je sursautais et retombais lourdement sur mes pieds. Cette situation arrachait un gloussement à ma meilleure amie et un petit rire enfantin de ma part. elle ouvrait grand la porte et on observait le matériel orthodontiste. Elle se retournait et me regardait avec un rictus malin. Le bip que nous avions entendu venait d'une machine de médecin.

- Si on restait sur les sièges pour discuter lui proposais je

Elle acquiesçait et s'asseyait sur un des trois sièges côte à côte. Elle tapotait le siège à côté en souriant. Je me glissais sur le siège et me nous nous mettions à parler, puis le temps passait...

- extrêmement rapidement- une heure, deux heures, trois heures jusqu'au moment où nous avions vu des sirènes rouges, nous nous étions alertés. Nous avions couru jusqu'à la porte de sortie de derrière en riant, étions rentrés dans la foret qui se situait derrière et avions disparu dans la fin de la nuit... Heureusement que nous avions fait attention aux caméras de surveillance. Depuis ce moment là nous étions trois fois plus proches. Nous ne pouvions pas rester l'un sans l'autre, ni disputés. Au début tout le monde croyait que nous étions ensemble, ce que je rêvais : mais c'était de l'amitié même plus de la fraternité. On était mignons, tout le monde le répétait. Mais Magie était sortie de notre duo maintenant.

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- Maggie ? disais je outré par ce que je venais découvrir.

- Oui Oscar ? disait elle même assurée

- Oh rien très chère

- Si. On va parler dehors les gars. Disait elle en s'adressant aux autres

- Euh d'accord disais je mal assuré, doucement

Elle me prenait par le bras : je n'aimais absolument pas ce rapprochement et m'arrachais de sa main. Nous avancions vers la porte de derrière quand une voiture arrivait.

- Qu'est ce que c'est ? demandais je

- Ton moyen de locomotion enfin plutôt le notre.

Je m'asseyais sur l'escalier du porche, pensif.

- Je ne comprends pas tout Magie.

Explique. –J'attends que ça-

- Nous allons retrouver ta copine Oscar.

CHAPITRE 18 : Vue de William

Elle s'était changée plus rapidement que je l'attendais mais je l'observais encore et encore. Et je ne comptais pas m'arrêter de si tôt. Elle se brossait doucement les cheveux avec la brosse que je lui avais donné. Ses cheveux étaient magiques, couleur de feu :

- j'ai allumé la tablette Will... disait elle dans le vide

Je soufflais un bon coup, m'appuyais sur mon siège et appuyais la caméra devant moi.

C'est parti.

Vue de Clara :

Je m'étais callée contre le mur en attendant. J'avais allumée la tablette mais elle était toujours noire. Je lui demandais si il y avait un problème. Puis elle s'allumait soudainement. Un écran blanc puis une sorte de jeu s'installait sur l'écran.

- je peux savoir ce que t'attend de moi ou plus simplement ce qui se passe ? disais je souriante

- Joue. Si tu gagnes tu viens avec moi dans mon bureau. Disait il en riant

- Et ça m'avance en quoi ?

- Je dirais que tu t'ennuies moins et que tu commences à me connaître ?

Je soupirais lourdement et me frottait les yeux. Aller gagnons ce jeu. J'avais faim. Et je m'ennuyais tellement.

- OK. Prépares toi à m'accueillir mec. Disais je sûre de moi après quelques minutes de réflexion

- Fait gaffe grosse tête. Tes chevilles vont gonfler et tu vas tomber la tête la première.

Il parlait avec une certaine pointe de joie on aurait dit limite de l'humour.

- Hum. Je gagne et tu me payes un repas. Disais je en détachant tout mes mots

- D'accord ! disait il toujours autant heureux.

Cette joie de vivre débordante me faisait chaud au cœur. Je me sentais bien pour une fois. Je regardais la tablette et commençais le jeu avec un léger sourire.

Un jeu de logique.

Intéressant.

Première question : Quelle est l'année de la prise de la Bastille ?

Je rigolais doucement, j'avais vu ça en quatrième... C'était quoi cette question !

Je continuais à rire et répondais 1789. Je connaissais cette date par cœur depuis mes treize ans l'année où j'avais commencé à jouer au basket. On avait joué tout l'été avec Oscar et le dernier jour il m'avait demandé de commencer le basket avec lui. J'avais tout de suite accepté mais l'année avait été compliquée pour moi, physiquement et psychologiquement. J'enchaînais les questions de tout niveaux et arrivais à la dernière question, je la franchisai sans aucune difficulté et demandait à Will mon résultat. Quelques minutes plus tard la tablette émettait un son et une notification s'affichait. Curieuse, je cliquais dessus et voyais une photo d'un garçon de mon âge bras musclés et tatoués avec deux petites fossettes trop mignonnes au coin de la bouche. Il avait une bonne tête : des yeux marron clair perçants et des cheveux entre le cour et le long. Il avait juste assez de cheveux pour qu'une fille puisse glisser sa main dedans et être chatouillée par ses cheveux. Il était beau et séduisant. Et on pouvait tout à fait voir qu'il le savait. Il tenait dans ses mains un papier avec écrit dessus « Tout juste. Je ne savais pas que t'étais aussi intelligente. » avec une écriture déstructurée mais amusante et attachante. Je souriais et me retournais vers la caméra. – Attention William me voilà-

- Alors ? Tu m'ouvres ?

- Trente secondes je vais ouvrir au livreur

- Quoi ? disais je intriguée

- Bah t'as gagné je respecte mes paris moi, y a du burger King.

- Tu sous entends quelque chose gros ? disais je sans réfléchir

J'entendais son rire roque dans le micro.

- Gros ? Tu me surprends.

Je me renfrognais, vexée, et m'asseyais sur le lit. Je fermais les yeux doucement.

- Ohhhh ! T'es vexée ! disait il doucement

Je ne lui répondais pas et ouvrais les yeux. Je les clignais deux ou trois fois. Puis regardais la caméra durement.

- Aller vient. Disait il toujours et toujours aussi joueur

J'entendais un léger bruit derrière moi. Cela devait être une porte, un bruit de porte. Je me retournais et voyais une ouverture. J'avançais vers elle et entrais dans un tout petit couloir, assez grand pour qu'une personne puisse passer. Le couloir n'était pas assez éclairé, mais je pouvais voir une petite porte au fond du couloir. Je m'avançais vers elle et l'ouvrait. Un grincement remplit mes oreilles. La pièce était de taille moyenne et contenait un lit, un bureau avec un siège, une table et un nombre multiple d'écrans. Je n'eus pas la force de regarder ce qui était écrit dessus. Je m'avançais vers la table mais une voix profonde me fit sursauter :

-Hum...

je me retournais avec mes poings devant mon visage prête à me défendre comme je pouvais, même si j'étais légèrement sure que qui que ce soit je me ferais laminer.

- T'inquiète pas je ne vais pas te manger... disait l'homme que j'avais vu sur la photo

Il me tendait sa main :

- William, Will pour les intimes.

- Clara, Tess pour les intimes

- Tess... disait il assuré

Je posais rapidement mon doigt sur sa bouche :

- Prends pas trop la confiance... disais je en sentant ses lèvres frémir sous mon annulaire.

Mon ventre gargouillait.

-J'ai faim. Disais je en retirant ma main. Mon nez sentait une magnifique odeur de burger chaud. J'avançais dans la pièce mieux éclairée que le couloir mais toujours mal éclairée. J'attendais que mes yeux s'habituent au noir. Je regardais une autre fois la pièce et m'arrêtais sur le sac de burger. Je souriais, m'asseyais avec joie sur la table et mangeais.

- T'avais faim à ce que je peux voir, de l'eau ? disait il en me regardant avec un œil intéressé

Il fallait juste que je me rappelle que ce mec était bizarre.

- Hum... disais je méfiante

Il s'avançait vers moi, me contournait et revenait avec un verre.

- Merci. répondais je toujours aussi froide

Il commençait la conversation avec des questions basiques qui ne définissait absolument pas les personnes du genre : ta couleur préférée ? Normalement je détestais ce genre de questions mais je répondais fluidement et je m'intéressais à la réponse qu'il me donnait quand je lui retournais la question. Il me répondait toujours pas l'inverse de ma réponse, génial : les opposés s'attirent. Nous parlions et parlions longtemps. Comme si nous étions de bons vieux amis. Puis au bout d'un long moment je m'endormi la tête posée sur mes mains en l'écoutant.

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