Chapitre 14: MADISON
Je suis une élève en droit. J'ai dix neuf ans. Je vis à Miami depuis mes deux ans et depuis surtout la mort de mes deux parents lors d'une fusillade. J'ai été cachée chez le patron de ma mère qui coulait me faire entrer dans un réseau de prostitution des mon plus jeune âge. J'au pus me forger une image et surtout mon caractère. Je ne lâche pas. Pas avant que j'ai ce que je veux. Il m'avait expliqué que j'allais jouer à la poupée avec des copains ... quel porc... et depuis le jour où il m'a violée, je me bats pour protéger les femmes. Je connais Oscar enfin Oscar m'intrigue donc je m'arrange tant bien que mal de le regarder souvent... quelle psychopathe... et je suis allée jusqu'à m'introduire chez lui ... ouais je confirme une psychopathe... ça peut aller loin, je peux aller loin par amour. Mais je me rappelle encore de la dernière phrase que je lui ai dis avant qu'on ne soit définitivement plus ami : si tu savais d'où je viens, tu saurais où je vais... lui avais je dis après qu'il m'ai utilisé comme copine enfin je veux dire comme fausse copine. Je lui avais dit sincèrement que je l'aimais et il avait rigolé durement en me regardant. Il m'avait juste dit : j't'aime pas désolé bébé. Un pauvre imbécile mais l'amour à ses raisons. T'es rien pour moi avait il finit. Et mon cœur se brisait et se consumait à petit feu. Une torture. Il se brise encore aujourd'hui. Je l'aime toujours, c'est comme ça. Je crois bien que l'amour est vraiment compliqué et surtout pas pour moi.ma chambre dans mon malheureux et sans vie internat était pleine de photo de lui : avec ses amis, ses parents, sa famille au complet, son chien et enfin sa nouvelle copine. Cette fille me faisait vomir. Avant je la connaissais. Elle était magnifique par rapport à moi : rousse, moi brune ; des yeux vert émeraude transperçant moi les yeux marrons, fine moi un peu moins. Surtout on voyait bien qu'elle l'aimait et lui aussi bien sur. Mais bon les cons restent les cons.
vue d'oscar
Nous étions avec mason, Alex et Jarret au Starbucks de ma mère. Nous ne parlions pas l'air était lourd. Nous nous regardions avec des airs supérieurs mais au fait nous réfléchissons tous. Comment allait elle ? Nous avions prévenu Cameron qui allait arriver dans la journée. J'étais de plus en plus stressé. Je regardais une photo dans mon portable de moi à treize ans avec du vernis, du rouge à levre et des couettes : Clara avait décidé de me transformer en sa sœur elle etait entrain de me faire un bisou sur la joue pendant la photo. Je me sentais vide sans elle, ses mains autour de mon coup, sans ses pieds sur mes cuisses. Ma vie devenait d'une tristesse noire mais je possais quand meme une question à Mason : - tu sais qui aurait put faire ça
- aucune idée... enfin si. Disait il pensif
- alors ? c'est qui ? accouche que j'aille m'enerver un peu s'emportait Alex à bout de nerf
Jarret attrapait les épaules d'Alex. Et lui chuchotait quelque chose à l'oreille. Puis jarret le lâchait. Alex se retournait à une vitesse impressionnante et regardais un homme rentrer. Il se retournait vers nous à la même vitesse et me regardait. Je m'arrêtais quelques secondes de respirer et tentait désespérément de comprendre ce qu'il avait à me dire. Je me mettais maintenant à regarder l'homme au comptoir. Il me disait vaguement quelque chose, peut être un ami de mes parents ou un acteur. Mais tout d'un coup, lorsqu'il soulevait son écharpe, je voyais un tatouage qui me glaçait le sang de la tête au pied. Ce tatouage était le tatouage de mon ancien gang lorsque j'avais quinze ans. Il était constitué d'un dragon qui entourait un couteau avec des goutes de sang plus bas. L'homme devait être Le Masque, le big boss. Car lorsque je tournais la tête vers la baie vitrée pour me cacher le visage je voyais une voiture blindée avec un homme avec une mitraillette. J'avais tout de suite reconnu l'homme appuyé contre la voiture car, malheureusement, c'était l'homme qui m'avait recruté il y a deux ans maintenant lorsque j'étais dans ma période noire. J'ai quitté le gang parce qu'il commencer à tuer des filles juste après les avoir utilisés. Ils m'avaient dégoutés, mais ils avaient été super énervé et mon traqués jusqu'à la fin du printemps. Je me rappelais encore de mon premier jour là-bas, j'avais reçu un colis avec un pistolet et un mot dedans, dites à quelqu'un qu'il y a 3000 milliards d'étoiles dans le ciel, il vous croira, mais dites lui que la peinture n'est pas sèche et il aura besoin de toucher pour en être sur... attention à toi et bienvenu beau gosse. M.W. je n'avais pas réussi à savoir qui c'était. Je me mettais à fixer Alex et à essayer de lui dire que j'allais parler avec le masque mais Mason se décalait pour laisser une personne s'asseoir. Je me penchais pour voir qui venait de s'asseoir et quand je me rendais compte qui était assis, je sursautais.
- bonjour les garçons. Chuchotait le masque
- je t'appelle comment ? masque, le masque, le traqueur ou... disais je en essayant de sembler fort même si je tremblais légèrement ... tête de mioche pensais je
- appelle moi Drew mec. Tu nous manques beaucoup.
- J'adore les menteurs, ils sont tellement inintéressants. Disais je ironique
- Tu m'a manqué disait il encore plus ironique que moi puis il chuchotait quelque chose dans sa barbe. Inquiet, je me retournais vers la vitre et voyais des nouveaux hommes avançaient.
- T'a dut oublier mes techniques Drew.
Je faisais un clin d'œil à Alex et il comprenait directement. Il se levait et partait avec les mecs. Jarret le suivait mais Mason prenait un peu plus de temps, parce que passer sous la table pour un homme aussi grand que lui c'est pas facile. Drew était un imbécile, un pur idiot à ne pas le laisser passer. Ils étaient parti lorsque je passais rapidement au dessus de la table pour m'asseoir en face de lui. Je le fliquais doucement mais durement.
- t'as pas changé. Disait il fier
- hum... je pourrais te dire pareil mais là je suis drôlement déçu. T'es obligé d'appeler tes hommes pour te défendre... décevant me répétais je
- mais non... ils viennent juste te dire bonjour... disait il avec un sourire en coin
- avec leurs mitraillettes ? dans un restaurant avec des gens ? arrête. Ne me prend pas pour un débutant. Disais je vexé.
Je me levais, lui souriait, lui envoyait un faux bisou avec la main et commençais à avancer vers la sortie. Je pensais juste qu'il fallait bientôt que je remette mes techniques de combats ou juste mes techniques de fuite. Les hommes de Drew arrivaient. Rapidement. J'entendais une balle fuser. Je me plaquais directement contre le mur près de la porte de sortie et criais aux personnes qui restaient dans la pièce de s'allonger par terre. Un homme rentrait. Je sentais l'extincteur dans mon dos et avait une idée. Je le prenais et le balançais dans le ventre du pauvre gars, son pistolet tombait. À mon plus grand bonheur. Je le ramassais et tirais sur les hommes de Drew. Il tombait un par un entre les cris des personnes encore présentes. La seule chose que j'espérais à ce moment était que mes potes allaient me couvrir et que j'allais retrouver ma copine.
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