Chapitre 13: vu de Mason
Je m'adossais à mon casier et regardais la reine des abeilles venir vers moi :
- coucou beau gosse qui est à moi. Couinait elle
Elle était ridicule. Je n'avais jamais vu aussi ridicule, elle ne savait ni parler, ni marcher, ni être gentille.
-apprend à parler. Lui disais je dur
Elle se plaçait devant moi et arrivais à mes épaules grâce à ses talons de vingt centimètres. Elle se frottait sensuellement contre moi. Oh mon dieu comment cette situation était ridicule, fallait que je la paye ou un truc du genre. Je la repoussais mais ses lèvres se posaient sur les miennes, je sentais son rouge à lèvre me monter au nez et la poussais contre la première porte qui était malheureusement pour elle ouverte. Elle failli tomber par terre mais, j'étais pris d'une soudaine pitié et la rattrapais.
- merci faut que je te parle. Disait elle d'une voix plus normale... d'une voix plus ... elle ?
- comment je retrouves ma Mia à moi... disais je en souriant
Je connaissais Mia depuis le primaire dans notre ancienne école du centre de San Francisco. Depuis notre plus jeu Age, enfin plus maintenant, je trouvais Mia magnifique. Nous étions voisin pendant presque dix ans, jusqu'au jour où elle avait déménagé à Miami. Ça m'a brisé le cœur. Elle était douce, belle et timide. Exactement mon genre de fille. Nous étions meilleurs amis. Mais elle avait eut une enfance très compliquée au contraire de moi qui avait eut des parents présent et adorable avec moi, ils m'aiment. Ils me vénéraient même. Mais ses parents n'étaient jamais présents, et quand ils l'étaient la maison était dans un silence ultra inquiétant. Tout était froid tout était sombre. On aurait dit un film d'horreur, chaque moment passé dans cette maison fessait sursauter, fessait limite peur et je détestais rester cloué ici lorsque ses parents étaient là. Nous sortions beaucoup et un jour elle m'avait raconté comment son père s'énervait contre elle pour un rien. Comment il la rabaissait et l'insultait tout le temps. Comment il allait s'énerver quand elle allait rentrer. Elle avait changé. En mal. Ses yeux bleu turquoise ne reflétaient j'étais inquiet je l'aimais cette fille plus cette joie de vivre et cet amour. Ils reflétaient la haine, ils étaient déçus et en colère. J'ai essayé de savoir ce qui se passait, mais elle ne voulait plus me raconter ses problèmes avec ses vieux. Je l'aimais cette fille. Jusqu'au jour où elle m'avait regardé et m'avait simplement dit : oublis moi Mason. Oublis moi.
Mon cœur se brisait et depuis ce jour là, je n'avais jamais été doux avec les filles. Qu'elles veulent une relation amicale, ou amoureuse. Clara avait réussi à rester un an près de moi mais elle était sortie avec des séquelles. Je l'appréciais beaucoup même si je l'avais fait souffrir. Je l'aimais enfaite elle était le profil de ma femme parfaite : intelligente, belle, fan de café latté et de voitures. Elle me fessait tellement rire. Je regrettais ce que j'avais fais. J'aimerais tellement la tenir dans mes bras...
- OHHH ! criait elle
- Euh. Oui. Criais je en retour
Je regardais Mia et me rappelais que je pensais à notre rencontre et surtout à la soit disant femme de ma vie pour mon cœur.
- ouais donc y a quoi ?
- j'ai besoin que tu me couvres Mase
- oula. Qu'est ce que t'as fais encore ?
- si je te le dis tu me promet que tu ne t'énerveras pas disait elle inquiète
- je peux rien te promettre Mia. Disais je suspicieux de cette betise.je la regardais de haut en bas.
- arrête de me reluquer disait elle avec un sourire
- ouais. Disais je sans un seul sourire.
Mais une douleur soudaine me faisait vaciller sur le sol. Je recevais un coup dans le ventre et tentait de regarder au moins mon agresseur. J'apercevais ses yeux. Je pouvais les reconnaitre entre mille. Des yeux bleus comme ça, ça ne se voit pas tous les jours.
Coucou Oscar
- mec oh ! lui criais je énervé
- NAN ! tu ne m'appelles ni mec ni rien ! rend moi ma meuf ! criait il encore plus fort
Lui rendre Clara ? Je ne comprenais pas. Puis plus tard je comprenais. Mia avait fait une soit disant bêtise. J'allais l'achever. Elle avait dut lui faire du mal. J'étais pris d'une rage puissante presque animale. Je me levais avant un autre coup d'Oscar et le prenais par le t-shirt pour le calmer.
- calmes toi mec calmes toi lui disais je rageux
- t'es un p'tit con !
Stop, stop, stop ! Lui criais je
Peut être que tu parles à toi même Mason.
C'est étonnant que personne ne vous ait entendus.
- roh ! criait il encore plus fort
Ambiance parfaite
Cris et cris et cris
Des pauvres enfants.
Il commencait à durement m'enerver lui. Nous etions maintenant dans le couloir et je l'entrenais vers les vestiaires de basket pour prendre mon sac et surtout ma grande bouteille d'eau glacée. On va voir qui va faire le malin maintenant.
- calme toi ce serait vraiment mieux pour toi.
- Pourquoi tu me dis de me calmer quand t'as ma copine en otage ? se calmait il à contre cœur.
- Mais qu'est ce que tu racontes ?
- J'ai recu une lettre qui m'a dit que c'était un jeu, si je retrouve ce con j'le bouffe.
- C'est pas moi mec. Disais je assuré
- Maouis.
- Promis j'etais avec la prof.
- Ça change rien. Tu peux quand même te débrouiller pour la kidnapper... disait il rageur
- Mais qu'est ce qui c'est passé BORDEL me remettais je à crier
- Clara est plus là ! disparue ! pouf ! disait il, il avait l'air limite alcoolique c'était hilarant. Puis je repensais à Mia, j'allais lui dire ma maniere de penser.
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