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Esprit 1* Gérer son inspiration

Bienvenue dans ce nouveau cours qui va vous apprendre à gérer le plus important dans l'écriture, l'alpha, la Muse indomptable, j'ai nommé : l'inspiration.

Il n'existe que deux cas de figures chez les écrivains, tenez-le vous en pour dit : OU vous avez de l'inspiration (et généralement ça veut dire trop), OU vous n'en avez pas (et vous êtes dans la merde).

Bien sûr, il existe ce cas extrêmement rare de l'auteur pleurnichard (moi), qui a l'inspiration mais en fait non (quand je veux écrire une scène que j'ai en tête par exemple) ; ou au contraire, qui n'a pas d'inspiration mais qui en est remplie (quand je finis un excellent livre). Mais ce cas étant a fortiori minoritaire, nous ne nous y attarderons pas, et je resterai seule à démêler mes problèmes.

I- Comment appeler l'inspiration

Composez le 08 99 99 99 09...

Non, pour avoir de l'inspiration, il suffit d'ouvrir ses narines et de gonfler ses poumons avec de l'air... Voilà votre inspiration !

*les élèves expirent d'ennui* Oh ! Arrêtez de souffrir et de souffler ! Je voulais juste faire des blagues pas drôles en toute connaissance de cause ! (Je pousse l'imitation du prof un peu trop loin, alors, je dois dire... *adopte un air ennuyé et absorbé* Passons !)

Tout ça pour dire qu'il n'existe pas de méthode miracle, ni de méthode générale ! De toutes les interviews d'auteurs que vous avez et aurez pu lire, vous noterez que pas un n'a la même ! Et il en sera de même pour vous.

Toutefois, nous pouvons dégager de ces comparaisons quelques trucs qui reviennent souvent, en généralisant... Vous aurez en revanche à faire le travail inverse (c'est-à-dire spécialiser) pour trouver la méthode qui sera vôtre. Notez ce point : il est important pour votre développement personnel d'anti-mouton de Panurge.

Tout d'abord, en tant qu'amateur de livre, il vous faut lire. Lire permet de stimuler votre imagination en la nourrissant à de multiples sources. Je l'ai dit, je le répète : lisez. Rien ne sort du Choipeaux qu'est votre génie littéraire : c'est vous qui vous êtes construits, qui avez apportés les éléments pour faire votre livre. Quelqu'un qui n'a jamais vu de saucisse de Mortaux serait bien en peine de vous préparer un pot-au-feu, quand bien même il aurait la recette. Lisez, le plus souvent et le plus diversifié possible. Aménagez-vous des moments pour lire dans votre journée ou votre semaine. Et essayez de diversifier votre genre (même dans la fantasy on peut trouver des tas de sous-genres différents à étudier).

De plus, ne vous désespérez jamais (cf règle d'or n°10). Il faut que vous soyiez positivistes dans votre recherche d'idées : si vous vous dites constamment que vos idées ne valent rien, qu'elles sont trop banales, que vous n'en trouverez jamais... En effet, vous ne risquez pas d'aller bien loin. La fortune sourit aux audacieux et marche sur les pieds des geignards. Osez travailler sans vous décourager !

Dormez (je le veux) : de nombreux auteurs ont eu l'idée de leurs livres en rêvant. Mentionnons notamment Stephanie Meyer (qui aurait mieux fait de ne pas s'en souvenir, si vous voulez mon avis...) et un cas très cool : Anne Robillard (que j'ai eu l'occasion, pour mon plus grand bonheur *fangirle* de rencontrer). Voyez-vous, l'idée des Chevaliers d'Émeraude lui est venue en rêve, alors qu'elle marchait dans la cour du château d'Émeraude et que Wellan lui racontait toute l'histoire qu'elle a écrite une fois réveillée. De même, le troisième cycle provient également d'un rêve avec Wellan. Stylé, non ? (Et bien sûr, certains vont surgir avec la théorie des univers parallèles... Calmez-vous, les ufologues.) Ainsi, dormir permet de recycler tous les moments, toutes les pensées et les recherches de votre journée, pour les ressortir de manière originale comme un genre de réponse à votre question en vous endormant. Bien entendu, les rêves sont à organiser derrière (parce que généralement ils n'ont aucun sens), néanmoins si vous en tirez les bons éléments, vous arrivez à quelque chose de très correct.

Enfin, allant de paire avec l'idée de dormir, il faut que vous parveniez à trouver un temps de repos, un temps où vous ne faites rien... Déstressez-vous vis-à-vis de vos obligations scolaires ou matérielles... Mettez-vous à l'aise. Le stress mobilise toute la capacité de votre cerveau à réfléchir sur un seul problème. Alors quand vous voulez utiliser votre esprit pour autre chose, ç'en devient plus ardu.

En bref, sachez vous connaître, pour faciliter la venue des idées. Socrate avait tout compris.

II- Gérer ses idées

Je crois très souvent un certain type de personnes, généralement dans des âges entre treize et quinze ans, qui est gracié d'une foultitude d'idées à un rythme effréné (abondance que j'ai également connue en des jours plus heureux). Comme des papillons au milieu d'un champ de pavot, ils volettent d'une fleur à l'autre pour s'abreuver du nectar enivrant de chaque fleur. Il faut alors les retenir (un peu, parce que trop les brider est mal également) pour éviter l'overdose.

Si vous vous connaissez bien —pour faire le lien avec tout à l'heure—, vous saurez quand vos idées surgissent (ou comment, dans quel type de situation...).

Généralement, c'est plus ou moins n'importe quand, et pas toujours dans les lieux les plus propices. *les élèves murmurent entre eux des exemples d'endroits loufoques où ils ont eu un éclair de génie* Donc, à moins que votre Muse ne vienne vous solliciter tous les jours à dix-huit heures quand vous prenez votre pain au chocolat, gardez toujours sur vous de quoi noter l'idée (même un petit bout de papier déchiré, un stylo...).

Mais quoi noter quand viens l'idée ? C'est un tel déferlement extatique et puissant ! On ne sait ni par où commencer, ni où finir ! Tout de suite, cela semble si clair, si précis, si génial qu'il faut se saisir d'un traitement de texte et coucher sur le papier la saga nordique dont on vient d'avoir l'idée !

Réfrénez cet enthousiasme. N'étouffez pas la joie ni l'empressement général : juste votre mouvement "Oh ! Je vais écrire une superbe histoire qui restera dans les annales !". Et prenez votre petit bout de feuille.

Écrivez le concept de la manière la plus concise (pas la peine de partir dans des développements faramineux), mais cependant la plus précise.

Par exemple, ceci :
"Les dinosaures n'ont pas été exterminés par la météorite : ils se sont enfuis dans l'espace. Un criminel dinosaure revient sur Terre exterminer des humains. Le héros s'allie avec les gentils dinosaures pour rattraper le méchant."

Oui c'est très bizarre. Oui cette idée est de moi. Oui j'ai sérieusement envisagé de la faire. Je croyais que c'était une bonne idée.

De plus, essayez de détailler le plus possible le personnage principal (si vous en avez déjà une bonne idée), les lieux, les lois de la physique (ce qui inclut la magie), les vaisseaux... Tout ce qui peut appuyer le concept de l'histoire.

Et si vous avez des idées de péripéties, alors là c'est le Graal ! Notez-les biens : c'est déjà ça de trouvé et de temps de gagné pour combler les vides de votre scénario.

Idéalement, vous aurez les trois. Et plus, en fait... Hmm... Concrètement, si on parle d' "idéal", tout votre roman est écrit physiquement dès que vous en avez eu l'idée. Ouais... *hoche la tête avec regrets* C'est vraiment dans des cas comme ça qu'on comprend le sens du mot "idéal"...

Quand une idée est là, il faut la creuser, exploiter le plus la Muse pour en savoir le plus sur l'idée ! Mais ne vous forcez pas, ou vous étoufferez la petite créature. Tout réside dans la tempérance : sachez vous arrêter dans votre forage des idées, ou vous risquez de tomber sur un Balrog... Et là, c'est la fin de l'idée.

Non, vous n'êtes pas obligés, je le répète, d'avoir toute l'histoire en tête dès sa conception intangible.

Séparez bien chaque idée : elles sont indépendantes, et ce même si elles peuvent être assemblées. Comme votre carnet à idées (ou votre bout de feuille d'interro) est un brouillon, il n'a pas besoin d'être organisé, d'avoir de la place pour telle idée, telle autre... Celle-ci que vous ajoutez à celle-là... Un section historico-fiction avec un lemon tricératops x tyrannosaure...

Mettez juste vos idées les unes à la suite des autres, avec un long trait pour les séparer. Je préconise du coup l'usage d'un carnet (quitte à rajouter des feuillets volants quand vous aurez un brouillon séparé), pour pouvoir avoir toutes vos idées sur vous, et dans un ordre chronologique. C'est important de pouvoir repérer les idées sur un axe temporel, de savoir les resituer dans un contexte pour mieux se replonger dedans...

Et ensuite ? me direz-vous une fois que votre idée sera notée. *Mick-Cheshitore relève un instant la tête de sa prise de note avant de retourner gratter le papier*

Laissez reposer. Ne vous précipitez pas pour écrire : laissez mûrir votre idée pendant quelques heures, quelques jours, quelques mois... Quelques millénaires, s'il le faut ! Ou simplement jusqu'à la prochaine idée, pour ceux dont l'imagination est fertile ?

Alors vous pourrez revenir sur votre idée et vous demander si elle vaut toujours la peine d'être écrite.

Attention ! Je ne dis pas qu'une idée est bonne ou mauvaise ! Une idée est toujours bonne ! Voici une idée qui est bonne :

Par contre, la question, c'est si elle est bonne pour vous. Ce questionnement permet de déterminer si votre motivation et votre temps suffiront pour la portée jusqu'au bout.

Est-ce que vous avez toujours très envie de l'écrire ? Si oui, commencez le processus de planification/développement, et la rédaction. Votre idée était bonne, allez-y, lancez-vous !

Si la motivation est incertaine, voire nulle, n'hésitez pas non plus à laisser tomber : personne ne vous en voudra (surtout pas l'idée), vous pourrez choisir d'écrire une meilleur idée ultérieure sans problème de conscience, et vous pourrez la reprendre plus tard si à ce moment vous en sentirez l'envie ! Ou alors vous pouvez toujours attendre qu'une nouvelle idée vienne recycler celle-ci !

Car oui, les idées se réutilisent ! Et parfois dans des contextes totalement différents ! Un concept ne se limite pas à un contexte ! Telle est la leçon de vie importante... *écrit la phrase au tableau, en pleins et déliés* C'est si beau... *voix brisée par l'émotion* J'ai la larme à l'oeil...

Et au pire, vous pouvez céder votre idée à un plot-shop. Petit message : évitons de trop polluer Wattpad avec des tas de livres inconnus qui reprennent le même concept ; ne créez pas votre propre plot-shop qui malheureusement risque de n'être visité que par vous (et parfois par le professeur Oiselle, toujours à la recherche d'un bon concept...) : cédez plutôt votre idée a des plots-shops existants ! (Ça doit pouvoir se trouver, qui  acceptent des idées indépendantes...)

Et parfois, votre appréciation reste mitigée, hésitante... Demandez-vous en la raison !

Est-ce par manque de motivation ? Alors écrivez ! Pas forcément celle-ci, mais écrivez, et revenez-y plus tard quand la motivation sera là ! La motivation ça se travaille ! On en reparlera !

https://youtu.be/ZXsQAXx_ao0

Est-ce par manque de confiance ? Alors discutez-en ! Parlez de l'idée avec un(e) ami(e) (Votre professeur Oiselle est une amie. Je viens en paix, élèves.) : ça fera l'épreuve du feu, et ça va booster votre confiance, puisque je vous dis qu'aucune idée n'est mauvaise. *grand sourire d'encouragement*

Et sinon :

https://youtu.be/ua785r5GjAI

Est-ce par manque de temps ? Voulez-vous réellement écrire cela, mais vous n'êtes pas sûrs de la terminer ? Alors trouvez le temps ! Aménagez une pause sur votre histoire actuelle, faites des tas de chapitres en avance pour être tranquille, baissez les rythmes de publication... Mais trouvez le temps pour votre histoire.

Si vous n'êtes pas sûrs de la terminer, cela peut aussi venir du fait que vous ne savez pas comment boucher les trous de l'intrigue. Parce que dans votre idée, il n'y a qu'un seul passage (épique, romantique et que sais-je ?...) qui vous intéresse. J'ai cette citation :

"Si ça peut s'écrire en cinq mille mots, en une nouvelle, alors ce n'est pas la peine d'en faire un roman."

Écrivez juste votre passage. A minima. Et ensuite voyez si vous voulez écrire tout ce qu'il y a autour. Il vaut mieux écrire cinq mille mots à part et y mettre votre coeur que trois cent mille insatisfaits.

Écrivez toujours ce dont vous avez envie ! C'est le maître-mot !

Mais sachez aussi ne pas vous laisser miner par le doute sur votre motivation, votre idée, le temps... Mettez tout cela de côté et écrivez ! (Si vous êtes familiers avec ceci, ne laissez pas traîner votre idée trop longtemps : reprenez-la le soir-même ou dès le matin pour commencer à la travailler.)

Je glisse rapidement un petit mot sur les différentes idées à gérer en même temps : assurez-vous juste de ne pas négliger l'une pour l'autre.

III- Combattre la page blanche/Forcer l'inspiration

L'inspiration, c'est un travail main dans la main de l'inconscient et de la discipline. Leur combinaison produit des idées (les méthodes exposées dans la première partie aident à les développer et les solliciter). Si l'un des deux fait défaut, alors il faut se reposer sur l'autre, ou forcer celui qui manque à faire son travail !

Le misérable paresseux...

Prenons tout d'abord l'éventualité d'une absence d'idée de départ. Vous tenez absolument à écrire une histoire, mais vous avez beau chercher... C'est le néant. Malgré toute votre bonne volonté, la Muse s'obstine à vous préférer une tasse de cappuccino (je la comprends, cela dit).

Alors tentons de réveiller l'inconscient... *éteint la lumière* Airy-chan, voulez-vous bien me tenir le grimoire de runes ?

Non, ça c'est un alphabet de maternelles... Enfin ! *soupire* Nous ferons avec, j'imagine ! *jette le livre au sol et le foule du pied*

Vous pouvez écouter de la musique pour trouver de l'inspiration : n'est-il point vrai que chaque musique raconte des histoires, et que chacune nous délivre un message unique qu'on peut être le seul à percevoir ?

Vous pouvez vous imposer des contraintes de mots, de thèmes... pour broder autour. Ainsi, votre inconscient va vouloir se rebeller et faire une belle histoire autour (c'est ce que j'essaie de vous faire accomplir en vous donnant des devoirs : l'UDAS est là pour vous aider dans vos manques).

Mais surtout, je vous en prie... *regard sérieusement les élèves un par un* Surtout et même si ça peut vous paraître une bonne idée sur le moment... Ne prenez pas de substances illicites. Même si c'est pour aller en philo la tête légère : c'est totalement inutile, ça donne des phrases du genre "Je détruis ton vagin à coup de billes de lait", et c'est plutôt votre cerveau qui va être détruit. Le tabac, les drogues dures, l'alcool les cigarettes... (Je me répète, là.) Ça peut vous sembler bien pour vous détendre et appréhender n'importe quoi plus sereinement, avec ce qui vous semblera plus de maturité et de sérieux, mais il y a mille fois plus de mérite à résister, même si ça vous rend la vie difficile sur le moment. Ne vous rendez jamais addict : c'est hyper-dur d'arrêter après, je le sais d'expérience.

Par contre si ces substances illicites sont du thé, du café, du chocolat ou des Kinder Bueno... Là je dis oui !

Autre manière de déclencher la production d'idées : disciplinez-vous ! A coups de cravaches, ça fonctionne bien !

Rendez visite à un plot-shop, comme je disais plus tôt *baisse le ton* J'ai créé une liste de lecture plot-shop ; ne le dites pas trop fort : je crois que je n'ai pas le droit, d'après K9-Tales... Les idées là-bas sont déjà développées, vous n'avez plus qu'à juger si elles vous inspirent et ensuite les développer : c'est juste de la méthode et de l'autodiscipline, là.

Vous pouvez également forcer votre mécanisme de conception. En effet, sous quelle forme vous vient une idée ? Un monde, une bribe d'intrigue, un personnage... Ainsi, il vous suffit de chercher un monde, un personnage, une intrigue... Et ensuite de compléter ce qui vous manque.

Ainsi, nous pouvons établir deux principes qui régissent les idées :
— Tout idée géniale nécessite un travail.
— Tout travail est à un moment pris en charge par l'imagination. Donc ne vous en faites pas : votre histoire va démarrer à un moment ou à un autre.

Venons-en au mécanisme de la page blanche. J'ai ici un petit schéma qui peut la résoudre :

(Désolée c'est en anglais... Je verrais si j'ai le temps de le traduire...)

Disons qu'elle peut être due à une mauvaise écriture précédente. En ce cas, revenez au dernier chapitre, relisez-vous et couper, réécrivez. Parlez-en s'il le faut pour comprendre ce qui ne va pas. Le dialogue peut débloquer pas mal de choses.

Si la page blanche est due à la flemme, écrivez. Forcez-y vous. Et éliminez s'il le faut la pollution Internet, Wattpad, Candy Crush, etc... Ca vous libère un créneau dans le cerveau, c'est incroyablement efficace !

Si la page blanche est un manque d'idées, référez-vous à ce qui a été d'ores et déjà dit : recherchez ce qui peut être fait comme aventures, dialogues, situations... Même : laissez pour le moment un vide (un chapitre à écrire, pas une élipse) si c'est une transition entre deux moments. Dites-vous que vous pouvez toujours y revenir. La nature a horreur du vide, il sera comblé tôt ou tard.

Et le cas le plus embêtant de page blanche... Celui où vous savez quoi écrire, mais devant votre écritoire, vous ne savez plus rien...

Alors écrivez quand même. Posez les mots les plus affreux que vous ayiez jamais posés, mais écrivez. C'est un premier jet : vous pourrez revenir plus tard et les arranger, les embellir. Il faut juste que ça sorte.

Voilà un nouveau cours sur l'inspiration ! J'espère qu'il vous a plu, n'hésitez pas à commenter pour mettre des critiques sur ma méthode, poser vos questions, me parler, partager votre expérience et vos conseils... Et n'oubliez pas la quelque liste de devoir pour prolonger le plaisir !

Devoirs :
* Lire un livre (publié ou terminé sur Wattpad) de minimum cinq cent pages (à partir de 480 acceptés) ou quarante parties (à partir de trente-cinq acceptés ; quarante-deux aurait été parfait, mais bon...).
* Céder une idée dans votre carnet ou à un plot-shop (ça devrait être trois étoiles, en difficulté, je me rends compte... Je compte sur votre nature généreuse.)
** Rédiger une nouvelle entre 1000 et 5000 mots (romance, adolescent ou chick-lit) sur le thème de la tricherie.
** Rédiger une nouvelle entre 1000 et 5000 mots (SF ou loup-garou) contenant les mots joystick, lune et érable.
*** Créer et partager avec l'UDAS une playlist (Youtube, Spotify, Deezer, liste papier...) de musiques motivantes pour écrire. (Les playlists seront publiées dans ce carnet –en plus du vôtre– et vous serez mentionnés pour la gloire.)
*** Rassembler et partager avec l'UDAS une collection d'images (WeHeartIt, Google Image, Pinterest...) pour l'inspiration, en se focalisant sur un genre littéraire. Dire le genre choisi en commentaire (light-novel, fanfiction —précisez la star/l'oeuvre—, SF, fantasy, romance...) en commentaire pour ne pas vous gêner entre vous (des aménagements seront possibles). (Les collections seront publiées dans le c et vous serez mentionnés pour le meilleur et pour le pire.)

Post-scriptum amusant : Après avoir écrit ce cours, votre professeur a totalement perdu non pas la raison (parce que c'était déjà le cas), mais l'inspiration ! Ce qui lui a donné l'occasion de bien réfléchir à la méthode qu'elle avait décrit... Et de parvenir à la conclusion que ça marchait. Sur elle. A condition de se motiver pour écrire les idées qui valaient le coup. Bref. Et de n'en parler à personne tant que l'idée n'était pas en route. #SecretDEtat
D'ailleurs actuellement c'est toujours la dèche niveau idées.

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