Heureux hier, tristes aujourd'hui, perdus demain
Pdv : Nanami
Le réveil de mon portable sonne en faisant échappé une douce mélodie, j'ouvre peu à peu mes paupières et j'éteins mon doux réveil. Je me retourne pour constaté que mon amour est toujours présent dans notre petit lit douillet, je l'embrasse sur le front et lui fait des petites secousses pour qu'il se réveille mais rien n'y fait, il dort comme une mignonne petite marmotte. M'impatientant un peu, je commence à faire des plus grandes secousses et finalement, je le pousse du lit pour que ce ronflex se réveille enfin, et le résultat est un franc succés. Je me léve du lit et entend un petit grommelement mécontent.
Tooru : Mais euh~, pourquoi tu me réveille aussi méchamment?
Nanami : car quand j'ai éssayé de te réveiller le plus délicatement possible, comme si j'allais te briser, monsieur n'a pas daigné se lever. Aller maintenant on se léve.
Je le vis se lever tout en baillant et il vient vers moi pour me faire le petit bisous matinal. Puis il descendit en bas pour préparé le petit-déjeuner, tandis que moi , je partais pour réveiller nos petits anges. J'entre dans leur chambre et les secoue tout doucement.
Nanami : Les chéries, c'est l'heure de se lever~.
Par rapport à leur père, mes petits bout de chou se levèrent immédiatement.
Yoshoa et Kateitsuki : Ohayo oka-san~
Nanami : Ohayo! Aller le petit-déjeuner est servit.
Yoshoa et Kateitsuki : Ouaiiis!!!
Après qu'ils eurent entendus le mot "petit-déjeuner", ils sortirent très rapidement de leurs lit et coururent jusqu'à l'escalier.
Nanami : Faites attention de ne pas tomber dans les escaliers!!!
Mais je les avais prévenus trop tard car un énorme " BOUM" se fit entendre dans toute la maison. Heureusement que nous ne sommes pas ordinaire car sinon je pense que nos petites tempêtes seraient enroulées de bandages comme une momie. Je partis de la chambre et alla vers les escaliers.
Yoshoa : Même pas mal !!! Hahaha
Kateitsuki : hihihi ! Papa, tu peux m'aider à me relever?
Yoshoa : Moi aussi, moi aussi !!!
Tooru : J'arrive, j'arrive
Tooru sorti du salon, après avoir déposé les derniers bols, et aida nos enfants à se relever.
Tooru : Voilà, maintenant, à table !!
Je descendis les escaliers puis me dirigea vers le salon, avec pour commandant, mes petits sucres. Nous nous installâmes sur les chaises et commençâmes à déjeuner.
Le déjeuner n'était pas comme ceux des humains, non, nous sommes des goules, donc notre métabolisme à besoin de se nourrir de chairs humaines pour que nous puissions être en bonne forme mais nous ne mangeons pas ouvertement comme ça, des mains, des pieds ou autre partie du corps, non, nous les transformons, on va dire, en forme de confiseries que vous, humain, ingurgitez, pour que nous passions inaperçus parmis nos chers voisins. Mais vous allez vous dire, " comment vous vous approvisionnez?" Bah enfait, nous sommes près d'une petite colline où pas mal de personnes dépréssifs passent pour se faire bercer par la mort, et nous nous servons, de toute façon se n'ai pas du kidnapping ou du vole car le corps est déjà sans vie et n'appartient à personne (même pas à sa famille XD). Donc voilà comment nous mangeons, mais reprenons ou nous en étions.
Après que nous aillions manger, nous partîmes tout les quatre se doucher et se laver, bien sûr chacun notre tour.
Tout le monde c'était changés donc nous étions fin près pour notre promenade matinal. Nous saluons tout les voisins par de léger signe de main ou de petit "Ohayo". Nous passâmes par habitude dans les petites ruelles pour que nous puissions rejoindre la broquante car nos petits filous grandissent un petit peu plus chaque nuit. Nous traversons encore des ruelles, jusqu'à ce qu'un mauvais pressentiment nous traversa, moi et mon mari, nous nous mîmes à courir sans que nos enfants ne sachent pourquoi. Soudain, un liquide rougeâtre me gicle sur mon visage, je tourne ma tête pour apercevoir que mon mari avait un couteau plantais sur son bras gauche. Nous comprîmes instantanément qui nous attaqués et nous procédâmes au plan,que mon mari et moi avons échafauder au cas où une attaque nous empècherait de continué notre vie. Je pris nos deux enfants dans mes bras et je continuais de courir pendant que Tooru se stoppa pour arréter l'attaque. Je tourna à gauche, dans une ruelle complétement déserte où je déposis mes anges.
Nanami : Attendez nous ici, pendant que papa et maman bottent le derrière de ces malfaiteurs qui dérange notre vie. D'accord ?
Yoshoa et Kateitsuki : D'accord ma....maman.
Nanami : C'est bien, mes chatons
Pdv : Tooru
Pendant que Nanami m'était les enfants en sûreté, moi je combattais nos pires ennemies, les colombes. Pour pouvoir me battre, je sortis mon kagune de type ailé, de magnifique grandes ailes rouges bleuté sortirent de mes épaules, je lança une offensive pour blesser mon adversaire, ce qui fonctionna. Entre temps, ma chérie pût me rejoindre et elle aussi sortie son kagune de type écailleux, qui était de couleur noir et rouge cendré, puis nous recommençâmes nos offensives. Malheureusement pour moi, j'étais déjà à bout de force car nous, ukaku, n'avons pas beaucoup d'endurance. Tout ce passa très vite, une des quinqes de mes ennemies c'était logé dans ma trachée ce qui me fit terriblement mal et comme-ci il voulait profiter de ma souffrance, il n'enleva pas son arme qui bloquée ma respiration. Puis d'un coup, tout devenu noir.
Pdv : Yoshoa
Nous vîmes, ma soeur et moi, notre père se faire décapiter sous nos yeux mais nous ne pouvions rien faire, malgré que nous puissions sortir nos kagune, Maman nous avait fortement interdis de nous mettre à découvert.
En parlant d'elle, elle combatait deux personnes qui avait des armes qui ressembler à nos kagune, je pense qu'en cet instant, Maman n'avait pas su que Papa avait été tué et qu'elle n'avait aussi pas vu qu'une troisième personne était en train de lui foncer dessus. Cet même personne lui enfonça son arme au même endroit où il l'avait placé sur Papa, dans la gorge, puis il l'a retira soudainement faisant en même temps, tombé la carcasse inerte de Maman et stoppé les attaques de ses coéquipiers. Les trois personnes partirent en laissant les corps de nos parents, qui gisés sur le sol froid. Quand ils furent partis, nous nous précipitâmes vers les cadavres de Papa et de Maman. Nous avions tout perdu en seulement quelques heures, nos parents, notre maison, notre vie mais surtout, nous avons perdu toute confiance en l'humanité.
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