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Chapitre 13

PDV Stiles

Je me prépare pour aller au lycée, je prend une de mes chaussures et l'enfile mais je ne trouve pas la deuxième. Je regarde au sol, dans la penderie mais ne la trouve pas. 

Moi :- Papa ! Tu aurais pas vu mes baskets ?! 

Papa :- Non mon fils mais si ta chambre était rangé, tu les aurais sûrement trouvé ! 

Je soupire et m'allonge au sol pour regarder sous mon lit. Je repère ma chaussure et tend le bras pour l'attraper mais quelque chose vient avec. Je fronce les yeux, je met ma chaussure de coté et regarde l'objet que j'ai récupérer. C'est un haut banc, il n'est pas très propre à cause des tâches de sang sur le tissu. Il n'est sûrement pas à Lydia et je ne vois pas pourquoi il serait à Malia. Mais à qui est ce haut ? 

Papa :- Stiles ? 

Il toque à la porte et je remet le vêtement sous mon lit. Il entre dans ma chambre. 

Papa :- Tu as trouvé tes baskets ? 

Moi :- Ouais. 

J'enfile ma deuxième chaussure et me relève. 

Papa :- Est ce que ça va ? 

Moi :- Bien sur, pourquoi est ce ça irait pas ? 

Papa :- Parce qu'il y a toujours quelque chose qui te tracasse. 

Moi :- Je t'assure qu'il y a rien à part le fait que de Ghost Riders se baladent dans la ville. 

Il me sourit légèrement. 

Papa :- Ça va s'arranger. Tu devrais y aller ou tu vas être en retard.

Moi :- Tu as raison. 

Papa :- Comme toujours. 

Je souris, prends mon sac et sors de ma chambre.

***

Je suis à l'extérieur du lycée étant donné que mon cours est annulé. Je m'installe sur une table de pique nique et sort mon téléphone. Je compose sans m'en rendre compte un numéro non-répertorié dans mon téléphone et je ne sais pas qui c'est. Peut être que c'est le numéro de Freya ? J'appelle donc et porte le téléphone à mon oreille. 

<< Ce numéro n'est pas répertorié >>

Bien sur, c'était trop beau pour être vrai. Je lève les yeux de mon téléphone et remarque que la voiture noire garée sur le parking depuis quelques semaines va se faire enlevé par la fourrière. Je prend mes affaires et me dirige donc vers le parking, je vois Lydia y aller elle aussi. 

Moi :- Hey !

Elle se retourne vers moi.

Moi :- Qu'est ce que tu fous là ? Tu es pas en cours ?

Lydia :- Faut qu'on empêche cette voiture de se faire déplacer. 

Moi :- Quoi ? Lydia pourquoi ? 

Lydia :- J'ai un pressentiment.

Moi :- Bon bah on écoute la Banshee.

On se dirige vers la voiture et donc vers l'homme qui s'occupe de la remorquer. 

Lydia :- Hey ! Vous ne pouvez pas enlever cette voiture.

Homme :- La paperasse dit que je peux. Elle est signalée comme abandonnée. 

Je pose ma main sur le capot de la voiture. 

Moi :- Maintenant, elle ne l'est plus.

Homme :- C'est votre véhicule ?

Moi :- C'est si important ?

Il se met à rire.

Homme :- Je prends ça pour un "non". 

Il s'apprête à partir mais Scott court vers nous. 

Scott :- C'est la mienne. Euh, ma voiture. Merci je la déplacerai, quand j'aurais récupéré les clés...dans mon casier...quand vous serez parti. 

Je me tape le front.

Homme :- Je suis désolé, une fois que c'est accroché...

Il désigne le crochet du camion relié à la voiture.

Moi :- Surtout ne dites pas "vous êtes à mon crochet". 

Homme :- Et bien je ne peux pas maintenant.

Il retourne vers son véhicule. 

Scott :- Attendez, on doit pouvoir faire quelque chose. Signer un papier ? Appeler quelqu'un ? 

Moi :- Payer quelqu'un ?

Il me regarde en souriant. 

Homme :- Les frais d'abandon sont de 150$, en espèce. 

Scott :- On est vraiment en train d'acheter une voiture alors qu'on en a pas les clés. 

Moi :- Scott, sors ton fric et écoute la Banshee.

Il sort quelques billets de sa poche. 

Scott :- Tout ce que j'ai c'est 50$. Et quand je dit "tout", c'est tout.

Je lui prend les billets des mains, je cumule avec mon argent et celui de Lydia puis le tend à l'homme. Il nous sourit et décroche le crochet du véhicule. 

Scott :- Et maintenant qu'est ce qu'on fait ? 

Je me tourne vers le véhicule.

Moi :- Bah au moins, on a une belle voiture. 

PDV Freya

Nous continuons de marcher dans le tunnel. 

Peter :- Depuis combien de temps est ce que tu connais Scott ? 

Je me tourne vers lui puis je me remet à marcher en regardant autour de moi. 

Moi :- Depuis 18 ans. Nos parents étaient amis et ont étaient voisins, alors on a toujours étaient proche. C'est comme un frère pour moi. Quand je suis rentré en maternelle, j'ai rencontré Stiles et Lydia puis je suis partit avant mon entrée au collège à cause de la morsure.

Peter :- Et vu que tu es là, j'imagine que tu es revenu à Beacon Hills. 

Moi :- Bien vu. 

Gars :- Pourquoi tu es revenu ? 

Moi :- Tu ne me croirais pas. 

Gars :- Je crois que maintenant, je peux croire à tout. 

Moi :- Les forces surnaturelles de Beacon Hills m'attiraient.

Peter :- Le nemeton. 

Moi :- Ouep. 

Je fais briller mes yeux pour mieux voir ce qui m'entoure. 

Gars :- C'est quoi le nemeton ? 

Je tourne la tête vers lui et il sursaute. 

Gars :- Oh merde, comment tu fais ça ? 

Moi :- Je suis un loup-garou, enfin c'est compliqué mais je suis principalement un loup-garou.

Peter :- Comment ça principalement ? 

Moi :- Les Docteurs de l'horreur ont fait quelques tests sur moi. J'étais en quelque sorte programmé pour devenir un loup-garou et ils m'ont rajouté des capacités de Banshee. 

Peter :- Tu sens les gens mourir ?

Moi :- Non, j'ai seulement des visions dans lequel je peux communiquer avec d'autre gens mais je ne les contrôle pas. 

Les garçons s'arrêtent et je fais de même.

Gars :- Tu as des visions ?

Peter :- Tu peux communiquer avec les gens ? 

Moi :- Oui et oui. 

Gars :- Qu'est ce qu'il va se passer pour nous alors ? Est ce qu'on va mourir ? Survivre ? 

Moi :- Je ne contrôle pas mes pouvoirs.

Gars :- Tu dois avoir un pressentiment non ? 

J'hausse les épaules puis ferme les yeux, je prend une grande bouffée d'air puis rouvre mes paupières. 

Moi :- Quelque chose va se produire, quelque chose de mal. 

Peter :- Très rassurant, vraiment. 

Il reprend sa marche et me passe devant, nous apercevons une sorte de faible lumière sombre plus loin. 

Moi :- C'est jamais bon signe de suivre une lumière au bout d'un tunnel.

Gars :- Je préfère mourir que de rester ici. 

Il passe à son tour devant moi. 

Moi :- Bon et bien suivons cette lumière. 

Je continue de marcher sur les anciennes rails de train, tout en évitant de tomber à cause de la hauteur de mes chaussures à talon. 

Moi :- Rappelez-moi de ne plus jamais mettre des talons, le jour de la photo de l'album. Pourquoi est ce que je me suis pas fais enlevé quand j'étais en jogging et en baskets ?  

Peter :- Arrêtes de râler petite louve.

Je souffle et les rejoins en trottinant légèrement. 

Peter :- Encore une autre gare, vraiment super. 

Effectivement c'est une autre gare mais celle là est abandonné et désaffecté. 

Moi :- C'est la sortie ? 

Je pointe la suite des rails.

Peter :- Si c'était le cas, on pourrait partir.

Gars :- Vous voulez peut-être rester loin de la voie ferrée ? Parce que c'est le chemin d'entrée et de sortie.

J'entends le tonnerre et les hennissements de plusieurs chevaux. 

Moi :- Ils arrivent.

Nous montons rapidement sur le quai et nous nous cachons derrière un vieux pilier. Je fais légèrement sortir ma tête pour voir la scène devant mes yeux. Trois Ghost Riders apparaissent dans une fumée légèrement verte et grise puis ils galopent jusqu'au tunnel qu'ils empruntent. 

Peter :- C'est la sortie ? Comment sommes-nous supposées faire ça ? 

Gars :- On saute. 

Moi :- Sauter ? 

Gars :- Sur le dos des cavaliers pendant qu'ils passent à travers.

Peter :- C'est tout ? 

Gars :- J'ai chronométré. Nous pouvons sauter d'ici juste avant qu'ils ne sortent.

Peter :- Je pense que tu te trompe de pronom. On ne va rien faire du tout. Mais vous devriez essayer.

Gars :- Vous voulez sortir d'ici ou pas ? 

Moi :- Oui, je veux sortir d'ici mais ce que tu ne comprends pas c'est qu'on ne sait pas si l'on peut traverser. Comment tu sais que ça marche ? Ça pourrait ne pas fonctionner.

Gars :- Écoutes, je ne peux pas rester ici. Je perds la tête dans cet endroit.

Peter :- Alors vas-y, fonce. 

Moi :- Peter.

Les hennissement reviennent et les bruits de sabot résonnent dans le tunnel. 

Moi :- Ils reviennent.

Peter et le garçon se mettent à un pilier différent. Je me met à coté de Peter qui me fait signe de ne rien dire.

Moi :- On peut pas le laisser faire ça.

Peter :- Et s'il avait raison ? C'est notre seul espoir pour le moment.

Je souffle puis me tourne vers l'autre ado.

Moi :- Hey, on va trouver autre chose. Il doit y avoir une autre façon de sortir d'ici. 

Gars :- Non, il n'y en a pas. J'ai été ici pendant des mois. Tu viens ou pas ? 

Les Ghost Riders passent devant nous et je commence à courir pour sauter sur l'un d'eux mais Peter m'en empêche en attrapant mon bras. 

Peter :- Laisse le essayer.

Le garçon lui par contre saute sur le dernier cavalier.

Peter :- Allé, allé. 

Les deux premiers Ghost Riders passe la sorte de portail invisible. Le dernier passe mais le garçon est expulsé. Il se met à crier de douleur puis des flammes vertes apparaissent autour de lui, ne laissant aucune trace de son existence quelques secondes après. Je met ma main sur ma bouche. 

Peter :- D'une manière ou d'une autre je ne crois pas que ce soit allé comme il l'espérait. 

Moi :- Bien sur ! Il est mort ! On aurait pu l'en empêcher !

Je descend du quai et m'approche de l'endroit où il est mort. 

Peter :- Restes là petite louve, je veux pas perdre quelqu'un d'autre. 

Moi :- Tu savais qu'il allait mourir.

Peter :- Je ne le savais pas, enfin je le supposais. 

Moi :- Tu aurais pu le prévenir !

Peter :- Il allait le faire de toute façon. Maintenant, nous savons.

Je me retourne vers lui et fais de grand signe avec mes bras. 

Moi :- Savoir quoi ?! 

Peter :- On est coincé.

Il descend lui aussi du quai et me rejoint. 

Peter :- C'est fini. Nous sommes piégés car c'était notre seule sortie !

Moi :- Ou c'est ce qu'ils veulent nous faire croire.

Peter :- C'est quoi votre problème à vous les adolescents ? Vous croyez que vous êtes si spéciaux ? Vous croyez que les règles ne s'appliquent pas à vous ? Tu as compris ?

Son regard glacial rencontre le mien. 

Peter :- On est mort et enterrés ! 

« Rien n'est plus fatiguant psychologiquement que de rester coincé quelque part où vous ne voulez plus être. »

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