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Chapitre 12

PDV Freya

Cela fait peut être des heures, des jours, des semaines, des mois voir des années que je suis assise sur ce banc. Je n'ai pu la notion du temps et je ne pourrais pas dire quel jour nous sommes. Je regarde autour et vois comme à chaque fois le panneau d'affichage, la billetterie et les dizaines de personnes assissent sur ses bancs comme moi attendant je ne sais plus quoi. C'est vrai tient, pourquoi est ce que je suis là ? Je me penche vers la femme assise à mes cotés, c'est une médecin vu la blouse blanche et le stéthoscope autour de son cou.

Moi :- Excusez-moi ? 

Elle se tourne vers moi. 

Moi :- Pardon mais où sommes nous ? 

Médecin :- Nous sommes à la gare. 

Moi :- Merci, vraiment utile. Mais quelle gare précisément ? 

Elle se tourne vers le tableau d'affichage.

Médecin :- La station de train numéro 137. 

Mais où est ce que je suis bon sang ? 

Moi :- Vous m'avez vu arriver ? 

Médecin :- Non.

Moi :- Depuis combien de temps est ce que vous êtes là ? 

Elle hausse les épaules.

Médecin :- Peut être il y a une heure. 

??? :- Nous sommes arrivés en même temps. 

C'est l'homme à ses cotés qui lui répond. Il lit tranquillement son journal.

Homme :- Ça fait au moins six heures.

Moi :- Six heures ? Où est ce que vous allez ? 

La médecin ouvre la bouche mais ne dit rien comme si elle ne savait pas. Mais comment ne peut-on pas savoir où l'on va ? 

Médecin :- J'avais un ticket avec moi. 

Elle fouille dans ses poches. 

Moi :- Vous voyagez toujours dans votre tenu de travail ? 

Médecin :- Je devais être pressé.

Je me lève pendant que la femme continue de chercher son soit disant ticket. Je me dirige vers la billetterie. Il n'y a une affiche dessus. 

<< Reviens dans 5 minutes >>

Je passe ma main sur le comptoir et découvre au moins 3 centimètre de poussière. Je me tourne vers les personnes de la gare. 

Moi :- Vous savez si quelqu'un travail ici ? 

J'entends des haut-parleurs s'allumer. 

« Les prochains arrêts ont été annulés ; Hollatine, Batten, Bay Burry, Deer Ridge, Red Oak, Anderson, King Spings. »

Moi :- Excusez-moi, où vont ces trains ? 

Personne ne me répond pas. Je m'avance vers une femme. Un bruit de train résonne dans la gare. 

Moi :- Excusez-moi, vous savez quel train c'est ? Quelqu'un sait où va ce train ? 

Tout le monde se regroupe devant le tunnel, je sens le vent, j'entends les hennissements et je ressens la peur de toutes les personnes présentes. Les Ghost Riders rentrent dans la gare et tout le monde se cache hormis moi qui reste planté là. Ils déposent de nouvelle victimes au sol. Un des cavaliers se dirige vers moi et je recule quand soudain quelqu'un attrape mes épaules et me plaque contre un mur. Un homme d'une quarantaine d'année, des yeux bleus et une barbe de quelques jours. Je le connais. 

Moi :- Vous êtes Peter, Peter Hale. 

Il fronce les sourcils. 

Peter :- J'imagine que tu es une amie de Scott McCall. 

Moi :- Sa meilleure amie. 

Il me lâche et s'éloigne. Je remarque les Ghost Riders sortir par le même tunnel où ils sont entrés. Je m'avance vers Peter.

Moi :- Vous êtes le père de Malia. 

Peter :- Tu connais ma fille ? 

Moi :- Oui, c'est une amie à moi. Elle m'a raconté que vous étiez enfermé à Eichen House. Comment ça se fait que vous soyez là ? 

Peter :- Que veux-tu dire, comment ça se fait ? Je suis là, tu es là, nous sommes tous là. Maintenant éloignes-toi...

Moi :- Freya. 

Peter :- Freya éloigne-toi. 

Il s'assoit sur le banc comme tous les autres.

Moi :- Peter ? Qu'est ce que vous faites ? 

Peter :- J'attends mon train. 

Il dit ça comme si c'était la chose la plus naturelle au monde.

Moi :- Vous n'avez pas vu ça ? 

Peter :- Vu quoi ?

Moi :- Les cheveux, l'homme d'affaires ligoté avec des cordes magiques qui disparaissent comme par magie ? 

Je me retourne vers le reste de la gare. 

Moi :- Pardon mais quelqu'un a vu ça ?! 

Personne ne me répond, je ne sais même pas si il m'entende. 

Peter :- Tu permet ? Tu caches le tableau. J'aimerais être prévenu avant que mon train arrive.

Moi :- Donc vous attendez un train. Comment vous êtes arrivé là ? 

Peter :- Je suis sur d'avoir pris un taxi. 

Moi :- Stiles m'a dit que la dernière fois qu'il vous avez vu, toute la meute vous enfermaient à Eichen House.

Peter :- J'étais à Eichen à cause de Stiles.

Moi :- Votre mémoire va bien en tout cas, comment est ce que vous êtes sorti ? Ils vous ont fait sortir de l'hôpital ? 

Peter :- Il y a eu une coupure d'électricité, j'ai couru comme un fou. 

Moi :- C'est tout ? Vous êtes sortit de cet asile seulement en courant ? On a dû couper tout le système électrique de Eichen, on a assommé des dizaines de gardes, on a luté contre des chimères et des Docteurs de l'horreur.

Peter :- C'est toi qui a causé la coupure ? 

Moi :- Non, c'était un Kitsune. Mes amis et moi étions là pour sauver Lydia Martin. Je crois que vous l'a connaissiez, c'est vous qu'il l'aviez mordu. 

Peter :- Depuis combien de temps est ce que je suis là ? 

Moi :- On a fait échappé Lydia de Eichen il y a trois mois 

Peter :- J'ai disparu pendant trois mois et personne n'est venu ?

Je souffle.

Moi :- C'est ce que font les Ghost Riders, ils t'effacent.

Peter :- Les Ghost Riders de la Chasse Sauvage ? 

Moi :- Tu sais de quoi je parles ? 

Peter :- Bien sur que je sais de quoi tu parles. Ils chevauchent les éclairs, ils ont une force de la nature inarrêtable. Mais je le promet, ils ne s'arrêtent jamais dans les stations de trains. Je me suis échappé d'une prison pour aller dans une autre et celle là ressemble au repaire souterrain d'un bureaucrate dépressif. 

Moi :- Oh allé, il doit bien y avoir une sortie, non ? Tu as regardé autour de nous ? Ou parler avec quelqu'un qui est au courant de quelque chose ? 

Peter :- Si c'est bel et bien la Chasse Sauvage, il n'existe aucun moyen de s'échapper. Toi et moi sommes condamnés à monter les éclairs pour toujours.

Moi :- J'ai d'autre projets pour mon avenir et je vous rappelle qu'on est pas dans une tempête, on est dans une gare. Et on peut sortir d'une gare.

Peter :- On ne peux sortir d'ici jeune fille, parce que cet endroit n'est pas réel.

Moi :- De quoi est ce que tu parles enfin ? 

Peter :- Beacon Hills n'a pas de gare.

Je souffle d'agacement, je sens mes ongles s'allongeaient pour devenir de longues griffes. Je serre les poings et mes griffes rencontrent ma peau. Je me met à grogner. 

Peter :- Tu devrais peut être penser à ton ancrage. 

Je touche le tissu de ma veste mais ce n'est pas celle au motif militaire, je l'ai laissé chez moi. Mes crocs s'allongent et mes yeux deviennent rouges.

Peter :- Qui es-tu Freya ? 

Moi :- Vous ne me connaissez sûrement pas. 

Peter :- J'ai déjà entendu parler d'une Freya, je veux seulement savoir si tu es celle à laquelle je pense. 

Je souffle et m'assois à ses cotés. Je respire et pense à mes amis et à Stiles. Je re-deviens humaine. 

Moi :- Je m'appelle Freya Pierce. 

Je me tourne ensuite vers lui. Ses yeux s'agrandissent. 

Moi :- Alors Sherlock ? 

Peter :- Tu es la chasseuse de loup-garou transformé en loup-garou. 

Moi :- Oui, j'ai été mordu par Deucalion lors d'une nuit d'été.

Je me lève et m'approche d'une porte, je pose mes mains dessus et essaye de tirer, pousser ou coulisser les portes mais ces dernières de s'ouvrent pas. 

Moi :- Un peu d'aide peut être ? 

Peter :- Tu es un loup-garou, utilises ta force. 

Je prend le cadenas qui retient la porte et le serre dans ma main avant de tirer dessus, il me reste dans les mains et je souris. Je passe les portes et me retrouve de nouveau dans la gare, je remarque Peter à une dizaine de mètres de moi

Moi :- Qu'est ce que c'est que ce bordel ?

Je m'avance puis cours vers la porte, je repasse par la même porte pour me retrouver à un autre endroit dans la gare, comme si quelqu'un refusait que je sorte ici. Je me dirige de nouveau vers Peter en soufflant. 

Peter :- Non, continue. 

Moi :- Ça ne sert à rien de toute façon. 

Peter :- Petite louve, épaule gauche contre le pilier.

Il se retourne pour être de dos, je jette un œil au pilier. 

Peter :- Ne regardes pas, j'ai dis ne regarde pas.

Moi :- Okay, pas d'inquiétude. 

Peter :- Il nous regarde.

Je jette un rapide coup d'œil vers le pilier et je vois un garçon d'environ mon âge accoudé contre la structure. Il a les yeux bruns et des cheveux en bataille de la même couleur.

Moi :- Chaque personne de cette pièce est comateuse et catatonique.

Peter :- Il semble très intéressé par notre petite conversation. 

Moi :- Il nous surveille.

Peter me fait un signe de tête vers lui et j'avance vers le garçon. 

Moi :- Hey. 

Il me regarde avant de disparaître derrière le pilier. 

Moi :- Restes là, je vais rien te faire. 

Je contourne la colonne et vois le garçon en face de Peter qui lui barre la chemin.

Peter :- Pourquoi est ce que tu nous regardes ? 

Gars :- Vous avez essayé les portes. 

Moi :- Merci capitaine Obvious.

Gars :- Personne n'a jamais essayé les portes.

Moi :- Et toi ? Tu les as testé ? 

Gars :- Celle que je pouvais ouvrir. J'ai essayé les autres aussi. 

Peter :- Pas toutes, vu que tu es encore là.

Moi :- Il semblerait que tu es une sorte de plan, alors pourquoi ne pas nous en parler ? 

Gars :- Je peux vous le dire mais ça signifie pas que vous pouvez le faire.

Je lance un regard à Peter. 

Moi :- On peut le faire, il y a pas de problème là dessus.

Gars :- Et bien, c'est juste en face de vous.

Il tourne la tête et je suis son regard qui parvient jusqu'au tunnel. C'est de là où sont arrivés et sortis les Ghost Riders.

Gars :- Vous l'aviez pas vu ? 

Moi :- Je l'ai vu, mais ça me semblait trop facile.

Gars :- Alors pourquoi perdre autant de temps à courir à travers les portes ? Je vais te dire pourquoi. Parce que ça fait partie de l'illusion. Tu as peur.

Moi :- Je n'ai pas peur, je ressens beaucoup de chose au moment où on parlent mais pas la peur. Je suis en colère parce que j'ai atterri ici, je suis triste parce que je suis loin de mes amis, je suis aussi heureuse de ne pas voir mes amis car ça veut dire qu'ils n'ont pas encore étaient pris. Mais je n'ai pas peur. 

Le gars en face de moi me regarde avant de tourner la tête vers Peter. 

Peter :- Je n'ai pas peur non plus.

Il commence à avancer et je le suis. Le garçon nous imite. Nous nous arrêtons devant le tunnel. 

Gars :- Je peux pas le faire, tu peux ? Il ne peut pas. 

Peter :- On devrait vraiment le tuer.

Je jette un œil au garçon à mes cotés, sa tête se décompose. Je lui donne un coup de coude. 

Moi :- T'inquiète pas, on va essayer de sortir de là. On te tueras après. 

Il déglutis et je ris légèrement. Je m'avance au coté de Peter. 

Moi :- Alors ? 

Peter :- Pousse moi. 

Moi :- Quoi ? 

Peter :- Pousse moi ! 

Je pose mes mains sur ses épaules et le pousse de quelques mètres. Rien ne ce passe. 

Peter :- Tu peux venir petite louve. 

Je m'avance dans le tunnel en regardant autour de moi.

Moi :- J'ai un prénom tu sais ? 

Peter :- Oui effectivement, mais j'aime beaucoup ce surnom. 

Gars :- Vous parlerez de vos surnoms affectifs plus tard. 

Nous continuons de marcher, peut être à la rechercher d'une sortie.

« L'important dans la vie, ce n'est pas où tu es ou ni où tu étais, mais bien où tu veux aller. »

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Le "come-back" de Freya ? Heureuse de la revoir ? Moi elle m'avait manqué ;)

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