- Maman !? M'exclamais-je.

- J'ai pût déplacé un rendez-vous pour être là plus tôt, me dit-elle en souriant.

Je n'avais plus les mots pour décrire cette journée complètement folle.

Ma mère, et mon père réunis dans la même pièce ?!
Impossible...

Sa fait au moin 6ans que l'on a pas eut de repas de famille !
J'ai l'habitude de manger en mission car la plupart de celle-ci doivent se dérouler vers 14h.

- Euh... Je peux juste passer dans ma chambre s'il vous plaît ? Je dois déposer mon arme.

Ma gorge était sèche.
Mon cœur aussi.

Ils me regardent intrigués, mais me donnent l'autorisation d'y aller.

Je courre vers la chambre, je ferme la porte et m'écroule contre celle-ci.
La tête entre mes mains.

"C'est pas normal, il y a forcément quelques choses de très important, qui va se dérouler pendant le repas, pour que ma mère décide de décaler son rendez-vous !
Et mon père qui vient me chercher ?!
C'est la première fois en 4 ans !"

Je me relève, dévisageant ma chambre, un lit simple avec un oreiller bleu marine, des draps bleu ciel, des murs gris, avec des photos de loups et un tableau avec toute mes prochaines missions, un bureau dans l'angle de la pièce du côté gauche quand tu entre dans la chambre, celui-ci est bourré de rendu de mission pas encore donné à mes supérieurs, juste à côté, sur le mur, se trouve deux dagues accrochées, avec un porte arme vide, là ou mon sniper se trouve quand je ne suis pas en mission ou entraînement.

Je le pose.

Je me rends ensuite à mon bureau, vident mon sac banane, les munitions tombent, je les attrape et les range dans un tiroir, j'enlève mon sweat et mes mitaines, et me recoiffe du mieux que je peux, mais cheveux m'arrive aux épaules, ils sont noirs de nature, mis ondulé, le bout de mes cheveux est teinté en bleu.

Un détail attire mon regard, c'est un cadre, avec à l'intérieur une photo de moi petite avec ma meilleure amie d'enfance Allia.

Je reste figée,
Elle a reçu son nom ?
Elle a le même âge que moi, et elle devrait recevoir son nom dans pas longtemps, elle avait eu des problèmes de santés, ce qu'il la obligée d'arrêter l'entraînement pendant un moment.

Cette photo a été prise quand nous avions 6 ans, Allia est brune au yeux marron châtain, et moi noir avec de beaux yeux Bleus foncés, gènes que je tiens de ma mère, la seule différence est que ma mère est brune très foncée mais pas noir, mon père lui est blond, personnes ne sait pourquoi moi j'ai eue les cheveux noir.

Mon nom Minuit est donc encore mieux attribuée.

Je regarde la porte résigner, je l'ouvre et me dirige vers la salle à manger dédié au chefs, là, ou normalement, je n'ai pas le droit d'y mettre les pieds, mais mes parents ont fait une exception.

Ma tête tourne quand je réalise que les plus grands chefs allaient manger avec moi, alors que je ne suis qu'une simple lieutenante.

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Les grades :

Chef(s)

Général(généraux)

Lieutenant(es)

Adjoint(es)

Membre(s)

Apprenti(es)
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Le moindre faux pas et mes parents m'empaille sur place.

"Ressaisis toi Mélina ! C'est toi la redouté tueuse de Minuit ! Pourquoi tu as peur d'un simple repas ?!"

Leur voix atteignent mes oreilles, ils semblent bien s'amuser !

J'ouvre la porte, on ne m'adresse pas la moindre attention, j'en suis rassurée.

"C'est ça, continuez à m'ignorer par pitié !"

J'aperçois ma mère au loin, elle est en pleine discussion avec quelqu'un.

Je m'approche en les saluant poliment, m'attardant un peu plus sur la personne qui les accompagne.

- Ravis's de te rencontrer Minuit ! S'exclame l'homme a moitié caché par sa capuche et son masque.

Je me redresse ne sachant que faire de plus.

J'étais très mal à l'aise.

On m'a entraîner à tuer sans aucune pitié, pas à être polie et gentiment me comporter en société.

Ma mère arrive à ma rescousse.

- Haha's Mélina n'est pas une habitué de la société, excuser là, elle ne s'est pas comment si prendre.

Rappeler moi, on est pas une organisation terroriste de base ?

Comment je m'y suis pris pour me retrouver la dedans moi ?

- Et's si on allait manger un truc ? Propose mon père.

- Bonne idée ! S'enthousiasme l'homme.

Au buffet, je pris le repas le plus simple possible.

Je n'ai aucune envie de manger quelque chose de sofistiqué.

Assis, plus personne ne parle.
Je relève donc la tête de mon assiette.

Tous le monde me fixent.

J'ai fait quelque chose de mal ?

- Il's faut qu'on parle Mélina...

Rien que le début de cette phrase sonne l'alarme de dangerosité.

- Oui's ? Je leur demande perplexe.

Ils vont me sortir quoi cette fois ?
"Tu prends trop de risques"
"Tu es trop en retrait"
"Tu t'entraînes pas assez"
"Tu t'entraînes trop ! Va un peu sur le terrain !"

- On's a décidé de te scolarisés dans un lycée dès la rentrer, finit par dire mon père.

- Mais's vous êtes des malades... soufflais-je complètement sous le choc.

- Il's ne faut pas négligées ton entraînement mental. Me rabroue ma mère.

- Et puis, sa te permettra de te faire à la société ! Tu as toujours été une louve solitaire jusqu'à présent.
Tu ne parles même pas aux jeunes de ton âge dans l'organisation ! Continue mon père.

L'homme qui était jusqu'à présent avec nous, suivait la conversation d'un œil attentif.

Je me lève.
J'ai la sensation d'avoir été trahi.

L'école est la pire chose qui puisse m'arriver.
L'organisation ne doit absolument pas se faire découvrir.
Je suis la seule personne déployer dans la France.
Mes parents travaillent à l'étranger.

C'est notamment en Amérique du Nord que le plus d'agents se trouvent.

Dès mon plus jeune âge, j'ai appris à parler l'anglais, l'espagnol, l'ukrainien et bien d'autres langues.

Ma langue Natal n'est pas le français mais le Naïsien, langue de notre organisation terroriste qui se nomme le Phoenix noir parle couramment, dans le quotidien comme en mission.

Cela fait que quand des agents parties pendant des années à l'étranger, reviennent en France, ils peuvent quand meme communiquer avec nous.

Je pars en claquant la porte.
Et décide de me diriger vers la salle d'entraînement.

Pour vider ma colère.

Arrivé là-bas, la salle est bien silencieuse, normal.
C'est l'heure où tous le monde mange.

Je saisie un sabre, le fesant rayonner en le penchant de droite à gauche.

La porte s'ouvrit alors que j'étais occupé à esquivé les poutres dans l'espace dédié aux reflex.

Si tu en as pas, t'es mort.

- Je vois que ça s'entraîne dur par ici, me lançe la personne qui était au niveau de la porte.

Je ne me déconcentre pas pour autant, préférant ne pas connaître l'identité de la personne, plutôt que de manger une poutre en bois.

Environ 5 minutes après, je sortis et découvris la personne.

- ALLIA ?! M'écriais-je complètement sidérée.

- Et oui, Me dit-elle avec son éternel petit sourire moqueur.

- Tu as reçu ton nom ?? Lui demandais-je excitée, espérant rattraper le temps perdu.

- OUIII !!! devine le.

- Comment pourrais-je deviner ? Il y a beaucoup trop de possibilités !

Allia soupira.

- Appelle moi vipère maintenant, son sourire moqueur se tranforma en un sourire rempli de joie.
Aufait, tu es au courant de ce que veut faire l'organisation ?

- Euh... non.

- Ils veulent envoyer des jeunes agents au lycée, y compris moi, soupira la jeune fille.