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Truth

⚠️Pour ceux/celles qui ne lisent pas la description, ce one shot est un spoil des derniers épisodes de la saison 5⚠️

« Il a réussi à me prendre les deux Miraculous... J'ai été débile, je lui ai fait confiance... et il me les a pris... Il a fait son vœu... Mais... une des dernières choses qu'il m'a dite, c'est de ne pas mettre son fils, Adrien Agreste, au courant... voulant qu'il essaie de se souvenir des moments où il a essayé d'être un bon père... Alors j'ai laissé Paris croire au sacrifice de Gabriel comme un acte héroïque... »

Pour la première fois depuis le début de la conversation, elle releva le regard. Ce qu'elle y trouva la surprend. Chat Noir, devant elle, souriant doucement, semblant content.

« Chat... ?

- Merci, ma lady, de me dire la vérité. J'apprécie que tu me fasses assez confiance pour me la dire »

Soulagée, elle laissa le câlin arriver. Elle laissa la tête reposer contre le torse de son ami, ses bras l'entourant.

« Évidemment, chaton, que je te fais confiance. Tu es le meilleur partenaire du monde, je n'aurai jamais pu te cacher la vérité »

ƚɾαɳʂιƚισɳ

« Dé-transformation »

L'atmosphère, jusque là calme, changea du tout au tout. Plagg qui voulait prendre son camembert comme toujours retenu dans la poche de la chemise blanche, vit son porteur commencer à casser toutes ses affaires, les points fermés, les dents serrés.

« Adrien... ? »

Le kwami ne savait pas quoi faire. Il n'avait jamais vu son porteur aussi énervé.

« Un bon père ?! Mais il se fout de la gueule de qui ?! »

Il ne l'avait jamais entendu parler de cette manière.

« Il a gâché ma vie entière ! Et il veut me faire croire que me cacher la vérité me protégera ?! »

Il ne savait pas s'il devait essayer de le calmer.

« Qu'il aille en enfer ! Il n'y a aucun bon moment avec lui ! Ses pancakes étaient pourris ! Plagg, transforme-moi ! Cataclysme ! Cataclysme ! Cataclysme ! Cataclysme ! »

Après avoir tout détruit, et s'être dé-transformé, Adrien sortit de sa chambre, se rendant dans la pièce commune où se trouvaient Nathalie, sa tante et son cousin. Des larmes dévalaient ses joues. Il n'arrivait pas à les arrêter.

« Nathalie, tu savais... ?

- Adrien ? Qu'est-ce- »

Il sembla alors réaliser quelque chose.

« C'était toi... C'était toi, Mayura... »

Des larmes de frustration se mélangèrent à celles de sa colère, tandis que Nathalie restait surprise.

« Évidemment... Avec qui Gabriel aurait pu faire équipe si ce n'est toi... On a un sous-sol... Y a-t-il ne serait-ce qu'une seule personne dans ma vie qui ne m'a pas menti ?! »

Ses larmes n'arrêtaient pas leur course. Elles glissaient sur ses joues comme un enfant le ferait sur un toboggan.

« Tout ça pour ramener maman... Pourquoi ? Pourquoi ?! Pourquoi avoir fait autant de mal à Paris pour ramener un mort ?! Pourquoi pas avoir fait son deuil ?! Pourquoi autant de mal ?! »

Nathalie, culpabilisant, put ressentir la déception dans le regard du jeune garçon.

« Le pire, c'est que je t'aimais vraiment... T'avais accompli pour moi le rôle qu'une mère ferait... Je regrette tout le bien que j'ai pensé de toi... Je regrette tout l'amour que je t'ai donné... que je vous ai donné... Parce que toi aussi, Félix, t'es fautif. Et je regrette de faire parti de cette famille... »

Il se retourna. En partant de la pièce, il lâcha une dernière phrase.

« Les Agreste n'existent plus »

ƚɾαɳʂιƚισɳ

Dévasté, Adrien grimpa, après l'accord des parents, les escaliers menant à la chambre de sa bien-aimée. Il voulait voir sa copine, celle qui, à ses yeux, ne lui avait jamais menti ne serait-ce qu'une seule fois. Cependant, il la retrouva accompagnée d'Alya.

« Tiens mais c'est le jeune Agreste qui vient rendre visite à sa princesse~

- Alya ! »

Il n'avait pas la force de blaguer avec elles, de sourire. Il n'avait pas la force de faire semblant d'aller bien.

« Désolé Marinette... Tu crois que je pourrais dormir chez toi quelques jours... J'ai pas très envie de rentrer chez moi... »

Il ne savait même pas si c'était encore chez lui.

« Adrien... Quelque chose va mal ?

- Tout va...»

Non, il ne voulait pas. Il ne voulait pas encore mentir. Il allait mal, et il devait l'assumer. Il vint se poser à côté de sa copine et déposa sa tête sur les jambes de cette dernière. Il se retenait déjà de pleurer une nouvelle, même si cela se voyait que des larmes avaient déjà coulé.

« Tout va mal, en fait... Désolé de m'imposer comme ça...»

Peut-être les dérangeait-il, mais il n'avait pas la force d'y penser.

« Je veux arrêter de mentir... Je veux arrêter de me cacher...

- Tu peux être toi-même avec nous...

- Ladybug m'a annoncé quelque chose de pas très cool, tout à l'heure... Enfin... Elle ne voulait pas que je sois au courant... mais elle ne pouvait pas savoir que j'étais Chat Noir, pas vrai... »

Il ne profitait que des jambes de sa copine, alors que celle-ci et son amie se regardaient, paniquées.

« J'apprécie beaucoup qu'elle n'ait pas voulu me rendre triste... En vérité, je suis pas triste... Je suis énervé... J'ai détruit toute ma chambre, j'ai tout cataclysmé...

- Et tu n'en veux pas à Ladybug ? »

Alya avait osé poser la question qui leur brûlait les lèvres à toutes les deux.

« Ladybug est incroyable... Même dans le mensonge, elle a réussi à me rendre heureux... Contrairement à Gabriel qui n'a fait qu'abandonner son rôle de père, elle... elle a réussi à me rendre heureux jusqu'au bout... Même en m'annonçant la vérité, c'est elle qui semblait souffrir... »

Il aimait cette fille au costume à points noirs. Il l'adorait de tout son cœur.

« Désolé... mais je peux dormir comme ça... ? Ça me rassure un peu de t'avoir à mes côtés, Marinette...

- Dors autant que tu veux, chaton... »

Il ne remarqua pas le surnom, ses yeux se fermaient déjà. Accroché à sa petite-amie comme si elle était sa seule bouée de sauvetage, ses yeux finirent par se fermer, sa respiration par se calmer, ses différents sens par ne plus être sous alertes, le trio que formaient sa déception, sa colère et sa frustration par finalement disparaître. Il se sentait définitivement bien ici.

Bon... C'est un peu nul, comme d'hab, mais j'avais très envie d'écrire un truc sur Adrien qui briserait, en quelques sortes, les chaînes que son père lui avait mises autour du cou. Je voulais qu'il s'énerve, qu'il crie, qu'il pleure, qu'il soit, en fait, humain.
Je suis contente si ça vous a plu, et si vous y voyez un truc négatif, n'hésitez pas à le dire en commentaire :D

✌️ and ❤️ and 🍋

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