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32

Je respirais un bon coup d'air frais et tournait ma tête vers Mickaël, il me regarda à son tour.

- Quoi ? Me demanda t'il tendis que je lui regardais.... amoureusement ? Je ne savais pas trop, mais ce sentiment de joie que je ressentais quand je le regardais me donnais l'impression que le temps pouvait s'arrêter pour me laisser savourer cette joie , plus rien n'avait d'importance si c'était lui et ses magnifiques yeux qui me fixaient. J'attrapais sa main.

- J'aime l'effet que t'as sur moi ! Finis-je par lui dire, en réalité, j'avais une envie folle de lui dire ces quelques mots qui illustraient bien les sentiments que j'avais pour lui mais je n'ai pas pû les sortir de ma bouche, ils sont restés coincés. Ce n'est peut-être pas le bon moment.

Il sourit et afficha son fameux rictus arrogant et moqueur.

- Oui je sais ! Lâcha t'il.

- Tu ne pouvais pas te contenter de dire moi aussi ou quelque chose comme ça ? Dis-je en riant.

- Non, parce que je sais que tu es folle de moi.

- Non. Boudais-je .

- Mais si !

Il me fit un bisou sur la joue uniquement pour me faire taire. Je lui lançais un regard noir mais malgré ça il posa sa tête sur mon épaule.

- Je n'aurais jamais cru tomber amoureux. Dit il calmement.

J'ai dû inspiré de nouveau pour reprendre mon souffle, mon cœur s'est affolé, il battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait sortir de ma poitrine ou encore éclaté, mes mains sont devenus moites. Je n'arrive pas à croire ce que je viens d'entendre, j'étais vraiment contente, tellement contente de l'effet que ces simples mots ont eu sur moi. Je voulais l'embrasser, j'en avais tellement envie en ce moment mais la voix du pilote résonna dans mes oreilles et l'avion commençait à prendre de l'altitude. Je me retenus alors attendant avec impatience le moment où nous allions atterrir en Australie, nos mains entrelacés, on quittait la terre pour rejoindre les nuages.

*"*"*"*"*"*"*

Nous venons d'atterrir en Australie et le paysage est splendide, rien à voir avec l'univers où j'ai l'habitude de vivre. Je regrettais automatiquement d'avoir porté des vêtements d'hivers parce que maintenant je commençais vraiment à voir chaud malgré la climatisation dans la voiture. Je retirais du mieux que je pouvais mon manteau essayant de ne pas me cogner. Mickael compte à lui avait une tenue confortable, il portait juste un jean et un T-shirt blanc avec une paire de basket, il était au téléphone depuis un bon moment déjà parce que oui depuis que l'on a atterri, il se plaignait que sa messagerie était pleine et depuis il n'arrêtait pas de recevoir des appels ou même de lancer des appels. Je soufflais bruyamment pour lui faire comprendre mon mécontentement et il sourit devant ce geste.

J'étais tellement occupée à lui faire comprendre que ses appels de plus de 30 minutes m'agacait que je n'avais même pas remarqué que l'on venait de traversé le portail d'une villa gigantesque. La cour était juste trop belle et la grande piscine devant moi m'ebluie, la vue était vraiment belle. J'avais déjà chaud au cœur d'imaginer toute les choses folles que je pourrais faire dans cette maison pour me détendre.

Le chauffeur s'arrêta et je descendis de la voiture tandis que Mickael en fit de même de son côté.

- J'allais t'ouvrir. Me siffla t'il à l'oreille.

Je remarquais qu'il avait finalement raccroché.

-  Enfin ! Fis-je

- Désolé, j'ai pris un congé de quelques jours mais apparemment ma présence est indispensable. Me répondit-il gêné.

Est-ce que je lui fais la tête exprès ou est-ce que je laisse passer ça ? J'affichais un rictus maléfique.

- Je sais à quoi tu penses petite diablesse mais si tu fais ça, je te jure que je vais te punir. Me menaçait il.

- Ah bon ? Me punir? Eh bien Monsieur Mickael, j'ai hâte de voir ça ! Dis-je en me prêtant au jeu.

- Pas de souci madame Ross. Il le sursurra dans le creux de mon oreille et des papillons se mirent à danser dans mon ventre.

Il me devança et s'avança vers le personnel, tous habité en costume noir, il était trois, deux garçons et une fille.

- Bonjour Monsieur et Madame ! Soyez les bienvenus, nous serons à votre disposition. Nous accueillis l'homme le plus mur d'entre les deux.

- Merci beaucoup ! Répondit Mickael en prenant le gâteau de bienvenu que lui tendait l'homme.

J'étais un peu perdue dans mes pensées pendant que les deux hommes s'échangeaient des formules de politesse. Mes pensées étaient focalisées sur le mot madame que l'homme de maison venait de prononcer, apparemment j'avais été présentée comme étant quelqu'un d'assez important si je peux le dire ainsi et non comme une domestique. Cela me prit quelques secondes à les saluer à mon tour et à prendre le gâteau qui au passage était délicieux.

Ils nous conduisent par la suite vers nos chambres et nous laissait.

- Bon, où est ma chambre ?

- On dort ensemble.

- T'es pas sérieux ? Dis-je surprise.

- Si je le suis. A moins que madame Ross aurait peur de dormir avec moi.

Il s'appuya sur le mur.

- Déjà arrête de m'appeler Madame Ross. Dis-je en souriant, j'étais flattée dans le fond mais je ne voulais pas l'admettre. Je sais que tu veux me tenter pour que je craque.

- Ah bon ?

Il se rapprocha de moi et encercla ma taille de ses grandes mains.

- T'as peur de dormir avec moi, à quoi tu penses ? Je te ferai rien.

J'étais incapable de réponse quoi que ce soit et laissa mon envie dans l'avion exploser. Je plaquais mes lèvres contre les siennes, nos lèvres se livrerent à une danse sensuelle et passionnée. J'oubliais pendant cet instant que j'étais Rose, la petite orpheline qui avait passé sa vie dans une institution, la petite Rose qui ne valait rien et qui n'avait aucun diplôme, cette fille qui était une domestique soumise et respectueuse. À cet instant, j'étais la grande Rose, celle qui avait grandi et était tombée folle amoureuse du fils d'un de ses supérieurs. Oui je suis complètement folle amoureuse de ce mec qui dès le premier regard m'avait interpellé par son arrogance et son regard séducteur sans nom. Il conduit mon corps vers la porte de la chambre et essaya de l'ouvrir mais celle-ci était fermée. Il Jura, il glissa sa main dans sa poche et en sortie les clés. Nos lèvres ne se lâcherent pas. Il ouvrit la porte de la chambre et quelques secondes après nous étions étalés sur un grand lit avec des draps blancs, le classique des chambres de luxes.

Il s'arrêta et me regarda dans le yeux, non en fait il me contemplait, ses yeux me dévoraient, regardant chaque parcelle de mon corps comme si il voulait en garder de tendre souvenir.

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