Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

1

Ma bonne humeur de ce matin fut dissipée par cette énième journée passée dans la résidence de la famille Ross. Je m'allongeais dans une délicatesse que je ne me connaissais pas. Mon dos me faisait souffrir et les traits tirés de mon visage, je pense, la définissait assez bien. Je fermais mes paupières durant un cours instant et repartais un mois en arrière vers ma vie d'avant. Je me rappelais me réveiller par les cris des plus jeunes qui dès de bonne heure se disputaient déjà pour un rien. Il y a un mois, j'aurai tout donné pour ne plus avoir à en subir d'avantage mais aujourd'hui je n'en demande que ça, j'aimerais entendre encore et encore leur bruit accablant. Je soufflais en me relevant de mon lit, j'avais besoin d'une bonne douche et au plus vite. Celle-ci se trouvant a l'extérieur, je traversais la cours proprement nettoyée et arriva à destination. Mon bain ne fut pas certe long par cause de fatigue mais relaxant. Je me regardais dans le miroir et admirait la pâleur de mon visage et les nombreuses couches de cernes sous mes paupières. Celà me rendue encore plus malheureuse d'appercevoir à quel point ce boulot m'épuisais, cependant je le savais, c'était ça ou rien.

En rebroussant chemin vers mon lieu de couché, je surpris une conversation entre deux gardes qui étaient assis sur la balançoire en bois vernis qui se trouvait en plein milieu du jardin orné par de magnifiques fleurs bien entretenues.

- Demain, je ne serai pas surpris que Madame Ross dès son arrivée se mette à hurler sur tout le monde. Se plaigna celui assis sur la gauche de la balançoire.

- Surtout avec le mariage qui approche, il y a de quoi être stressé. Rétorqua le second.

- Et mademoiselle Miriame qui comme sa mère ne fait que se plaindre, m'agace au plus haut point ! Se précipita d'ajouter celui sur la gauche.

- M'en parle pas, toute la résidence sera de nouveau importunée par ces deux là !

Cette remarque me fit lâcher un rire, bien évidemment je me fis petite. Je continuais mon chemin jusqu'à ma chambre tout en songeant aux paroles des deux Monsieur dehors. J'avais entendue dire la mère ainsi que les enfants  de cette famille seront bientôt de retour de leur vacances d'été. Je n'aurai jamais imaginé que leur retour les mettrait tous dans cet état. Elles sont si casse-pieds que ça ?

Je crois bien que les réponses me seront parvenues en séjournant à leur côté. Déjà que les journées étaient épuisantes en ne gérant que Monsieur Blanco, le père, je n'ose même pas imaginer la famille au grand complet surtout avec les deux " Casse-pieds" qui seront bientôt là.

Je soufflais déjà lassé des jours à venir. En ouvrant la porte je remarquais que Nadia, la responsable des domestiques de cette maison s'était endormie comme un bébé. Je souriais en l'observant, en un mois, elle avait représentée bien plus qu'une figure maternelle à mes yeux que l'aurait fait Madame Joy, la direction de l'Institut dans laquelle j'ai acquis ma formation et mon éducation.

Je m'allongeais sur mon lit assez confortable et pris dans mes mains mon seul souvenir restant de mes parents. Mon collier en argent, ayant sur son extrémité un coeur fin avec pour centre une petite pierre rose. Je l'admirais comme la plupart des soirs et me l'attageais autour du cou car la Règle n°5 de l'Institut m'interdisait formellement de porter des accessoires durant les heures de travail, le soir était donc pour moi le seul moment possible à le porter.

Le lendemain

Mon anxiété avait encore pris de l'ampleur ce matin. L'arrivée du reste de la famille Ross me rendais nerveuse, tellement nerveuse que je n'entendis le hurlement brusque de Monsieur Blanco qui s'était brûlé par le thé que je venais de lui renverser dessus que trop tard.

- Mais faite attention nom de dieu ! Gémit il.

- Je suis désolée Monsieur...M'excusais-je gêné tout en lui tendant une serviette pour qu'il s'essuie.

Je me mordus la lèvre inférieure comme à mon habitude toute fois que je gaffais. Il essuya sa chemise blanche du mieux qu'il put et marqua une pause pour m'observer.

- Pourquoi avez-vous autant l'air crispé ? Il y a t'il un problème ? Me questionna t'il en posant sa serviette sur la table décidant sûrement d'abandonner ne voyant pas trop de changement et avec toutes les chemises qu'il a dans son dressing, c'est sûrement pas pour celle ci qu'il va se couper en deux.

- Non Monsieur, il n'y a aucun problème . Répondis-je poliment en m'efforcant de garder les yeux rivés vers le sol car la règle n°3 m'interdis de regarder mon supérieur dans les yeux sans sa permission.

A cet instant, son téléphone sonna et il décrocha tout en s'excusant. Il parla rarement et écouta la plupart du temps, il se contentait d'un simple hochement de tête de temps à autre même si la personne à l'autre bout du fil ne pouvait rien y voir. Il raccrocha après quelques minutes et rapporta son attention sur ma personne. Il ricana.

- Je suppose que vous avez dû entendre parler du retour de ma femme et de ma très chère fille aimé Miriame ?

- Oui, je suis au courant de leurs venues.

- Es-ce celà qui vous effraie ?

- Oui Monsieur. Répondis-je en toute sincérité.

Il éclata de rire.

- Elles sont si irritantes que les autres ne se sont pas gênés de vous en parler. Tâchez de ne pas répéter l'incident de tout à l'heure car les voilà qui arrive et vous vous doutiez bien qu'elles sont fatiguées et que de ce fait elles seront encore plus irritantes ?

J'avalais durement ma salive tout en hochant poliment la tête.

- Eh bien, c'est vous qui allez les accueillir ! Lâcha t'il amusé par la situation qui ne me faisait pas du tout rire.

Les battements de mon cœur s'accélererent. Son côté dramatique ne faisait qu'accentuer ce peu d'anxiété que je ressentais depuis tout à l'heure.

___________________________________

Si le chapitre t'a plus n'hésite pas à appuyer sur la petite étoile en encouragement.

Bisous

Croireennous❤️

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro