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Chapitre second

Le mois suivant, pour préparer à bien mon transfert, j'avais ma séance de test.

Je ne savais pas vraiment à quoi servait ces tests, mais je savais qu'il était important, et indispensable pour mon avenir.
Les tests se déroulaient en Californie, à plusieurs heures d'avion de chez moi.

Il n'était pas plus de six heures et demi du matin, mais je devais déjà me lever pour arriver à temps à l'aéroport, car mon avion décollait pour neuf heures et demi.

Comme chaque jours, je me levais, déjeunais convenablement, prenais ma douche, mais aujourd'hui, exceptionnellement, il y avait une belle robe dans la salle de bain avec un mot dessus:
"Habillez-moi".

C'était une robe blanche comme neige, faite de dentelle, avec un petit nœud papillon pour ceinture.

Elle était tout simplement magnifique, et elle avait dû coûter une fortune!

En dessous, il y avait des chaussures avec un autre message:
"Chaussez-moi"

Je rie quelques secondes, puis je revêtis ma tenue et descendis rejoindre ma mère.

Arrivée en bas ma mère me regarda, des paillettes dans les yeux et s'exclama vivement:

- Magnifique tu es ma chérie!

- Merci, mais ce n'était pas obligée... soupirais-je.

- Aller viens, il faut te faire une beauté maintenant! Finie ma mère.

Je lançais un petit soupire, mais finie quand même par venir.

Je sentais les pinceaux me caresser gentiment le visage, tel un massage, mais je ne voyais pas! Je ne savais pas ce que ma mère comptais me faire, ni même la tête que j'allais avoir.

Puis une brosse et un peigne dansèrent tout deux coordonnés sur ma tête.

- Es-tu prête à voir la nouvelle Gladys? Demanda ma mère.

- Je ne sais pas, mais allons-y! Chuchotais-je.

Et elle enleva le drap que portait le miroir placé en face de moi.

Au début, je n'en croyais pas mes yeux, puis après, je vis une sublime femme, et je me rendis compte que celle-ci était en faite moi.

- C'est juste sublime ce que tu as fait pour moi, maman, dis-je bouche bée.

Ma mère me fit un petit sourire de satisfaction.

J'avais de la poudre noir sur les yeux, du rouge à lèvres rose bonbon, et pour coiffure un simple chignon tressé placé sur le côté droit de ma nuque.

- Je... je ne me reconnais même pas... annonçais-je encore sous le choque.

- Et pourtant c'est belle et bien toi ma chérie, répondait ma mère.
Je me levais, et constatais qu'il était déjà huit heures trente du matin, et que je devais déjà être à l'aéroport.

Je me pressais donc et nous sautions dans la voiture pour ne pas être en retard.

Vingt minutes après cela nous étions belle et bien à l'aéroport, et nous entrions dans l'avion, un peu en retard, pour être tout à fait honnête.

Nous nous installions à nos place respective, et l'avion commença à décoller.

J'étais très stressée, étant donné que c'était la première fois que je m'envolais, et que j'allais en Californie.

Puis au bout d'une dizaine de minutes, j'avais une envie de parler à ma mère, à la recherche de réconfort sûrement:

- Maman?

- Oui ma chérie, répondus ma mère.

- Gus, il est encore en vie?

- J'aimerai vraiment te dire que oui et que tu vas le retrouver la bas, mais je n'en sais absolument rien... m'expliqua-elle.

- Et moi, vais-je mourir? La questionnant.

- Je ne sais pas mais si tu rates les tests, tu serras tuée comme beaucoup de jeunes de ton âge.

Ses mots m'avaient apeurée, mais je ne le montrais pas et fit un sourire de gratitude.

Il y eut un petit bruit sourd dans l'avion, ma mère me fit comprendre que nous allons atterrir dans peu de temps.

- Regarde part la fenêtre, tu vois la magnifique mer de Californie, me demanda ma mère.

Je regardais émerveillée de la beauté que cette plage me procurait, quand soudain nous survolions un grand bâtiment sombre, plus grand qu'un stade, avec des fils barbelés qui le contournais, il avait des grandes portes en métal et il devait faire au moins la moitié de la ville si ce n'était pas plus. Puis a côté il y avait un stade plus petit, mais tout de même grand!

Je me retournais pour demander à ma mère ce qu'était cette chose...

- Oui, ma chérie, c'est bien le centre de transfert... murmura ma mère avant même que je n'ai eut le temps de lui poser la question.

- Mais, c'est... comment dire, très... grand! M'interrogeais-je.

- Il en faut bien de la place, pour réunir chaque année tous les jeunes hommes et jeunes femmes d'Amérique du nord, continua ma mère.

Je ne répondu pas à ma mère et je continuais à regarder l'endroit ou j'allais peut-être passer les deux prochaines année de ma vie...
Quelques longues minutes plus tard, nous arrivâmes à destination, et nous prîmes un taxi qui nous amena devant l'énorme centre de transfert.

Devant, il y avait énormément de personnes, dont je reconnus quelques spécimens de mon lycée.

Au bout d'une bonne heure d'attente insoutenable, les portes s'ouvrirent...

Elles étaient immense, et devaient mesurer plus de dix mètres de haut pour cinq mètres de long.

Tout le monde entra sans plus attendre, et nous arrivâmes dans une grande cour. Une dame pris la parole, un micro a la main.

- Bonjour à toutes et à tous, et bien venu au centre de transfert, plus familièrement appelé réserve. Comme vous pouvez le constater, nous sommes pour l'heure dans les jardins... au fait j'allais oublier, je me présente je m'appelle Rosalina Compurr, vous pouvez m'appeler Rosa! Je suis directrice de la réserve depuis maintenant trente ans, et voici notre équipe d'enseignant qui vont s'occuper de vous durant ces deux années[...]

Elle nous fut visiter la réserve, qui était aussi grande intérieurement que de l'extérieur. Cette visite ne dura pas moins de deux heures, et après cela tout le monde se rendit aux extérieur pour attendre son tour. Il y avait une personne qui appelait tour à tour l'ensemble des jeunes suis passait le test.

Parmi les cinq professeurs, qu'elle nous présenta, il y avait: Amélie Compurr, celle-ci avait une ressemblance physique parfaite, avec Rosa, qui devait être sûrement sa sœur, excepté leur tatouage. L'une l'avait sur le bras droit, l'autre sur le côté gauche de son cou. Blonde étaient-elle toute deux, un carré plongeant, et des lunettes noirs qui enveloppaient la stricte couleur bleu de leurs yeux. Cette dernière était une professeur de combat, autrement dit elle apprenait à contrôler la force, et à chercher la rage que tout Homme porte au fond de son cœur. Pour ainsi dire avoir une défense irréprochable, et sortir les crocs. Daniela Forkes, elle, était juste sublime. Ses magnifiques cheveux caressaient délicatement ses épaules fines, elle représentait l'élégance, de part son corps sublime mais aussi son sourire! Elle était professeur de beauté, son job était de ne prendre que les plus belle personnes, pour créer un monde fait de beauté. Ensuite il y avait monsieur Henry, Philippe Henry pour être plus précis, lui aussi était un bel homme, sûre de lui paressait-il, il avait la carrure d'un homme de politique, mais si ce n'en était pas un. Il endossait le rôle de professeur d'endurance, comme son physique en faisait bien parler. C'était le mari de Mlle Forkes, il formaient un magnifique couple! Un homme arriva, c'était Josh Benjamin, professeur de résistance physique. Lui aussi avait belle allure, tout comme les autres instituteur de la réserve! Mais lui avait quelques chose de particulier, je ne le sentais pas comme les autres, je ne savais pas. Puis pour finir, le dernier des maillons de l'enseignement au centre de transfert, Johnny. Personne ne savais vraiment si c'était son nom ou son prénom, n'ai même si cela était un pseudonyme, mais c'était ainsi que nous devions l'appeler. Un vrai pro de la stratégie, tout le monde le connaissais sous forme de magicien, dans la grande série américaine; "the californian", mais j'ignorais que c'était aussi un éducateur en stratégie dans cet endroit.

Il n'y avait pas plus de professeur, ce qui m'étonnait beaucoup vu le nombre de personne qui venait faire les tests. Plus de mille nous étions...

Je pris le temps de regarder attentivement tous les professeur, et je remarquais que tous avait le même tatouage, mais à un endroit différent. Ce tatouage été comme une genre de rosace au second plan, et comme une étoile au premier plan. J'essayais de faire le lien avec n'importe quoi d'apparent puis je me mit à levé les yeux au ciel, sûrement parce que l'attente de mon tour était longue, et je vis sur la façade toute sinistre de l'établissement, le même logo apparent. C'est à ce moment là que je compris que c'était en fait le symbole du transfert.

Au bout de longues heure d'attente, ce fut à mon tour . La jolie Daniela Forkes, vint me chercher, elle était vêtue d'une combinaison noir, la même que chaque membre du transfert. Il y avait du vent, qui jouait avec ses long cheveux brun, qui se baladait tel les flammes d'un feu s'allumant:

- Gladys Newlife? Est-ce bien vous? Me demanda-elle élégamment.

- Oui c'est elle répondu ma mère!

Elles s'échangèrent un délicat sourire qui devait certainement être discret, mais je l'avais vue! Puis elle me demanda de la suivre, ce que je fit sans trop me poser de questions.

Nous longeâmes un long couloir qui, me paressait sans fin, pour enfin arriver dans une salle, cette salle me faisait énormément penser à un laboratoire, ou même un cabinet médical. Et pour cause, il y avait des seringues dans un plateau, un appareil à échographie, un table de travail avec du papier qui la longeait... Les murs de cette salle était bleu, je crus un instant que j'allais me faire opérer.

- Assis toi là jeune fille, tu veux bien? Me demanda-t-elle.
J'allais, mais au moment où je m'allongeais sur la table je vis que ma mère n'était pas là...

- Où est ma mère demandais-je ?

- Ne t'inquiète pas, aller... me chuchota-t-elle.

Puis dans un vague élan d'esprit, elle me planta une seringue dans l'avant bras droit.

Je ne vis plus rien, les paupières ce fermèrent, je la fixait droit et tant bien que mal dans les yeux, mais mon regard s'éteignit.

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