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Chapitre quatorzième

Une semaine après les derniers événements, je continuais à aller, pendant mon temps libre, dans la salle de combat, mais aussi, en endurance, et même parfois, en salle d'esthétique.

En clair, j'étais décidé à ne pas louper mon transfert, afin de rendre hommage à mon défunt de frère et surtout, rendre mes parents fiers.

Amélie Compurr m'avait même dit que je progressais énormément en combat.

Ce qui me faisait d'autant plus plaisir, et qui me donnait encore plus l'envie de percé.

Je m'étais forcée à oubliée ce qui s'était passé avec Jason, et j'y était parvenue, pour moi, il n'était qu'un ami, et j'avais remarqué qu'il me parlait beaucoup plus, du moins, je ne lui étais plus totalement indifférente.

Aujourd'hui était une journée parfaitement banale, et je commençais la matinée par le cour d'esthétique.

J'étais, pour une fois, contente de pouvoir m'y retrouver.

Daniela Forkes était devenue une confidente, presque au même titre que Josh Benjamin.

Ma famille me manquait toujours, mais avec le temps, je mis faisait.

De plus, j'avais pu retrouvée un semblant de complicité avec ma première ami transférée IB.

Tout était beaucoup plus positif depuis environ une semaine.

Comme chaque matin après avoir déjeuné, je me rendais en cour.

Quand j'entrais dans la salle de Daniela, celle-ci m'accueilli avec de son sourire écarlate:

- Bonjours Gladys, prête à augmenter ta moyenne? Ironisa alors la belle dame.

Seulement voilà, je n'avais pas de très bonne note, je faisait parti dans mauvais transféré, et même si je voulais y arriver, ma moyenne ne montait jamais à plus de huit sur vingt.

- Je t'aime bien tu sais? Je ne veux pas te retrouver dans le néant.. alors travail et remonte moi cette moyenne! Me conseilla-y-elle.

Je ne répondais pas et m'installais.

Très vite, la salle de remplissait, et un vacarme commençait.

Ce n'était pas une matière que j'appréciais particulièrement, mais je la trouvais moins violente que les autre.

Si à chaque cour, les autres supprimaient plusieurs élèves, celle-ci n'en enlevait  que très rarement.

Il y avait des critères physiques qui étaient pour la plupart du tout examiné des notre entrée dans le centre, ou pendant nos tests d'aptitude.

Aujourd'hui donc, on était par paire, et nous devions habiller et maquiller notre binôme, afin d'être évalué.

Je n'avais pas de pair, aussi, il fallait que j'en trouve une rapidement, pour ne pas risquer d'être avec quelqu'un de méprisant.

Je me levais donc et allais chercher une personne qui me semblait sympathique.

Je vis Merlia, mais quand je lui ai demandé, elle m'a répondu que non parce qu'elle avait déjà trouvé sa paire.

Alors ne trouvant personne, j'attendais, encore, que tout le monde ai quelqu'un pour prendre les restantes.

En m'avançant dans la foule, j'aperçu des bribes de conversations:

- Les filles! Ne me faites pas ça! Je suis Kimmy. C'est moi qui suis la chef! C'est moi qui décide. Hurla la belle métisse.

- Non désolé Kim, nous n'allons pas encore nous laisser marcher dessus! Tu peux être seule pour une fois! Pesta Bérangère en retour.

- Ne venez plus me voir. Vous et moi ne sommes plus amie. Termina Kimmy en tournant les talons.

Il me fallait quelqu'un, alors même si Kimmy avait été violente avec moi dans le passé, je courait la rattraper pour me mettre avec elle.

Je lui tirais le bras afin qu'elle me fasse face et lui demandais si elle voulait se mettre avec moi pour le binôme.

Cette dernière me reluqua deux voir même trois fois avant de me demander si elle avait le choix, non sans un regard ampli de dégoût.

Puis sur ce nous nous mime en place sur une paillasse:

- Ne crois pas que parce que je me suis mise avec toi nous sommes ami, me clarifia Kim.

- Ce n'est pas ce que je croyais ne t'inquiète pas, et pourquoi je serais ami avec une fille qui m'a fait du mal? Répondais-je sur le même air.

- Tout le monde veut être ami avec quelqu'un comme moi, se vanta-t-elle.

- Si je me suis mise avec toi c'est parce que je n'avais personne et que toi non plus point, enchaînais-je, sinon ne crois pas que je t'aurais demandée.

- N'oublie pas que tu me parle à moi! Kimmy An Gemig. Répliqua-t-elle avec un peu trop de confiance.

- Justement! Je n'oublie pas... mais tu ne me fais plus peur Kim. Dis-je en appuyant sur son nom, maintenant que tes amies ton raillée, personne n'a peur de toi.

Elle me regarda un peu terrifiée, mais répondais tout de même malgré que sur la défensive:

- Mes amies, je peux les récupérer quand je veux, parce que tu sais quoi? C'est moi qui suis parti. Alors oui, je te conseille de faire très attention! Cracha Kimmy essayant de m'effrayer.

Je rigolais à cette stupide phrase.

J'avais tout vue, et je savais que ses anciennes amies ne lui parlaient plus:

- Et bien, si c'est le cas, vas t'excuser? On verra bien ce qu'elle répondront. Défiais-je la brune.

- Aucun problème! Elle reviendront, parce que sans moi elle ne sont rien, acheva-elle avant de partir les rejoindre sous mon œil bien veillant.

Je n'avais pas besoin d'entendre ce que Bérangère et Astrid avaient à lui dire, qu'elle était déjà revenu, peu satisfaite par son entretient.

J'en profitais pour la taquiner un peu:

- Alors? Vous êtes de nouveau les meilleures amies au monde?

- Un jour. Elle reviendront vers moi! Je peux te l'assurer, me confia-t-elle.

Après cela, nous nous sommes mises au travail, et la matinée s'acheva avec la très belle note de quatorze.

Le midi, j'avais, comme par mon habitude, manger seule dans mon coin, et comme habituellement j'étais seule.

Ce qui me fis un grand bien, car cette semaine, j'avais été beaucoup plus de fois avec des transférés, que seule.

Cet endroit était un peu comme mon refuge, situé dans la cour de la cantine, dans un coin tranquille avec de l'herbe et un arbre.

Il était agréable, et même si j'étais seule, je me sentais comme accompagnée par la nature.

Je pouvais fermer les yeux, et prendre le temps d'inspirer et d'expirer, sans me soucier de quiconque.

J'étais bien. Simplement.

La seule ombre noir au tableau, était la nourriture présente dans mon plateau.

C'est vrais que dans ce genre d'endroit aux allures romantiques, on s'attend à tout sauf une bouillie tout juste mangeable, dont on ne peut distinguer le moindre ingrédient.

Moi, je vois cet endroit, en famille, ou entre ami, entrain de pique-niquer sur une belle nappe à carreaux rouge...

J'avais pu somnoler quelques minutes, mais il me fallait maintenant retourner à la réalité, il fallait que j'aille en cour, et comme je ne pouvais mieux rêver, c'était le cours de combat.

Mais aujourd'hui, j'étais plutôt confiante, parce que même si je passais contre quelqu'un, ce ne serait pas noté, aussi je pouvais perdre, du temps que ma santé n'était pas engendrée.

Mais parce que j'étais passée la dernière fois, tout juste deux semaine plus tôt, je pensais bien ne pas repasser.

J'espérais, tout du moins.

Pour commencer, nous nous échauffions, je commençais par taper dans un punching-ball, cela faisait une semaine que je m'entraînais à ça, donc ce ne fut pas une catastrophe, enfin c'est ce que je croyais.

Amélie vint me voir et me reprit une énième fois sur mon positionnement:

- T'as jambe droite derrière, légèrement fléchit pour ne pas perdre l'équilibre.

Elle m'avait dit ça tout en déplaçant de son pied ma jambe droite à l'arrière.

Je ne la regardais pas, et tapais dans le sac de devant:

- Inclines toi légèrement afin de mieux contrôler t'es point. Me conseilla encore la bonde.

Cette fois si je chassais avec ma jambe arrière pour taper en face de moi:

- C'est mieux! Mais le secret pour bien taper c'est de toujours avoir un objectif et y penser. Aller, montre moi.

Je pensais fort à un souvenir, et tapais, mais ce n'était pas encore ça:

- Pense à quelque chose qui te fait mal! Qui te fait souffrir! Venge toi! Détruit se souvenir atroce! Ne le laisse pas te gagner! Sois plus forte que lui!

En même temps qu'elle me disait ça, je pensais à mon frère.

Et prise d'une haine profonde je tapais.

Fort, du plus fort de moi même.

Une fois, deux, puis trois, jusqu'au quatrième coup.

Celui-ci propulsa mon souffre douleur à terre.

J'étais outrée de ce qui venait de ce passer.

C'est moi qui avait fait ça?

Je ne me reconnaissais plus.

Jamais avant je n'avais tapée aussi violemment.

Même avec mon frère quand on se chamaillait petit, je ne le tapais pas aussi méchamment.

Une fois j'avais été jusqu'à le faire saigner du nez, mais jamais plus loin.

Si c'était lui, à cette place, il serait peut-être mort, ou très blessé:

- C'est exactement ça! Je vais te faire combattre tout à l'heure, si tu remporte ce combat, alors tu auras une note, une très bonne note! Au cas contraire, je n'en tiendrais pas compte. Termina Mme Compurr.

Si je mis attendais...

J'étais premièrement surprise d'une telle gentillesse d'âme.

C'est différent d'avec sa sœur.

Elle, elle était plutôt sympathique, et non hautaine, comparé à sa sœur qui avait toujours le besoin de tout contrôler et qui se croyait supérieur de tous.

Elle était froide comme de la glace et ne portait personne dans son cœur de pierre.

J'avais à peine eus le temps de m'entraîner quelque peu, que j'étais déjà appelé sur le ring.

J'étais plus ou moins stressée, mais j'avais confiance en Amélie et ses conseils.

Aussi, je me rappelais de chacun d'entre eux.

Il fallait que je sois souple sur moi même, toujours la jambe gauche en avant et celle de droite en arrière.

Je devais être légèrement inclinée et penser à toute la haine que je portais dans mon cœur.

Je me mis en place sur le ring et attendais mon adversaire:

- Qui veut défier Mlle Newlife? Demanda la professeure.

- Si on peut appeler ça un défi, pouffa Astrid.

- Fais gaffe tu pourrais te faire mordre par la lionne, ironisa un autre élève.

- Je ne suis pas sûre que la morsure sera profonde, ricana cette dernière.

- Bien, vous, dit Amélie en désignant la belle Astrid du doigt, si vous êtes si de vous, montez sur ce ring.

Sans plus attendre la brune était déjà en face de moi prête à en découdre.

C'est à ce moment là, que j'avais peur.

L'adrénaline commençait à me monter à la tête.

J'étais prête, malgré que je stressait énormément.

Nous fîmes toutes deux un signe de tête à Amélie, pour le annoncer que nous pouvions commencer, et, sans plus attendre Astrid se jetait sur moi telle une indigène.

Je tombais directement à terre, et pris une multitude de coups.

J'essayais de me ressaisir, mais je n'arrivais pas à me relever, tellement mon adversaire me tenait fermement au nouveau du bassin, posée en califourchon sur moi.

C'est à ce moment là, cherchant une solution pour me sortir de sa prise, que je me souvenais de certains film d'action américain que j'avais vu durant l'époque où j'étais libre.

Et dans un moment de divertissement, et sous les hument de nos confrères, je fis une roulade sur le côté, inversant nos positions.

C'était désormais moi qui menais la danse, et, sans aucune pitié, je la frappais au nez.

Mais je n'avais pas immobilisée ses mains, ce qui lui permis de me faire basculer en arrière et de se redresser.

Moi à terre, elle debout, elle mimait au publique de la soutenir en levant les mains plusieurs fois en l'air.

Puis elle me mit une multitude de coups de pieds dans le ventre, et même ah visage.

J'avais déjà vécue ça, et le fait de le revivre une fois me fis réaliser une chose.

Il fallait qu'elle paye.

Elle n'allait pas m'avoir une seconde fois, pas aussi facilement.

Je roulais sur le côté, esquivant encore un de ses coups, et tentais de me relever dans un des coins du ring.

Une fois debout, je recevais  encore une fois un violent coup dans le dos.

Le dernier.

Après je me retournais furieusement, j'avais la bouche en sang mais sur le coup je ne ressentais plus qu'une douleur: la haine.

Je me lançais sur elle, en esquivant un de ses coups de pieds.

Elle m'en renvoyais un que je pris de pleines mains, la faisant déséquilibré, et tomber à terre.

J'avais réussie mon coup.

Une fois à terre, je lui assenais de violents coups partout sur le corps.

Elle saignait, elle aussi.

Mais un de mes coups, plus violent que les autres, la fit se rendre:

- Stop! Arrête s'il te plaît... m'implora-t-elle.

Je me penchais sur elle, et lui caressais sa chevelure, désormais tachée de rouge.

Puis je pris son bras droit, et le montais jusqu'à ma bouche:

- Bien. Mais avant, j'aimerai immortaliser se moment, ricanais-je.

Et je lui mordais profondément l'avant bras, ce qui lui fit lâcher un grognement.

Je contemplais son bras, et force était de constater que je n'y avait pas été de mains mortes.

Je quittais le ring comme quand j'étais rentrée dedans et je n'eus même pas à me frayer un passage, tous s'était écarté à ma venue.

J'étais fière de moi, et j'espérais que ma famille le serait aussi.

Mais avant que je ne franchisse la porte, Amélie s'exclama:

- Ça fera un 18 pour toi Gladys.

Je souris et franchis la porte non sans avoir lâchée un faible merci.

Aujourd'hui un cap c'était tourné dans mon transfert, et j'en étais bien consciente.

Mais c'est dans la suite des événements que je m'en suis vraiment aperçue.

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