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Chapitre dixième

Mon début de matinée se passa très mal.

Il faut dire que de se lever plus tard que l'heure où l'on devrait déjà être entrain de finir de déjeuner, donnait un certain stress.

Puis le fait même de ne pas pouvoir déjeuner, l'était encore mille fois plus.

En ce moment présent j'avais assez mal au ventre, du fait que mon estomac n'était même pas remplis d'un quart de sa superficie.

Le pire ne restait qu'à venir. En effet aujourd'hui allait être mon premier véritable exercice, celui où il ne fallait rien rater sous peine de ne pas terminer notre première année de transfert.

Je n'ai jamais rien eus contre le redoublement, la seule chose que je ne voulais pas, c'était d'en tirer les frais, hors en ce jour, j'aurais préféré y avoir affaire, plutôt que de mourir alors que je n'avais que 18!

Je ne savais absolument pas comment allait se dérouler cette épreuve, ni même ce qu'elle comprendrait, mais j'avais un mince espoir de réussite.

Étant donné que nous serions par groupe, si l'un d'entre nous échouais, les autres pouvaient tout changer.

Mais seulement je n'avais trouvée aucun groupe voulant préformer avec moi, je n'avais pas vraiment d'amis.

Si j'avais peut-être des personnes qui m'appréciaient, mais c'était très minime.

De plus, j'avais ce matin même parlé à Jason, et j'avais eus l'impression de ne pas être écouté. Sentiment que je connaissais déjà, puisque que dans l'établissement ou j'eus obtenue mon bac, j'étais considérée comme autre, un rejet de la société, juste parce que mes pauvres parents ne gagnaient pas les mêmes sommes colossales que ceux de mes congénères.

Chose vraiment stupide, mais je n'avais pas le choix que d'endurer de telles idioties.

Des fois mêmes, je me m'étais à la place de mes parents, qui travaillaient d'arrache pied, chaque jour, sans ne jamais s'arrêter, pour essayer de nourrir leur famille et de vivre tout simplement, en dépend de leur santé, pour quelques sous, tout juste ce qu'il fallait pour se nourrir, et se chauffer... sans même n'avoir quelques plaisir.

Etais-ce réellement une vie?

J'aurais parfois aimé hérité de ce courage que portaient mes parents à bouts de bras, mais je ne l'avais pas.

J'aurais aussi apprécié, être altruiste, à aider les autres, comme ma mère savait si bien le faire...

Mais en étais-je capable? Telle était la question.

En tout cas une chose était sûre, j'avais espoir qu'un jour quelqu'un me souri, pour me remercier de l'avoir aidé.

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Pendant un laps de temps durant lequel j'étais occupée à rêver de comment je changerai le monde, chose me semblant impossible à réaliser pour ma part, plusieurs groupes venait de se faire, de la sorte que chaque élève était appelé au hasard par un micro, et devais désigner quatre personnes qui devaient être avec lui.

Dans ma tête, je priais déjà pour ne pas être désignée, ainsi ne pas créer mon assemblée, du fait que je ne connaissais personne.

Mais que j'entendis Amélie Compurr interroger Jason, je ne me fis pas priée pour tendre l'oreille:

- Vous avez trouvé un comité? Questionna alors la blonde au cheveux droit coupé en carré plongeant.

- Hum, c'es... c'est que pas totalement, avoua alors le brun.

- Nous n'avoue pas que ça à faire jeune homme, reprit Daniela Forkes, avec un regard insistant.

- ...

- Alors? Enchaîna le professeur d'endurance.

- ...

- Bien alors c'est nous qui allons imp... s'énerva légèrement M. Benjamin avant que Jason ne daigne donner des noms.

- Gla... Glad... Gladys et Merlia, je les prend avec moi, ainsi que Mick.

Quoi? Je rêve où il vient de m'appeler? Il doit sûrement parler d'une autre Gladys? Il y en a plein pas vrai?

non... Non. NON! Ça ne pouvait être moi.

Et la simple manière dans laquelle il m'avait rejeté quelques heures plus le prouvait largement.

Il ne voulait pas être avec moi. C'était impossible.

À moins qu'on l'ai menacé? Au non me voilà paranoïaque maintenant, personne ne ferais une chose pareil! C'est absurde!

- Bon tu viens on va pas t'attendre trois heure, me lança haineusement la prétendue Merlia en me basculant pour passer devant moi.

Sans répondre un seul mot, je tournais les talons, et la suivais à pas de course car elle était déjà loin devant.

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On entra, au bout de quelques courtes minutes dans une pièce qui me paraissait encore inconnue.

Un grand espace entièrement noir, semblable à une salle de cinéma.

Seule différence, était qu'il n'y avait pas d'écran géant au fond, et que ce dernier était remplacé par de grandes machines:

- Vous allez avoir chacun des câble sur vous pour que l'on contrôle vos mouvements, nous informa Daniela, ne vous inquiétez pas ça va bien se passer.

- Qu'est-ce qu'on doit faire au juste? Sonda un jeune homme, certainement Mick.

- On ne va tout de même pas vous mâcher le travail? Ça ne serais plus du jeu! Railla alors Daniela en tendant sa main vers celui qui venait de l'interroger à l'instant même.

Mais au lieux de prendre sa main, Mick étant probablement réticent, se recula d'un pas, alors que Daniela se tourna vers moi:

- Quelqu'un aurait le courage de se lancer? Quémanda-t-elle sans même me lâcher du regard.

Il y eut un long blanc ou personne d'entre nous cinq ne bougea, même pas un seul de nos cils ne clignaient, avant qu'une personne passe le cap:

- C'est bon! J'y vais... brisa le silence la belle Merlia.

Elle tendit son membre avant en direction de la main de notre professeur qui avait finalement détournée son regard du mien pour le poser sur l'avant bras de Merlia.

Cette dernière avait le tète en arrière, comme si elle savait ce qu'allait lui faire Mme Forkes, mais aussi avec un soupçon de peur dans son regard.

Nous étions tous trois, Mick, Jason et moi, entrain de regarder la scène se demandant ce qu'allait bien endurer la fille au cheveux noir.

D'ailleurs nous n'allions pas tarder à le savoir, car aussitôt la seringue plantée dans son bras, la pauvre se recroquevilla sur elle même plantée au sol:

- Ça ne devrait pas tarder à agir, aidez moi à l'accrocher aux câble les garçons, quand à toi, me désignait-elle, tu seras la prochaine.

J'étais postée en arrière de la scène et je regardais attentivement ce qu'il était entrain de faire.

D'abord Jason la souleva, puis Mick lui mit une baffe simplement pour s'assurer qu'elle n'était plus consciente avait ajoutée Daniela à mon égard.

Sans plus attendre, une fois la confirmation de Mick disant qu'elle dormait profondément comme Aurore dans la belle au bois dormant, Daniela attacha un casque sur la tête de l'endormi.

Vous savez ce genre d'engin censé permettre de contrôler le cerveau d'une personne dans les films de science-fiction. Et bien c'était exactement ça.

Après cela le blond et elle lui attachaient chaque membre avec des attache ressemblant fortement à celle utiliser dans des prisons.

C'est vrai que cet endroit entier avait des airs avec les traditionnelles maisons d'arrêts.

Une fois cela fait, elle se tourna vers moi me demandant de tendre le bras comme l'avait fait ma précédente.

Je le fis, même si ce n'était pas sans une hésitation:

- Tu ne devrais pas t'inquiéter, tu auras juste un peu mal le temps que l'anesthésiant fasse le boulot, me sourit-elle.

Je ne répondais que d'un signe de tête lui faisant comprendre que j'étais prêtre à m'endormir.

Et elle ne mit pas une heure pour comprendre la signification de mon geste.

J'étais à présent à terre souffrant le martyr, jamais je n'avais eus aussi mal quand on m'assommait pour des interventions chirurgicales.

Et pourtant j'en avait subis, pour l'appendice, pour mon genoux quand j'étais tombée à cheval et j'en passe certainement d'autres:

- Ah!! Mais y'a... quo... quoi dans votre truc? Réclamais-je tout en ayant un mal atroce.

Elle m'avait répondu un truc que je pus déchiffrer car je commençais à tourner alors que Jason me soulevait en appuyant un peu trop fort le long de mon estomac.

Tout passa très vite, et le fait que Mick me frappe alors que je n'étais pas du tout mais alors du tout inconscience, provoqua en moi, une remontée acide que je crachais par terre.

Le fait que je n'ai pas déjeuné le matin était à ce moment là, la pire chose qui pouvait m'arriver.

En relevant la tête, j'aperçu la femme qui nous assistait complètement paniquée par ma réaction plutôt inapproprié à ce produit.

J'entendais aussi mes deux compagnons déglutir et se plaindre de l'odeur assez horrifiante qui était a côté d'eux.

Mais alors que je ne mis attendais pas, je partis dans un long sommeil profond.

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À l'instant où j'ouvrit les yeux, et que je me trouvais couchée sur le ventre dans une forêt, je compris immédiatement ce qui venait de se passer.

On nous avait endormi afin de nous propulser dans un rêve ou nous deviens résoudre quelques chose, mais je ne savais pas encore quoi.

C'était exactement ce qu'il se passait lors de notre cour de résistance physique, on nous mettait dans une situation de songe, pour voir comment nous réagirions si nous avions cette maladie en nous.

En quelques sorte ils contrôlaient nos rêves, pour nous faire réagir.

J'entendis un bâillement, c'était Mick. Il venait de se redresser, et je décidais de faire de même quelques second après lui:

- Vous êtes déjà réveillé? J'ai cru que vous n'alliez jamais le faire, plaisanta Merlia.

Je regardais de droite en gauche, cherchant Jason que je n'avais jusque lors encore pas vue.

Il était là, à ma droite, environ à deux mètre de nous, endormit contre un arbre.

Il était beau, franchement très beau.

Il avait ses cheveux brun en bataille du fait qu'il dormait encore:

- Arrête de le mater, c'est pas un mec pour toi, ricana Mick.

- Je... je ne vois pas de quoi tu parles? Menti-je un peu.

- Depuis tout à l'heure tu n'arrêtes pas de le fixer, me sourit le blond, avoue que c'est suspect.

Je soupirai.

D'accord je l'avais regardé, oui peut-être un peu trop longtemps, mais non je n'avais rien à me reprocher:

- C'est... c'est juste que je me demande pourquoi il est aussi loin de nous et...

- Ouais c'est ça on te croit tous, répliqua alors Mick.

- Je sais très bien que ce n'est pas le genre de personne à s'intéresser à une pauvre fille de paysans comme moi, m'énervais-je alors.

- Donc tu avoues les propos de Mick? Me défia Merlia.

Je ne répondu pas baissant même la tête comme si j'acquiesçais:

- Je savais que j'avais raison, se réjoui celui aux yeux bleus.

- En même temps je risque pas de te trouver beau toi! Lançais-je rouge de colère.

J'entendais Merlia rire derrière se moquant littéralement du jeune homme, se qui m'arracha un sourire de satisfaction:

- T'inquiète pas, moi je ne regarde pas les filles dans ton genre, mais plutôt...

Il avait dit sa phrase en regardant Merlia tout en souriant et en se mordant la lèvre par la même occasion. La concernée se contenta juste de grimacer en crachant trois mots: Tu me dégoutes.

Je levai cependant les yeux au ciel avant de renchérir:

- En même temps tu devrais plutôt t'intéresser à mon genre parce que plus haut personne ne voudrait d'un con comme toi, aussi moche qu'un ballet à chiote.

- Un ballet à chiote? Sérieusement? Tu sais que je commence à te kiffer toi? Articula Merlia entre deux rire.

Je sourit à l'entente de sa phrase.

Est-ce une blague? Ou m'appréciait-elle vraiment?

Je me retournais un instant et vis Jason qui ne dormait plus. Il me fixait même avec un regard bien moins sympathique que l'ambiance qui régnait jusqu'à présent.

C'était un regard emplis de haine.

Son regard me transperça tellement que je ne pus faire autrement que de le détourner:

- Bah alors princesse? T'es malade? T'es devenu toute blanche! Ne me dis pas que tu vas vom...

- Vous avez fini? On peut se casser? Ou vous voulez que la nuit tombe avant qu'on se soit cassé d'ici? Balança Jason en se relevant furieusement en même temps que d'interrompre le débile.

Personne ne broncha, et nous nous levâmes presque instantanément sous le regard critique du brun.

Cela devait faire au moins une heure que nous marchions tous les uns derrière les autres dans la forêt, sous une chaleur estivale.

Je n'en pouvais presque plus, j'étais transpirante, d'ailleurs je ne comprenais pas pourquoi je l'étais autant, car nous avions déjà fait ce genre de distance dans une forêt avec mes parents, parfois même un plus long trajet, et je n'avais jamais au combien jamais transpiré autant.

Je pouvais remplir un seau complet tellement j'étais en gouttes.

Tout le monde était dans le même état que moi, ce qui expliquait pourquoi Mick demanda à ce que l'on s'arrête.

La seule réponse qu'il reçu fut un, non on ne peut plus ferme de la part de l'autre garçon.

Et je regrettais bien ça, c'est vrai que je n'aurais pas refuser de me poser un peu, juste histoire de me reposer un tout petit peu:

- Bon j'en peut plus, je m'arrête, déclara la fille, tout en se retournant.

Personne ne lui avait répondu, et les deux autres lui passèrent devant sans même n'y prêter attention.

Mais son expression m'alerta quelques peu.

Elle grimaçait, et je voyais dans son regard, troublant de peur, que quelques chose derrière moi n'allait pas:

- Att... atte... attention! Hurla-T-elle a mon égard.

Trop tard.

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