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Des amis d'enfance

Comme à la journée précédente, les trois chefs de mafia continuèrent leur rendez-vous.
Zoro et Robin retournèrent visiter la capitale de France, sans en toucher un mot aux adultes. C'était avec bonne humeur que les deux amis marchaient vers la Tour Eiffel, n'ayant pourtant pas l'intention d'y monter. Ils adressaient des sourires contagieux aux passants, qui, pour la plupart, y répondirent de la même manière ou d'un signe de main amical.
Ils passèrent devant un magasin animalier, où des chatons grattaient la vitrine en miaulant.
Robin s'arrêta devant eux.
« - Zoro, ils sont trop mignons ! couina-t-elle.
- C'est vrai, dit Zoro avec un petit sourire attendri, qui n'échappa pas à Robin.
- Ils ont l'air si seuls ! Personne ne veut d'eux !
- Mais si, je suis sûr qu'il y a plein d'autre gens qui se battront pour les avoir : ils sont exposés à la vue de tout le monde. Et puis tu peux rêver pour qu'on en achète un !
- Pourquoi pas ?! s'exclama Robin d'un ton désinvolte.
- Il faut les vacciner, leur acheter des croquettes et les stériliser. Sinon, tu ne pourras pas le prendre dans l'avion, tenta de la raisonner Zoro, »
Robin jeta un dernier regard aux petits animaux, puis continua son chemin, suivi par son ami.
Ils arrivèrent à proximité d'une grande médiathèque où Robin dut faire de gros efforts morals pour ne pas foncer dedans et se jeter sur les livres d'historiques.
Ils s'installèrent finalement sur un banc qui donnait une bonne vue sur la Tour Eiffel. Aucun des deux ne prononça un mots pendant un bon moment, regardant le monde autour d'eux, comme un groupe d'asiatiques bruyants qui faisaient des selfies sans se mettre d'accord sur la façon de se placer devant une fontaine, ou une famille assise autour d'une table d'un resto assistait aux premiers pas de leur fils, et les gens pressées en costume d'homme d'affaires qui jetaient des coups d'œil furtifs à leurs montres.

Puis Zoro se redressa et se tourna vers Robin.
« - Robin, tu pourrais me dire de quoi s'agit cette réunion ? Tu avais l'air si effrayée quand tu as vu Doflamingo, et tu semblait connaître Mihawk. J'aime pas quand on me cache des choses ...
- Eh bien ... »
Robin hésitait, mais après tout, à quoi bon lui mentir. Elle décida de répondre avec honnêteté.
« - Doflamingo, Mihawk et Crocodile sont ... les chefs de mafia les plus réputés de France. Ils essaient de s'unir, expliqua la jeune fille, guettant la réaction de Zoro. »
Celui-ci avait froncé les sourcils, et sa bouche s'était encore plus crispée. Il semblait préoccupé.
« - Merci ... pour ta réponse ... »
Puis aucun des deux ne parla.
L'un ruminait ses pensées, se demandant si Mihawk allait lui demander d'intégrer sa mafia, alors qu'il était déjà au service de Rosinski. Cet homme était d'ailleurs réputé pour se débarrasser des personnes qui le trahissait.
L'autre pensait à son père, et espérait que si l'accord d'union avec les deux autres chefs marchait, cela n'allaient pas l'influencer sur ses méthodes. Comme Doflamingo était particulièrement vicieux, cruel et sans pitié, elle redoutait que Crocodile agisse de la même façon, en torturant et parfois tuant ses ennemis.

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Nami, alongée sur son lit, lisait un livre quelconque sur la science-fiction. Elle s'ennuyait à mourir, lorsqu'elle reçu un message. Elle attrapa son portable et regarda ce qu'on lui avait envoyé. C'était un message de Vivi.

_ Salut Nami !
J'ai vraiment hâte d'être mardi prochain pour te revoir ! Je traîne souvent avec Carina, mais ce n'est pas aussi drôle qu'avec toi. D'ailleurs, tu m'avais parlé d'un beau gosse blond, tu me le présenteras, hein ?
Hier, j'ai fouillé un peu dans mes affaires, et j'ai retrouvé une photo particulièrement belle de nous deux :

Sur ce, je te laisse,

À bientôt !!!

Nami avait lu ce message, un doux sourire aux lèvres, tandis que des magnifiques souvenirs lui remontait en mémoire. Elle aussi était impatiente de retrouver son amie.
Tout à coup, Nojiko ouvrit la porte à volée, suivie de Ace.
« - Hey, Nami ! l'interpella ce dernier. Ça te dirais de manger chez moi, ce soir ? Il y aura ma famille, ta sœur et quelques potes.
- Pourquoi pas ?
- Parfait ! Viens vers 18 heures. »

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Zoro et Robin étaient dans la gare du métro, ayant pour objectif d'aller dans des coins un peu plus intéressant sur les bords de la Seine. Ils attendaient patiemment le prochain métro, debout devant le chemin de fer souterrain. À côté d'eux, une bandes de jeunes discutaient bruyamment sans se gêner de déranger les autres. Robin se sentait mal à l'aise et se rapprocha de Zoro, et lui prit son bras. Il rougit légèrement, et jeta un regard noir aux adolescents.
Enfin, le métro arriva.
Ils arrivèrent à destination. Lui et Robin remontèrent à l'air libre puis partirent en direction du fleuve.

De nouveaux, ils s'aventurèrent sur les rives de la Seine et trouvèrent un endroit moins facile d'accès, entouré de broussailles.
Ils espéraient y être tranquilles. 
C'est alors qu'ils y découvrirent un vieux pêcheur qui pataugeait dans la boue, tenant fièrement une canne à pêche. Le vieux les regarda d'un air surpris, les moustaches frémissantes. Il se passa une main dans ses cheveux blancs.
« - Passez-moi la boîte remplie d'asticots, s'youplait ( s'il vous plaît ) ! finit-t-il par ordonner d'une voix forte et éraillée. »
Robin refusa tout net d'y toucher, tandis que Zoro s'empara de la boîte et la passa sans broncher. Le vieux tendit sa main osseuse, et essaya de la prendre, mais Zoro ne la lâchait pas. Le petit vieux fronça les sourcils, se demandant ce que faisait ce jeune homme aux cheveux verts.

Puis un immense sourire illumina son visage, multipliant les rides aux coins de ses yeux et de sa bouche.
« - Ce serais pas mon p'tit Zoro ? demanda-t-il, l'air toujours aussi content.
- Si, c'est bien moi ! T'as pas changé d'habitudes, ni de place, le vieux, dit Zoro, les yeux étincelants.
- Je vois qu't'es en charmante compagnie ! Tu m'la présente ? demanda le vieux en considérant Robin.
- Alors Robin, voici Charlie, mais tout le monde l'appelle « le vieux » ou « le pêcheur ». Le vieux, je te présente Robin, mon amie depuis peu, fit l'adolescent.
- Tu dois être géniale pour avoir touché le cœur de p'tit Zoro ! affirma Charlie en hochant la tête.
- Je n'ai plus six ans !!! Alors arrête de me prendre pour un gosse !!! Et puis qu'est-ce qui te fait croire que Robin a touché mon cœur ?!? s'énerva aussitôt le jeune homme.
- Rien. Ça se voit, rétorqua le vieux. »
Robin rit doucement, se prenant d'affection pour Charlie qui semblait être une vieille connaissance de Zoro. Ces deux là devaient entretenir de très bonnes relations, vu la façon détendue avec laquelle ils se parlaient et les vannes qu'ils s'envoyaient.
Zoro était souvent venu dans ce coin, pour retrouver le vieux, discuter avec lui et pêcher. Ça avait été un moyen de fuir sa mère, et de passer du temps avec son ami.
Il se rappelait encore de leur rencontre, et des bons moments en sa compagnie.

Flashback

Un petit Zoro âgé de neuf ans errait sans but sur les rives de la Seine, dans un coin reculé et peu visité des touristes. Un froid hivernal régnait sur la région parisienne, si bien que le petit garçon grelottait, enfonçant ses mains dans ses poches et fourrant son nez rougi par le froid dans un vieille écharpe trouée.
Il entendit alors un sifflement joyeux provenir des arbres un peu plus loin, à proximité de l'eau. Zoro, curieux de savoir qui se baladait aussi proche de la rivière par un temps pareil, à par lui, s'approcha.
Puis il débusqua un coin terreux minuscule, qui s'ouvrait sur le fleuve, entouré de broussailles.
Un vieil homme s'était allumé un petit feu sur lequel il faisait frire du poisson. À en juger par la canne à pêche et les bottes boueuses de l'individu, le poisson venait d'être pêcher.
Zoro, se demandant comment on pouvait faire un feu par un tel froid, s'était arrêté. Le vieux s'était arrêté de siffler, et observait le petit d'un garçon d'un œil surprit. Il croisa ses bras sur sa poitrine et lui demanda :
« - Qu'est-ce que tu fais ici ? Tu devrais rentrer chez toi, c'est pas un endroit pour les p'tits de ton genre, avait-il dit.
- Je voulais me promener ... Et puis vous, vous êtes un peu trop vieux pour sortir en plein hiver tout seul ! avait protesté avec insolence Zoro.
- Ah oui ? s'étonna son interlocuteur avec un sourire amusé. Contrairement à toi, minus, j'ai de l'expérience.
- Bah moi aussi ! »
Le vieil homme s'était alors mît à rire, commençant réellement à apprécier le garçon.
« - Tu dois être bien loin de chez toi. T'as faim ? demanda-t-il en désignant les poissons.
- Ouais ... t'es bien sûr que c'est mangeable, ton truc ? avait demandé Zoro d'un ton méfiant.
- Ah ah ah ah !!! Mais oui, t'inquiètes ! »
Le petit se laissa tomber sur le sol, et regarda le vieux déchiqueté le poisson à l'aide d'une vieille fourchette, et lui en donner un morceau. Puis, affamé, Zoro mordit à pleine dent dedans, et le trouva particulièrement bon. Il se mit à le dévorer avec appétit.
« - Moi, c'est Charlie ! dit le vieux en tendant sa main vers le garçon. Mais tout le monde m'appelle « le pêcheur ». »
Zoro serra la main de Charlie avec un grand sourire. Il avala sa dernière bouchée puis s'essuya la bouche d'un revers de manche.
« Je m'appelle Zoro. Est-ce que je peux t'appeler « le vieux » ? Je trouve que ça te va mieux.
- Ah ah, ok ! accepta le concerné en riant. Tu veux que j't'apprenne à pêcher ?
- J'aimerais bien, mais j'ai pas de bottes. Si je me mouille, j'aurais trop froid ! »
Le vieux réfléchit un instant, puis lui passa ses bottes de secours. Zoro les enfila, bien qu'elles furent nettement trop grandes, lui montant jusqu'a mi-cuisses.
Puis il entra dans l'eau, suivit de Charlie.
Ils passèrent le reste de la journée à discuter ensembles, à pêcher et à rire de tout et de rien.
Puis, comme la nuit menaçait de tomber, Zoro dut se séparer de son nouvel ami, lui promettant de bientôt revenir.

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Nami était enfin prête pour se rendre chez Luffy, Ace et Sabo. Nojiko l'attendait déjà dans la voiture, impatiente de retrouver son petit-ami.
Les deux sœurs partirent.
Elles arrivèrent enfin chez les trois frères, qui les accueillirent avec de grands sourires. Il y avait également Koala, qui sortait avec Sabo depuis la sixième, leur mère, Makino et leur père, Dragon.
Tous étaient assis autour d'une table, et attendaient les derniers invités pour manger l'apéro. Nami et sœur pensaient qu'elles étaient les dernières, mais elles entendirent sonner.
Un beau jeune blond entra, et jeta un coup d'œil désolé aux gens dans la maison, s'excusant pour son retard.
Le cœur de Nami fit un bond dans sa poitrine.
C'était Sanji.

Les amis commencèrent gaiement l'apéro, discutant de sujets plus ou moins important ou faisant des blagues et provoquant l'hilarité du public en racontant des anecdotes comiques de leur vie.
Sanji lança un regard profond à Nami, qui tripotait nerveusement ses longs cheveux roux.
« - Au fait, Luffy, pourquoi Sanji est invité ? s'enquit-elle.
- Je viens souvent à son resto, qui est absolument délicieux ! répondit Ace à la place de son petit frère. On se connaît depuis ... 4 ans ? »
Nami lui lança un regard étonné. Alors comme ça, Sanji était une vieille connaissance d'Ace !
« - Je vais apporter le plat principal, annonça alors Luffy avec joie, se dirigeant vers la cuisine, suivit de Makino et Sabo. »
Ces deux derniers surveillaient qu'il ne mange rien en cachette. Sanji se leva et prit la place du petit gourmand, et se retrouva à côté de Nami. Elle sentit alors son cœur battre plus fort, à la proximité de son amant.
Au bout d'un moment, elle sentit une pression légère sur ses genoux, alors que tout le monde avait commencé à manger le plat indien. Sanji avait posé sa main sur la jambe de la rousse.
Elle lui jeta un rapide coup d'œil. Pourtant, Sanji ne laissait rien paraître de ce qui se passait sous la table, plaisantant avec Koala et Sabo, comme si rien ne passait avec Nami.
Elle ne put retenir un sourire, et commença à lui caresser le tibia à l'aide de ses converses rouges. Elle remarqua alors le blond se pincer les lèvres, au proies d'une excitation totale.
Chacun des deux, Nami et Sanji, jouaient avec l'autre, espérant qu'il céderais a son charme.
Ils se jetèrent un regard flamboyant, bien décidés à remporter la partie.

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