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Confiance en soi

Nami sautillait d'excitation sur le quai de la gare. Ce mercredi midi, elle retrouverai son amie.
Enfin, le train arriva, et s'arrêta lentement. Les portes s'ouvrirent, et des gens sortirent du moyen de transport. Nami regardait cette foule avec attention, cherchant une couleur particulière : le bleu.
Elle remarqua alors une jeune fille aux long cheveux de cette couleur, attachés en queue de cheval, qui courait vers elle. Un sourire illuminait son visage familier.
« - Vivi ! cria Nami en se jetant dans ses bras.
- Nami !! Je suis TROP contente de te revoir !! »
Nojiko, qui avait amené sa sœur à la gare, observait cette scène avec nostalgie. Cela lui rappelait à elle aussi le bon vieux temps à la campagne. Autrefois, Vivi venait tellement leur rendre visite qu'on aurait dit qu'elle vivait chez elles.

Une fois les retrouvailles terminée, les trois adolescentes rentrèrent chez Genzo, qui accueillit avec joie l'invitée.
Dans le salon, Vivi eut la surprise de découvrir toute les nouveaux amis de Nami. Légèrement timide, elle resta à sa place et leur adressa un signe de tête. Son amie rousse se posta devant les ados rassemblés dans la pièce.
« - Les amis, je vous présente Vivi !!! annonça-t-elle. Vivi, voici Robin, Law, Luffy, Ussop, Kaya et Sanji !
- Hey ! Salut ! s'exclama le petit brun.
- Je suis ravie de faire ta connaissance, dit Kaya avec un grand sourire.
- Bonjour, dirent Law et Robin.
- Bienvenue ! la salua Ussop.
- Enchanté, mademoiselle, termina théâtralement le blond. »
Vivi le regarda attentivement. C'était donc lui, le mec de Nami. Il avait l'air assez gentil, et doux. Apparemment, il aimait beaucoup les filles, mais ce n'était rien par rapport aux regards qu'il lançait à sa petite amie.
« - Sanji, le blond, là, c'est mon mec ! expliqua inutilement Nami.
- J'avais deviné. Tu savais que moi aussi, je sors avec quelqu'un ?
- Vraiment ?!?
- Oui ! Tu te rappelles de Kohza ?
- Vous êtes ensembles ?!
- Vouii !!!
- Mais c'est super ! »
Les deux filles sautillèrent de joie, trop heureuses de se retrouver et de parler de leurs amoureux.
« - Aujourd'hui, on a tous prévu d'aller faire du shopping avec toi, dit Nami.
- Ok ! On y va ?
- Bien sûr ! »

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Zoro, qui venait d'effectuer sa quatrième livraison, en comptant depuis le début de la semaine, rentra chez lui. Depuis qu'il avait surpris sa mère avec Chuck, il ne l'avait plus vu boire, ni regarder la télé. Elle se soignait et veillait à son apparence. Lorsqu'il entra chez lui, comme il s'y attendait, Asnah discutait avec son amoureux dans le salon. Comme d'habitude, Chuck le regarda d'un air Méditerranée méchant, tandis que sa mère faisait mine de l'ignorer. Pourtant, dès que Zoro se dirigea vers sa chambre, elle l'appela. Son fils retourna donc dans le salon.
« - Zoro. J'ai deux grandes nouvelles à t'annoncer ! dit-elle. D'abord, on va déménager chez Chuck ! »
L'adolescent se figea. Il n'avait aucune envie de passer le reste de sa vie avec cet homme comme beau-père.
« - Mais tu le connais même pas depuis une semaine ! protesta-t-il.
- Et alors ? Je l'aime vraiment ! On s'entend super bien et il me comprend, lui, au moins ! rétorqua Asnah. Et puis l'autre nouvelle était qu'il a trouvé un travail pour moi ! Ça ne te rend pas heureux ?
- De toute façon, que ça me plaise ou non, je n'ai pas le choix, marmonna Zoro, l'air glacial.
- Tout à fait, trancha Chuck, d'un ton aussi aimable. Sache que moi non plus, je n'ai pas envie de t'avoir tous les jours chez moi.
- Alors on doit se comprendre. Je ne supporte pas non plus ta face de rat.
- Ah oui !? Écoute-moi bien, petit salopard. Bientôt, tu habiteras chez MOI ! Alors je vais fixer certaines règles, entre nous deux ! Je te conseille vraiment de fermer ta grande gueule ! C'est clair ? menaça-t-il.
Mais Zoro était repartit dans sa chambre, ennuyé par la conversation. Il communiqua rapidement la nouvelle de son déménagement à Kid. Celui-ci connaissait les sentiments que Zoro portait à Chuck, et essayait de lui remonter un peu le moral.
Sans succès.

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Nami et ses amis marchaient tranquillement dans la ville, léchant les vitrines, où essayant toutes sortes de nouveaux vêtements. Les garçons étaient partis faire une partie de bowling, pendant que les filles feraient du shopping. Seul Ussop les acccompagnait, bien décidé à rester avec Kaya. Nami lui avait ordonné de porter les sacs, sous prétexte qu'en la présence de la fille qu'il aimait, il devait se comporter en gentleman. Il se doutait fortement que c'était plus par paresse que pour l'aider qu'elle lui demandait ça. Mais quand Nami donnait un ordre, il valait mieux y obéir.
Par chance, Kaya marchait tout le temps à côté du long-nez. Ce dernier sentait par moment le regard de la blonde le fixer pendant plusieurs secondes. Il n'osait pas tourner la tête, sans même savoir pourquoi. Il fixai tantôt le sol, tantôt les magasins, prenant bien soin de ne croiser ses beaux bruns et profonds.
Ils entrèrent dans un énièmes magasin de vêtements. Ussop soupira, déjà fatigué à l'idée de porter encore plus de sacs.
Kaya était en train d'essayer des habits dans les vestiaires.
Puis elle sortit. Ussop observa avec intérêt un chewing-gum collé au plafond.
« - Hum ... Ussop ? demanda la jolie blonde de sa douce voix.
- Mmh ?
- Tu me trouves comment ? »
Ussop n'eut pas d'autre choix que de la regarde. Il arrêta de respirer, se désintéressant totalement des habits qu'elle portait, se concentrant sur son visage magnifique. Comment pouvait-il y avoir tant de beauté chez une fille ?!
Il eut l'impression qu'on lui enfonçait un couteau dans son cœur.
Elle était beaucoup trop belle pour lui. Jamais il n'aurait la chance ni le mérite qu'elle l'aime.
« - Alors ? Ça me va bien ? demanda Kaya.
- O ... oui. Tu es splendide ! balbutia Ussop. »
Elle alla donc à la caisse pour payer ses nouveaux vêtements. Robin sortit du vestiaire juste après, l'air insatisfaite. Elle remarqua alors la mine triste qu'affichait Ussop.
« - Ça va, Ussop ? Tu n'as pas l'air bien ...
- Je ... non, laisse tomber.
- C'est Kaya, le problème, n'est-ce pas ? devina-t-elle.
- Je ne peux même pas la regarder !!! J'ai l'impression qu'elle est beaucoup trop bien pour moi ! Et c'est sûrement le cas, en plus ...
- Ussop. Tu as des qualités formidables : tu es sociable, gentil, drôle, bavard, inventif et intelligent. Tu mérites amplement Kaya ! Ton problème, c'est que tu manques énormément de confiance. Et c'est ton seul défaut. J'ai bien vu comment elle te regardait, tout à l'heure, et je peux te jurer que tu ne la laisses pas indifférente. Il faut que tu tentes ta chance, car Kaya ne va pas attendre éternellement que tu lui fasses tes aveux, aussi fort qu'elle puisse t'aimer. Si tu continues comme ça, elle va se dire que tu t'en fiche d'elle, et va très probablement passer à autre chose, même si ce sera difficile. Va la voir et parles-lui.
- ... je crois que tu a raison, se persuada Ussop. »
Il prit une grande inspiration et se leva. Il alla voir Kaya, qui venait de payer ses achats. Ussop lui demanda si elle voulait bien le suivre à l'extérieur.
Une fois dehors, ils s'assirent sur le banc le plus proche. Ussop tripotait nerveusement sa veste, et Kaya se mordillait la lèvre inférieure, les joues légèrement rosies. Elle était tellement craquante ! Le long-nez se passa une main dans ses cheveux frisés, attachés en queue de cheval serrée.
« - Hum ... Kaya ? osa-t-il enfin.
- O ... oui ?
- Je voulais te dire que je te trouve très jolie, avec n'importe quel habit. Tu es très belle.
- Merci, c'est gentil ! Je trouve que tu es le garçon le plus drôle et le plus gentil que je connaisse ! répondit-elle, de sa voix incroyablement douce.
- J'aimerais passer plus de temps avec toi, comme avant !
- C'est vrai qu'on se parlait plus trop. J'aimerais moi aussi être plus souvent avec toi. Tout le temps, à vrai dire ...
- Que toi et moi ? demanda Ussop.
- Juste toi et moi.
- Que nous deux.
- Ensembles.
- Avec personne d'autre.
- Seuls.
- Toujours.
- À jamais.
- Je t'aime ! cria soudainement Ussop. »
Kaya lui adressa un sourire éclatant, tandis que des larmes de joies perlaient aux coins de ses yeux.
« - Moi aussi, je t'aime ! »
Ils se prirent doucement dans les bras, et s'embrassèrent.

•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•°•

Zoro était en train de faire ses devoirs avec la vivacité d'un escargot. Il relisait sa rédaction encore et encore, sans vraiment comprendre ce qu'il avait écrit. Il avait les pensées ailleurs. Il repensait à Chuck, et éprouvit une soudaine envie de casser tous les meubles de sa chambres. Il repensa aussi aux paroles de sa mère : « Et alors ? Je l'aime vraiment ! On s'entend super bien et il me comprend, lui, au moins ! ». Zoro détestait la façon dont elle avait prononcé ces deux derniers mots. Elle ne se rendrait donc jamais compte que sans fils, sa situation aurait été trois fois pire !?
Cela le mettait en rogne. Il savait qu'il avait besoin de se confier à quelqu'un, lui parler de ses ressentis, et recevoir des conseils et du soutien en retour. Mais il ne voulait pas embêter Kid avec ces futilités, et de toute façon, il y avait pire, comme existence. Il repensa à son boulot de livreur de drogue, qui lui apportait pas mal d'argent. Peut-être était-ce l'une des seules choses qui marchait bien dans sa vie. Sauf que c'était illégal. Il savait que bientôt, il se ferait remarquer par d'autres gangs, et qu'il faudrait se battre pour conserver son poste. Ce métier est vraiment magnifique !
Zoro poussa un grognement, et appuya tellement fort sur la pointe de son stylo que celle-ci se cassa, et forma au passage un joli trou dans son cahier de français. Il entendait dans le salon Chuck rire avec sa mère.
Zoro envisagea durant un instant d'égorger le petit ami de sa mère, à l'aide de son stylo cassé. Puis il décida que le plus raisonnable serai de prendre l'air.
Il reçut alors un appel d'Harry Hurst, l'homme baraqué qui avait été présent durant son entretien d'embauche avec Rosinski.
« - Hallo ? demanda Zoro.
- Ha ! Zoro ! On a un problème ! Deux de nos livreurs sont tombés dans une embuscade, et sont encerclés par le gang des Crocodiles de la Banlieue, au nord du square ! T'es le plus proche, alors dépêches-toi de les aider ! Brailla Harry dans le combiné, avant de raccrocher. »
Zoro se précipita dans le salon et attrapa sa veste, sous les regards étonnés de sa mère et son futur mari. Il enfila rapidement ses chaussures, et sauta sur sa moto. Durant le trajet, il ne put s'empêcher de penser que s'appeler « Crocodiles de la banlieue », c'était vraiment pathétique.
Il arriva enfin à l'endroit désigné par Harry, et reconnu avec surprise que les deux livreurs pris au piège étaient le chef des BBC, Bellamy, et Cavendish, celui qui avait blessé Kid. Ils étaient entourés d'une dizaine d'ennemis. Zoro se demanda s'il voulait vraiment leur porter secours. Puis il se dit que c'était un ordre, et qu'il allait se faire tuer s'il repartait sans avoir rien fait pour aider les deux autres.
Il fit d'abord mine de vouloir écraser ses adversaire avec sa moto. Quelques-uns reculèrent, mais la plupart restèrent à leur place, sachant parfaitement que Zoro n'avait pas l'intention de les tuer.
Zoro descendit, et ôta son casque. Cavendish et Bellamy le considèrent d'un air étonné.
Soudainement, un homme de haute taille se précipita sur Zoro, qui l'évita de justesse, et lui donna un violent coup de coude dans les oplomates. L'homme s'effondra sur le sol, et tenta vainement de reprendre son souffle. Deux délinquants s'approchèrent dangereusement. Zoro fila un coup de pied au premier, tandis que Bellamy s'occupait du deuxième. Mais les adversaires, qui contrairement aux films, ne faisaient pas poliment la queue pour être mis KO chacun leur tour, se
resserrèrent autour des trois adolescents. Zoro en avait déjà envoyé quatre au sol, Bellamy, deux, et Cavendis, aucun. Ce dernier regardait le vert se battre, l'air totalement hébété. Il fut interrompu dans sa transe quand un jeune porta un coup sur le nez. Les trois livreurs remarquèrent alors qu'il ne restait plus que 4 adversaires. Ils se jetèrent un coup entendu, et finirent par battre tout le monde, sans compter le dernier qui avait pris ses jambes à son cou.
C'est à ce moment précis que les renforts arrivèrent, dont Harry, Avery et Kid.
Ils eurent une très agréable surprise en découvrant le massacre qui s'était fait avant leur arrivée.
« - Wow. Vous avez assurez, les garçons ! s'étonna Daniel Stanislav, l'un des amis les plus proches de Rosinski. Venez, on se tire avant que la police arrive. Suivez-moi ! »
Avant de partir, Daniel prit un cliché du spectacle. Puis il emmena les garçon dans une sorte de petit bâtiment qui avait autrefois été une usine de bérets. À présent, c'était plutôt un endroit de réunion et de fête pour les hommes de la mafia de Rosinski. Celui-ci était installé dans une pièce à part, et buvait un café en lisant des documents sur l'exportation de sa drogue. Daniel toqua, et entra, suivit de Zoro, Bellamy et Cavendish.
« - Bonjour, Michael, dit le premier.
- Bonjour, Daniel. Alors, vous avez réglé le compte des « Crocodiles de la banlieue » ? Quel nom ridicule, d'ailleurs !
- Oui ! Vous savez que c'est ces trois là, qui les ont tabassés ? Contre dix, en plus ! s'exclama Daniel.
- Vraiment ? demanda d'un air sceptique le patron.
- Je vous le jure, assura son interlocuteur. Les garçons, si vous nous racontiez un peu plus en détail ce qu'il s'est passé ?
- Eh bien ..., commença Bellamy.
- Zoro a été super ! Il a vaincu 5 hommes à lui seul ! C'est incroyable ! s'extasia Cavendish d'un air adorateur. Kid en a vaincu 3 et moi, un !
- C'est vrai, confirma Bellamy. Sans Zoro, on aurait eu plus de problèmes !
- Je vois ..., dit Rosinski avec un demi-sourire. Ça t'arrangerait, Zoro, d'obtenir plus de responsabilités, et ainsi, plus d'argent ? »

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